Hôtesse de gite rural 1/3
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Hôtesse de gite rural 1/3
- Bonjour, messieurs
- bonjour mademoiselle, puis-je voir le responsable du gite s'il vous plait ?
- Ha vous êtes monsieur Jérôme G ?
- Effectivement
- Alors s’est moi qui suis chargée de vous accueillir et votre interlocutrice pour rendre votre séjour parmi nous le plus agréable possible
- Si jeune et déjà responsable ? félicitation et je fais honneur a votre beauté
- Merci, j’ai dix neuf ans, je m’appelle Aline, pour aider mes parents qui font face aux dépenses de mes études en médecine je les aides comme je peux, je vais vous montrer votre résidence, sachez que je viendrais faire le ménage et récupérer votre linge sale tous les jours
- C’est une bonne chose, en l’absence de ma femme cette semaine je me sentais un peu perdu avec mon fils, Adrien ? dit bonjour a mademoiselle au lieu de taper bêtement sur ta tablette !
- Salut …
- Bonjour Adrien nous pourrons peut être devenir amis ?
- J’sais pas …
Un garçon de mon âge tout boutonneux, en fait je disais cela pour être polie ! je ne vois pas faire ami-ami avec un tel a-croc aux médias alors qu’il y a tant de chose a voir dans notre campagne ! par contre le père quel homme !…célibataire pour la semaine …et mon copain parti aux u s a pour deux mois … huuuummmmm ! je me sens un peu chienne en chaleur, finalement déniaiser un jeune ne me déplairais pas non plus
Pendant la visite de leur appartement je me penche volontiers montrant mes cuisses espérant faire décoller les yeux d’Adrien de son écran mais rien n’y fait, par contre le père lui est toujours bien dans l’axe
Dans la soirée Jérôme est venu me demander ce qu’il y avait d’intéressant a visiter a la ferme et dans ses environs
- Vers dix neuf heures nous effectuons la traite des vaches
- A l’ancienne ?
- Heureusement non, avec quarante vaches nous avons une trayeuse électrique, sinon je n’aurais plus de peau aux mains !
- Serrer ces pis dans votre petite main ne vous rappelle pas le sexe de l’homme ?
- La différence c’est que je peux les malaxer des heures ils ne se raidiront jamais eux !
- Ma remarque était déplacée, excusez moi ! sinon qu’y a-t-il à voir à l’extérieur ?
- Il y a un étang prés d’ici, plein de grenouilles, canards et tortues d’eau, mais c’est ‘mon lieu privé’ où je vais me relaxer souvent dans les hautes herbes au soleil du matin ou l’après midi sous le grand chêne qui me protège de ses branches basses
- Donc interdit aux étrangers ?
- En principe, mais a vous je ferais une exception, a condition de ne pas effrayer la faune
- Merci Aline, j’irais faire un tour dans un total silence
- Au fait je vais passer chercher votre linge sale demain matin
- Je vous prépare ça… vous prenez aussi nos sous-vêtements ?
- Bien sûr
- Ça me gêne Aline….
- Rassurez vous je n’examine pas leurs états !
- Hélas étant seul je ne vois pas comment les tacher !
- Même ceux d’Adrien ??
- Vous me prenez au dépourvu …j’espère qu’ils sont présentables …
- C’est la machine a laver qui s’occupe de tout, a demain Jérôme
- A demain Aline
Dés que j’ai vus les volets ouverts je suis allée faire un brin de ménage et prendre le linge sale, Jérôme fait les cents pas dans le couloir tandis que je suis baissée pour faire le lit, sans doute afin d’apercevoir mon p’tit cul protégé par un mini string, je respire a pleins poumons sa sueur de mâle imprégnée aux draps encore chauds et absents de toutes taches douteuses, Adrien est encore enfermé dans sa chambre, après avoir récupéré le linge et une formule de politesse je vais préparer la machine a laver avant d’aller a l’étang me faire bronzer sous les rayons supportables du matin
J’étends ma serviette au milieu des hautes herbes juste au bord de l’eau, en slip les bras en croix, les grenouilles habituées a ma présence reprennent de plus belles leurs coassements et les tortues continuent à se prélasser sur des branches cassées au ras de l’eau
Sous mes lunettes de soleil, je repense à mes hôtes et à la petite culotte de femme souillée de sperme frais que j’ai retrouvée sous l’oreiller de Jérôme … sans doute celle de sa femme portée et polluée volontairement puis confiée a son mari afin qu’il emmène le parfum de sa chatte en vacance pour le faire patienter…si je n’ôte pas la mienne elle va être poissée aussi par mes sécrétions intimes ! a peine posée sur l’herbe qu’un coup de vents malicieux l’emporte loin de moi, tant pis je la récupérerais tout a l’heure, je ne vais pas gâcher le plaisir de mettre ma main entre mes cuisses afin de titiller mon bouton d’amour pour calmer mon désir qui s’oriente vers cet homme seul…mes lèvres trempées s’ouvrent sous mes doigts, je remonte mes genoux et les ouvrent généreusement… que c’est boooooooonnnnnnnnn, c’est a peine si j’ai perçu l’arrêt des coassements et le froissement des herbes foulées au pied…
- C’est à vous ce petit linge si léger qu’il s’envole au moindre vent ? j’ai juste eu le temps de le rattraper avant qu’il ne tombe à l’eau
Les cuisses resserrées sur ma main et mon avant bras sur ma poitrine il m’est difficile de nier ma nudité et l’action de mes doigts sur ma vulve...
- JÉRÔME ?? comment êtes vous venu ici ?
- Je vous ai vu emprunter le chemin, mais continuez belle enfant, vos doigts sont si agiles et les gestes si gracieux …
- Ne restez pas planté devant moi c’est gênant, vous venez vous faire bronzer ? je vous fais une place sur ma serviette ?
- Non merci, je suis un homme sérieux je n’ai jamais trompé mon épouse, je voulais seulement vous demander si par hasard vous n’aviez pas trouvé un string de femme sous mon oreiller ?
- Oui, je l’ai lavé pourquoi ?
- Mince... c’était mon ‘doudou’ pour m’endormir le soir avec une pensée coquine pour mon épouse
- Un ‘doudou’ récemment porté et souillé de sperme ?
- Que voulez vous, l’absence de ma femme me pèse, comment vais-je faire à présent ?
- Je peux vous proposer le mien ?
- Vous feriez ça ? mais il est à peine taché et parfumé
- J’étais sur le point d’achever mes caresses, là j’aurais eu suffisamment de nectar pour l’imprégner totalement
- Alors je vous laisse finir, posez le ce soir discrètement sous mon oreiller
- Vous ne voulez vraiment pas rester ?
- Je ne préfère pas, je suis fidèle à ma femme et j’ai peur de ne pas résister devant vos jambes ouvertes, déjà qu’en vous voyant nue j’ai toutes les peines du monde à contenir une érection douloureuse
- Vous torturer volontairement est louable mais c’est dommage … et pour vous et pour moi...
- Vous feriez l’amour avec un vieux comme moi ?
- Et comment ! vous êtes séduisant et gentleman ça me suffit
- Désolé mais je vous laisse, a ce soir Aline
- Bbbaaaaaaaaaaaaaahhhh ! a ce soir Jérôme, je vous certifie que ma culotte sera a la hauteur de vos espérances !
Une fois seule, les yeux fermés en imaginant sa queue forcer ma chatte je me masturbe vigoureusement jusqu'à ce qu’une éjaculation violente détrempe le string que je tenais bouchonné a l’entrée de ma vulve, c’est a ce moment là qu’une idée folle a germé dans mon esprit ….
Après diner j’ai prévenu mes parents que j’allais chez une copine… je suis rentrée en catimini dans la chambre de Jérôme par la fenêtre tandis qu’il regardait la télé avec son fils dans le salon, là je me suis déshabillée en ne gardant sur moi que le slip très visqueux et très aromatisé a l’odeur de ma chatte, je me suis glissée sous le drap et j’ai attendu, attendu …ha, enfin la télé vient de s’éteindre … le double bruit inévitable de la chasse d’eau… un ‘bonne nuit ‘ réciproque …la porte s’ouvre, mon cœur bat a tout rompre, Jérôme n’allume pas la lumière car la pénombre du soir est suffisante , il se déshabille sans doute entièrement s’il a l’intention de se branler …
C’est au moment de tirer le drap pour se glisser dans le lit qu’il découvre ma présence
- Qu’est-ce que c’est ? qui c’est ? … ALINE ???
- Chhhhhhuuuuuut tu va alerter ton fils
- Que fais-tu là ?
- Hé bien je t’amène ma petite culotte
- Tu devais la déposer sous l’oreiller non ?
- J’ai pensé que c’était plus sympa ainsi ! sent-là …
- Non !
- Sent là où je CRIE !
- Arrête !
En désespoir de cause l’homme vaincu s’agenouille entre mes jambes ouvertes, je vois sa queue bringuebaler entre ses cuisses et je peux dire qu’elle est bien raide ! Longtemps son souffle chauffe ma motte avant que ses deux mains relèvent d’autorité mes cuisses et que sa langue aplatie lèche rageusement mon slip qui se détrempe ravivant la saveur de ma mouille dans sa bouche, plus il en ressent le goût plus il ravage mes lèvres à moitié protégées car mon string s’enfonce lentement entre elles
Il donne des signes d’envies de plus en plus précis en relevant mes cuisses sur mes seins en grognant qu’il va me baiser comme une pute, ma mouille fraiche se mélange à celle du matin, sentant que mes genoux se maintiennent seuls, ses doigts virent ma culotte sur une aine afin que la langue s’introduise en moi comme un sexe tantôt dur tantôt souple, je mors mon poignet pour m’empêcher d’hurler mon bonheur a plein poumons lorsque son appendice buccal totalement élargi va de mon anus a mon clitoris exacerbé, je lâche ma sève intime sur son visage sans retenue, il lape nerveusement ce liquide précieux dont la quasi totalité finit dans le drap
Je me détends satisfaite mais pas totalement apaisée, Jérôme arrache plus qu’il ne fait glisser ma petite culotte poisseuse qui sent bon la femelle en chaleur, une fois fourrée sous son oreiller tel un trophée il prend position la bite a la main, mes jambes se relèvent automatiquement, il grogne de satisfaction en s’allongeant sur moi de tout son poids sa queue enfoncée jusqu'à la garde, après trente seconde il se maintient sur ses poignets, débutant un véritable festival de poussées bien dosées a des rythmes complètement décalés
C’est un amant hors pair qui va m’amener quatre fois au septième ciel ne s’arrêtant sans sortir de moi que pour reprendre son souffle avant de recommencer à pilonner mon vagin en feu jusqu'à ce que nous sombrions dans un sommeil réparateur
vers deux heures du matin réveillée par un désir inassouvi j’ai rampé jusqu'à sa bite recouverte de croutes séchées pour la prendre dans ma bouche, je découvre le fameux goût de son sperme mêlé a ma mouille lorsqu’elles se détrempent, Jérôme bougonne qu’il est fatigué mais rebande rapidement, dés qu’il est en mesure de tenir sa bite a la verticale je l’enjambe et l’introduit dans ma gaine vaginale marécageuse provoquant un gargouillis immonde, affalée sur lui mes dents mordillent un téton qui réagit comme celui d’une femme, la réaction lui fait décoller les jambes et c’est parti pour un rodéo impétueux d’une heure
A SUIVRE …….
- bonjour mademoiselle, puis-je voir le responsable du gite s'il vous plait ?
- Ha vous êtes monsieur Jérôme G ?
- Effectivement
- Alors s’est moi qui suis chargée de vous accueillir et votre interlocutrice pour rendre votre séjour parmi nous le plus agréable possible
- Si jeune et déjà responsable ? félicitation et je fais honneur a votre beauté
- Merci, j’ai dix neuf ans, je m’appelle Aline, pour aider mes parents qui font face aux dépenses de mes études en médecine je les aides comme je peux, je vais vous montrer votre résidence, sachez que je viendrais faire le ménage et récupérer votre linge sale tous les jours
- C’est une bonne chose, en l’absence de ma femme cette semaine je me sentais un peu perdu avec mon fils, Adrien ? dit bonjour a mademoiselle au lieu de taper bêtement sur ta tablette !
- Salut …
- Bonjour Adrien nous pourrons peut être devenir amis ?
- J’sais pas …
Un garçon de mon âge tout boutonneux, en fait je disais cela pour être polie ! je ne vois pas faire ami-ami avec un tel a-croc aux médias alors qu’il y a tant de chose a voir dans notre campagne ! par contre le père quel homme !…célibataire pour la semaine …et mon copain parti aux u s a pour deux mois … huuuummmmm ! je me sens un peu chienne en chaleur, finalement déniaiser un jeune ne me déplairais pas non plus
Pendant la visite de leur appartement je me penche volontiers montrant mes cuisses espérant faire décoller les yeux d’Adrien de son écran mais rien n’y fait, par contre le père lui est toujours bien dans l’axe
Dans la soirée Jérôme est venu me demander ce qu’il y avait d’intéressant a visiter a la ferme et dans ses environs
- Vers dix neuf heures nous effectuons la traite des vaches
- A l’ancienne ?
- Heureusement non, avec quarante vaches nous avons une trayeuse électrique, sinon je n’aurais plus de peau aux mains !
- Serrer ces pis dans votre petite main ne vous rappelle pas le sexe de l’homme ?
- La différence c’est que je peux les malaxer des heures ils ne se raidiront jamais eux !
- Ma remarque était déplacée, excusez moi ! sinon qu’y a-t-il à voir à l’extérieur ?
- Il y a un étang prés d’ici, plein de grenouilles, canards et tortues d’eau, mais c’est ‘mon lieu privé’ où je vais me relaxer souvent dans les hautes herbes au soleil du matin ou l’après midi sous le grand chêne qui me protège de ses branches basses
- Donc interdit aux étrangers ?
- En principe, mais a vous je ferais une exception, a condition de ne pas effrayer la faune
- Merci Aline, j’irais faire un tour dans un total silence
- Au fait je vais passer chercher votre linge sale demain matin
- Je vous prépare ça… vous prenez aussi nos sous-vêtements ?
- Bien sûr
- Ça me gêne Aline….
- Rassurez vous je n’examine pas leurs états !
- Hélas étant seul je ne vois pas comment les tacher !
- Même ceux d’Adrien ??
- Vous me prenez au dépourvu …j’espère qu’ils sont présentables …
- C’est la machine a laver qui s’occupe de tout, a demain Jérôme
- A demain Aline
Dés que j’ai vus les volets ouverts je suis allée faire un brin de ménage et prendre le linge sale, Jérôme fait les cents pas dans le couloir tandis que je suis baissée pour faire le lit, sans doute afin d’apercevoir mon p’tit cul protégé par un mini string, je respire a pleins poumons sa sueur de mâle imprégnée aux draps encore chauds et absents de toutes taches douteuses, Adrien est encore enfermé dans sa chambre, après avoir récupéré le linge et une formule de politesse je vais préparer la machine a laver avant d’aller a l’étang me faire bronzer sous les rayons supportables du matin
J’étends ma serviette au milieu des hautes herbes juste au bord de l’eau, en slip les bras en croix, les grenouilles habituées a ma présence reprennent de plus belles leurs coassements et les tortues continuent à se prélasser sur des branches cassées au ras de l’eau
Sous mes lunettes de soleil, je repense à mes hôtes et à la petite culotte de femme souillée de sperme frais que j’ai retrouvée sous l’oreiller de Jérôme … sans doute celle de sa femme portée et polluée volontairement puis confiée a son mari afin qu’il emmène le parfum de sa chatte en vacance pour le faire patienter…si je n’ôte pas la mienne elle va être poissée aussi par mes sécrétions intimes ! a peine posée sur l’herbe qu’un coup de vents malicieux l’emporte loin de moi, tant pis je la récupérerais tout a l’heure, je ne vais pas gâcher le plaisir de mettre ma main entre mes cuisses afin de titiller mon bouton d’amour pour calmer mon désir qui s’oriente vers cet homme seul…mes lèvres trempées s’ouvrent sous mes doigts, je remonte mes genoux et les ouvrent généreusement… que c’est boooooooonnnnnnnnn, c’est a peine si j’ai perçu l’arrêt des coassements et le froissement des herbes foulées au pied…
- C’est à vous ce petit linge si léger qu’il s’envole au moindre vent ? j’ai juste eu le temps de le rattraper avant qu’il ne tombe à l’eau
Les cuisses resserrées sur ma main et mon avant bras sur ma poitrine il m’est difficile de nier ma nudité et l’action de mes doigts sur ma vulve...
- JÉRÔME ?? comment êtes vous venu ici ?
- Je vous ai vu emprunter le chemin, mais continuez belle enfant, vos doigts sont si agiles et les gestes si gracieux …
- Ne restez pas planté devant moi c’est gênant, vous venez vous faire bronzer ? je vous fais une place sur ma serviette ?
- Non merci, je suis un homme sérieux je n’ai jamais trompé mon épouse, je voulais seulement vous demander si par hasard vous n’aviez pas trouvé un string de femme sous mon oreiller ?
- Oui, je l’ai lavé pourquoi ?
- Mince... c’était mon ‘doudou’ pour m’endormir le soir avec une pensée coquine pour mon épouse
- Un ‘doudou’ récemment porté et souillé de sperme ?
- Que voulez vous, l’absence de ma femme me pèse, comment vais-je faire à présent ?
- Je peux vous proposer le mien ?
- Vous feriez ça ? mais il est à peine taché et parfumé
- J’étais sur le point d’achever mes caresses, là j’aurais eu suffisamment de nectar pour l’imprégner totalement
- Alors je vous laisse finir, posez le ce soir discrètement sous mon oreiller
- Vous ne voulez vraiment pas rester ?
- Je ne préfère pas, je suis fidèle à ma femme et j’ai peur de ne pas résister devant vos jambes ouvertes, déjà qu’en vous voyant nue j’ai toutes les peines du monde à contenir une érection douloureuse
- Vous torturer volontairement est louable mais c’est dommage … et pour vous et pour moi...
- Vous feriez l’amour avec un vieux comme moi ?
- Et comment ! vous êtes séduisant et gentleman ça me suffit
- Désolé mais je vous laisse, a ce soir Aline
- Bbbaaaaaaaaaaaaaahhhh ! a ce soir Jérôme, je vous certifie que ma culotte sera a la hauteur de vos espérances !
Une fois seule, les yeux fermés en imaginant sa queue forcer ma chatte je me masturbe vigoureusement jusqu'à ce qu’une éjaculation violente détrempe le string que je tenais bouchonné a l’entrée de ma vulve, c’est a ce moment là qu’une idée folle a germé dans mon esprit ….
Après diner j’ai prévenu mes parents que j’allais chez une copine… je suis rentrée en catimini dans la chambre de Jérôme par la fenêtre tandis qu’il regardait la télé avec son fils dans le salon, là je me suis déshabillée en ne gardant sur moi que le slip très visqueux et très aromatisé a l’odeur de ma chatte, je me suis glissée sous le drap et j’ai attendu, attendu …ha, enfin la télé vient de s’éteindre … le double bruit inévitable de la chasse d’eau… un ‘bonne nuit ‘ réciproque …la porte s’ouvre, mon cœur bat a tout rompre, Jérôme n’allume pas la lumière car la pénombre du soir est suffisante , il se déshabille sans doute entièrement s’il a l’intention de se branler …
C’est au moment de tirer le drap pour se glisser dans le lit qu’il découvre ma présence
- Qu’est-ce que c’est ? qui c’est ? … ALINE ???
- Chhhhhhuuuuuut tu va alerter ton fils
- Que fais-tu là ?
- Hé bien je t’amène ma petite culotte
- Tu devais la déposer sous l’oreiller non ?
- J’ai pensé que c’était plus sympa ainsi ! sent-là …
- Non !
- Sent là où je CRIE !
- Arrête !
En désespoir de cause l’homme vaincu s’agenouille entre mes jambes ouvertes, je vois sa queue bringuebaler entre ses cuisses et je peux dire qu’elle est bien raide ! Longtemps son souffle chauffe ma motte avant que ses deux mains relèvent d’autorité mes cuisses et que sa langue aplatie lèche rageusement mon slip qui se détrempe ravivant la saveur de ma mouille dans sa bouche, plus il en ressent le goût plus il ravage mes lèvres à moitié protégées car mon string s’enfonce lentement entre elles
Il donne des signes d’envies de plus en plus précis en relevant mes cuisses sur mes seins en grognant qu’il va me baiser comme une pute, ma mouille fraiche se mélange à celle du matin, sentant que mes genoux se maintiennent seuls, ses doigts virent ma culotte sur une aine afin que la langue s’introduise en moi comme un sexe tantôt dur tantôt souple, je mors mon poignet pour m’empêcher d’hurler mon bonheur a plein poumons lorsque son appendice buccal totalement élargi va de mon anus a mon clitoris exacerbé, je lâche ma sève intime sur son visage sans retenue, il lape nerveusement ce liquide précieux dont la quasi totalité finit dans le drap
Je me détends satisfaite mais pas totalement apaisée, Jérôme arrache plus qu’il ne fait glisser ma petite culotte poisseuse qui sent bon la femelle en chaleur, une fois fourrée sous son oreiller tel un trophée il prend position la bite a la main, mes jambes se relèvent automatiquement, il grogne de satisfaction en s’allongeant sur moi de tout son poids sa queue enfoncée jusqu'à la garde, après trente seconde il se maintient sur ses poignets, débutant un véritable festival de poussées bien dosées a des rythmes complètement décalés
C’est un amant hors pair qui va m’amener quatre fois au septième ciel ne s’arrêtant sans sortir de moi que pour reprendre son souffle avant de recommencer à pilonner mon vagin en feu jusqu'à ce que nous sombrions dans un sommeil réparateur
vers deux heures du matin réveillée par un désir inassouvi j’ai rampé jusqu'à sa bite recouverte de croutes séchées pour la prendre dans ma bouche, je découvre le fameux goût de son sperme mêlé a ma mouille lorsqu’elles se détrempent, Jérôme bougonne qu’il est fatigué mais rebande rapidement, dés qu’il est en mesure de tenir sa bite a la verticale je l’enjambe et l’introduit dans ma gaine vaginale marécageuse provoquant un gargouillis immonde, affalée sur lui mes dents mordillent un téton qui réagit comme celui d’une femme, la réaction lui fait décoller les jambes et c’est parti pour un rodéo impétueux d’une heure
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Super bandant, j'adore vivement la suite