I just want to make love to you

Récit érotique écrit par mauricebernard [→ Accès à sa fiche auteur]
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I just want to make love to you
« Ne sois pas si bête, viens donc avec nous ça te changera les idées, tu as en as besoin ! » C’est avec un tel argument banal qu’une ancienne collègue de Patricia l’a incitée à accepter l’invitation d’accompagner quelques autres personnes de sa connaissance à une soirée organisée, à la campagne, dans un authentique manoir du XVIIIème siècle. Il est vrai que les mauvaises nouvelles qui viennent de s’accumuler dans sa vie de paisible retraitée justifiaient amplement qu’elle puisse passer quelques heures de détente dans un cadre agréable, de plus avec d’anciens camarades de travail qu’elle ne rencontre plus très souvent. Après quelques hésitations de pure forme, elle a fini par donner son accord, d’autant plus que la promesse d’un repas de qualité n’avait pu qu’exciter son palais de fine cuisinière.
Le jour dit, après avoir pris ses dispositions vis à vis de sa famille, elle s’est préparée comme elle aime le faire lorsqu’elle sort en bonne compagnie. Ses élégantes mèches toutes blanches bien coiffées, un peu de maquillage pour accentuer le charme de ses yeux bleus et une robe de satin gris de coupe chinoise, qui met en valeur son mince corps lequel supporte sa soixantaine si bien assumée. Et dessous ? Comme il ne s’agit pas, à l’évidence, d’une soirée libertine en perspective comme elle en a tant connues et appréciées, un léger ensemble d’un string et d’un sg de qualité suffira. Elle a pris plaisir à glisser ses jambes encore fines et modelées dans des dim up puis elle s’est chaussée d’une de ses paires préférées d’escarpins. Classe et un peu sexy, très peu ! Comme elle aime être en général : distinguée et réservée sauf pour qui sait se glisser derrière ce paravent de bonne convenance, la découverte d’un tempérament de feu…
Le lieu du rendez-vous ne la déçoit pas quand elle découvre, au détour de la petite route privée qui traverse un bois, une demeure de style devant laquelle plusieurs véhicules stationnent déjà. Patricia descend de sa voiture et se dirige vers le grand perron d’entrée en haut duquel les hôtes attendent leurs invités. Elle y retrouve plusieurs de ses anciens collègues et, rapidement, elle est entraînée dans le manoir dont les pièces de réception, largement éclairées de lampes posées sur les meubles et de bougeoirs allumés lui rappelle l’ambiance des dîners du film Barry Lyndon. Un assez long moment est consacré aux retrouvailles autour d’un excellent champagne et la belle élégante se laisse prendre aux babillages des unes et des autres. Dans le même mouvement, elle suit la petite foule et va partager le repas promis, dans une salle à manger décorée de lambris. Un peu grisée par l’apéritif et les excellents vins servis à table, elle goûte en connaisseuse les mets qui se succèdent et ne voit pas le temps passer d’autant plus que les conversations sont animées et amicales autour de la grande table. C’est donc un peu surprise qu’elle découvre que le programme de la soirée si bien entamée, comprend ensuite une partie dansante, organisée dans les salons qui ont été débarrassés à cet effet. Décidément, les hôtes ont bien fait les choses et la musique qui accompagne cette initiative est à la hauteur puisqu’elle comprend de vieux standards de blues comme les apprécie Patricia.
Toujours dans une brume un peu alcoolisée, elle s’est laissée inviter à danser alors qu’elle n’en avait pas l’intention mais, prise par l’ambiance, elle se retrouve à tournoyer au rythme de quelques bons morceaux d’Etta James et autres bluesmen célèbres. Son danseur, un lointain collègue dont elle se souvient vaguement qu’il lui avait fait jadis un peu de gringue sans qu’elle cède à ses discrètes avances, la conduit adroitement et elle apprécie vite ce moment d’insouciance. Si vite que, alors qu’Etta a entamé I just want want to make love to you, son danseur ralentit peu à peu la danse jusqu’à ce que débute un autre succès, beaucoup plus lent, un vrai slow à drague ! L’homme ne lui laisse pas la possibilité de s’échapper et, d’un bras ferme et doux à la fois, il la plaque lentement contre lui et, en commençant le balancement sur la musique, lui glisse tout près de l’oreille : « As-tu reconnu le titre du morceau précédent ?
- Pas vraiment, non, qu’était-ce ?
- I just want want to make love to you, ça tombe bien ne trouves-tu pas ?
La belle sexagénaire qui connaît les hommes sur le bout des doigts décèle immédiatement l’allusion et se contente de sourire en fixant le danseur de ses beaux yeux bleus rieurs. Elle pourrait mettre un terme à l’échange mais, sans le vouloir vraiment, ni l’avoir prévu, elle poursuit la danse envoûtante alors qu’elle sait bien que, du fait des anciennes intentions de son compagnon d’un soir, son silence vaut acceptation de la poursuite du flirt. Très expérimentée par des années de libertinage d’autant plus discret qu’il a été actif, elle prend même l’initiative de confirmer son accord tacite grâce à l’expression de son corps, tout en restant la plus discrète possible parmi tous ces gens qu’elle connaît. Elle abandonne d’abord légèrement sa tête contre l’épaule de l’homme, sans rien paraître, puis, au fil des secondes, elle rapproche son ventre jusqu’à découvrir une ferme rondeur masculine qui l’informe que son petit jeu fait son effet. Sans doute surpris mais satisfait, le danseur descend un peu une main sur le haut d’une hanche dont la douce soie de la robe favorise la caresse. Par ces deux gestes, le marché est conclu entre eux mais la belle compte bien s’amuser encore un peu. Elle roule alors son ventre souple sur le relief tendu par le sexe bandé, comme si elle voulait le caresser de la main ; mais les lieux ne se prêtent pas à de telles privautés, pense-t-elle, et Patricia préfère jouer de ses jambes, de ses cuisses, contre celles de son partenaire, pour amener celui-ci au bord de la jouissance. Tout en faisant sa danse lascive, elle regarde fixement l’homme et ses yeux expressifs suffisent à assurer à celui-ci que la manœuvre est bien volontaire et déterminée !
Heureusement pour lui, le programme musical change et il peut échapper à l’épreuve finale qui aurait bien pu s’achever par une éjaculation incontrôlée. Toutefois, trop heureux de l’inattendue réaction de la séduisante sexagénaire, il lui propose s’éloigner ensemble le plus discrètement possible. Sa compagne d’un soir hésite un peu car la crainte du qu’en dira-t-on l’inquiète du fait qu’elle est connue de la plupart des participants à la soirée. L’homme lui suggère de monter dans l’étage du manoir où se trouvent sans doute bien des endroits accueillants mais Patricia reste rétive. Elle se contente de répondre qu’elle va réfléchir…De fait, alors que son compagnon s’éloigne et monte lentement le grand escalier de la demeure, elle observe qu’autour d’elle les rapprochements se sont multipliés entre les invités et que, manifestement, il n’est pas interdit de penser qu’un peu de libertinage ne serait pas déplacé, voire favorisé. Et puis cela fait si longtemps qu’elle n’a pas laissé aller son bouillant tempérament libidineux, qu’elle se convainc qu’une telle occasion ne doit pas être ratée. D’ailleurs, son corps répond pour elle car elle sent sa chatte humide et les pointes de ses petits seins tendent le fin tissu de sa robe. C’est donc résolument qu’elle monte aussi l’escalier aux larges marches.
Là-haut, dans un couloir peu éclairé, elle devine son séducteur qui l’attend devant la porte ouverte d’une pièce dans laquelle il l’invite à entrer. Elle se glisse contre lui et découvre une grande chambre occupée par un non moins imposant lit à baldaquin ; bref, une vraie chambre de château. Avant qu’elle ait eu le temps d’en admirer tout le décor, l’homme qui l’a suivi, la saisit par les épaules et la dirige fermement vers le large matelas sur lequel il la laisse tomber vivement. Surprise par l’énergique entrée en matière, Patricia se risque à protester pour la forme, quand sa bouche est close par celle de son futur amant et, rapidement, elle lui abandonne sa langue et se met à onduler d’impatience. Il ne leur faut que quelques instants pour quitter le peu de vêtements qui leur dissimulaient leurs corps et, c’est nue, ayant juste conservé ses bas et ses escarpins, que la libertine laisse la bouche de l’inconnu parcourir sa poitrine, son ventre, puis sa chatte déjà si sensible. Elle grogne son plaisir de retrouver une nouvelle bouche et, surtout, une langue si agile autour de son clito alors que les doigts de l’homme explorent ses orifices, depuis son sexe jusqu’à son « petit trou » entre ses douces fesses. « Décidément se dit-elle, il s’y prend bien même si nous devons faire vite ; ça me manquait vraiment une bonne baise ! ». La houle de ses reins indique à son amant qu’elle va jouir une première fois et, de fait, elle colle si fort son bas ventre à la bouche et aux doigts qui l’affolent qu’elle crie sa jouissance en s’accrochant aux cheveux. Satisfaite de cette première étape, Patricia se retourne pour se placer sur lui, en 69, dans cette position qu’elle affectionne tant. Elle examine alors attentivement la belle bite tendue qu’elle tient dans une main alors que, de l’autre, elle s’en va explorer le périnée qu’elle découvre fort sensible à ses caresses audacieuses. Comme l’homme l’a fait à l’instant pour elle, la femme déguste, tout du long, le sexe bandé avant d’engloutir très lentement le gland entre les lèvres de sa petite bouche. Elle connaît par ses nombreuses expériences l’efficacité de ses pipes qui lui ont valu bien des compliments de la part des multiples amants rencontrés au hasard des soirées en club ou ailleurs. Ce soir, et dans l’immédiat, elle décide de s’amuser et d’en faire profiter son séducteur de rencontre en lui démontrant toute l’étendue de ses talents de suceuse experte. Elle alterne donc sucions, caresses, lèchages du membre tendu, exploration de l’anus avec un doigt et la langue, jusqu’à ce que l’homme lui rende la pareille en plantant la pointe de sa langue dans son propre cul. « Comment sait-il que j’adore être enculée ? », se demande la belle alors qu’elle a introduit le braquemart aussi loin qu’elle le peut dans sa bouche. Quelques aspirations habiles et elle sent que le foutre monte dans le sexe qu’elle maintient fermement et, comme ils se sont assurés préalablement de toute absence de risque, elle accueille avidement les jets chauds, lourds et puissants qui inondent sa bouche. Ayant avalé l’essentiel du don de l’homme, elle lui offre juste un peu du bon jus dans un long baiser qu’elle poursuit en passant ses doigts fins sur ce torse encore agité de la jouissance qu’elle vient d’offrir.
Un peu hébétés par le plaisir qu’ils viennent de partager si vite, les deux amants découvrent alors qu’un couple s’est glissé silencieusement dans la pièce et qu’il n’a rien perdu du spectacle. Ce sont deux anciens collègues de la belle qui s’extasient devant les talents qu’elle leur avait soigneusement dissimulés. Manifestement, les deux intrus avaient des intentions similaires aux deux baiseurs allongés et, homme et femme enlacés, ils les rejoignent sur le grand lit. Il n’est ni le temps ni le lieu de s’étonner de la situation et Patricia, grâce à sa longue pratique des échanges sexuels, apprécie tout de suite cette inattendue rencontre d’autant plus que sa collègue, jolie brune bien faite quoiqu’un peu ronde du fait des années, semble plutôt « ouverte » à toutes sortes de privautés. Elle se glisse d’ailleurs d’office entre Patricia et son amant occasionnel et face à son amie, elle engage une tumultueuse joute entre lesbiennes expérimentées. Leur échange dure suffisamment pour que les deux hommes fassent montre d’une énergique envie d’y participer et c’est la collègue qui prend l’initiative de la combinaison en invitant la sexagénaire à venir se planter à plat ventre sur la bite du nouvel arrivant qui n’en demandait pas tant ! Le vagin amplement préparé par les amusements précédents accueille sans mal un membre raide et de bonne dimension et les roulements de hanches de la femme plantée suffisent pour que la pénétration soit complète. C’est alors que l’autre libertine excite tendrement la raie entre les jolies fesses douces de Patricia, d’abord du bout des doigts, puis, comme l’homme l’avait fait précédemment, du bout de sa langue dardée. Comme elle ressent que la baiseuse apprécie la caresse, elle l’amplifie et la poursuit puis, résolument, elle se saisit du sexe du premier homme et le place contre l’ouverture secrète si bien préparée. Ce n’est alors qu’une chevauchée animée par Patricia qui goûte ainsi sa position favorite mais rare, qu’elle a tant aimé pratiquer en clubs échangistes. Pas égoïste, elle fait signe à sa collègue pour que celle-ci vienne lui présenter son sexe et elle lui rend avidement ses caresses tout en ondulant entre les deux sexes qui l’emplissent.
Longtemps, les quatre libertins poursuivent leurs jeux puis s’abandonnent à un bref sommeil réparateur…C’est donc tard dans la nuit, quand elle a rejoint son véhicule afin de rentrer chez elle, que la sexagénaire apaisée et comblée, se saisit de son portable pour envoyer un court message à son amant de coeur :
« Mon chéri, je viens de passer une EXCELLENTE soirée très agitée ! On s’appelle vite pour que je te raconte tout...je t’aime ! »
Le jour dit, après avoir pris ses dispositions vis à vis de sa famille, elle s’est préparée comme elle aime le faire lorsqu’elle sort en bonne compagnie. Ses élégantes mèches toutes blanches bien coiffées, un peu de maquillage pour accentuer le charme de ses yeux bleus et une robe de satin gris de coupe chinoise, qui met en valeur son mince corps lequel supporte sa soixantaine si bien assumée. Et dessous ? Comme il ne s’agit pas, à l’évidence, d’une soirée libertine en perspective comme elle en a tant connues et appréciées, un léger ensemble d’un string et d’un sg de qualité suffira. Elle a pris plaisir à glisser ses jambes encore fines et modelées dans des dim up puis elle s’est chaussée d’une de ses paires préférées d’escarpins. Classe et un peu sexy, très peu ! Comme elle aime être en général : distinguée et réservée sauf pour qui sait se glisser derrière ce paravent de bonne convenance, la découverte d’un tempérament de feu…
Le lieu du rendez-vous ne la déçoit pas quand elle découvre, au détour de la petite route privée qui traverse un bois, une demeure de style devant laquelle plusieurs véhicules stationnent déjà. Patricia descend de sa voiture et se dirige vers le grand perron d’entrée en haut duquel les hôtes attendent leurs invités. Elle y retrouve plusieurs de ses anciens collègues et, rapidement, elle est entraînée dans le manoir dont les pièces de réception, largement éclairées de lampes posées sur les meubles et de bougeoirs allumés lui rappelle l’ambiance des dîners du film Barry Lyndon. Un assez long moment est consacré aux retrouvailles autour d’un excellent champagne et la belle élégante se laisse prendre aux babillages des unes et des autres. Dans le même mouvement, elle suit la petite foule et va partager le repas promis, dans une salle à manger décorée de lambris. Un peu grisée par l’apéritif et les excellents vins servis à table, elle goûte en connaisseuse les mets qui se succèdent et ne voit pas le temps passer d’autant plus que les conversations sont animées et amicales autour de la grande table. C’est donc un peu surprise qu’elle découvre que le programme de la soirée si bien entamée, comprend ensuite une partie dansante, organisée dans les salons qui ont été débarrassés à cet effet. Décidément, les hôtes ont bien fait les choses et la musique qui accompagne cette initiative est à la hauteur puisqu’elle comprend de vieux standards de blues comme les apprécie Patricia.
Toujours dans une brume un peu alcoolisée, elle s’est laissée inviter à danser alors qu’elle n’en avait pas l’intention mais, prise par l’ambiance, elle se retrouve à tournoyer au rythme de quelques bons morceaux d’Etta James et autres bluesmen célèbres. Son danseur, un lointain collègue dont elle se souvient vaguement qu’il lui avait fait jadis un peu de gringue sans qu’elle cède à ses discrètes avances, la conduit adroitement et elle apprécie vite ce moment d’insouciance. Si vite que, alors qu’Etta a entamé I just want want to make love to you, son danseur ralentit peu à peu la danse jusqu’à ce que débute un autre succès, beaucoup plus lent, un vrai slow à drague ! L’homme ne lui laisse pas la possibilité de s’échapper et, d’un bras ferme et doux à la fois, il la plaque lentement contre lui et, en commençant le balancement sur la musique, lui glisse tout près de l’oreille : « As-tu reconnu le titre du morceau précédent ?
- Pas vraiment, non, qu’était-ce ?
- I just want want to make love to you, ça tombe bien ne trouves-tu pas ?
La belle sexagénaire qui connaît les hommes sur le bout des doigts décèle immédiatement l’allusion et se contente de sourire en fixant le danseur de ses beaux yeux bleus rieurs. Elle pourrait mettre un terme à l’échange mais, sans le vouloir vraiment, ni l’avoir prévu, elle poursuit la danse envoûtante alors qu’elle sait bien que, du fait des anciennes intentions de son compagnon d’un soir, son silence vaut acceptation de la poursuite du flirt. Très expérimentée par des années de libertinage d’autant plus discret qu’il a été actif, elle prend même l’initiative de confirmer son accord tacite grâce à l’expression de son corps, tout en restant la plus discrète possible parmi tous ces gens qu’elle connaît. Elle abandonne d’abord légèrement sa tête contre l’épaule de l’homme, sans rien paraître, puis, au fil des secondes, elle rapproche son ventre jusqu’à découvrir une ferme rondeur masculine qui l’informe que son petit jeu fait son effet. Sans doute surpris mais satisfait, le danseur descend un peu une main sur le haut d’une hanche dont la douce soie de la robe favorise la caresse. Par ces deux gestes, le marché est conclu entre eux mais la belle compte bien s’amuser encore un peu. Elle roule alors son ventre souple sur le relief tendu par le sexe bandé, comme si elle voulait le caresser de la main ; mais les lieux ne se prêtent pas à de telles privautés, pense-t-elle, et Patricia préfère jouer de ses jambes, de ses cuisses, contre celles de son partenaire, pour amener celui-ci au bord de la jouissance. Tout en faisant sa danse lascive, elle regarde fixement l’homme et ses yeux expressifs suffisent à assurer à celui-ci que la manœuvre est bien volontaire et déterminée !
Heureusement pour lui, le programme musical change et il peut échapper à l’épreuve finale qui aurait bien pu s’achever par une éjaculation incontrôlée. Toutefois, trop heureux de l’inattendue réaction de la séduisante sexagénaire, il lui propose s’éloigner ensemble le plus discrètement possible. Sa compagne d’un soir hésite un peu car la crainte du qu’en dira-t-on l’inquiète du fait qu’elle est connue de la plupart des participants à la soirée. L’homme lui suggère de monter dans l’étage du manoir où se trouvent sans doute bien des endroits accueillants mais Patricia reste rétive. Elle se contente de répondre qu’elle va réfléchir…De fait, alors que son compagnon s’éloigne et monte lentement le grand escalier de la demeure, elle observe qu’autour d’elle les rapprochements se sont multipliés entre les invités et que, manifestement, il n’est pas interdit de penser qu’un peu de libertinage ne serait pas déplacé, voire favorisé. Et puis cela fait si longtemps qu’elle n’a pas laissé aller son bouillant tempérament libidineux, qu’elle se convainc qu’une telle occasion ne doit pas être ratée. D’ailleurs, son corps répond pour elle car elle sent sa chatte humide et les pointes de ses petits seins tendent le fin tissu de sa robe. C’est donc résolument qu’elle monte aussi l’escalier aux larges marches.
Là-haut, dans un couloir peu éclairé, elle devine son séducteur qui l’attend devant la porte ouverte d’une pièce dans laquelle il l’invite à entrer. Elle se glisse contre lui et découvre une grande chambre occupée par un non moins imposant lit à baldaquin ; bref, une vraie chambre de château. Avant qu’elle ait eu le temps d’en admirer tout le décor, l’homme qui l’a suivi, la saisit par les épaules et la dirige fermement vers le large matelas sur lequel il la laisse tomber vivement. Surprise par l’énergique entrée en matière, Patricia se risque à protester pour la forme, quand sa bouche est close par celle de son futur amant et, rapidement, elle lui abandonne sa langue et se met à onduler d’impatience. Il ne leur faut que quelques instants pour quitter le peu de vêtements qui leur dissimulaient leurs corps et, c’est nue, ayant juste conservé ses bas et ses escarpins, que la libertine laisse la bouche de l’inconnu parcourir sa poitrine, son ventre, puis sa chatte déjà si sensible. Elle grogne son plaisir de retrouver une nouvelle bouche et, surtout, une langue si agile autour de son clito alors que les doigts de l’homme explorent ses orifices, depuis son sexe jusqu’à son « petit trou » entre ses douces fesses. « Décidément se dit-elle, il s’y prend bien même si nous devons faire vite ; ça me manquait vraiment une bonne baise ! ». La houle de ses reins indique à son amant qu’elle va jouir une première fois et, de fait, elle colle si fort son bas ventre à la bouche et aux doigts qui l’affolent qu’elle crie sa jouissance en s’accrochant aux cheveux. Satisfaite de cette première étape, Patricia se retourne pour se placer sur lui, en 69, dans cette position qu’elle affectionne tant. Elle examine alors attentivement la belle bite tendue qu’elle tient dans une main alors que, de l’autre, elle s’en va explorer le périnée qu’elle découvre fort sensible à ses caresses audacieuses. Comme l’homme l’a fait à l’instant pour elle, la femme déguste, tout du long, le sexe bandé avant d’engloutir très lentement le gland entre les lèvres de sa petite bouche. Elle connaît par ses nombreuses expériences l’efficacité de ses pipes qui lui ont valu bien des compliments de la part des multiples amants rencontrés au hasard des soirées en club ou ailleurs. Ce soir, et dans l’immédiat, elle décide de s’amuser et d’en faire profiter son séducteur de rencontre en lui démontrant toute l’étendue de ses talents de suceuse experte. Elle alterne donc sucions, caresses, lèchages du membre tendu, exploration de l’anus avec un doigt et la langue, jusqu’à ce que l’homme lui rende la pareille en plantant la pointe de sa langue dans son propre cul. « Comment sait-il que j’adore être enculée ? », se demande la belle alors qu’elle a introduit le braquemart aussi loin qu’elle le peut dans sa bouche. Quelques aspirations habiles et elle sent que le foutre monte dans le sexe qu’elle maintient fermement et, comme ils se sont assurés préalablement de toute absence de risque, elle accueille avidement les jets chauds, lourds et puissants qui inondent sa bouche. Ayant avalé l’essentiel du don de l’homme, elle lui offre juste un peu du bon jus dans un long baiser qu’elle poursuit en passant ses doigts fins sur ce torse encore agité de la jouissance qu’elle vient d’offrir.
Un peu hébétés par le plaisir qu’ils viennent de partager si vite, les deux amants découvrent alors qu’un couple s’est glissé silencieusement dans la pièce et qu’il n’a rien perdu du spectacle. Ce sont deux anciens collègues de la belle qui s’extasient devant les talents qu’elle leur avait soigneusement dissimulés. Manifestement, les deux intrus avaient des intentions similaires aux deux baiseurs allongés et, homme et femme enlacés, ils les rejoignent sur le grand lit. Il n’est ni le temps ni le lieu de s’étonner de la situation et Patricia, grâce à sa longue pratique des échanges sexuels, apprécie tout de suite cette inattendue rencontre d’autant plus que sa collègue, jolie brune bien faite quoiqu’un peu ronde du fait des années, semble plutôt « ouverte » à toutes sortes de privautés. Elle se glisse d’ailleurs d’office entre Patricia et son amant occasionnel et face à son amie, elle engage une tumultueuse joute entre lesbiennes expérimentées. Leur échange dure suffisamment pour que les deux hommes fassent montre d’une énergique envie d’y participer et c’est la collègue qui prend l’initiative de la combinaison en invitant la sexagénaire à venir se planter à plat ventre sur la bite du nouvel arrivant qui n’en demandait pas tant ! Le vagin amplement préparé par les amusements précédents accueille sans mal un membre raide et de bonne dimension et les roulements de hanches de la femme plantée suffisent pour que la pénétration soit complète. C’est alors que l’autre libertine excite tendrement la raie entre les jolies fesses douces de Patricia, d’abord du bout des doigts, puis, comme l’homme l’avait fait précédemment, du bout de sa langue dardée. Comme elle ressent que la baiseuse apprécie la caresse, elle l’amplifie et la poursuit puis, résolument, elle se saisit du sexe du premier homme et le place contre l’ouverture secrète si bien préparée. Ce n’est alors qu’une chevauchée animée par Patricia qui goûte ainsi sa position favorite mais rare, qu’elle a tant aimé pratiquer en clubs échangistes. Pas égoïste, elle fait signe à sa collègue pour que celle-ci vienne lui présenter son sexe et elle lui rend avidement ses caresses tout en ondulant entre les deux sexes qui l’emplissent.
Longtemps, les quatre libertins poursuivent leurs jeux puis s’abandonnent à un bref sommeil réparateur…C’est donc tard dans la nuit, quand elle a rejoint son véhicule afin de rentrer chez elle, que la sexagénaire apaisée et comblée, se saisit de son portable pour envoyer un court message à son amant de coeur :
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