hôtesse de location
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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hôtesse de location
Les jours passent sans se ressembler. Avant hier, j'étais chez moi, nue dans les bras de mon amant. Nous étions couchés, moi en chien de fusil, lui contre moi. Je le sentais contre mon dos. Sa chaleur se communiquait à tout mon corps.J'étais bien aussi, mes soupirs de chatte devait le lui confirmer. Je remuais doucement mes fesses dans un appel silencieux. Mon chéri répondait comme j'aime. Je sentais sa queue se développer doucement.
J'arrangeais mon corps pour bien le sentir entre mes fesses. J'aime beaucoup le sentir bander ainsi contre moi, juste à coté de mon cul, même si je ne suis pas une fanatique de la sodomie. Là, hier, je le sentais mieux que les autres fois. En remuant d'avant en arrière je le sentais durcir. Il avait envie de moi comme j'avais envie de sa queue, n'importe où, même dans l'anus.
Une de ses main s'est posé pour caresser un sein que je sentais durcir. En prenant mes fesses à deux mains, je m'ouvrais pour qu'il me sodomise.
Pour une fois que je te le demande pas, je vais bien t'enculer.
Il me donnait encore plus envie. Nous restions presque dans la même position. Il entrait lentement en moi. Cette fois il m'a fait jour trop vite. Mon type aime me la mettre partout. J'aime quand il me baise, là j'étais morte de plaisir. Je sentais cet orgasme particulier à mon cul. J'aidais avec mes reins pour les mouvements. Je ne me souviens même pas combien de fois j'ai senti un orgasme. Pour lui je sais il a jouit une fois, une seule dans le cul. Je le gardais jusqu'à la fin de sa jouissance.
Puis ce matin je suis partie pour mon travail. A ma descente de l'avion, au guichet de location de voitures, l'hôtesse me faisait un grand sourire commercial. Elle me plaisait comme fille, comme ça sans raison, sinon qu'elle est belle, plus que moi certainement. A mon retour, elle était encore en service : j'étais sa dernière cliente. J'avais envie de la mieux connaître : nous nous sommes assises au bar voisin.
Je voyais ses genoux dépasser de sa jupe, assez courte il faut le dire.
Vous êtes jolie, agréable à regarder.
Merci, vous aussi. Je penses que vous êtes une femme rare.
Elle en dit trop sans doute. Je pose ma main sur le genou le plus proche. Son sourire éclaire un visage déjà agréable.
Je ne sais pas comment elle s'appelle alors que je suis sur le point de succomber à son charme. Et puis, il y a longtemps que je n'aurais pas connu intimement de fille. Ça me manque sans doute. J'allais faire l'irréparable : elle le fait d'elle même en m'embrassant, en public. Ô un simple baiser sur le bout des lèvres, juste en passant comme par hasard. Mon accord se traduit par une courte caresse sur la jambe.
Viens allons chez moi.
Si tu le veux.
Tu n'a pas envie ?
De toi, si.
Son chez elle lui ressemble : coquet, simple, confortable. Nous nous embrassons, ce que nous n'avons pas pu faire dans le taxi conduit par une femme à moustache. Nos langues semblent se connaître depuis longtemps. Je commence à défaire les boutons de son informe. L'hôtesse ne porte pas grand chose dessous. Ses seins sont là, à ma disposition. J'enlève la veste qui gêne mes mouvements. Sa poitrine est plus grosse sans veste.
Je m'appelle Anne et toi ?
Rosine, je sais c'est naze comme nom.
Non, c'est joli. Viens contre moi.
J'obéis comme si c'était mon aînée. Je me blotti contre elle. Son odeur de fille m'excite maintenant. J'ai envie qu'elle me fasse plein de choses, m'embrasser partout, me caresser, me mettre la main, sur les fesses, sur la chatte, qu'elle dispose ses longs doigts dans le con. Elle doit s'en douter, je mouille, je coule même entre mes cuisses malgré la culotte.
Ses mains dans le dos descendent vers les fesses. Hum c'est tentant. Ma tête posée sur son épaule, mes bras qui l'entourent montre bien que j'apprécie.
Elle soulève le bas de la jupe en arrière. Anne sait parler au femme. A moi en tout cas. Je l'attends quand elle caresse les fesses, qu'elle fait descendre le slip que je la laisse faire. Elle s'accroupit en baissant le vêtement. Quand il est en bas, je soulève les jambes. A peine presque nue, elle soulève complètement la jupe.
Je sens son souffle sur l'abricot. Je regarde ce qu'elle fait, j'écarte les jambes pour laisser passer la tête de celle qui va devenir mon amante. C'est sa langue qui lèche un peu ma motte. Elle glisse vers le bouton.
Je suis sur le point de jouir avant même qu'elle commence. Dieu que j'ai envie d'elle, de sa langue de son con, de son cul. Je la veux contre moi. Anne a excellente idée de m'oublier pour m'emmener au lit.
Je la laisse me déshabiller. Avant que je touche un seul de ses vêtements, elle est nue. J'aurais voulu que je..... qu'elle me.....
Couchée à moitié sur moi, elle caresse tout mon corps. Mes jambes s'ouvrent comme un appel à la suite. Enfin elle pose encore sa main sur la moule. J'attends la masturbation comme si c'était ma première fois. Anne entre deux ou trois doigts. Elle me branle mieux que mon homme ainsi. Mes reins accompagnent sa cadence.
Je n'ai même pas le courage de lui rendre ses caresses. J'attends comme une pucelle la première fois qu'elle se fait mettre. Ce n'est qu'après le premier orgasme que je me décide à chercher sa chatte qui bien sur est totalement mouillée. J'aime ces instants, juste après l'orgasme de rendre les caresses que j'aime qu'on me fasse.
Ce n'est pas suffisant, après que je l'ai faite jouir, elle vient sur moi en 69. Je me fais lécher, je la lèche. D'elle même elle pose un doigt sur l 'anus où elle entre un peu, juste ce qu'il faut pour me faire jouir. J'allais le lui faire aussi quand elle part dans un orgasme comme je n'imaginais pas. Anne se laisse aller au près de moi.
A mon tour de prendre la direction. Nous sommes presque assises, nos jambes mêlées les sexes imbriqués. J'adore cette sensation d'un clitoris sur le mien. Nous bougeons pour aller le plus loin possible dans nos jouissances. Je jouis encore sans cesse. Ce n'est pas possible, elle va me tuer à posséder par sa chatte.
Je sens un besoin de pénétration que je demande. Elle sait bien comment faire en mettant très lentement sa main entière dans le vagin. Je me laisse fister pour la première fois. Je crois perdre la raison en jouissant ainsi.
Nous devons nous revoir la semaine prochaine. Je lui rendrais tout ce qu'elle m'a fait, surtout la fister.
J'arrangeais mon corps pour bien le sentir entre mes fesses. J'aime beaucoup le sentir bander ainsi contre moi, juste à coté de mon cul, même si je ne suis pas une fanatique de la sodomie. Là, hier, je le sentais mieux que les autres fois. En remuant d'avant en arrière je le sentais durcir. Il avait envie de moi comme j'avais envie de sa queue, n'importe où, même dans l'anus.
Une de ses main s'est posé pour caresser un sein que je sentais durcir. En prenant mes fesses à deux mains, je m'ouvrais pour qu'il me sodomise.
Pour une fois que je te le demande pas, je vais bien t'enculer.
Il me donnait encore plus envie. Nous restions presque dans la même position. Il entrait lentement en moi. Cette fois il m'a fait jour trop vite. Mon type aime me la mettre partout. J'aime quand il me baise, là j'étais morte de plaisir. Je sentais cet orgasme particulier à mon cul. J'aidais avec mes reins pour les mouvements. Je ne me souviens même pas combien de fois j'ai senti un orgasme. Pour lui je sais il a jouit une fois, une seule dans le cul. Je le gardais jusqu'à la fin de sa jouissance.
Puis ce matin je suis partie pour mon travail. A ma descente de l'avion, au guichet de location de voitures, l'hôtesse me faisait un grand sourire commercial. Elle me plaisait comme fille, comme ça sans raison, sinon qu'elle est belle, plus que moi certainement. A mon retour, elle était encore en service : j'étais sa dernière cliente. J'avais envie de la mieux connaître : nous nous sommes assises au bar voisin.
Je voyais ses genoux dépasser de sa jupe, assez courte il faut le dire.
Vous êtes jolie, agréable à regarder.
Merci, vous aussi. Je penses que vous êtes une femme rare.
Elle en dit trop sans doute. Je pose ma main sur le genou le plus proche. Son sourire éclaire un visage déjà agréable.
Je ne sais pas comment elle s'appelle alors que je suis sur le point de succomber à son charme. Et puis, il y a longtemps que je n'aurais pas connu intimement de fille. Ça me manque sans doute. J'allais faire l'irréparable : elle le fait d'elle même en m'embrassant, en public. Ô un simple baiser sur le bout des lèvres, juste en passant comme par hasard. Mon accord se traduit par une courte caresse sur la jambe.
Viens allons chez moi.
Si tu le veux.
Tu n'a pas envie ?
De toi, si.
Son chez elle lui ressemble : coquet, simple, confortable. Nous nous embrassons, ce que nous n'avons pas pu faire dans le taxi conduit par une femme à moustache. Nos langues semblent se connaître depuis longtemps. Je commence à défaire les boutons de son informe. L'hôtesse ne porte pas grand chose dessous. Ses seins sont là, à ma disposition. J'enlève la veste qui gêne mes mouvements. Sa poitrine est plus grosse sans veste.
Je m'appelle Anne et toi ?
Rosine, je sais c'est naze comme nom.
Non, c'est joli. Viens contre moi.
J'obéis comme si c'était mon aînée. Je me blotti contre elle. Son odeur de fille m'excite maintenant. J'ai envie qu'elle me fasse plein de choses, m'embrasser partout, me caresser, me mettre la main, sur les fesses, sur la chatte, qu'elle dispose ses longs doigts dans le con. Elle doit s'en douter, je mouille, je coule même entre mes cuisses malgré la culotte.
Ses mains dans le dos descendent vers les fesses. Hum c'est tentant. Ma tête posée sur son épaule, mes bras qui l'entourent montre bien que j'apprécie.
Elle soulève le bas de la jupe en arrière. Anne sait parler au femme. A moi en tout cas. Je l'attends quand elle caresse les fesses, qu'elle fait descendre le slip que je la laisse faire. Elle s'accroupit en baissant le vêtement. Quand il est en bas, je soulève les jambes. A peine presque nue, elle soulève complètement la jupe.
Je sens son souffle sur l'abricot. Je regarde ce qu'elle fait, j'écarte les jambes pour laisser passer la tête de celle qui va devenir mon amante. C'est sa langue qui lèche un peu ma motte. Elle glisse vers le bouton.
Je suis sur le point de jouir avant même qu'elle commence. Dieu que j'ai envie d'elle, de sa langue de son con, de son cul. Je la veux contre moi. Anne a excellente idée de m'oublier pour m'emmener au lit.
Je la laisse me déshabiller. Avant que je touche un seul de ses vêtements, elle est nue. J'aurais voulu que je..... qu'elle me.....
Couchée à moitié sur moi, elle caresse tout mon corps. Mes jambes s'ouvrent comme un appel à la suite. Enfin elle pose encore sa main sur la moule. J'attends la masturbation comme si c'était ma première fois. Anne entre deux ou trois doigts. Elle me branle mieux que mon homme ainsi. Mes reins accompagnent sa cadence.
Je n'ai même pas le courage de lui rendre ses caresses. J'attends comme une pucelle la première fois qu'elle se fait mettre. Ce n'est qu'après le premier orgasme que je me décide à chercher sa chatte qui bien sur est totalement mouillée. J'aime ces instants, juste après l'orgasme de rendre les caresses que j'aime qu'on me fasse.
Ce n'est pas suffisant, après que je l'ai faite jouir, elle vient sur moi en 69. Je me fais lécher, je la lèche. D'elle même elle pose un doigt sur l 'anus où elle entre un peu, juste ce qu'il faut pour me faire jouir. J'allais le lui faire aussi quand elle part dans un orgasme comme je n'imaginais pas. Anne se laisse aller au près de moi.
A mon tour de prendre la direction. Nous sommes presque assises, nos jambes mêlées les sexes imbriqués. J'adore cette sensation d'un clitoris sur le mien. Nous bougeons pour aller le plus loin possible dans nos jouissances. Je jouis encore sans cesse. Ce n'est pas possible, elle va me tuer à posséder par sa chatte.
Je sens un besoin de pénétration que je demande. Elle sait bien comment faire en mettant très lentement sa main entière dans le vagin. Je me laisse fister pour la première fois. Je crois perdre la raison en jouissant ainsi.
Nous devons nous revoir la semaine prochaine. Je lui rendrais tout ce qu'elle m'a fait, surtout la fister.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ce récit n'est pas un phantasme mais notre histoire vécue.,Ma femme aussi adore que je la baise et surtout que je l'encule,car elle jouis encore plus du cul,nous avons des partenaires hommes qui lui font de même,mais elle aussi c'est découvert son penchant saphique avec une collègue de travail(très belle et plus jeune) que nous invitions souvent à la maison car elle était divorcée et ne voulait plus entendre parler des hommes(c'est salauds comme elle dit).J'ai tout de suite vue qu'elles se plaisaient mutuellement: petits regards d'envie, baisers d'accueil un peu prononcés, compliments sur les toilettes, le maquillage, discutions sur les sous vêtements, les mensurations, bien sur toujours devant moi,qui je doit dire m'excité terriblement et me faisait bander.Un soir après un repas bien arrosé,(ambiance très chaude,car nous avions parlés pas mal de cul et regarder une vidéo porno que j'avais choisis bien sur,sur des relations entre lesbiennes,juste pour bien les chauffer et les faire mouiller),nous nous sommes installés tout les trois dans le salon,ma salope et sa copine sur le grand canapé,moi en face sur le fauteuil.Ma femme:aaah qu'elle chaleur,sa copine:aaaaah je coule.Moi:mais mesdames mettaient vous à laisse.Ni une ni deux,ma femme commence à dévétir sa copine,lentement,le chemisier tombe,lajupe suit,sa copine lui fait de même,elles sont toutes les deux en string et soutien gorge,ma salope en lingerie noire avec les seins débordants(100 b d),sa copine lingerie dentelle rouge très sexy(d'après moi 95 b c et je m'y connais).Mutuellement elles se rapproche l'une de l'autre pour un baiser plus que goulus, langues dehors pendant que leurs mains caressent,explorent,:les seins les fesses,l'entrecuisse,moi en face je commence à bouillir, je sors ma queue et commence à me branler doucement,je me rend compte que ça les exitent encore plus,elles se débassent de leurs lingeries que je récupére,leurs strings sont plein de mouille,je les renifle,les suce,en prend une pour me branler..elles se carressent la chatte,les seins,commence à se doigter furieusement,un doigt,deux,trois,se gamelle à pleine bouche,elles passent au 69 et se bouffe la chatte et le cul,je me branle toujours trop beau,je n'avais jamais vue ma salope de femme dans cet état même avec un mec,elles jouissent les gouines,elles se traitent de mots ordurier pour encore plus s'exitées:salope,lécheuse,enculeusse,encore,encore,va y,plus fort,plus profond,plus vite(car elles se branle aussi le cul et je vois bien qu'elles adorent)Je me léve avec une idée,il faut que je leur trouve un gros calibre pour les satisfaires car je vois que les doigts et les langues ne suffisent plus,nous n'avions pas de gold chez nous à cette époque,car ma salope adorée trop la bite,alors réfléchissant,à tout hassard je vais dans le frigo et découvre un énorme concombre au moins 35 cm sur 8 ou 10 cm de diamétre,et une belle courgette à peu prés de même calibre,juste ce qu'il faut pour mes adorables gouines,je m'existais déjà au doux spectacle que j'allais m'offrir.retour au salon avec sur un plateau les deux beaux phallus ,elles sont toujours là, plus excitées que jamais à se dévorer :la chatte,le cul,se sucer les seins,se téter leurs gros bouts biens dressés dans des râles de jouissance.Mesdames sont servies,veuillez faire votre choix leur dis je.La plus gourmande,ma salope de femme prend le gros concombre et son amante la belle courgette.Pour commencer Petite scéance de léchage à pleine bouche et goulument pour mes deux gougnottes adorées,deuxième acte,bourrage de chatte jusqu'à la garde avec échange mutuel de ces beaux cucubitacés,troisième acte:ma ,salope branle son amante ,d'abord la chatte bien dilatée et lui commence le bourrage du cul,jusque à la pénétration maximun .Je me branle avec délice devant ce magnifique spectacle.Changement,son amante fait subir le même sort à ma salope de femme.Elles jouissent comme des folles dans des cris hystériques.Moi je suis sur le point de décharger,elles s'en rendent compte et viennent vers moi les bouches grand ouverte,elles me sucent tour à tour goulument,là je me vide en gros jets saccadés et leurs remplis la bouche à toutes les deux,les salopes se délectent et finissent par tout avaler . ont en peu plus,, Ouf un peu de répis,ont s'enlace tout les trois,je les embrasse et avec ma langue je leur léche bien le reste de mon jus sur leurs lévres(j'adore ça),en retour toutes les deux.elles me suce bien la bite,elles me feraient presque rebander ces salopes.La première soirée de cette belle expérience se termine et nous allons nous coucher tous les trois pour faire encore plus de beaux rêves imaginatifs pour le lendemain.Depuis nous nous quittons plus,nous faissons ménage à trois et nous nous aimons.Bicalain...........