Humiliations, infantilisation, maternage, dominé ou soumis.... - histoire érotique

Je reviens sur les sujets sexe, mes fantasmes, mes expériences plus et moins vécues, que cela soit sexuel ou expériences m'ayant mener sexuellement à fantasmer des scènes, qui n'étaient pas directement liées à du sexe, mais qui m'aient pour autant excité, suscitant des rêveries sexuelles en moi malgré tout, faute par exemple, ce que je racontais déjà dans mes derniers récits sexuels, lorsque je me voyais être assisté, dévêtu, lavé par des filles, examiné par des femmes docteurs, suivi et soigné par des infirmières, j'en passes. Me voir être, sexuellement, ou je dirais, pseudo sexuellement, ou indirectement, traité en petit garçon, tout jeune ado, ou très jeune adulte, même adulte d'âge quelque peu avancé, de la soixantaine, voir plus âgé encore, je suis homme asse soumis, asse résigné à ce que des femmes veuillent me traiter vraiment comme un petit garçon, de m'entretenir, tout décider de moi, de toutes formes de faits et gestes, d'acts, de tous mes mouvements, actions, jusqu'à ma sexualité entière, même de décider de me vêtir, de me déshabiller, quand et comme elles en décident de moi, me contraindraient de toutes les façons possibles, passant ou faisant fi de mes sentiments, contant ou pas. Des femmes, avant tout, et surtout si pour du sexe, que pour leurs envies sexuelles de me dominer, de me forcer aux choses du sexe qui les exciteraient à fond, à bloc, même et encore plus si humiliant, très abaissant pour moi, très et définitivement infantilisant je devais m'en remettre à elles, entre leurs mains, faire ce qu'elles demandent, comme me l'ordonneraient avec forte autorité et détermination ferme et bien décidée, je m'y soumettrais, m'inclinerais à reconnaitre leur supériorité de femmes sur moi, et ma vulnérabilité d'homme enfant à materner, en plus d'être aussi leur animal et objet sexuel à dresser, exploiter comme jouet sexuel pour assouvir que des femmes vicelardes, matriarcales, nymphomanes, même déjantées sexuelles. J'exprime cela par fait de fantasmes bien sur, mais laissant un léger sentiment d'une possible réalité sachant qu'avec cette fille, Françoise, qui me dominait entre nous, tout ce qu'elle était physiquement, sexuellement ce que je me trouvais à vivre d'elle sur moi, même qui soit très hard, crade, humiliants, gênants à en avoir énormément honte à rougir, je l'ai bien vécu qui correspondait donc à bien des fantasmes que je faisais en me masturbant, alors que d'autre part, je n'avais pas idée, un instant, que j'aurais fini, en vrai, par croiser la route de ce genre de femme obsédée sexuelle à ce point, aimant justement le genre de garçon que j'étais, correspondant me disait elle, à ce qu'elle aussi, fantasmait de toute gamine, et jeune ado qu'elle était, à ce qu'elle recherchait pour dominer, gouverner, décider elle même de choses sexuelles entre elle et son élu soumis. Ce fut donc moi qui l'inspirait fortement et qu'elle voulait avoir pour elle et ses envies de sexe, j'était à point pour elle, tout comme le voulait et l'avait rêvé me disait elle. Même que de me partager avec des copines à elle, en avait fait le dessin, des copines à elle qui m'avaient repairé, et semblaient attirées par la proposition de Françoise, ce qui m'a fortement surpris d'ailleurs, ne m'y attendant pas. Je ne pensais pas déjà, être asse beau garçon pour des filles, de les attirer plus encore pour du sexe. Mais Françoise me disait qu'elle, et ses copines, pour du sexe, n'étaient pas du tout compliqué, que pour les filles qu'elles étaient, ne voulant, et ne pouvant pas ni se marier, ni concevoir, élever des enfants faute de leur situation, de leur incapacités à devenir maman, tout passait, même les choses répugnantes, dégueu, crades, hard, tout comme pour elle, Françoise, surtout que pour du sexe, n'avaient pas besoin forcément d'un beau garçon, que le garçon que j'étais, ferait leur affaire, asse bon pour les intéresser, les exciter à fond, car étant très sexe et trop souvent excitées pour vouloir s'assouvir avec un garçon comme moi. Cela était il vrai de ce qu'elle me disait, ou d'un fantasme puissant qui l'excitait de faire sur moi ? Je ne l'ai pas vraiment su, et ne le serais jamais puisque séparé depuis longtemps. Mais, je me disais, si avec elle, Françoise, genre de femme qui correspondait bien à ce que je fantasmais moi même de rencontrer, que j'ai trouvé au tournant de chemin, au hasard, tout d'elle sur moi, peut être m'aurait elle en définitif, bien prêté, partagé, livré ou remis à d'autres filles nourrissant ce même fantasme sur moi, par même gout de garçon, de physique masculin, même désir de me dominer, de tout me faire, tout comme Françoise me faisait subir sexuellement, même d'humiliant, mais qui l'excitait profondément de moi, ce qu'elle découvrait, étudiait, observait de mon corps entier, ma nudité, mes formes, mes lignes, mes rondeurs, mes odeurs aussi, jusqu'à tous mes bruits, gémissements, gargouillements, couinements, cris et râles, mes façons de gesticuler, de me dandiner, de me trémousser ou de trépigner, surtout, lorsque envie d'aller faire mes besoins naturels qu'elle contrôlait elle même de ma vie intime, en plus de ma sexualité qui lui appartenait aussi que d'en décider de moi, des choses. A une prochaine et bonne lecture.