Huguette et son beau-père

- Par l'auteur HDS les-jacanas -
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Récit libertin : Huguette et son beau-père Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Huguette et son beau-père
Moi Huguette brunette d’un mètre soixante-dix, un visage fin, des yeux marron clair, une bouche souriante bien dessinée, une poitrine développée on me dit plutôt mignonne et avenante je vais sur mes dix-neuf ans. Je suis l’ainée d’une fratrie de cinq et ressemble beaucoup à ma mère. Marcel mon père grand brun de quarante-cinq ans, la prestance et la discrétion allant de pair avec son statut de gendarme dans une petite ville d’environ six mille habitants. Ma mère Viviane quarante-deux ans également brune dont le corps ne semble pas avoir pâtit de ses cinq grossesses elle est mère au foyer avec deux filles et trois garçons. Ils vivent dans la petite caserne, un ensemble d’anciens bâtiments religieux transformé en gendarmerie
Je suis mariée à Claude un ami d’enfance, timide blondinet d’un mètre soixante-dix-neuf, corpulence moyenne, visage poupin, les yeux d’un bleu clair il va avoir vingt et un ans.
Joseph mon beau-père grand gaillard quarantenaire une musculature héritée de son travail de manutentionnaire dans l’entrepôt d’une usine d’aliments pour animaux de fermes, chevelure blonde souvent en bataille, un visage aux traits marqués et un regard d’acier
Thérèse ma belle-mère est une petite blonde maigrichonne le regard triste et une santé très fragile, elle ne peut travailler, pour passer le temps elle s’occupe d’œuvres de charité.
Claude et moi vivons avec ses parents dans une maison bourgeoise héritée du père de Thérèse, médecin et maire de la commune, décédé accidentellement il y a 15. Les parents de Claude ont fait aménager l’étage de soixante mètres carrés pour nous moyennant cent cinquante euros par mois, eux vivent au rez de chaussée.
Claude travaille comme gestionnaire de stock à l’usine d’aliments agricole où travaille son père et moi je suis secrétaire à mi-temps (les après-midi) dans l’usine de fabrication de meubles.
Aussitôt après le mariage je constate que mon beau père est très autoritaire avec sa famille et qu’il ne tolère aucune entorse à ses directives, quand j’en parle à Claude il me dit qu’il a toujours eu cette façon de diriger sa famille. Cela fait cinq ans que nous sommes mariés lorsqu’une nuit vers cinq heures nous sommes réveillés par des coups à la porte c’est Joseph qui nous prévient que Thérèse vient de mourir. Le docteur, appelé vers quatre heures, l’auscultait quand le cœur s’arrêté. Il lui fait une injection et un massage cardiaque mais il n’a pu que constater le décès. Son cœur était affaibli pas ses nombreux problèmes de santé.
La déclaration du décès est faite à la mairie. La nouvelle a vite fait le tour du village où Thérèse était appréciée. La période est difficile jusqu’à l’enterrement. Pendant quelques jours Claude reste avec son père pour ranger et réaménager l’appartement afin que son père puisse prendre un nouveau départ. Joseph reprend le travail et peu à peu la vie reprend son cours.
Cela fait deux ans que Thérèse n’est plus nous invitons souvent mon beau père pour déjeuner ou diner chez nous et quelques fois chez mes parents. Parfois je surprends des regards étranges de Joseph sur ma mère ou moi, je m’en ouvre à Claude qui me rassure il n’y a pas de mal vous êtes les seules femmes qu’il voit à présent.
Avant l’été Joseph est victime d’un accident du travail une fracture tibia péroné qui est plâtrée pour un moment. Je passe le matin lui faire son ménage, à midi je lui amène son déjeuner avant d’aller à mon travaille à 13h30, en rentrant du boulot je passe voir si tout va bien, le soir Claude va le chercher pour diner tous les trois puis il le ramène.
Ce soir Claude est obligé, après le diner, de partir en voyage professionnel pour deux jours, si bien que je dois aider mon beau père à descendre chez lui. Mon beau père passe son bras sur mon épaule et tient la rampe de l’autre main, moi je le tiens par sa ceinture, nous voilà partis bras dessus dessous pour descendre. Dans les escaliers je sens sa main agripper mon sein.
« Beau papa s’il vous plait votre main s’égare ! »
« Juste un petit contrôle ma fille ça ne sort pas de la famille »
Nous arrivons enfin dans sa chambre il n’a toujours pas lâché mon sein, lorsqu’il s’assied sur le bord du lit il me lâche le sein. Je lui prépare son pyjama mais il attrape ma main.
« Beau papa voulez-vous me lâcher que vous arrive-t-il ? »
D’un ton sec avec son regard pénétrant il me dit
« Je vois que mon fils n’a pas été capable de te former avec moi ça ne se passerai pas comme cela ! »
« Qu’ai-je donc fait de mal pour vous déplaire ainsi ? »
« Hé bien ma fille tu gaspilles, jamais ma Thérèse n’aurait osé porter des sous-vêtements à la maison ils étaient réservés aux sorties. Je ne comprends pas que Claude te laisse user plus que nécessaire ta lingerie hors de prix. »
« Mais beau papa ma robe d’été est trop légère pour être portée sans sous-vêtement ! »
« Ce sont des balivernes et de fausses excuses, comme ton mari n’a pas fait ton éducation je vais m’en charger. Pour commencer demain matin tu viens dès huit heures faire le ménage sans lingerie tu m’as bien comprise ? »
« Mais beau papa je ne peux pas j’en mets toujours que dirait Claude »
« Claude ne dira rien contre ma décision et tu ne lui boufferas pas tout son fric en dentelle! Tu fais ce que je dis ! Je ne le répèterai pas ! »
Voyant le ton employé et le regard dur de mon beau père je baisse les yeux et hoche timidement la tête. Il me lâche la main je m’empresse de remonter chez moi. J’ai envie d’en parler à mon homme mais je n’arrive pas à le joindre je lui envoie un SMS bref (appelle moi bisou). Je passe une nuit très agitée si bien qu’à six heures je suis réveillée je fais ma toilette, à six heures trente au moment de descendre chez mon beau père pour lui préparer le petit déjeuner j’hésite sur ce que je dois porter. Finalement je mets une robe plus opaque que celle d’hier avec une fermeture éclair dans le dos.
J’arrive chez mon beau-père les volets sont toujours fermés et contrairement à son habitude il n’est pas levé. Je frappe à sa chambre en l’appelant.
« Entre Huguette je suis réveillé »
J’ouvre la porte sa lampe de chevet est allumée. Je vais ouvrir les volets le soleil du matin inonde la chambre. Je vais éteindre la lampe de chevet quand je suis près du lit mon beau père attrape mon poignet et me dit sèchement : « approche »
Je m’approche du lit il se tourne pour se mettre assis en poussant son drap il est torse nu son pantalon de pyjama est entrouvert et laisse apparaitre son sexe en érection. Le rouge me monte aux joues à la vue de l’engin surdimensionné de mon beau père, il éclate de rire.
« C’est ma bandinite du matin qui te fais rougir petite, mon fils ne bande pas au réveil. »
« Pas toujours et il n’est pas aussi gros ! Je vais préparer votre petit déjeuner »
« Attends je n’ai pas fini, dis-moi que porte tu sous ta robe ? »
« Rien comme vous l’avez demandé beau papa ! »
Je suis écarlate et veux partir mais il me tient bien et me tire vers le lit, son autre main passe sous ma robe et me tapote les fesses avant de glisser un doigt sur ma chatte. J’ai un mouvement de recul.
« Non beau papa vous ne devez pas me toucher ça ne se fait pas »
« Que si !d’ailleurs tu peux en faire autant et arrête de m’appeler beau papa appelle moi Joseph »
Il pose ma main sur sa bite par la braguette du pyjama je ferme les yeux, au contact du membre chaud et dur mes doigts se referment Joseph guide ma main dans un mouvement de masturbation.
« Regarde petite l’effet que tu fais à Popaul, tu vois que l’on peut se toucher»
Je regarde le sexe imposant qui glisse dans ma main comme hypnotisée, je n’ai pas conscience que les doigts de cet homme pénètrent mon minou et lorsque je réalise il est trop tard je suis trempée. Sa main a lâchée la mienne et c’est à présent de ma propre volonté que je branle sa mentule
« Tu aimes ça ma belle, tu mouilles sacrément, ce que je te fais te plais »
Honteuse Je ne dis rien. Sa main verrouillée dans mon entrejambe il m’attire vers lui son autre main vient derrière ma nuque et pousse ma tête jusqu’à ce que nos lèvres se touchent. Sa langue force ma bouche et vient batailler avec la mienne. Je suis vaincue petit à petit je réponds à son baiser et mon corps s’alanguit jusqu’à couler contre le sien.
« Claude ne t’a jamais embrassé comme ça. Je vais t’apprendre ce qu’est la vie et le sexe car je suppose que ce grand dadais n’as pas fait d’exploit dans ce domaine avec sa bite. Tu veux essayer la mienne je sais que tu meurs d’envie depuis que tu l’as vue et tu me diras ce que tu en penses. »
Avec le ton employé cela ressemble plus à un ordre qu’à une demande, ma tentative de refus non convaincante fait sourire cet homme mûr qui a le double de mon âge. Ses mains sont énormes mais habiles en un tour de main il baisse la fermeture de ma robe et me la retire en m’embrassant, il me couche contre lui et s’intéresse à présent à ma poitrine. « Tes seins sont magnifiques »
Il me suce et mordille les tétons un moment puis reprend son comportement autoritaire.
« Maintenant tu me suces il est temps que tu goûtes au jus qui a conçu ton mari »
En disant cela il guide ma tête sur sa bite énorme, longue et très large, j’ouvre la bouche au maximum le gland a du mal à entrer malgré la pression de sa main sur ma nuque, je le suçote mais ne peux l’avaler. Le vieux m’aide en se branlant le bas de la colonne. Sans me prévenir le vicieux éjecte une importante quantité de sperme dans ma bouche, j’ai un haut le cœur et une partie coule sur sa queue et mon menton.
« Tu vas tout lécher et avaler tu me comprends ? »
Totalement soumise je m’exécute et avale toute la semence que je récupère.
« C’est bien ma petite Huguette tu commences à comprendre. A mon tour de te faire du bien !»
Il m’attrape par les cuisses et amène ma chatte à la hauteur de sa bouche. Il entreprend un cunnilingus dément, mes mains compriment sa tête sur ma chatte je suis au bord de la jouissance. Il ne lui faut que quelques minutes pour me conduire à l’orgasme
« ooh ouiiii joseph c’est bon haaahoooooouiiiiiiii »
Je me redresse il m’embrasse mais ce dernier ne compte pas en rester là. Il se saisit de ma cuisse et vient me positionner à cheval sur lui il cherche à mettre sa queue dans ma chatte je suis effrayée à l’idée de prendre un tel morceau j’ai à la fois peur de ce chibre et j’en ai terriblement envie. Je suis si excitée que je mouille beaucoup, Je dis non mais pense oui !
« Non joseph on ne doit pas je suis l’épouse de Claude je ne veux pas le tromper je l’aime »
« Fais pas de chichi mon chibre va te faire jouir comme jamais mon fils ne le fera, t’es impatiente ?»
Le gland de sa queue se fraie un chemin, son large mandrin étire ma vulve et envahit mon ventre peu à peu. J’ai l’impression qu’il m’ouvre en deux qu’il n’y a pas assez de place, pourtant bientôt j’entre en contact avec les poils de son pubis. Il est totalement en moi. Joseph me plaque contre son torse pour m’embrasser tout en faisant aller et venir son sexe en moi. Plus il me baise plus je sens mon ventre se remplir plus mon plaisir vient. J’ondule des hanches pour me savourer pleinement le monstre de chair qui me pilonne le vagin. Pour la seconde fois en moins d’une demie heure mon beau père me fait jouir j’ai honte mais je savoure ce plaisir.
Le temps de reprendre mes esprits je saute du lit j’enfile ma robe et, le temps qu’il se lave, je vais lui préparer son petit déjeuner. Il vient nu dans la cuisine prend son petit déjeuner pendant que je fais la chambre et prépare ses vêtements. Il arrive derrière moi en claudicant descend la fermeture de ma robe qui tombe, il me bascule sur le lit encore ouvert. Je sens son érection contre ma cuisse.
« Ma petite Huguette nous avons quelque chose à terminer »
« Beau papa j’ai du ménage à faire le vôtre et après j’ai le mien et il faut que je prépare le repas »
« Je t’ai dit de m’appeler Joseph! Nous avons bien une petite heure pour nous deux ! »
Sa bouche prend la mienne, il se place entre mes cuisses et me glisse son bâton dans le berlingot et me baise énergiquement je ne peux résister à son assaut, son sexe provoque en moi des montées de plaisir que je ne peux réfréner je crie une nouvelle fois quand un violent orgasme me foudroie, je m’évanouis. Après un certain temps je reviens à moi mon beau père paniqué est en train de me gifler
« Bon dieu quelle trouille tu m’as foutu, ça t’arrive souvent de t’évanouir comme ça ? »
« Non c’est la première fois mais il vaut mieux arrêter avant que cela ne tourne mal »
Mon beau père qui a perdu de sa superbe ne discute pas et il se lève et se rhabille. Je me lève aussi j’enfile ma robe et je fais son ménage avant de monter faire le mien et de préparer le repas.
A midi je descends le repas et déjeune avec lui j’ai bien droit à quelques mains aux fesses et doigts inquisiteurs mais je réussi à éviter que cela dégénère.
« Beau papa je vous laisse il est l’heure de me préparer pour le travail, je vous dis à ce soir »
« Oui c’est ça à ce soir, n’oublie pas nue sous ta robe»
« Oui Joseph je n’oublie pas à ce soir ! »
Je monte me laver rapidement et je m’habille pour aller au travail. Mon après-midi se passe comme d’habitude si ce n’est que mes collègues me trouvent plus guillerette. En fin d’après-midi je rentre à la maison, je prends une douche et me change avant de préparer le diner. Pendant que mon sauté de veau réchauffe le téléphone sonne c’est Claude qui vient aux nouvelles.
« Bonsoir ma chérie ! Je n’ai lu ton message que ce soir en sortant de réunion, ça va»
« Ça va ! Toi aussi ! Tu me manques quand rentres-tu ? »
« Je rentre demain dans l’après-midi, et papa comment ça va ? »
« Ça va, ça va »
« Au son de ta voix cela ne semble pas évident dis-moi c’est mon père ? »
Je craque et en pleurs je lui raconte tout sans omettre le moindre détail sur le comportement de son père mais aussi sur le plaisir que j’ai eu malgré ma honte.
« Calme toi chérie je vais appeler mon père pour mettre les points sur les i. Pour ce soir tu mets une chaise près de sa porte et tu poses son diner dessus tu frappes et tu le laisses se débrouiller tout seul je te rappelle. »
Un bon quarante minutes plus tard Claude m’appelle de nouveau pour me résumer ce que lui et son père se sont dit.
« Bien j’ai eu mon père qui a bien sûr essayé de me faire croire que tu l’avais provoqué, le connaissant je ne l’ai pas cru et je lui ai dit ses quatre vérités. Demain tu ne descends pas le voir, pour faire son ménage ni quoi que ce soit. Je lui ai dit de chercher une aide-ménagère que tout ce qu’il a gagné c’est que dès mon retour nous allons déménager et qu’il se retrouvera seul. Si tu veux demain matin commence à consulter les annonces pour trouver une maison ou un appart pour que l’on déménage. Je rentrerai en milieu d’après-midi.»
Rassurée par l’appel de mon homme je fais ce qu’il m’a dit et pose le diner de mon beau père sur une chaise je toque à la porte et me dépêche de remonter avant qu’il n’ouvre. Plusieurs fois dans la soirée il tente de m’appeler mais je ne réponds pas d’autant que je suis occupée à chercher une location ou une maison à vendre sur internet.
Finalement je relève plusieurs annonces pour les proposer à Claude je lui envoie un SMS pour donner les références afin qu’il puisse les consulter à son tour. Je passe une nuit plus sereine et ce matin je réalise que je n’ai pas à m’occuper de mon beau père. Je fais mon ménage lorsque je reçois un SMS de Paul nous avons deux visites de maison ce soir après dix-huit heures je décide de préparer le repas de ce soir avec celui de midi. Je ne peux m’empêcher de poser devant la porte de mon beau père son repas de midi avant de partir au travail.
Claude m’attend à ma sortie du boulot et nous partons directement visiter la première maison de quatre-vingt-dix mètres carrés située à huit cent mètres du centre bourg au fond d’une impasse. C’est maison ancienne rénovée avec soin dans les règles de l’art un petit terrain. Nous partons dans la foulée visitée la second maison située à deux kilomètres du bourg c’est une ancienne ferme toute en longueur de cent cinquante mètres carrés elle est certes moins chère mais l’importance des travaux à effectuer pour la rendre habitable nous fait peur. Le soir même nous décidons de nous porter acquéreurs de la maison de l’impasse. Le lendemain nous faisons un dossier de prêt à la banque pour compléter notre apport qui est des deux tiers de la valeur du bien. Dossier en main nous voici chez le notaire pour signer le compromis de vente et dix jours plus tard avec l’obtention du prêt nous emménageons.
Les tentatives d’excuses de mon beau père pour que nous renoncions sont restées vaines, il ne s’attendait pas à ce que Claude lui tienne tête surtout que ce dernier a pris ma défense et a accablé son père pour son comportement.
Dans notre nouveau cocon nous avons repris notre vie de couple depuis un an. Claude et moi avons décidés de devenir parent donc nous œuvrons pour que ce désir se réalise
Désormais nos relations avec mon beau-père sont limitées au minimum bonjour, bonsoir, comment ça va.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'aurai préféré quel l'histoire dure avec le beau papa !

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La Bonne Huguette...

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Le beau père n’était pas obligé de se comporter comme ça.
Huguette aurait pu avoir 1 voire 2 maris ou 1 mari et 1 amant.
Le beau père a tout perdu.
Pour 1 fois le mari a porté ses couilles. J’aurai aimé que mon mari porte les siennes ce qu’il n’a jamais fait.

J’envie Huguette pour ça.

Au fond cela a plu à Huguette!



Texte coquin : Huguette et son beau-père
Histoire sexe : Une rose rouge
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