Hypocondriaque ?? non, chaudasse? certainement !
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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Hypocondriaque ?? non, chaudasse? certainement !
- Salut Hervé- Salut Noé, ça va ?
- Boff, moi oui mais Andréa couci-couça- Mais encore ?
- Figure-toi qu’elle s’est mise en tête qu’elle a un cancer du sein !
- Ah ? il ne faut pas rigoler avec ça, elle a des nodules ?
- Qu’est-ce c’est ?
- Des nodules ? c’est des grosseurs au milieu du sein, elle devrait consulter - Il n’en est pas question, elle a peur d’un diagnostique positif - Tu devrais la raisonner - Tu es notre meilleur ami Hervé, de plus tu es pharmacien, donc tu as certaines notions de médecine ? pourquoi ne viendrais tu pas a la maison un de ces soirs ?
- Je veux bien lui parler - Tu pourrais la décider à palper sa poitrine ? fait par toi çà ne me rendrais pas jaloux, au contraire, en ce moment je la taquine pour qu’elle s’exhibe - Ça change tout … tu voudrais joindre l’agréable a l’utile !
- C’est un peu ça !
- Tu veux que je passe quand ?
- Disons vendredi soir à l’apéro ?
Andréa est une femme de la trentaine, très bien faite, je n’ai jamais vu ses seins mais je les suppose assez volumineux et très fermes et de la forme que j’aime le plus : en poires ! Si par le ‘biais’ d’un diagnostic je peux les toucher ce n’est que du bonheur !
Je me suis donc rendu à leur domicile, visiblement Andréa n’était pas au courant de ma venue, mais j’ai l’habitude, tout comme eux, de faire des surprises, une fois installés au salon Noé a amené la conversation sur une voisine qui subit un cancer, de nos jours ce genre de maladie fleurie a chaque coins de rue, j’ai profité se cela pour poser la question fatidique
- Tu te fais suivre pour le cancer du sein Andréa ?
- Je suis trop jeune voyons ! ça prend à la cinquantaine !
- Tu as tord - Tu vois chérie je n’arrête pas de te le dire !
- Je n’ose pas aller chez le toubib … - Ça ne sert a rien de se voiler la face, as-tu des grosseurs anormales ?
- Je ne sais pas …- Pas de glandes dans le cou ou sous les bras ?
- Je ne sais pas...
- Tu devrais regarder Hervé- Tu veux que je montre mes nichons à ton copain ?
- Ce soir ce n’est pas mon copain, mais quelqu’un qui s’y connaît
La jeune femme réfléchit, les deux apéros qu’elle a pris l’aide à surmonter son appréhension, son regard change d’éclat, il se fait langoureux, ses joues rosissent, elle se lève …
- Je suis prête, tu peux palper ma poitrine devant mon mari, ne te gêne pas Hervé … - Je vais être le plus discret possible Andréa, je vais rester dans ton dos ainsi je ne verrais pas tes seins
Je suis aussi troublé qu’elle, si troublé que ma verge a un sursaut, je dois me maitriser pour ne pas bander carrément ! Placé derrière elle pour qu’elle n’ai pas a supporter mon regard elle lève légèrement les bras, face a son mari qui avale sa salive avec difficulté, je prends un sein entre mes deux mains pour le serrer, ils sont de la forme et aussi durs que je l’imaginais, mais ce que redoutais se confirme …j’adresse un clin d’œil a son mari qui a mis ses mains devant sa braguette, moi-même essaie de ne pas coller a la femme qui ne manquerait pas de découvrir l’érection triomphante qui c’est révélée
- C’est impossible de t’examiner avec ton corsage et de plus par-dessus un soutien-gorge - Ah bon ??
- Enlève tout le haut chérie …- Tout ?
- Tout Andréa, sinon je ne peux rien déceler- Bien …
Toujours face a son mari qui a de plus en plus de problèmes pour respirer, la femme se dénude, chez elle aussi sa respiration c’est accélérée, j’adore les marques rouges que le sou vêtement a laissé, sa voix est devenue plus rauque, je vais manœuvrer afin de faire durer la ‘séance’ !
- Voilà c’est quand tu veux Hervé- Je vais commencer par vérifier ton cou et tes aisselles
J’effleure sa peau du bout des doigts lui arrachant des frissons qui lui font dresser le duvet des bras
- Hervé ! arrête ! ça me fait des choses !
- Ça t’excite chérie ? laisse faire le professionnel - Oui mais si tu savais comme je suis mal a l’aise a présent …- Tu mouille ?
- Noé enfin !soit discret !
- Pardon pour ce désagrément ! Je reviens sur tes seins …lève tes bras …- Finalement ce n’est pas si déplaisant que ça...
- Respire normalement, détend toi, ce n’est pas désagréable ?
- Jeeee …. Heeeeeuuuu, non …tu trouve quelque chose ?
- Presse les bien Hervé, elle adore ça !
- NOE !
- Ben quoi ? si tu te voyais, tes cuisses glissent l’une sur l’autre, à croire que tu as envie de faire pipi - Ce n’est pas si éloigné que ça …- Je ne vois rien d’anormal à ta poitrine, - Tu es sûr ?
- Je refais une dernière vérification
Son mari me fait un signe discret, cette fois c’est du véritable pelotage, je fais rouler les tétons entre mes doigts en resserrant les seins l’un sur l’autre, et, vu le calibre je me dis que ma queue serrait a l’aise entre les deux ! Soudain Noé s’approche d’elle et la prend par la taille
- Aide moi à la soutenir, ses yeux sont révulsés, je crois qu’elle va tourner de l’œil- Non, ne t’inquiète pas chéri, je vais bien, même très biiiiiiiieeeeeennnnnn !
Elle ne peut plus ignorer l’érection qui pèse sur ses fesses, elle ne cherche pas a éviter ce contact très résistant, elle se frotte dessus, elle embrasse son mari qui traficote la taille de sa jupe qui se libère, je m’écarte juste une seconde afin qu’elle glisse a ses chevilles, discrètement j’ouvre ma braguette et sort difficilement la ‘bête’ qui, a présent bat entre ses cuisses
- Soyez rassurés, tu n’as rien aux seins !
- Chéri … - Oui Andréa ?
- Hervé …- Quoi Hervé ?
- Il a sorti sa verge, je la sens entre mes cuisses- Tu pourrais peut être le remercier ?
- Comment ?
Andréa sous l’impulsion de son mari fait demi-tour, j’ai ses seins gonflés de désir sous les yeux, je ne peux résister a l’envie de me pencher pour prendre un téton rouge et dardé en bouche, la femme ravie presse ma tête sur sa poitrine, je passe d’un nichon a l’autre heureux comme un enfant qui vient de trouver un nouveau jouet, au moment où je vais tenter une approche entre ses cuisses la femme de nouveau manipulée par Noé se laisse glisser vers le sol, une main attrape ma queue, de là a sa bouche il n’y a qu’un pas qui est vite franchit , a mon tour de faire aller et venir sa tête sur ma hampeNoé me regarde prendre du plaisir, a mon avis il est très heureux de découvrir sa femme aussi docile et décidée, discrètement je lui demande si elle avale, un mouvement de tête me le confirme, je donne donc de minis coups de reins comme je le ferais dans un vagin peu profond, je sens ma sauce monter, je me dois d’en avertir ma consommatrice
- Andréa ? Je vais jouir, je ne t’en voudrais pas si tu refuse d’aller jusqu’au bout
Les deux mains serrent ma bite et mes bourses afin que je ne puisse pas lui retirer son sucre d’orge, je m’épanche longuement dans sa gorge en poussant un grognement sourd, elle se relève triomphante et souriante en essuyant sa bouche d’un revers de main, au passage je remarque que son string rouge est trempé
- Merci Andréa c’était formidable- C’était bon pour moi aussi Hervé !
- Tu es rassurée sur ton ‘soi-disant’ cancer ?
- Je n’ai rien aux seins, mais qui vous dit que je n’ai rien à l’utérus ?
- Tu crois ?? tu as toujours quelque chose qui ne va pas ma pauvre femme !
- Je sais ce que je dis, parfois j’ai des chaleurs qui font couler ma minette- Comment le vérifier ?
- Je ne vois qu’une solution Hervé, dans un premier temps tu la doigte- Et ensuite ?
- Nous verrons bien, - Si nous allions dans la chambre ? je ne vais pas rester debout pour cette ‘intervention’ ?
- Tu as une torche Noé ?
- Pour quoi faire ?
- Examiner le fond de son vagin pardi !
- Mais tu n’as pas de spéculum ?
- Je vais étirer tes lèvres avec mes doigts, Noé braqueras la lampe là où je lui indiquerais- Je suis partant, allonge toi comme le demande Hervé chérie - Comment ?
- Ôte la serpillère odorante que tu as entre les jambes et remonte tes genoux a la hauteur de ta poitrine… écarte toi bien… ta chatte est déjà bien craquée dit donc - Attendez ! vous êtes a poil et moi le mari suis encore habillé, il y a quelque chose qui ne va pas ! regarde moi ça, tu viens juste de décharger et tu rebande déjà !
- C’est la faute a ta femme mon vieux- Alors ? ça vient ? je ne vais pas garder cette position humiliante éternellement !
- Humiliante ? mon cul ! tu bave de convoitise devant la queue de notre copain !
- C’est simplement médical
Accroupis a coté d’elle j’écarte les poils agglomérés par la mouille et me sers de mes deux index pour tirer ses lèvres vers l’extérieur, elle n’a pu retenir un tressaillement accompagné d’un soupir de satisfaction, une bouffée d’arôme de femme en chaleur me titille les narines, je me retiens pour ne pas me pencher sur cette vulve en effervescence et y fourrer ma langue
- Éclaire bien dans le trou Noé … - C’est bien rouge non ?
- Oui mais ça ne prouve rien, ça peut être provoqué par bien d’autres choses - Comme ?
- L’envie de faire l’amour par exemple ?
- C’est vrai Andréa ?
- Baaaahhh …oui, peut être ? nous verrons cela quand Hervé sera parti mon chéri - Tu as raison …- Alors ? que voyez-vous ?
- Si tu savais comme c’est beau, n’est-ce pas Hervé ?
- C’est le paradis…. Noyé par ton jus !
- Je vais enfoncer mon doigt pour tâter l’utérus, mais avec tout ce liquide ont ne voit pas grand-chose - Ça dégouline carrément le long des parois - Il faut aspirer cette sauce - Mais comment ?
- Arrêtez de réfléchir et aspirez-moi avec la bouche que diable, vous êtes des hommes ou bien quoi ?
- Tu veux le faire Hervé ?
- Pour sa santé je vais me sacrifier
Sans plus hésiter je m’affale entre ses cuisses qu’elle tient toujours bloquées sur ses seins, ma bouche se ventouse a son abricot, j’aspire bruyamment ce nectar, la source a l’air de s’être tarie, j’enfonce un doigt dans ce marécage brulant, Noé se penche a mon oreille pour me susurrer deux mots … ‘ baise-la’
- Quoi ?
- Tu as bien compris, pour bien faire il aurait fallut une échographie, après tout un gland est plus délicat qu’un doigt pour éprouver la sensibilité de cet organe - Bien sûr mais pourquoi ne le fait tu pas toi-même ?
- Demande-lui qui elle préfère …
Je me redresse la bite a la main, Andréa me regarde les yeux énamourés, elle a compris que je vais m’introduire en elle, ses genoux s’ouvrent au maximum en appuis sur les mains j’avance mon bassin face a cette fissure qui recommence à suinter, la femme ouvre grand la bouche lorsque mon dard la perfore jusqu’aux couilles, son mari lui tient la main
- Ton utérus te fait mal mon amour ?
- Nullement chéri, au contraire, mon point G est a la fête, c’est la première queue après la tienne qui visite mon vagin, elle est boooooooonnnnnnnnne !
- Baise-la à fond Hervé elle adore être secouée- Accroche toi a mon cou Andréa je vais te faire voyager
Les seins de la femme ballotent en tous sens, ma queue allonge sa gaine vaginale, elle hurle, pas de douleur mais de bonheur, mes couilles sont arrosées de cyprine, a mon tour de lui arroser l’intérieur, je la bloque sur moi car en pleine jouissance mon nœud devient douloureux, Noé qui se masturbait en nous regardant baiser lui décharge sur la poitrine
- Tu es complètement rassurée sur l’état de ton vagin ?
- Oui apparemment il va bien … mais mon colon ?
- Fout-toi a quatre pattes salope, Hervé va te sodomiser !
- Au point où nous en somment je suggère qu’elle t’enfourche et je la prends par derrière ?
- C’est ça que tu veux ? être prise en double ?
- Oui chéri, je veux que ce soir tous mes trous soient visités- Tu n’as jamais eu de symptômes soit disant cancéreux ?
- Non, je veux être baisée c’est tout ! et cela t’est bénéfique, je n’ai jamais vue ta bite aussi grosse !
Impossible de résister devant cette chatte éclatée par la queue de son mari et cet anus qui palpite en attendant d’être comblé, Andréa n’a pas cessé de jouir tout le temps que nos deux verges se soient côtoyées en alternances dans ses trous débordant de foutre, depuis elle a un moral à toute épreuve
- Boff, moi oui mais Andréa couci-couça- Mais encore ?
- Figure-toi qu’elle s’est mise en tête qu’elle a un cancer du sein !
- Ah ? il ne faut pas rigoler avec ça, elle a des nodules ?
- Qu’est-ce c’est ?
- Des nodules ? c’est des grosseurs au milieu du sein, elle devrait consulter - Il n’en est pas question, elle a peur d’un diagnostique positif - Tu devrais la raisonner - Tu es notre meilleur ami Hervé, de plus tu es pharmacien, donc tu as certaines notions de médecine ? pourquoi ne viendrais tu pas a la maison un de ces soirs ?
- Je veux bien lui parler - Tu pourrais la décider à palper sa poitrine ? fait par toi çà ne me rendrais pas jaloux, au contraire, en ce moment je la taquine pour qu’elle s’exhibe - Ça change tout … tu voudrais joindre l’agréable a l’utile !
- C’est un peu ça !
- Tu veux que je passe quand ?
- Disons vendredi soir à l’apéro ?
Andréa est une femme de la trentaine, très bien faite, je n’ai jamais vu ses seins mais je les suppose assez volumineux et très fermes et de la forme que j’aime le plus : en poires ! Si par le ‘biais’ d’un diagnostic je peux les toucher ce n’est que du bonheur !
Je me suis donc rendu à leur domicile, visiblement Andréa n’était pas au courant de ma venue, mais j’ai l’habitude, tout comme eux, de faire des surprises, une fois installés au salon Noé a amené la conversation sur une voisine qui subit un cancer, de nos jours ce genre de maladie fleurie a chaque coins de rue, j’ai profité se cela pour poser la question fatidique
- Tu te fais suivre pour le cancer du sein Andréa ?
- Je suis trop jeune voyons ! ça prend à la cinquantaine !
- Tu as tord - Tu vois chérie je n’arrête pas de te le dire !
- Je n’ose pas aller chez le toubib … - Ça ne sert a rien de se voiler la face, as-tu des grosseurs anormales ?
- Je ne sais pas …- Pas de glandes dans le cou ou sous les bras ?
- Je ne sais pas...
- Tu devrais regarder Hervé- Tu veux que je montre mes nichons à ton copain ?
- Ce soir ce n’est pas mon copain, mais quelqu’un qui s’y connaît
La jeune femme réfléchit, les deux apéros qu’elle a pris l’aide à surmonter son appréhension, son regard change d’éclat, il se fait langoureux, ses joues rosissent, elle se lève …
- Je suis prête, tu peux palper ma poitrine devant mon mari, ne te gêne pas Hervé … - Je vais être le plus discret possible Andréa, je vais rester dans ton dos ainsi je ne verrais pas tes seins
Je suis aussi troublé qu’elle, si troublé que ma verge a un sursaut, je dois me maitriser pour ne pas bander carrément ! Placé derrière elle pour qu’elle n’ai pas a supporter mon regard elle lève légèrement les bras, face a son mari qui avale sa salive avec difficulté, je prends un sein entre mes deux mains pour le serrer, ils sont de la forme et aussi durs que je l’imaginais, mais ce que redoutais se confirme …j’adresse un clin d’œil a son mari qui a mis ses mains devant sa braguette, moi-même essaie de ne pas coller a la femme qui ne manquerait pas de découvrir l’érection triomphante qui c’est révélée
- C’est impossible de t’examiner avec ton corsage et de plus par-dessus un soutien-gorge - Ah bon ??
- Enlève tout le haut chérie …- Tout ?
- Tout Andréa, sinon je ne peux rien déceler- Bien …
Toujours face a son mari qui a de plus en plus de problèmes pour respirer, la femme se dénude, chez elle aussi sa respiration c’est accélérée, j’adore les marques rouges que le sou vêtement a laissé, sa voix est devenue plus rauque, je vais manœuvrer afin de faire durer la ‘séance’ !
- Voilà c’est quand tu veux Hervé- Je vais commencer par vérifier ton cou et tes aisselles
J’effleure sa peau du bout des doigts lui arrachant des frissons qui lui font dresser le duvet des bras
- Hervé ! arrête ! ça me fait des choses !
- Ça t’excite chérie ? laisse faire le professionnel - Oui mais si tu savais comme je suis mal a l’aise a présent …- Tu mouille ?
- Noé enfin !soit discret !
- Pardon pour ce désagrément ! Je reviens sur tes seins …lève tes bras …- Finalement ce n’est pas si déplaisant que ça...
- Respire normalement, détend toi, ce n’est pas désagréable ?
- Jeeee …. Heeeeeuuuu, non …tu trouve quelque chose ?
- Presse les bien Hervé, elle adore ça !
- NOE !
- Ben quoi ? si tu te voyais, tes cuisses glissent l’une sur l’autre, à croire que tu as envie de faire pipi - Ce n’est pas si éloigné que ça …- Je ne vois rien d’anormal à ta poitrine, - Tu es sûr ?
- Je refais une dernière vérification
Son mari me fait un signe discret, cette fois c’est du véritable pelotage, je fais rouler les tétons entre mes doigts en resserrant les seins l’un sur l’autre, et, vu le calibre je me dis que ma queue serrait a l’aise entre les deux ! Soudain Noé s’approche d’elle et la prend par la taille
- Aide moi à la soutenir, ses yeux sont révulsés, je crois qu’elle va tourner de l’œil- Non, ne t’inquiète pas chéri, je vais bien, même très biiiiiiiieeeeeennnnnn !
Elle ne peut plus ignorer l’érection qui pèse sur ses fesses, elle ne cherche pas a éviter ce contact très résistant, elle se frotte dessus, elle embrasse son mari qui traficote la taille de sa jupe qui se libère, je m’écarte juste une seconde afin qu’elle glisse a ses chevilles, discrètement j’ouvre ma braguette et sort difficilement la ‘bête’ qui, a présent bat entre ses cuisses
- Soyez rassurés, tu n’as rien aux seins !
- Chéri … - Oui Andréa ?
- Hervé …- Quoi Hervé ?
- Il a sorti sa verge, je la sens entre mes cuisses- Tu pourrais peut être le remercier ?
- Comment ?
Andréa sous l’impulsion de son mari fait demi-tour, j’ai ses seins gonflés de désir sous les yeux, je ne peux résister a l’envie de me pencher pour prendre un téton rouge et dardé en bouche, la femme ravie presse ma tête sur sa poitrine, je passe d’un nichon a l’autre heureux comme un enfant qui vient de trouver un nouveau jouet, au moment où je vais tenter une approche entre ses cuisses la femme de nouveau manipulée par Noé se laisse glisser vers le sol, une main attrape ma queue, de là a sa bouche il n’y a qu’un pas qui est vite franchit , a mon tour de faire aller et venir sa tête sur ma hampeNoé me regarde prendre du plaisir, a mon avis il est très heureux de découvrir sa femme aussi docile et décidée, discrètement je lui demande si elle avale, un mouvement de tête me le confirme, je donne donc de minis coups de reins comme je le ferais dans un vagin peu profond, je sens ma sauce monter, je me dois d’en avertir ma consommatrice
- Andréa ? Je vais jouir, je ne t’en voudrais pas si tu refuse d’aller jusqu’au bout
Les deux mains serrent ma bite et mes bourses afin que je ne puisse pas lui retirer son sucre d’orge, je m’épanche longuement dans sa gorge en poussant un grognement sourd, elle se relève triomphante et souriante en essuyant sa bouche d’un revers de main, au passage je remarque que son string rouge est trempé
- Merci Andréa c’était formidable- C’était bon pour moi aussi Hervé !
- Tu es rassurée sur ton ‘soi-disant’ cancer ?
- Je n’ai rien aux seins, mais qui vous dit que je n’ai rien à l’utérus ?
- Tu crois ?? tu as toujours quelque chose qui ne va pas ma pauvre femme !
- Je sais ce que je dis, parfois j’ai des chaleurs qui font couler ma minette- Comment le vérifier ?
- Je ne vois qu’une solution Hervé, dans un premier temps tu la doigte- Et ensuite ?
- Nous verrons bien, - Si nous allions dans la chambre ? je ne vais pas rester debout pour cette ‘intervention’ ?
- Tu as une torche Noé ?
- Pour quoi faire ?
- Examiner le fond de son vagin pardi !
- Mais tu n’as pas de spéculum ?
- Je vais étirer tes lèvres avec mes doigts, Noé braqueras la lampe là où je lui indiquerais- Je suis partant, allonge toi comme le demande Hervé chérie - Comment ?
- Ôte la serpillère odorante que tu as entre les jambes et remonte tes genoux a la hauteur de ta poitrine… écarte toi bien… ta chatte est déjà bien craquée dit donc - Attendez ! vous êtes a poil et moi le mari suis encore habillé, il y a quelque chose qui ne va pas ! regarde moi ça, tu viens juste de décharger et tu rebande déjà !
- C’est la faute a ta femme mon vieux- Alors ? ça vient ? je ne vais pas garder cette position humiliante éternellement !
- Humiliante ? mon cul ! tu bave de convoitise devant la queue de notre copain !
- C’est simplement médical
Accroupis a coté d’elle j’écarte les poils agglomérés par la mouille et me sers de mes deux index pour tirer ses lèvres vers l’extérieur, elle n’a pu retenir un tressaillement accompagné d’un soupir de satisfaction, une bouffée d’arôme de femme en chaleur me titille les narines, je me retiens pour ne pas me pencher sur cette vulve en effervescence et y fourrer ma langue
- Éclaire bien dans le trou Noé … - C’est bien rouge non ?
- Oui mais ça ne prouve rien, ça peut être provoqué par bien d’autres choses - Comme ?
- L’envie de faire l’amour par exemple ?
- C’est vrai Andréa ?
- Baaaahhh …oui, peut être ? nous verrons cela quand Hervé sera parti mon chéri - Tu as raison …- Alors ? que voyez-vous ?
- Si tu savais comme c’est beau, n’est-ce pas Hervé ?
- C’est le paradis…. Noyé par ton jus !
- Je vais enfoncer mon doigt pour tâter l’utérus, mais avec tout ce liquide ont ne voit pas grand-chose - Ça dégouline carrément le long des parois - Il faut aspirer cette sauce - Mais comment ?
- Arrêtez de réfléchir et aspirez-moi avec la bouche que diable, vous êtes des hommes ou bien quoi ?
- Tu veux le faire Hervé ?
- Pour sa santé je vais me sacrifier
Sans plus hésiter je m’affale entre ses cuisses qu’elle tient toujours bloquées sur ses seins, ma bouche se ventouse a son abricot, j’aspire bruyamment ce nectar, la source a l’air de s’être tarie, j’enfonce un doigt dans ce marécage brulant, Noé se penche a mon oreille pour me susurrer deux mots … ‘ baise-la’
- Quoi ?
- Tu as bien compris, pour bien faire il aurait fallut une échographie, après tout un gland est plus délicat qu’un doigt pour éprouver la sensibilité de cet organe - Bien sûr mais pourquoi ne le fait tu pas toi-même ?
- Demande-lui qui elle préfère …
Je me redresse la bite a la main, Andréa me regarde les yeux énamourés, elle a compris que je vais m’introduire en elle, ses genoux s’ouvrent au maximum en appuis sur les mains j’avance mon bassin face a cette fissure qui recommence à suinter, la femme ouvre grand la bouche lorsque mon dard la perfore jusqu’aux couilles, son mari lui tient la main
- Ton utérus te fait mal mon amour ?
- Nullement chéri, au contraire, mon point G est a la fête, c’est la première queue après la tienne qui visite mon vagin, elle est boooooooonnnnnnnnne !
- Baise-la à fond Hervé elle adore être secouée- Accroche toi a mon cou Andréa je vais te faire voyager
Les seins de la femme ballotent en tous sens, ma queue allonge sa gaine vaginale, elle hurle, pas de douleur mais de bonheur, mes couilles sont arrosées de cyprine, a mon tour de lui arroser l’intérieur, je la bloque sur moi car en pleine jouissance mon nœud devient douloureux, Noé qui se masturbait en nous regardant baiser lui décharge sur la poitrine
- Tu es complètement rassurée sur l’état de ton vagin ?
- Oui apparemment il va bien … mais mon colon ?
- Fout-toi a quatre pattes salope, Hervé va te sodomiser !
- Au point où nous en somment je suggère qu’elle t’enfourche et je la prends par derrière ?
- C’est ça que tu veux ? être prise en double ?
- Oui chéri, je veux que ce soir tous mes trous soient visités- Tu n’as jamais eu de symptômes soit disant cancéreux ?
- Non, je veux être baisée c’est tout ! et cela t’est bénéfique, je n’ai jamais vue ta bite aussi grosse !
Impossible de résister devant cette chatte éclatée par la queue de son mari et cet anus qui palpite en attendant d’être comblé, Andréa n’a pas cessé de jouir tout le temps que nos deux verges se soient côtoyées en alternances dans ses trous débordant de foutre, depuis elle a un moral à toute épreuve
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