hôtel des Nudistes - histoire érotique

Nous avons nommé notre hôtel, l’hôtel des Nudistes. Nous n’ouvrons qu’à la belle saison quand les amateurs viennent vers la mi Avril. Nous avons eu le temps de faire quelques réparations indispensables pendant l’hiver. Dès que le temps le permet avec ma femme Odette, nous allons nous promener sur la plage dans le plus simple appareil: c’est normal quand on a ce genre d’établissement au Cap d’Age. Nous aimons particulièrement un endroit que nous recommandons toujours à la belle saison! Une petite crique à l’abri du vent. Nous prenons le soleil un moment quand, la plus part du temps ma femme vient presque sur moi pour m’embraser. Je sens ses lèvres gourmandes sur ma bouche: sa langue part à la recherche de la mienne. Elle profite de notre nudité pour prendre ma queue dans sa main. Bien évidemment je bande, comme elle aime. Elle m’enjambe toujours pour faire un 69 que nous ne finissons pas: elle préfère que je la lui mette. Elle vient sur moi, je ne sais pourquoi sur la plage, elle agit toujours ainsi. Elle prend ma bite dans sa main, se masturbe avec, avant de se ficher dessus. Je lui caresse les seins et quand elle est bien assise je la masturbe. Comme je suis particulièrement résistant, elle reste sur moi le temps de jouir 2 ou 3 fois.
Le soir, nous avons toujours un bon moment pour nous faire du bien. Là, c’est moi qui décide. Elle est assise, les jambes ouvertes: je la lèche un bon moment. Je commence toujours par le plus facile: son joli bouton. J’ai pris l’habitude de le sucer, sans la langue. Mes lèvres servent d’excitant. Ensuite je lui lèche les lèvres intimes pour lui fourrer la chatte.
Elle tient ma tête comme si j’allais la laisser tomber. Je ne finis jamais dans sa chatte. Je pose ma langue sur sa rosette pour y entrer un peu.
La suite est moins classique, elle tend son anus pour que ma langue aille un peu dans son cul. Ensuite nous faisons encore un 69. C’est pour elle le régal pour ses papilles gustative. Elle prend ma bite à sa base, lèche le gland pour s’attarder sur le méat, et ensuite seulement elle me fait une fellation qui m’envoi au ciel. Elle garde précieusement le sperme pour le déguster devant moi, en souriant.
Pour finir je la met en levrette pour bien la lui mettre au fond du cul. A deux mains elle écarte les fesses pour faciliter mon accès, pour elle c’est un rite qui n’a pas lieux d’être puis que je la sodomise presque tous les jours. Je profite de son dos pour y poser mes lèvres et elle profite de sa position pour se masturber.
L’ouverture de l’hôtel est là: les premiers clients arrivent dans l’intention de faire du naturisme alors qu’en réalité ils ne viennent que pour baiser.
Notre règlement n’interdit nullement d’être nu. Nous voyons ainsi passer des couples plus ou moins légitimes, surtout des hommes d’un cinquantaine d’année accompagnant une fille de 25 ans sans doute. Par contre nous interdisons totalement les gestes douteux, comme une masturbation cachée. Ailleurs les gens sont totalement libre. Nous pouvons voir des couples s’embrassant sur la bouche ou même se caressant juste avant et après la sortie.
Nous ne sommes jamais totalement nus: je porte toujours un string qui ne cache pratiquement rien de mon chibre. Par contre ma femme porte toujours un short sans string, très court qui laisse deviner sa chatte et un soutien gorge guère plus couvrant. La serveuse, elle, une fille de la région bien dans sa peau est comme ma femme. Nous aimons après le repas du soir passer une heure ou deux à trois pour baiser. Ces deux filles aiment également les filles.
Les femmes de ménage font de drôle de découverte, ainsi hier elle a surpris un client se faire tailler un pipe sur la balcon, sans que sa présence le gêne un seul moment. Et une autre fois, où elle a pris du retard: deux allemandes s’aimaient, elles l’on invité à se joindre à leur petite partie. Bien sur elle justifiait son retard: pardonné. Une fois par semaine nous organisons des soirées dansantes. Là tout est permis, sauf pour la serveuse et nous.
Les couples se font et se défont sans arrêt: nous sommes toujours présents pour éviter des débordements qui ne son jamais venus.
Depuis le début de la saison, ma femme a envie de se payer un bel étalon bien monté. Elle l’a repéré dans la journée pendant qu’il descendait l’escalier, la bite presque bandée. En voyant le monument elle lui a demandé si dans la soirée elle pouvait baiser avec lui. Elle demandait aussi pourquoi il était encore en semi érection: il venait de se branler. A part ça il promettait sa queue pour ma femme et sans doute d’autre.
L’ambiance dans notre établissement étant axée sur les plaisirs entre adultes, il nous était totalement interdit de surveiller qui couchait avec qui, cette année nous avions un couple de gay, qui ne déparaient pas avec des lesbiennes.
Enfin la soirée est là. Pour simplifier le service, les bouteilles d’alcool sont déjà sur les tables entre les coussins. La serveuse aussi veut participer. Je pense qu’elle va se donner à des filles. Je l’aime bien; elle baise presque trop bien avec moi, et étrangement beaucoup mieux avec ma femme.
La soirée commence par un slow: des couples se forment dont ma femme avec son « fiancé » de cette nuit. Le serveuse danse avec une autre fille blonde que je me payerai bien. Pour une fois, je baiserai une fille jeune, quoique je les préfère plus âgée, dans la trentaine, bel âge pour bien baiser. Je trouve une fille qui doit avoir à peine 18 ans, bien fichue avec des seins petits et durs. C’est d’ailleurs par les seins que je fait mon approche. Je l’embrasse dans le cou: elle fait plus que se laisser faire, elle participe activement: elle passe une main derrière elle pour venir toucher et caresser ma pine. Elle me fait bander: mon membre se trouve juste entre ses fesses. Ni une ni deux, elle se mouille l’anus, se penche et me pose la bite sur son anus. Je n’ai aucun effort à faire; je suis tout au fond de ce jeune cul, jeune et expérimenté. Je ne bouge même pas: elle se charge de tout. Finalement elle baise bien mieux que je ne le pensais. Elle arrive à me faire jouir: un baiser dans le coup et je cherche ma femme. Elle est bien avec ce type qui est sous elle, sur elle un autre homme la lui met au cul. Je l’entend gémir de bonheur. Une double pénétration, quel régal.
Je cherche la serveuse; elle est toujours avec cette fille. Elles sont con à con. Je regarde leur visage elle sont transformés par la jouissance. Je reste près d’elle sentant qu’elles ne pourront plus tenir longtemps. C’est vrai quand elles se dégagent. Je cherche la blonde: la serveuse me dit qu’elle baise bien: je vais l’essayer. Je l’embrasse plus par politesse que pour autre chose. Je vois un sexe entouré de poils fins et blonds. Je lui met la main sur la chatte: elle avance son bas ventre pour que je la branle, à croire qu’elle n’a pas joui. Je me baisse pour être à sa hauteur:
- Tu veux que je te la mette
- Oui, de suite.
Je n’hésite pas j’entre dans son fourreau bien chaud. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Ses lèvres viennent à la recherche des miennes. Sa langue a le goût de la chatte de la serveuse. Je vais et viens en elle. Je suis au bord de la jouissance. Elle a déjà dépassé ce stade: elle jouit encore un bon peu. Sa dernière jouissance arrive quand je jouis et que mon sperme vas s’égarer en elle.
Le lendemain, plus personne ne veut se souvenir des amants ou amantes qu’il ou elle a eu: la seule chose pour les distinguer et de voir leur valises sous les yeux.
Ainsi va la saison qui fini encore sur des nordistes.