Il est mon Maître, je suis sa soumise !
Récit érotique écrit par Foliedouce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Il est mon Maître, je suis sa soumise !
Il est mon Maître, je suis sa soumise !
Après quelques semaines de frustration et d’attente, que Pierre s’est amusé à m’infliger ; un soir en pleine semaine, il avait pour projet de venir dans mon appartement. J’avais reçu pour ordre de ne pas parler, même en cas de jouissance, et de l’accueillir dans une tenue légère qu’il m’avait choisie. S’était un porte-jarretelle, seul, avec des bas noirs.
Je lui ouvris ; j’ai vu dans son regard qu’il était satisfait par mon obéissance ; me prit par la main fermement et m’emmena dans ma chambre. Il appuie sur mon épaule pour me faire mettre à genoux, enlève sa ceinture, déboutonne son jeans et sort sa magnifique verge déjà durcie par l’excitation, me prend la tête de ses deux mains et dirige ma bouche grande ouverte pour que je le suce. En bonne soumise que je suis, je m’exécute. Je la pris à deux mains, l’avala et glissa ma langue chaude sur tout le pourtour de son phallus, tout en le masturbant.
« J’aime lui faire plaisir ! ».
Puis, il me prit par la mâchoire pour me faire remonter à son niveau, m’embrassa brièvement et me poussa sur le lit. Il se rhabilla, me banda les yeux – la sonnette retenti – Il se dirigea vers la porte, j’entends une voix d’homme inconnue, plus jeune… Pierre l’emmena à la chambre, fit de brèves présentations et lui dit :
« je te regarde faire jouir ma p’tite chienne … »
Et je le senti s’assoir juste à côté de mon visage.
- Etant privée de ma vue, je sens mes quatre autres sens se décupler. J’avais l’impression d’être comme dans un cocon, libre de pouvoir me libérer sans aucune gêne ou pudeur. –
L’inconnu commença par parcourir tout mon corps à l’aide d’un objet fin et légèrement froid, un frissonnement s’empara de moi. L’objet continuait à explorer mes courbes, me caresse les lèvres vaginales, puis remonta jusqu’aux seins, tétons. Je frissonnais.
Pierre, d’une main me tenait la tête et de l’autre empoignait mes cheveux.
De son objet, l’inconnu me fouetta légèrement les seins, puis les tétons pour descendre au clitoris.
« Hummmm une cravache, mon jouet préféré ! », pensais-je.
Cet agréable élancement me procure beaucoup de bien, je gémi, commence à me tortiller de plaisir, je mouille ! L’anonyme s’arrêta, me mit des liens aux chevilles et poignets.
- J’aime me sentir « une femme objet », juste là pour procurer la jouissance de mon Maitre et du poulain qu’il m’a choisi. –
L’étranger se déshabilla et de me demanda d’ouvrir la bouche, il approcha son sexe rigide, c’est mon Maître qui me guidait, qui pilotait ma tête, il gérait le rythme la fellation ! Une fois de plus il prit possession de moi et cela m’exaltait. M. X, tout en se faisant sucer, me doigtait. Un, deux, puis trois … quatre doigts sur maintenant dans mon vagin. Il me doigtait de plus en plus fort, j’étais trempée. Il se retira de ma bouche car il voulut m’entendre le supplier de continuer ces préliminaires.
L’inconnu demanda à mon Maître de retirer ses mains, afin de me positionner en levrette, le cul bien tendu, ouvert aux moindres désirs de mon second maître. Pierre se leva pour aller admirer la vue et en profita pour me fesser. Je senti l’étranger me chevaucher pour mieux me pénétrer.
- Ca y est, elle est en moi. Je sens mon vagin se resserrer autour du phallus –
« Ho put*** que c’est bon ! ».
Le jeune homme commença par me mettre des petits coups de reins, son gland tapait au plus profond de moi, puis les allers et retours se faisaient de plus en plus vite.
« Continues, j’en veux encore! Vas-y plus vite ! » Cirais-je.
Je mouillai comme jamais.
- Serait-ce le fait que j’ai les yeux bandés ? Ou que mon Maître observe la scène et ma montée au Nirvana ? Que je fasse l’amour à un parfait inconnu que je ne connaitrai et reconnaitrai jamais ? –
Je sentais mon corps trembler à chaque coups de bite, je ne me contrôlais plus, je me laissais emporter par un vent de jouissance, les larmes me montaient aux yeux, JE JOUIS!
« Ne t’arrêtes pas, vas-y, vas-y, vas-y ! » bafouillais-je tout en reprenant mon souffle.
Il continua quelques minutes, puis se retira et à son tour pour jouir sur mon dos, à son tour.
- J’adore sentir cette semence chaude sur mon corps rempli de satisfactions sexuelles. -
Mon vénéré lui demanda de me nettoyer ainsi que de me détacher, puis de partir. La porte claqua, Pierre me demanda, tout en enlevant mon bandeau :
« Tu as bien jouis, p’tite salope ?
- Ho oui, je vous en remercie Monsieur. »
Tout en me prenant par la mâchoire, il poursuivi :
« Je ne t’avais pas donné un ordre ?
- euuuuuh oui, peut-être ! Répondis-je déboussolée.
-Je ne t’avais pas demandé de te taire? Et tu l’as respecté ?
- Non Maître, veuillez m’en excuser !
- Non ! Et tu seras punie ! répondit-il sèchement. »
Je me mis à genoux et le supplia d’être clément, pour cette fois ci. Il me dit avec un regard noir :
« - À chaque faute que tu commettras, tu seras punie. Et jamais de la même manière. Parfois, je te laisserai plusieurs heures, voire plusieurs jours sans en reparler, et la sanction sera exécutée au moment où tu t’y attendras le moins. C’est efficace pour remettre une soumise indisciplinée dans le droit chemin.
- sûrement, répondis-je »
Il continua, tout en se déshabillant :
« - Pour te faire comprendre la leçon, tu vas recevoir cinq coups de cravache. Je veux que tu les comptes et je t’interdis de changer de position ! »
Il prit la cravache, qui 30min auparavant servait de jouet, s’assit sur le rebord du lit, me positionna le ventre contre ses cuisses brulantes, les fesses légèrement remontées et commença ma punition.
« Un, deux …, ciiiiiiiiiiiinq! Aie! »
J’ai eu mal. Il me demanda comment je me sentais et je lui répondis avec un sourire timide :
« Punie …
- c’était bien le but … » me répondit-il comblé.
Délicatement, il me massa les fesses afin d’atténuer la douleur, tout en parlant de cette sanction. Puis nous nous sommes allongés, couvert d’un plaid, l’un contre l’autre, emprisonnée dans ses bras, j’avais besoin d’être cajolée, rassurée après ce moment éprouvent.
Il est mon Maître, je suis sa soumise et je dois lui obéir.
Après quelques semaines de frustration et d’attente, que Pierre s’est amusé à m’infliger ; un soir en pleine semaine, il avait pour projet de venir dans mon appartement. J’avais reçu pour ordre de ne pas parler, même en cas de jouissance, et de l’accueillir dans une tenue légère qu’il m’avait choisie. S’était un porte-jarretelle, seul, avec des bas noirs.
Je lui ouvris ; j’ai vu dans son regard qu’il était satisfait par mon obéissance ; me prit par la main fermement et m’emmena dans ma chambre. Il appuie sur mon épaule pour me faire mettre à genoux, enlève sa ceinture, déboutonne son jeans et sort sa magnifique verge déjà durcie par l’excitation, me prend la tête de ses deux mains et dirige ma bouche grande ouverte pour que je le suce. En bonne soumise que je suis, je m’exécute. Je la pris à deux mains, l’avala et glissa ma langue chaude sur tout le pourtour de son phallus, tout en le masturbant.
« J’aime lui faire plaisir ! ».
Puis, il me prit par la mâchoire pour me faire remonter à son niveau, m’embrassa brièvement et me poussa sur le lit. Il se rhabilla, me banda les yeux – la sonnette retenti – Il se dirigea vers la porte, j’entends une voix d’homme inconnue, plus jeune… Pierre l’emmena à la chambre, fit de brèves présentations et lui dit :
« je te regarde faire jouir ma p’tite chienne … »
Et je le senti s’assoir juste à côté de mon visage.
- Etant privée de ma vue, je sens mes quatre autres sens se décupler. J’avais l’impression d’être comme dans un cocon, libre de pouvoir me libérer sans aucune gêne ou pudeur. –
L’inconnu commença par parcourir tout mon corps à l’aide d’un objet fin et légèrement froid, un frissonnement s’empara de moi. L’objet continuait à explorer mes courbes, me caresse les lèvres vaginales, puis remonta jusqu’aux seins, tétons. Je frissonnais.
Pierre, d’une main me tenait la tête et de l’autre empoignait mes cheveux.
De son objet, l’inconnu me fouetta légèrement les seins, puis les tétons pour descendre au clitoris.
« Hummmm une cravache, mon jouet préféré ! », pensais-je.
Cet agréable élancement me procure beaucoup de bien, je gémi, commence à me tortiller de plaisir, je mouille ! L’anonyme s’arrêta, me mit des liens aux chevilles et poignets.
- J’aime me sentir « une femme objet », juste là pour procurer la jouissance de mon Maitre et du poulain qu’il m’a choisi. –
L’étranger se déshabilla et de me demanda d’ouvrir la bouche, il approcha son sexe rigide, c’est mon Maître qui me guidait, qui pilotait ma tête, il gérait le rythme la fellation ! Une fois de plus il prit possession de moi et cela m’exaltait. M. X, tout en se faisant sucer, me doigtait. Un, deux, puis trois … quatre doigts sur maintenant dans mon vagin. Il me doigtait de plus en plus fort, j’étais trempée. Il se retira de ma bouche car il voulut m’entendre le supplier de continuer ces préliminaires.
L’inconnu demanda à mon Maître de retirer ses mains, afin de me positionner en levrette, le cul bien tendu, ouvert aux moindres désirs de mon second maître. Pierre se leva pour aller admirer la vue et en profita pour me fesser. Je senti l’étranger me chevaucher pour mieux me pénétrer.
- Ca y est, elle est en moi. Je sens mon vagin se resserrer autour du phallus –
« Ho put*** que c’est bon ! ».
Le jeune homme commença par me mettre des petits coups de reins, son gland tapait au plus profond de moi, puis les allers et retours se faisaient de plus en plus vite.
« Continues, j’en veux encore! Vas-y plus vite ! » Cirais-je.
Je mouillai comme jamais.
- Serait-ce le fait que j’ai les yeux bandés ? Ou que mon Maître observe la scène et ma montée au Nirvana ? Que je fasse l’amour à un parfait inconnu que je ne connaitrai et reconnaitrai jamais ? –
Je sentais mon corps trembler à chaque coups de bite, je ne me contrôlais plus, je me laissais emporter par un vent de jouissance, les larmes me montaient aux yeux, JE JOUIS!
« Ne t’arrêtes pas, vas-y, vas-y, vas-y ! » bafouillais-je tout en reprenant mon souffle.
Il continua quelques minutes, puis se retira et à son tour pour jouir sur mon dos, à son tour.
- J’adore sentir cette semence chaude sur mon corps rempli de satisfactions sexuelles. -
Mon vénéré lui demanda de me nettoyer ainsi que de me détacher, puis de partir. La porte claqua, Pierre me demanda, tout en enlevant mon bandeau :
« Tu as bien jouis, p’tite salope ?
- Ho oui, je vous en remercie Monsieur. »
Tout en me prenant par la mâchoire, il poursuivi :
« Je ne t’avais pas donné un ordre ?
- euuuuuh oui, peut-être ! Répondis-je déboussolée.
-Je ne t’avais pas demandé de te taire? Et tu l’as respecté ?
- Non Maître, veuillez m’en excuser !
- Non ! Et tu seras punie ! répondit-il sèchement. »
Je me mis à genoux et le supplia d’être clément, pour cette fois ci. Il me dit avec un regard noir :
« - À chaque faute que tu commettras, tu seras punie. Et jamais de la même manière. Parfois, je te laisserai plusieurs heures, voire plusieurs jours sans en reparler, et la sanction sera exécutée au moment où tu t’y attendras le moins. C’est efficace pour remettre une soumise indisciplinée dans le droit chemin.
- sûrement, répondis-je »
Il continua, tout en se déshabillant :
« - Pour te faire comprendre la leçon, tu vas recevoir cinq coups de cravache. Je veux que tu les comptes et je t’interdis de changer de position ! »
Il prit la cravache, qui 30min auparavant servait de jouet, s’assit sur le rebord du lit, me positionna le ventre contre ses cuisses brulantes, les fesses légèrement remontées et commença ma punition.
« Un, deux …, ciiiiiiiiiiiinq! Aie! »
J’ai eu mal. Il me demanda comment je me sentais et je lui répondis avec un sourire timide :
« Punie …
- c’était bien le but … » me répondit-il comblé.
Délicatement, il me massa les fesses afin d’atténuer la douleur, tout en parlant de cette sanction. Puis nous nous sommes allongés, couvert d’un plaid, l’un contre l’autre, emprisonnée dans ses bras, j’avais besoin d’être cajolée, rassurée après ce moment éprouvent.
Il est mon Maître, je suis sa soumise et je dois lui obéir.
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