Humilié par deux hommes, vieux et pervers. - histoire érotique

Je vais moins parler de mes journées et soirées avec Antoine.
Les trois derniers mois se déroulent mieux.

J'assume mon rôle de passif dans notre relation si spéciale, en appréciant les bouffées d'air, que me procurent les Week Ends avec Corinne.

Je ne sais pas que son amant Joël, est parti vers d'autres horizons, et qu'elle a rencontré Chris par la suite.
Il s'avèrera important dans son évolution sexuelle !

Je la trouve changée, à partir du dernier mois de ma relation avec Antoine.
Elle pleure souvent dans mes bras, après qu'on ai fait l'amour.

Ce mal être va durer plusieurs mois, elle est tiraillée entre son besoin de sexe, la culpabilité de l'adultère, et songe à tout me dire, ou me quitter sans me dire pourquoi, parce qu'elle ne me mérites plus, d'après elle.

Chris lui fait faire des choses, dont elle ne se sentait pas capable ! Elle va jusqu'à pratiquer des gang bangs avec lui ! Et donc, entretient des autres relations avec quelques participants, ensuite.
Mais tout cela reste purement sexuel !

L'été est passé, elle retourne un moment chez sa mère, pour dormir.

Mon appartement sert donc de baisodrome à ma belle en journée, et à moi, en soirée, dès la fin de mon histoire avec Antoine.
Les sept mois sont terminés, je me sens bizarre, ce premier lundi sans lui, presque en manque, malgré moi !

Je m'inscris au chômage, ce qui ne me sers pas à grand chose, puisque je suis rappelé deux semaines plus tard !
Je retrouve Antoine très rarement, les soirs des Week end.

Je retourne au Sex-shop, et retrouve mon amant occasionnel, Eric le métis, caissier de l'endroit !
En repensant à lui, je réalise ma chance de l'avoir eu comme amant.

De notre relation, en a découlé bien d'autres ! De très agréables et d'autres moins !
J'ai dépassé parfois mes limites, mais je ne regrette rien ! C'était si bon !

Puis, Corinne vient enfin vivre avec moi !
Nous sommes heureux, mais il nous manque quelque chose ! On gardent nos secrets, et ils nous détruisent, peu à peu !

J'ai du mal à trouver sans cesse, des excuses pour mes absences, afin de retrouver des hommes.
Et de son coté, elle est toujours tiraillée par la culpabilité de ses tromperies.
Mais elle continue ses adultères, avec plus de difficultés, étant moins libre, quand je ne travaille pas ! Elle doit baiser ailleurs !

Elle se heurte à mon faible besoin de la baiser avec perversité, j'aime ça, mais pas aussi souvent qu'elle !

Sur ce point, je m'étonne de vos réactions sur son infidélité, comme si ce n'était permis qu'aux hommes !
Pourtant, lorsque vous allez voir ailleurs, il vous faut bien trouver une femme pour cela !
Donc, vous ne respectez même pas celle que vous baisez !
Enfin bref !

Cette situation va durer plus d'un an, jusqu'au jour ou je craque et lui avoue mon infidélité homosexuelle.
Elle me subjugue dans son acceptation, en me confirmant qu'elle trouve naturelle que deux hommes baisent ensemble, et s'en doutait un peu.

Elle en profite pour m'imposer sa relation avec Chris, comme spectateur, et j'ai découvert une autre de mes perversités, le caudaulisme.

Notre amour était enfin libéré de toute hypocrisie.
L'effet positif, c'est aussi que je vis mieux ma bisexualité.
Et je m'éclate encore davantage avec mes amants, surtout Daniel, avec qui j'ai enfin passé le cap de l'amitié !
Comment oublier notre première fois ? Et tout le reste !

Enfin, il y eu ce jour, qui aurait du ressembler à beaucoup d'autres !

Corinne a rendez vous avec un amant, à plusieurs kilomètres, et m'a prévenu qu'elle ne rentrerait probablement pas avant 19 h.
J'ai donc ma journée de libre ! Je viens de rencontrer un homme très dominateur, dont je ne me rappelle plus le prénom, mais on le nommera Roger, vu son âge !
Il m'a baisé au petit jardin, et veux me revoir ! Il aimerait avoir plus de temps, pour me prendre à sa guise !
Il me traite déjà de petite pute, ça promet ! Son vice m'excite !

RDV est pris au petit jardin, mais je suis surpris de constater qu'il n'est pas seul !
Son ami est aussi âgé que lui, et en aussi bonne forme apparemment, pour 60 ans !

"Tu m'as pas prévenu qu'on serait plus de deux !".
"C'est encore mieux ! Tu trouves pas ? On va encore plus te défoncer à deux !".
"C'est sûr ! Bon, ok, suivez-moi !".

Sur le trajet, je me demande à quelle sauce, je vais être dégusté !
En rentrant ma clef dans la serrure, je suis déjà excité comme un fou, je vais me faire prendre par deux hommes, dont un inconnu !

Dès qu'on arrive dans mon appart, Roger me parle comme à une pute.

"Tu sais qu'on va te casser le cul ! T'es là pour qu'on prenne notre pied ! J'ai promis à mon pote qu'il s'éclaterai avec toi, tu vas assurer ma p'tite salope !".

Sur ces mots, il m'attire contre lui et me force à m'agenouiller devant sa bite.

"Allez dépêches-toi de me la sortir ! Et tu me suces ! Comme au jardin !".

Je suis excité par ce traitement, et je me sens en sécurité derrière ma porte fermée à clefs.
L'autre qu'on nommera Jean, se décide à exhiber sa grosse bite également.

Elle est quasi identique à celle de Roger ! Deux sœurs ! Très veinées et foncées, un peu comme les queues magrébines ! Très larges, comme j'aime !

Ils abusent de ma bouche, l'un après l'autre, puis ensemble, à tour de rôle.
Je me fais insulter en bavant sur leur bites.

Ils me féminisent énormément.
Jean lance à un moment:

"C'est bien qu'il y ai des putes comme toi, pour nous soulager ! Ca fait du bien ! En plus, c'est bon ! Tu suces mieux qu'une femme ! T'es plus gourmande et plus salope ! C'est excitant !".
"Ca c'est sur ! Et t'as pas encore gouté sa chatte ! Tu vas être surpris !".
"Ah bon ? Ben, je vais y gouter maintenant, alors ! Emmènes nous dans ta chambre ! Qu'on te baise comme tu le mérites ! Sale petite chienne !".

Il me suivent, Roger me serre la fesse dans sa main épaisse et puissante.
Dans la chambre, ils me déshabillent sans précaution, comme un cadeau, dont on veut profiter, le plus vite possible.

"Ehh ! T'as raison, il a un beau p'tit cul ! Une p'tite bite, mais ça, on s'en fout ! C'est sa chatte qui nous intéresse ! Ah ! Ah !".

Roger me plante la gorge sur sa grosse queue, Jean passe derrière moi et me claque le cul, asseyant davantage sa domination.

Je gémis de plaisir encore, en dévorant la bite de Roger.
Jean s'amuse à frotter son gland contre mes fesses et me frapper le cul avec, il vise mon anus très souvent.

Des crachats polluent mon œillet, je sens quelques tentatives d'entrées précipitées.
Puis, une nouvelle plus appuyée et plus constante.

Je relève mon visage en quittant la verge de Roger. Jean s'insère en moi en me procurant un énorme plaisir.

"Orhhhh ! Il est bon, ce p'tit con ! Je sens que je vais me régaler avec sa chatte !".

Ses assauts, d'abord assez lents, gagnent en amplitude, intensité et rythme.
Je gémis mon orgasme sur la bite de Roger, qui me baise la gorge.

Je me fais gifler le cul, en me faisant enculer comme une pute, sous une cavalcade de mots crus.
Ils me tournent et je subis le même traitement avec un changement de partenaire.

Pour assoir davantage leur pouvoir sexuel sur moi, ils me font dire que j'aime être leur pute, salope, etc...

Jean quitte ma gorge, pour attraper une ceinture sur une chaise et m'attache un poignet, au lit.
Il enlève celle sur mon pantalon et fait de même avec mon autre main.
Je suis en levrette, attaché à ma tête de lit.

Jean se place sous moi, et m'empale sur lui.
Roger en profite pour confirmer ce qu'il pense de mon anus ! Il peut encaisser deux grosses bites !

Je crie sous cette double possession extrême.
Jean me bloque la bouche.

"Ta gueule salope ! C'est tout ce que tu mérites ! Tu nous sers de vide-couilles ! Tu l'as compris, je pense !".
"T'aimes ça ?". Demande Roger, en me défonçant sans retenue.

Je hoche la tête, pour acquiescer en jouissant du cul.

Roger sort, me frappe le cul, revient dans mon anus, m'encule salement, puis s'arrête, joue avec mon trou, puis revient, etc...
Il recule enfin, et sort un tube de gel de ses vêtements.

Je prend peur en le voyant s'enduire la main droite.
Jean me soulève pour ôter sa bite, de mon trou béant.

Mon œillet devient poisseux, Roger me tartine l'anus de gel, puis introduit le bout de ses doigts en moi, en tournant le tout, sans cesse.

"Non ! S'il vous plait ! Pas ça ! Arhhhhhhhh ! Arrêtes !".
"Allez ! Ca va bien se passer ! T'inquiètes pas, je suis sur Qu'on te l'a déjà fait ! Pas Vrai ?".
"Mmmouiiiii ! Mais je suis pas à l'aise, aaaaaaaaaaarrrhhh avec çaaaaaaaarghhhhhhhhhhh !".

Sa main est à sa plus large épaisseur en moi, il pousse encore et glisse au fond de mon cul, alors que je suis forcé de vouter mon dos pour l'encaisser.

Il recule son membre et s'enduit plus largement le poignet, puis s'enfonce à nouveau en tournant à l'intérieur de mes entrailles.

Quasiment aussitôt, je pisse littéralement sur le ventre de Jean.
Celui-ci, au lieu d'être gêné, est super excité, je comprends que c'était leur but de me faire subir ça !

Roger me vide la vessie, en me détruisant l'anus avec son bras.
Au bout de 5 minutes, il se retire enfin, Jean reprend sa place, mais Roger enveloppe sa bite avec ses doigts et le masturbe à l'intérieur de mon anus.
Jean se met à crier plus fort ,et je réalise qu'il éjacule en moi, grâce aux doigts de Roger !

Roger fait glisser sa main, pour sortir, Jean coulisse amplement dans mes parois anales écartelées, comme jamais.
Son foutre dégouline sans obstacle, avec abondance.

Roger me remplit analement à son tour, en se déchainant, excité par la séance de fisting anal que j'ai subis.
Il éjacule assez rapidement, et termine son déversement sur moi, en me traitant de vide-couilles, chienne, etc...

Une fois vidés, les deux hommes me détachent et deviennent plus respectueux, enfin !
Ils me disent qu'ils ont adoré cette baise avec moi, et me laissent, moins d'un quart d'heure plus tard, en disant qu'ils veulent me revoir.

Je commence à retirer les draps, pour sécher le matelas, mais par chance, seules les couvertures ont subit des dommages.

"Attends ! Je vais t'aider !".

Je sursaute, en voyant Corinne !

"Qu... Qu'est-ce que tu fais là ? Tu devais baiser avec un mec !".

Elle me révèle que c'est tombé à l'eau, et qu'elle m'a entendu entrer avec les deux hommes, et s'est cachée derrière le long rideau du dressing de la chambre.

"T'as tout vu alors ? Putain, j'ai honte !".
"C'est pas grave ! Tu comptes les revoir ?".
"Non, au début, c'était bien mais, j'aime pas qu'on me fiste ! Ca me fait peur !".
"Qu'on te quoi ?".

Elle ne connait pas ce mot, je lui explique, elle me comprend !
Elle s'étonne que des hommes aiment cette pratique.

"Oh, tu sais, plus les hommes vieillissent, et plus, ils sont vicieux, j'aurais du me méfier !".

La situation me submerge et je fonds en larmes, je ne voulais pas qu'elle assiste à ça !
Je me dégoute !

"Mon amour, arrêtes ! Tu pouvais rien faire, tu étais attaché !".
"Oui, mais c'est moi qui les ai fait venir !".

Je vais me doucher, mais je me sens toujours aussi souillé, à l'intérieur !
Je mettrai du temps avant de recommencer le sexe avec un homme !