Hugo - présentation - histoire érotique

A 45 ans, Hugo était un très bel homme.
Grand, sportif, bien découplé, à la fois mince et musclé, c’est surtout son autorité naturelle et son charisme qui attiraient le regard des autres.
Directeur commercial d’un groupe multinational, il était à la fois respecté et apprécié de ses collaborateurs.
Bref, pour la plupart des gens qui le connaissaient, il était l’archétype du Mâle Alpha.
Mais dans le sens positif du terme.

Pourtant, ce n’était qu’une image.
Celle qu’Hugo veillait depuis des années à projeter de lui vers l’extérieur.
La réalité était disons plus « complexe ».
Parce que Hugo n’était pas seulement gay, ce qui aujourd’hui n’était plus un problème mais parce que son truc à lui c’était le SM, la soumission aux Mâles.

Pas seulement aux mecs, ceux qui comme lui, voulaient se faire passer pour tels.
Mais à ceux qui assumaient avec orgueil leur virilité, estimant que leur sexe leur donnait tous les droits.
Qui méprisaient les mecs comme Hugo, ceux qui se faisaient baiser.
Qui considéraient que seuls comptaient leurs désirs à eux.
Leurs exigences.

Depuis des années, ce qu'il aimait, Hugo, ce dont il avait besoin pour prendre son pied, ce n'était pas seulement de sucer des mecs, de se la faire mettre profond.
Mais de se soumettre totalement.
D'être humilié ou plus exactement de s’humilier devant les Mâles auxquels il s'offrait, de se laisser avilir par eux, pour eux.
D'être attaché, battu, torturé pour leur plaisir égoïste.
Et le sien.

C'est à l'adolescence qu'il en avait pris conscience.
Quand il s'était fait baiser pour la première fois par Alex, un mec de son lycée.
Alex n'était pas homo, au contraire.
Quand Hugo l'avait connu, il sortait avec la fille la plus sexy de leur classe.
Mais il était à l'âge où on veut tester tous les possibles.
Il avait surtout une forte personnalité, très dominante et depuis des mois Hugo était de plus en plus attiré par lui.
Sans oser l'avouer.
Mais en faisant tout pour se rapprocher de lui et qu'ils deviennent potes.

Ça c'était fait naturellement.
Alex avait perçu depuis quelques temps, à la manière dont Hugo le regardait, l'attirance que celui-ci ressentait pour lui.
Et un jour, alors qu'ils s'étaient retrouvés tous les deux seuls dans les toilettes du lycée, il lui avait fait comprendre qu'il n'était pas dupe.

"Alors, le pd, elle t'excite ma bite?"

Hugo s'était défendu.

"Arrête de déconner.
J'en ai rien à foutre de ta bite.
Mais peut-être que la mienne t'intéresse ?
Y a pas de honte à avoir, si c'est le cas"

"Ton zob, je m'en tape.
Ce que j'aime c'est les chattes.
Et celle de ma copine est parfaite.
Mais elle aime pas trop me sucer et veut pas que je l'encule.
Alors qu'il paraît que pour ça, les mecs comme toi, c'est le top.
Ça m'a donné envie de t'essayer.
Pour voir si tu suces mieux que ma meuf.
Et aussi t'enculer.
T'as un beau p'tit cul et je suis sûr que t'en as envie aussi.
Alors pourquoi pas s'amuser un peu ensemble ?
Mes vieux rentrent pas avant 8 heures.
Et on finit à 4 heures.
Alors, à la fin des cours, on se retrouve chez moi"

"Déconne pas, mec.
Je suis pas homo.
Et j'men porte très bien.
Alors, on en reste là"

"C'est toi qui va arrêter de déconner.
Si t'es pas pd, pourquoi tu bandes en matant mon zob ?
Alors, mon pote, tu vas faire tout ce que je veux.
Sinon, j'te pourrirais la vie, tu peux même pas imaginer.
Je t'attends à la sortie des cours".

Il avait ensuite remballé son matos, laissant Hugo à ses réflexions, hésitant quant à la conduite à tenir.
Alex l'avait bel et bien percé à jour, et Hugo n'avait qu'une envie.
Se faire dépuceler par lui.
Mais en même temps, ça lui foutait la trouille.

A la fin des cours, il avait finalement pris sa décision et choisi d'attendre Alex à la sortie.
C'est comme ça que grâce à lui il avait commencé son apprentissage du plaisir des Mâles, en acceptant de lui servir de "matériel d'expérimentation", devenant sa salope, sa chienne, sa pute.

La première fois, Alex s'était contenté de se faire caresser et prendre en bouche.

"Tu sais, Alex, c'est la première fois que je fais ça"

"T'es encore puceau ? J'y crois pas.
Ça m'excite encore plus"

"Oui. Mais je serais peut-être à la hauteur"

"T'inquiète. Je vais t'apprendre.
Alors comme ça, t'as jamais été baisé ?
Et tu baises, sinon ?"

"Non, je me contente de me branler.
En pensant à toi"

"Putain, j'y crois pas.
J'vais faire de toi une vraie chienne.
Mais y'aura pas de réciproque.
Je te sucerai jamais. Et mon cul, c'est pas touche.
Je suis pas un enculé, moi.
Mais tu pourras y goûter quand même.
Avec ta langue.
Et compte pas non plus sur des câlins.
Ca c'est réservé à ma meuf."

La queue d'Alex était superbe et Hugo fantasmait dessus depuis des mois.
Il avait fait de son mieux, commençant par la caresser, la parcourir de sa langue, lécher son gland.
Puis il l'avait prise en bouche.
Mais c'était la première fois et il manquait d'expérience.
Alors, quand Alex la lui avait enfoncée à fond, il s'était étranglé.
Et n'avait pas réussi à la prendre entièrement.

Alex s'était quand même déchargé dans sa gueule et Hugo avait tout avalé.

"Bon, y a des progrès à faire.
Mais y a du potentiel et de la motivation.
C'est déjà ça.
Le reste, je m'en occuperai"

Quelques jours plus tard, ils s'étaient revus après les cours, toujours chez Alex.
Alex s'était laissé sucer mais sans jouir.
C'est le cul d'Hugo qu'il voulait essayer.
Là encore, pour Hugo, c'était une première et la queue d'Alex était impressionnante.
Hugo avait eu mal, surtout qu'il n'avait pas été lubrifié et qu'il n'était pas question pour Alex de bouffer le cul d' "une tapette" avant de la baiser.
Hugo avait chialé, couiné, supplié Alex d'arrêter pendant qu'il s'essayait à la lui mettre.
Mais ce dernier s'en foutait.
Il voulait le cul d'Hugo.
Et il a fini par l'enfoncer jusqu'au bout.
Très vite, après quelques allers-retours, il a joui dans le cul d'Hugo.

En rentrant chez lui, Hugo avait du mal à marcher.
Mais il n'avait qu'une envie : recommencer.
Pour ressentir à nouveau ce sentiment d'appartenir complètement à un mec.
D'être non seulement possédé par lui, mais possédé de lui.

Et puisqu'Alex était partant lui aussi, ils ont vite pris l'habitude de se retrouver une ou deux fois par semaine pour baiser, Alex en parallèle continuant de coucher avec sa copine.
Mais les "jeux "qu'il imposait à Hugo étaient très différents.

Les premiers temps, il s'agissait de plans caresses, lèche, suce, branle, sodo.
Evidemment toujours à sens unique.
Pas question pour Alex de sucer et encore moins qu'on touche à son cul.
Sauf pour le lécher.
C'était la bouche et le cul d'Hugo qu'il voulait et dont il se servait pour se vider.
Et au fur et à mesure de leurs rencontres, Hugo devenait de plus en plus performant, son cul ayant fini par s'adapter à la taille de la bite qui le défonçait.

Mais peu à peu le côté dominant d'Alex se manifestait de plus en plus clairement dans ses rapports avec Hugo.
La façon dont il le traitait lors de leurs plans cul.
Il a commencé par "jouer" avec ses tétons et ses couilles, à les lui travailler, de plus en plus durement.
Il l'insultait, ça l'excitait de l'humilier durant leurs plans.
Il exigeait qu'Hugo se tienne à genoux devant lui, qu'il lui embrasse, lui lèche les pieds, les aisselles, le cul.

Outre son jus, dont il fécondait Hugo, il lui a ensuite imposé de lui servir d'urinoir.
Au début, il pissait sur le corps, le visage d'Hugo, puis il a exigé que celui-ci le boive, directement à la source.
Hugo détestait ça, le goût de la pisse.
Mais il se soumettait.
Prêt à satisfaire tous les fantasmes de "son" Mâle.
Et puis ça a été les gifles, les coups, de poing, de pied, de ceinturon.
En quelques mois Hugo était devenu totalement accro à Alex.
Et non seulement il était prêt à tout pour lui, mais ça l'excitait d'être traité de la sorte.
Alors, il avait accepté.
De devenir la pute, la chienne, l'esclave d'Alex.

Leur relation avait duré jusqu'au bac.
Ensuite leurs chemins s'étaient séparés.
Mais Hugo avait pris goût à ce type de relations.
Et il avait continué.
Passant de la soumission au SM, à des jeux de plus en plus hard.

Avec comme seules limites qu'ils n'entrainent pas de risques pour sa santé ou son intégrité physique.
Ne laissent aucune trace sur les parties "normalement" apparentes de son corps (son visage, ses bras, ses mains).
Et il se refusait aussi à certaines pratiques (scat, dogtraining, sissyfication) qui ne lui correspondaient pas.
Mais pour le reste, les Mâles avaient carte blanche.

Hugo avait toujours eu de gros besoins.
Il sortait généralement deux, trois fois par semaine.
Parfois même davantage.
Et se branlait quotidiennement.
Mais avec les Mâles auxquels il s'offrait, il n'était pas question de plans réciproques, de switcher.
Ni même de gicler en leur présence.

Pourtant, lui-même était plutôt bien pourvu au niveau de l'entrejambe.
Une queue d'une vingtaine de cm, de belles couilles.
Au surplus très productives.
Qu'il devait vidanger quotidiennement.

Du coup, il lui arrivait aussi de baiser occasionnellement.
Mais c'était uniquement des salopes comme lui qu'il enculait.
En se gouinant avec elles.

Parce que pour Hugo un mec qui acceptait de sucer ou de se faire baiser, ça ne pouvait pas être un "Mâle".
Et que la jouissance, pour lui, c'était et ce devait rester le privilège des Mâles.
Et il ne se considérait pas comme tel.
Puisqu'à ses yeux, il n'était qu'un "pédé" au service de leur plaisir à eux !

Le problème, c'est que les goûts disons "particuliers" étaient difficilement compatible avec son image « publique ».
C'est la raison pour laquelle il avait toujours veillé à ce que personne, dans ses relations, n’en sache rien.
Lui-même d’ailleurs avait longtemps eu du mal à assumer cette part « sombre » de lui-même.
Mais le sexe a ses raisons que la raison ne contrôle pas.
Et il avait par s’accepter comme il était.

Comme il était plutôt bien foutu, ouvert aux pratiques « hard » et prêt à offrir son corps et ses trous à tous ceux qui voulaient en abuser, il n’avait pas de mal, entre saunas, lieux de drague, sex clubs et sites de rencontres spécialisés, à trouver des mecs pour des plans sans lendemain, désireux de se défouler sur lui.
Sans compter qu'en cas de nécessité, il était désormais facile de trouver des escorts prêts à le satisfaire.
Alors, il ne s'en privait pas.
Assumant pleinement ses besoins avec des mecs de rencontre, des coups d'un soir.

Mais en cloisonnant toujours sa vie "normale", sociale, professionnelle de ses pratiques sexuelles.
Il avait certes quelques "réguliers", qui utilisaient sans vergogne son corps et ses trous en abusant de lui sans pitié.
Mais il veillait toujours à ce que même eux ne sachent rien de ce qu'il était, en dehors du sexe.

Enfin, ça c'était avant.
Avant qu'il ne rencontre Jordan.
Et que sa vie bien ordonnée ne bascule totalement.