Hugo 3 - Juin 2024 - Lille, premier soir, première queue

Récit érotique écrit par murabaiser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Hugo 3 - Juin 2024 - Lille, premier soir, première queue
Pour sa première soirée lilloise, Hugo avait décidé de se taper un max de queues.
Il en avait besoin.
La présence toute la journée du jeune Adrien avait été super dure à assumer.
Aussi dure que la bite d'Hugo qui n'avait pas débandé.
Du coup, il avait décidé de faire un tour dans un sexclub hard de la région, réservé exclusivement aux mecs.
Il y avait déjà été par le passé et en avait gardé un bon souvenir.
Question baise, parce que pour le reste l'endroit était glauque à souhait.
Une ancienne usine abandonnée.
Mais le club était bien équipé.
Slings, cabines, baisodromes, backrooms, glory holes, cages et autres carcans et croix de saint andré.
Hugo avait eu du bol.
Peu de temps après son arrivée, il s'était fait lever par un mec, Stéphane.
La quarantaine, bien foutu, avec ce qu'il fallait entre les jambes.
Très vite, ils s'étaient retrouvés dans une cabine.
Le mec avait capté ce que kiffait Hugo.
Et s'était adapté en conséquence.
Faisant d'Hugo sa chienne soumise, un simple instrument de son plaisir à lui.
Exactement ce qu'Hugo recherchait.
La soirée était "fully naked".
Après s'être fait décrasser les aisselles, les panards, Stéphane avait ordonné à Hugo de lui témoigner le "respect dû à sa virilité".
Hugo ne demandait pas mieux que de lui sniffer, lécher les couilles et surtout le zob, bien odorant, impressionnant et déjà raide.
Il puait grave le Mâle, ce mélange d'effluves de sueur, de pisse et de foutre qu'Hugo appréciait par dessus tout.
Puis, comme il avait besoin de pisser, Stéphane avait exigé qu'Hugo le boive.
Hugo détestait le goût de la pisse, mais il adorait être humilié de la sorte.
Servir d'urinoir aux mecs qui le baisaient.
Boire à la source ce qui pour eux n'était qu'un un déchet dont ils devaient se débarrasser.
Mais qui venait d'eux, qui avait été produit par eux et qui transitait par leurs queues.
Hugo s'était foutu à genoux, bouche ouverte.
Et avait tout avalé.
Puis le mec s'était occupé de ses tétons, les pinçant de plus en plus durement avant de les mordre sauvagement.
Et enfin de sa queue, raide et de ses couilles qu'il avait travaillées longuement, avant de les piétiner.
Hugo serrait les dents.
Mais en même temps ça l'excitait d'offrir ainsi ses couilles.
Pour lui, c'était une manière de se voir rappeler ce qu'il était.
Pas un mec, encore moins un Mâle mais un simple instrument de plaisir pour ceux qui le baisaient.
En le niant dans sa virilité.
Satisfait de l'attitude et de la soumission d'Hugo, Stéphane avait finalement consenti à lui accorder la récompense que ce dernier espérait.
Sa queue.
Ce membre viril dressé avec arrogance.
"Suce, pédale"
Exactement ce dont Hugo rêvait.
Il s'est remis à 4 pattes, en commençant par lécher longuement le gland décalotté du Mâle debout devant lui.
Sa position préférée, celle où il se sentait vraiment à sa place.
Le goût de la mouille était puissant, enivrant.
Après un décrassage en règle, Hugo avait gobé les 20 cm de Stéphane.
Mais, vu sa taille et sa largeur, trop doucement au goût de Stéphane.
Alors, il lui avait serré le visage entre ses mains, avant de lui enfoncer son zob en fond de gorge.
Hugo avait failli s'étouffer.
Mais Stéphane n'en avait que faire.
Il avait bien l'intention de profiter à sa manière de celui qu'il considérait n'être qu'une pute à son service.
De lui imposer son rythme à lui.
Hugo n'avait pas le choix.
Et ça l'excitait grave d'être maltraité de la sorte.
Que ce soit le mec qui décide, qui lui défonce la gueule, rentrant à chacun de ses coups de bite plus profond dans la gorge d'Hugo.
En manifestant clairement son intention d'en profiter au maximum.
À chaque fois qu'il sentait qu'il allait gicler, il se retirait quelques instants, ce qui permettait à Hugo de reprendre son souffle.
Avant de recommencer à le défoncer.
Mais le deep throat violent que Stéphane imposait à Hugo n'avait en fait comme seul objectif que de lubrifier sa bite avant de passer aux choses sérieuses.
Parce que ce dont il avait envie c'était de jouir dans le cul de sa chienne.
De la féconder.
Alors, une fois sa queue transformée en barre d'acier et détrempée de la salive d'Hugo, il lui avait ordonné de se mettre à 4 pattes pour lui exploser la chatte.
Hugo n'avait d'autre choix que d'obtempérer.
Et surtout, c'est ce que lui aussi voulait.
Être possédé par ce Mâle.
Le sentir en lui.
Il s'est remis à 4 pattes, offrant son cul, les mains sur les fesses pour s'ouvrir au maximum.
Il n'était pas question de câlins, de tendresse.
Et encore moins que Stéphane lui "fasse l'amour".
Ce dont ils avaient envie tous les deux, c'était de baise.
Brutale, violente.
Hugo n'a pas été déçu !
Le mec bandait raide.
Il a placé sa teub raide face au trou qui lui était offert, a agrippé Hugo par les épaules et la lui a enfoncée direct.
Ce dernier n'a pas pu s'empêcher de gueuler quand Stéphane l'a pris.
Le mec était bien membré.
Avec un zob épais, d'une bonne vingtaine de cm.
Et surtout le cul d'Hugo n'avait pas eu la moindre préparation.
Mais la douleur initiale n'a pas duré.
Le plaisir de se faire enculer de la sorte, brutalement, violemment, l'a vite emporté.
À chacun de ses coups de bite, Stéphane s'enfonçait plus profond dans le cul d'Hugo.
Il lui appartenait.
Hugo se résumait à ça.
Un cul, un trou.
Offert au plaisir du Mâle.
Et sa queue à lui aussi était raide de plaisir.
Le viol d'Hugo, parce que c'est bien de ça qu'il s'agissait, le consentement en plus, a duré un long moment.
Comme lors du deepthroat qui avait précédé la pénétration sauvage qu'il imposait à Hugo, chaque fois qu'il sentait qu'il allait gicler, Stéphane se retirait quelques instants, le temps de se calmer.
Avant de recommencer à défoncer celui dont il considérait qu'il lui appartenait.
Mais au fur et à mesure, l'excitation de Stéphane était de plus en plus intense, jusqu'à atteindre le point de non-retour.
Alors ça a été une explosion de foutre, le jus de Stéphane giclant à plusieurs reprises dans le cul de sa pute, se répandant en elle, la fécondant de sa précieuse semence.
Après la baise intense qu'il lui avait imposée, Stéphane s'est écroulé sur le corps d'Hugo, l'écrasant sous son poids, avec sa teub qui n'avait pas débandé toujours enfoncée au plus profond d'Hugo.
Ils sont restés ainsi un long moment, Hugo sous Stéphane, avant que celui-ci ne se retire.
"Nettoie, salope"
Hugo adorait ça.
Nettoyer l'instrument qui l'avait transformé en chienne.
Après la baise, il reste toujours un peu de foutre sur le gland, dans les plis du prépuce.
Et Hugo détestait le gâchis.
Ce devait être son côté écolo.
En plus, il il adorait le jus.
Pour lui, c'était du concentré de Mâle, l'essence même du mec.
Et aussi la preuve qu'il avait bien fait son taff de lope en le faisant jouir.
Alors non, pas question d'en perdre fût-ce une goutte.
Stéphane étant toujours allongé sur le dos, Hugo s'est remis à 4 pattes.
Il a commencé la toilette intime qui lui avait été ordonnée par l'intérieur des cuisses, puis l'aine, le pubis, avant de lécher longuement les couilles de son « violeur ».
Pour finir par ce qui l'intéressait le plus, sa queue.
Qu'il a léchée longuement avant de la prendre en bouche.
Avec le plaisir de constater que sous ses caresses, la bite molle de Stéphane reprenait progressivement sa vigueur.
"Continue.
J'ai encore un peu de réserve.
Autant que tu en profites".
C'était un ordre, énoncé d'un ton ferme, mais qu'Hugo ne demandait qu'à exécuter.
Il adorait ça.
Assécher les couilles des mecs, les vider complètement, faire son boulot jusqu'au bout.
Et il avait envie de goûter au foutre de Stéphane.
La queue de celui-ci était de nouveau raide, tendue à l'extrême.
Hugo continuait de s'activer dessus.
Jusqu'à ce que Stéphane pousse un long râle pendant que le sperme jaillissait, remplissant la bouche d'Hugo.
"Whaouh.
Putain, mec, t'es trop bon.
Là, je suis complètement vidé"
Il ne restait plus à Hugo qu'à terminer le travail.
Recueillir jusqu'à la dernière goutte du foutre que Stéphane lui avait offert sans compter.
Il en restait un peu sur le gland et au niveau du prépuce.
Mais après qu'Hugo eût terminé sa tâche, la teub de Stéphane était d'une propreté irréprochable.
Et la soirée ne faisait que commencer.
Il en avait besoin.
La présence toute la journée du jeune Adrien avait été super dure à assumer.
Aussi dure que la bite d'Hugo qui n'avait pas débandé.
Du coup, il avait décidé de faire un tour dans un sexclub hard de la région, réservé exclusivement aux mecs.
Il y avait déjà été par le passé et en avait gardé un bon souvenir.
Question baise, parce que pour le reste l'endroit était glauque à souhait.
Une ancienne usine abandonnée.
Mais le club était bien équipé.
Slings, cabines, baisodromes, backrooms, glory holes, cages et autres carcans et croix de saint andré.
Hugo avait eu du bol.
Peu de temps après son arrivée, il s'était fait lever par un mec, Stéphane.
La quarantaine, bien foutu, avec ce qu'il fallait entre les jambes.
Très vite, ils s'étaient retrouvés dans une cabine.
Le mec avait capté ce que kiffait Hugo.
Et s'était adapté en conséquence.
Faisant d'Hugo sa chienne soumise, un simple instrument de son plaisir à lui.
Exactement ce qu'Hugo recherchait.
La soirée était "fully naked".
Après s'être fait décrasser les aisselles, les panards, Stéphane avait ordonné à Hugo de lui témoigner le "respect dû à sa virilité".
Hugo ne demandait pas mieux que de lui sniffer, lécher les couilles et surtout le zob, bien odorant, impressionnant et déjà raide.
Il puait grave le Mâle, ce mélange d'effluves de sueur, de pisse et de foutre qu'Hugo appréciait par dessus tout.
Puis, comme il avait besoin de pisser, Stéphane avait exigé qu'Hugo le boive.
Hugo détestait le goût de la pisse, mais il adorait être humilié de la sorte.
Servir d'urinoir aux mecs qui le baisaient.
Boire à la source ce qui pour eux n'était qu'un un déchet dont ils devaient se débarrasser.
Mais qui venait d'eux, qui avait été produit par eux et qui transitait par leurs queues.
Hugo s'était foutu à genoux, bouche ouverte.
Et avait tout avalé.
Puis le mec s'était occupé de ses tétons, les pinçant de plus en plus durement avant de les mordre sauvagement.
Et enfin de sa queue, raide et de ses couilles qu'il avait travaillées longuement, avant de les piétiner.
Hugo serrait les dents.
Mais en même temps ça l'excitait d'offrir ainsi ses couilles.
Pour lui, c'était une manière de se voir rappeler ce qu'il était.
Pas un mec, encore moins un Mâle mais un simple instrument de plaisir pour ceux qui le baisaient.
En le niant dans sa virilité.
Satisfait de l'attitude et de la soumission d'Hugo, Stéphane avait finalement consenti à lui accorder la récompense que ce dernier espérait.
Sa queue.
Ce membre viril dressé avec arrogance.
"Suce, pédale"
Exactement ce dont Hugo rêvait.
Il s'est remis à 4 pattes, en commençant par lécher longuement le gland décalotté du Mâle debout devant lui.
Sa position préférée, celle où il se sentait vraiment à sa place.
Le goût de la mouille était puissant, enivrant.
Après un décrassage en règle, Hugo avait gobé les 20 cm de Stéphane.
Mais, vu sa taille et sa largeur, trop doucement au goût de Stéphane.
Alors, il lui avait serré le visage entre ses mains, avant de lui enfoncer son zob en fond de gorge.
Hugo avait failli s'étouffer.
Mais Stéphane n'en avait que faire.
Il avait bien l'intention de profiter à sa manière de celui qu'il considérait n'être qu'une pute à son service.
De lui imposer son rythme à lui.
Hugo n'avait pas le choix.
Et ça l'excitait grave d'être maltraité de la sorte.
Que ce soit le mec qui décide, qui lui défonce la gueule, rentrant à chacun de ses coups de bite plus profond dans la gorge d'Hugo.
En manifestant clairement son intention d'en profiter au maximum.
À chaque fois qu'il sentait qu'il allait gicler, il se retirait quelques instants, ce qui permettait à Hugo de reprendre son souffle.
Avant de recommencer à le défoncer.
Mais le deep throat violent que Stéphane imposait à Hugo n'avait en fait comme seul objectif que de lubrifier sa bite avant de passer aux choses sérieuses.
Parce que ce dont il avait envie c'était de jouir dans le cul de sa chienne.
De la féconder.
Alors, une fois sa queue transformée en barre d'acier et détrempée de la salive d'Hugo, il lui avait ordonné de se mettre à 4 pattes pour lui exploser la chatte.
Hugo n'avait d'autre choix que d'obtempérer.
Et surtout, c'est ce que lui aussi voulait.
Être possédé par ce Mâle.
Le sentir en lui.
Il s'est remis à 4 pattes, offrant son cul, les mains sur les fesses pour s'ouvrir au maximum.
Il n'était pas question de câlins, de tendresse.
Et encore moins que Stéphane lui "fasse l'amour".
Ce dont ils avaient envie tous les deux, c'était de baise.
Brutale, violente.
Hugo n'a pas été déçu !
Le mec bandait raide.
Il a placé sa teub raide face au trou qui lui était offert, a agrippé Hugo par les épaules et la lui a enfoncée direct.
Ce dernier n'a pas pu s'empêcher de gueuler quand Stéphane l'a pris.
Le mec était bien membré.
Avec un zob épais, d'une bonne vingtaine de cm.
Et surtout le cul d'Hugo n'avait pas eu la moindre préparation.
Mais la douleur initiale n'a pas duré.
Le plaisir de se faire enculer de la sorte, brutalement, violemment, l'a vite emporté.
À chacun de ses coups de bite, Stéphane s'enfonçait plus profond dans le cul d'Hugo.
Il lui appartenait.
Hugo se résumait à ça.
Un cul, un trou.
Offert au plaisir du Mâle.
Et sa queue à lui aussi était raide de plaisir.
Le viol d'Hugo, parce que c'est bien de ça qu'il s'agissait, le consentement en plus, a duré un long moment.
Comme lors du deepthroat qui avait précédé la pénétration sauvage qu'il imposait à Hugo, chaque fois qu'il sentait qu'il allait gicler, Stéphane se retirait quelques instants, le temps de se calmer.
Avant de recommencer à défoncer celui dont il considérait qu'il lui appartenait.
Mais au fur et à mesure, l'excitation de Stéphane était de plus en plus intense, jusqu'à atteindre le point de non-retour.
Alors ça a été une explosion de foutre, le jus de Stéphane giclant à plusieurs reprises dans le cul de sa pute, se répandant en elle, la fécondant de sa précieuse semence.
Après la baise intense qu'il lui avait imposée, Stéphane s'est écroulé sur le corps d'Hugo, l'écrasant sous son poids, avec sa teub qui n'avait pas débandé toujours enfoncée au plus profond d'Hugo.
Ils sont restés ainsi un long moment, Hugo sous Stéphane, avant que celui-ci ne se retire.
"Nettoie, salope"
Hugo adorait ça.
Nettoyer l'instrument qui l'avait transformé en chienne.
Après la baise, il reste toujours un peu de foutre sur le gland, dans les plis du prépuce.
Et Hugo détestait le gâchis.
Ce devait être son côté écolo.
En plus, il il adorait le jus.
Pour lui, c'était du concentré de Mâle, l'essence même du mec.
Et aussi la preuve qu'il avait bien fait son taff de lope en le faisant jouir.
Alors non, pas question d'en perdre fût-ce une goutte.
Stéphane étant toujours allongé sur le dos, Hugo s'est remis à 4 pattes.
Il a commencé la toilette intime qui lui avait été ordonnée par l'intérieur des cuisses, puis l'aine, le pubis, avant de lécher longuement les couilles de son « violeur ».
Pour finir par ce qui l'intéressait le plus, sa queue.
Qu'il a léchée longuement avant de la prendre en bouche.
Avec le plaisir de constater que sous ses caresses, la bite molle de Stéphane reprenait progressivement sa vigueur.
"Continue.
J'ai encore un peu de réserve.
Autant que tu en profites".
C'était un ordre, énoncé d'un ton ferme, mais qu'Hugo ne demandait qu'à exécuter.
Il adorait ça.
Assécher les couilles des mecs, les vider complètement, faire son boulot jusqu'au bout.
Et il avait envie de goûter au foutre de Stéphane.
La queue de celui-ci était de nouveau raide, tendue à l'extrême.
Hugo continuait de s'activer dessus.
Jusqu'à ce que Stéphane pousse un long râle pendant que le sperme jaillissait, remplissant la bouche d'Hugo.
"Whaouh.
Putain, mec, t'es trop bon.
Là, je suis complètement vidé"
Il ne restait plus à Hugo qu'à terminer le travail.
Recueillir jusqu'à la dernière goutte du foutre que Stéphane lui avait offert sans compter.
Il en restait un peu sur le gland et au niveau du prépuce.
Mais après qu'Hugo eût terminé sa tâche, la teub de Stéphane était d'une propreté irréprochable.
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