Hugo 2 - Juin 2024 - Semaine lilloise - lundi, boulot et frustration

Récit érotique écrit par murabaiser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Hugo 2 - Juin 2024 - Semaine lilloise - lundi, boulot et frustration
C'était en juin de l'an dernier, un vendredi soir.
Hugo avait passé une semaine à Lille.
Pour faire le point avec son équipe sur place comme il le faisait régulièrement avec l'ensemble des collaborateurs des agences locale du Groupe.
Discuter des budgets pour le second semestre.
De ce qu'ils avaient dans les tuyaux en termes de développements pour la fin de l'année.
Rencontrer un certains nombre de gros clients.
Faire le point avec chacun.
Cela faisait beaucoup de déplacements dans l'année.
Mais ça ne gênait pas Hugo.
Au contraire.
C'était l'occasion pour lui de faire de nouvelles rencontres, de découvrir parfois de nouveaux lieux pour assouvir ses besoins.
Et il ne s'en privait pas.
Son séjour lillois, de ce point de vue, avait été à la hauteur de ses espérances.
Hormis un diner dans un restau gastronomique de la ville avec ses collaborateurs, son cul n'avait pas chômé.
Selon les destinations, Hugo se déplaçait en avion, TGV ou voiture.
Mais c'est en voiture qu'il s'était rendu à Lille.
C'est le mode de déplacement qu'il préférait.
Ainsi, il était libre de bouger le soir.
Sans contraintes de taxi.
Pour aller se faire sauter.
Il profitait aussi à chaque fois de ses séjours pour accompagner certains de ses collaborateurs lors de visites clients.
Les moins performants, pour les faire progresser.
Les plus récents, pour les coacher.
Et, justement en début d'année, il avait embauché un jeune frais émoulu d'une école de commerce.
Le gamin avait un bon potentiel, mais avait besoin d'être encadré, mentoré.
Hugo jusqu'ici n'avait pas pu lui consacrer beaucoup de temps.
Mais il comptait bien se rattraper.
Ça faisait aussi partie de son rôle de manager.
C'est d'ailleurs l'un des aspects de ses fonctions qu'il préférait : faire monter des jeunes en compétences, contribuer à leur développement.
En plus, Adrien, c'était son prénom, était super bomec.
Et ne se cachait pas d'être gay.
En d'autres circonstances, Hugo n'aurait pas dédaigné goûter au contenu de son slob.
D'autant qu'Adrien, par ses regards, sa manière d'être en présence d'Hugo, ne lui avait pas dissimulé l'intérêt que lui aussi lui portait.
Sans se douter que cet intérêt était largement partagé !
Mais il n'était pas question pour Hugo de déroger au principe qu'il avait toujours fait sien : no zob in job.
Alors, tout en accompagnant Adrien dans sa prise de fonctions, en lui consacrant du temps pour l'aider à grandir professionnellement, il n'était hélas pas question de sortir du cadre strictement professionnel.
Quand bien même la bite d'Hugo manifestait clairement son désaccord avec ces principes qu'elle jugeait dépassés à chaque fois qu'il se trouvait en présence de son jeune collaborateur !
Le lundi, la journée avait été consacrée à une réunion de toute l'équipe, la présentation des résultats, les objectifs du semestre à venir, les axes de travail et les enjeux à venir.
Hugo avait soigné ses powerpoints, chacun avait pu s'exprimer librement, et, vu les résultats du semestre, le climat était au beau fixe.
Les primes semestrielles allaient être sympa.
Malgré sa jeunesse dans l'entreprise, Adrien avait super performé.
Et bien qu'il ne cachât pas son homosexualité, il s'était visiblement très bien intégré dans l'équipe.
En même temps, on était en 2024 et l'homosexualité était désormais largement admise.
Le charisme, la prestance d'Adrien qui ne laissaient personne indifférent, quelles que soient les préférences sexuelles des uns et des autres, avait fait le reste.
S'il était aussi performant en matière de cul que sur le plan professionnel, ce dont Hugo ne doutait pas, il ne devait pas s'ennuyer, le gamin.
Alors, tout en regrettant de ne pouvoir apprendre à le connaître de manière plus "intime", Hugo était ravi de l'avoir recruté.
À la fin de la journée, Hugo avait rejoint son hôtel du centre-ville.
Un 4 étoiles classique, bien situé.
Lors de ses déplacements, Hugo veillait à toujours préserver ses soirées.
Et pour la semaine, la seule chose qu'il avait prévue, c'était un dîner le lendemain avec son équipe.
Hugo aimait son boulot, mais il avait aussi sa vie.
Et avait bien l'intention d'en profiter.
D'autant qu'entre Lille, ville étudiante et la Belgique voisine, il savait qu'il aurait de quoi satisfaire à ses besoins.
Ce que la proximité d'Adrien avait rendu indispensable, puisqu'Hugo n'avait pas débandé de la journée !
Du coup, après un dîner rapide à son hôtel, une douche et un lavement, il était prêt à partir en chasse.
Avec une seule envie, se taper des queues.
Un max de queues.
Hugo avait passé une semaine à Lille.
Pour faire le point avec son équipe sur place comme il le faisait régulièrement avec l'ensemble des collaborateurs des agences locale du Groupe.
Discuter des budgets pour le second semestre.
De ce qu'ils avaient dans les tuyaux en termes de développements pour la fin de l'année.
Rencontrer un certains nombre de gros clients.
Faire le point avec chacun.
Cela faisait beaucoup de déplacements dans l'année.
Mais ça ne gênait pas Hugo.
Au contraire.
C'était l'occasion pour lui de faire de nouvelles rencontres, de découvrir parfois de nouveaux lieux pour assouvir ses besoins.
Et il ne s'en privait pas.
Son séjour lillois, de ce point de vue, avait été à la hauteur de ses espérances.
Hormis un diner dans un restau gastronomique de la ville avec ses collaborateurs, son cul n'avait pas chômé.
Selon les destinations, Hugo se déplaçait en avion, TGV ou voiture.
Mais c'est en voiture qu'il s'était rendu à Lille.
C'est le mode de déplacement qu'il préférait.
Ainsi, il était libre de bouger le soir.
Sans contraintes de taxi.
Pour aller se faire sauter.
Il profitait aussi à chaque fois de ses séjours pour accompagner certains de ses collaborateurs lors de visites clients.
Les moins performants, pour les faire progresser.
Les plus récents, pour les coacher.
Et, justement en début d'année, il avait embauché un jeune frais émoulu d'une école de commerce.
Le gamin avait un bon potentiel, mais avait besoin d'être encadré, mentoré.
Hugo jusqu'ici n'avait pas pu lui consacrer beaucoup de temps.
Mais il comptait bien se rattraper.
Ça faisait aussi partie de son rôle de manager.
C'est d'ailleurs l'un des aspects de ses fonctions qu'il préférait : faire monter des jeunes en compétences, contribuer à leur développement.
En plus, Adrien, c'était son prénom, était super bomec.
Et ne se cachait pas d'être gay.
En d'autres circonstances, Hugo n'aurait pas dédaigné goûter au contenu de son slob.
D'autant qu'Adrien, par ses regards, sa manière d'être en présence d'Hugo, ne lui avait pas dissimulé l'intérêt que lui aussi lui portait.
Sans se douter que cet intérêt était largement partagé !
Mais il n'était pas question pour Hugo de déroger au principe qu'il avait toujours fait sien : no zob in job.
Alors, tout en accompagnant Adrien dans sa prise de fonctions, en lui consacrant du temps pour l'aider à grandir professionnellement, il n'était hélas pas question de sortir du cadre strictement professionnel.
Quand bien même la bite d'Hugo manifestait clairement son désaccord avec ces principes qu'elle jugeait dépassés à chaque fois qu'il se trouvait en présence de son jeune collaborateur !
Le lundi, la journée avait été consacrée à une réunion de toute l'équipe, la présentation des résultats, les objectifs du semestre à venir, les axes de travail et les enjeux à venir.
Hugo avait soigné ses powerpoints, chacun avait pu s'exprimer librement, et, vu les résultats du semestre, le climat était au beau fixe.
Les primes semestrielles allaient être sympa.
Malgré sa jeunesse dans l'entreprise, Adrien avait super performé.
Et bien qu'il ne cachât pas son homosexualité, il s'était visiblement très bien intégré dans l'équipe.
En même temps, on était en 2024 et l'homosexualité était désormais largement admise.
Le charisme, la prestance d'Adrien qui ne laissaient personne indifférent, quelles que soient les préférences sexuelles des uns et des autres, avait fait le reste.
S'il était aussi performant en matière de cul que sur le plan professionnel, ce dont Hugo ne doutait pas, il ne devait pas s'ennuyer, le gamin.
Alors, tout en regrettant de ne pouvoir apprendre à le connaître de manière plus "intime", Hugo était ravi de l'avoir recruté.
À la fin de la journée, Hugo avait rejoint son hôtel du centre-ville.
Un 4 étoiles classique, bien situé.
Lors de ses déplacements, Hugo veillait à toujours préserver ses soirées.
Et pour la semaine, la seule chose qu'il avait prévue, c'était un dîner le lendemain avec son équipe.
Hugo aimait son boulot, mais il avait aussi sa vie.
Et avait bien l'intention d'en profiter.
D'autant qu'entre Lille, ville étudiante et la Belgique voisine, il savait qu'il aurait de quoi satisfaire à ses besoins.
Ce que la proximité d'Adrien avait rendu indispensable, puisqu'Hugo n'avait pas débandé de la journée !
Du coup, après un dîner rapide à son hôtel, une douche et un lavement, il était prêt à partir en chasse.
Avec une seule envie, se taper des queues.
Un max de queues.
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