il était d'accord pour que je baise ma belle soeur

- Par l'auteur HDS Georges -
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Auteur homme.
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Récit libertin : il était d'accord pour que je baise ma belle soeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
il était d'accord pour que je baise ma belle soeur
Je ne vois plus ma belle-sœur de la même manière…
Ils se sont mariés il y a deux ans. Alexandra a vingt-deux ans comme moi, mon frère
Martin en a deux de plus. Je m’appelle Enzo.

Comment vous décrire Alex (pour les intimes) ? Elle est la vie même : pétillante,
simple, très intelligente, ouverte, sans chichis, des yeux pleins de malice, toujours
le sourire. Bref, la femme dont on rêve. Ça, c’est pour la généralité.
Voici maintenant pour la silhouette : SUBLIME !
Un petit cul pommelé, une taille de guêpe, des seins en forme de poire. Je les ai vus
!
Des cuisses pleines, des mollets bien galbés, en deux mots, une nana sublime.

Un jour de plage, nous étions tous les quatre, avec ma copine de l’époque. Le soir,
tous les gens partis, nous fîmes les fous. Les filles avaient passé l’après-midi la
poitrine à l’air et un bas de maillot trop mini, noués sur les côtés. Elles nous
chauffèrent toute la soirée. Nos érections impromptues les faisant rire, nous
retournâmes dans l’eau. Là, Alex sauta sur mon dos, écrasant ses seins sur mes
omoplates. Pour la soutenir, je posai mes mains très haut sur ses cuisses, tout près
de sa vulve collée à mes reins…
Ma copine en fit autant avec mon frère. Nous jouâmes un moment à nous tirailler.
Martin tira sur le nœud qui retenait le maillot de sa femme. Évidemment, je fis de
même avec ma copine, qui ne protesta pas. Les deux femmes glissant de nos dos, se
retrouvèrent quasiment nues, le pubis à moitié découvert. Nous défiant du regard,
elles tirèrent sur l’autre ficelle.

- Vous n’allez pas rester en rade, vous deux !

Martin surenchérit, en baissant son maillot pour montrer son érection.
Et c’est comme cela, que nous nous retrouvâmes tous à poil et continuâmes à chahuter.
La situation devenait de plus en plus trouble. Les rires avaient disparu, remplacés
par des attouchements de plus en plus précis. Mon frère tenait une jambe de ma copine
en l’air et était prêt à l’enfiler debout. Alex cria,

- STOP ! Ça va trop loin !

Nous nous rhabillâmes sans un mot. Depuis, aucune allusion fut faite quant à ce
dérapage, ce qui n’empêcha pas de continuer les réflexions osées, comme nous le
faisions avant. Pour ma part, je gardais en mémoire, le corps divin de ma belle-sœur
contre le mien…

- Enzo, tu viens nous retrouver à dîner samedi soir ? Nous avons une surprise pour
toi.

- OK. Mais je viendrai seul. Ma copine n’est pas dispo.

- C’est mieux comme ça. Nous resterons entre nous pour cette surprise.

Que pouvait bien être cette surprise ?
Je gambergeai toute la journée. Mais cela ne servit à rien. Je me rendis donc chez
eux, le cœur battant et tombai sur une Alex toute en beauté. Robe courte à fines
bretelles, les tétons cherchant à percer le tissu, qui moulait aussi ses fesses bien
rebondies. Entre elles, une raie sombre : slip ou non ? Si oui, il devait être
minuscule !

- Alors ? Cette surprise. C’est quoi ?

- Oh ! Du calme ! Nous te dirons ça au dessert. Pour l’instant, trinquons à la santé
d’Alex.

- À la vôtre aussi, Messieurs !

Le dîner fut bien réussi et dans l’ambiance à son comble, les histoires de culs
fusèrent.
De temps à autre, une bretelle tombait sur le bras. La pointe du sein tenait alors
l’ensemble. Je déglutis difficilement, quand je vis la main de mon frère disparaître
sous la table. Aux yeux expressifs de sa femme, je me doutais bien de ce qu’il
touchait…

- Martin ! Du calme ! Ton frère est là.

- Tu ne perds rien à attendre, ma belle. Ce soir, je vais percer ton slip avec mon…

- Oh ! Tu n’auras aucun mal. Il est ouvert !

- C’est celui du sex-shop ?

- Chuuuuutttt !

- Faites comme si je n’étais pas là, les tourtereaux !
Au fait, cette surprise ?

- Bon. Le moment est venu : j’ai cabossé Alex !
Telle que tu la vois, elle a un polichinelle fille dans le tiroir.

- Ce n’est pas vrai ! Tu as réussi à la féconder avec ton vermicelle ?

- Si Martin a un vermicelle, tu as le même… si je m’en souviens bien !

- Et tu seras le parrain, mon vieux.

- Depuis combien de temps dure cette gestation ?

-… Depuis la journée de plage… Tu te souviens ?

- Tu parles !

- En rentrant, je l’ai carrément défoncée !

- MARTIN ! Reste courtois !
Si j’ai mis fin à nos amusements ce soir-là, c’était parce que j’étais en pleine
ovulation.

- Eh bien ! Heureusement ! Sinon ?

- Je l’aurais gardé quand même. Ce ne serait pas sorti de la famille : vous vous
ressemblez comme deux gouttes d’eau.

- Je suis troublé… Buvons à la santé de ma filleule !

Soudain le téléphone sonna. Le visage d’Alex s’assombrit d’un coup.

- Oh NON ! Pas ce soir !

Martin se leva et alla décrocher le combiné.
J’avais omis de préciser, qu’outre son métier, il est aussi pompier volontaire.
Il revint l’air déçu.

- Je suis obligé d’y aller. Un feu important s’est déclaré.
Enzo, tu veux bien rester dormir là ce soir ?
Alex a peur de rester seule.

- Pas de soucis, je vais l’aider à débarrasser la table et nous ferons un scrabble en
t’attendant.

- Je ne serai malheureusement pas là avant demain matin. Je me sauve. À plus !

Visiblement très contrariée, Alex s’en alla dans la cuisine.
La rejoignant, je la vis s’affairer à l’évier, la tête penchée, rentrée dans les
épaules.

- Tu ne te sers pas de ton lave-vaisselle ?

- J’allais simplement laver les verres fragiles.

Un reniflement significatif m’alerta. Elle pleurait…

- Que se passe-t-il ? Il va vite revenir !

- Je sais bien…

De trois quarts derrière elle, je posai une main sur son épaule. La bretelle de la
robe tombée, le sein était presque découvert. Ma tête vint sur la sienne. Je lui
murmurai à l’oreille,

- N’abîme pas ces beaux yeux…

- Tu ne sais pas tout. Enzo…

- Mais qu’est-ce qui se passe ici à la fin ?

D’un bloc, elle se tourna vers moi et s’accrocha à mon cou.

- Je suis malheureuse !
Je crois que Matin me trompe. Ce soir, je ne sais pas si le coup de téléphone venait
réellement de la caserne. L’autre jour, après une de ses sorties, j’ai fait une
lessive. Un de ses slips était taché de sang.

- Et alors ?

- Ou cette femme avait ses ours, ou elle était vierge pardi !

- Tu lui en as parlé ?

- Non. Serre-moi contre toi Enzo…

Tellement abasourdi par cet aveu, j’obéis comme un automate. C’était la première fois
que j’étreignais ce corps, qui épousait le mien.
Ses seins s’écrasèrent sur moi, ma cuisse s’emboîta entre les siennes, mon boxer
devint étroit. Mon visage se pencha sur le sien, ma langue lécha la larme qui coulait
vers sa bouche…

- Alex…

- Enzo… Embrasse-moi…

Sans répondre, je posai ma bouche sur la sienne. Nos langues et nos salives se
mélangèrent. Son bassin accentua la pression sur mon érection. Mes mains firent
glisser les bretelles, découvrant la poitrine. Alex œuvra pour déboucler ma ceinture
et glissa à terre, entraînant mon pantalon et mon boxer vers le bas. Ma queue raide
fit un bond en l’air, aussitôt absorbée par une bouche vorace. J’avais trop envie
d’elle, pour me satisfaire d’une pipe.

- Relève-toi Alex. Allons dans la chambre.

- Oui. Vite !

Quand nous refermâmes la porte, nos vêtements volèrent en tous sens, à part ce fameux
string fendu.

- Tu ne l’ôtes pas ? Ça me rappellera la présence de mon frère.

- Comme tu veux.

Ma belle-sœur se coucha nue au beau milieu du lit, exposée comme une fille de joie. Je
me plaçai tête bêche sur elle. Ma queue et mes couilles furent saisies à pleines mains
et attirées à bonne hauteur, pour être léchées. Mon nez et mon menton fouillèrent sont
intimité ruisselante, à la façon d’un groin de porc. Mon visage se trouva nappé de
cyprine. En jouant du bassin, elle me fit comprendre que je devais la lécher plus
précisément. Je joignis deux doigts à ma langue et forai sa chatte.
Très vite, elle serra ses cuisses sur ma tête en hurlant. Mon foutre jaillis au même
moment dans sa gorge. Je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits. Faisant
un demi-tour en douceur, je me plaçai entre ses cuisses relevées.

- Baise-moi Enzo…

- Tu ne le regretteras pas ?

- Sûrement pas ! Enfonce-toi maintenant !

Glissant sur son corps en sueur, ma queue trouva toute seule l’entrée de son vagin
étroit. Les yeux dans les yeux, la bouche ouverte, je pénétrai ce corridor en feu.
Nos pubis unis, je marquai une pose. Ses muscles se contractèrent sur ma queue comme
une prière. Quand je pris appui sur mes mains, elle me ceintura de ses longues jambes.
La danse infernale du coït commença. Nos chairs s’entrechoquèrent, ses seins
ballottèrent en tous sens. Jamais je n’ai baisé avec autant de vigueur !

- C’est bon ! C’est bon ! C’est bon ! C’EST BOOOOOOOOOONNNNNNNN !

- OH OOOOOOOOUUUUUII ! C’EST BOOOOOOOONNNNNNN !

- Je te sens gicler ! ENCORE ! ENCORE ! ENCORE !

Tout mon poids pesa sur elle. Des coulées brûlantes suintèrent de sa vulve éclatée.
Lentement, ma verge se rétrécit. Me soulevant, je roulai sur le côté. Un bruit mouillé
accompagna mon retrait.

- J’inonde les draps.

- Tu ne regrettes toujours rien ?

- Tu es fou ? Quelle fougue !
Je m’aperçois que ton frère s’empâte… Est-il déjà blasé ? M’aime-t-il toujours
?
Dès qu’il rentrera, je lui raconterai notre soirée.

- Pas question ! Je ne me cacherai derrière toi. C’est à moi de lui avouer. Je tirerai
aussi cette histoire de slip taché au clair.

- Je vais me coucher, Enzo. Merci d’avoir calmé ma soif de toi…

Le lendemain matin, Martin revient fourbu après une nuit d’enfer. Malgré cela, je
voulus immédiatement crever l’abcès.

- Martin, ça va ?

- Bof, content d’être rentré ! Alex dort encore ? Tu as l’air aussi fatigué que moi.
Qu’avez-vous fait après mon départ ?

- Alex est aussi fatiguée que moi… Nous avons fait l’amour…

- C’est tout ?

- Comment ça, c’est tout ?

- Figure toi petit frère, que si je n’avais pas été appelé hier soir, je l’aurais mise
dans ton lit !

- Tu es sérieux ?

- On ne peut plus !

-… Mais… Et dis-moi, ce slip taché de sang qu’elle à découvert. Tu as une maîtresse ?

- T’es con ? Une maîtresse ?…aaaaaaaaaaaahhh je vois !
Pourquoi cette andouille ne m’en a pas parlé ?
C’est simple : l’autre jour, j’ai été appelé sur un accident pas beau à voir. En cour
d’intervention, j’ai été obligé d’aller vomir derrière un fourgon et en même temps,
j’ai pissé. Mais je ne m’étais pas aperçu que j’avais du sang sur les mains. C’est
tout con et je ne lui ai pas signalé. Voila tout !

- Tu devrais tout de suite aller le lui expliquer. Moi je rentre et pardon frangin de
t’avoir trompé.

- Pas question ! Tu ne partiras pas comme ça ! Viens la réveiller avec moi.
Elle peut bien encore supporter deux queues ! Non ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonsoir, Georges ! Jolie histoire mais sais-tu ce que veux dire "pommelé" ? Cela ne signifie pas en forme de pommes mais couvert de petits nuages ! On use aussi de cet adjectif en parlant de la robe d'un cheval quand elle est couverte de taches grises ou blanches... Remarque que j'ai compris tout de même ce que tu voulais dire !! sourire...Didier

Histoire Erotique
je la baiserais bien cette Alex

elle est chanceuse cette Alex, deux frères juste pour elle.

bise

love_



Texte coquin : il était d'accord pour que je baise ma belle soeur
Histoire sexe : Une rose rouge
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