Il était une fois... (2)
Récit érotique écrit par LovinOnTheBeat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il était une fois... (2)
Il était une fois...(2)
Après notre première «vraie» relation sexuelle (les caresses ne comptent pas, non?), Grégoire et moi devenions inséparables. Pas une heure passait sans qu'il ne m'embrasse, sans que je le dévore des yeux, éprise d'un désir insatiable. Nous faisions l'amour dès que possible, partout : un autre laboratoire, ma chambre, la sienne, dans une douche, sur l'herbe, dans la forêt derrière le lycée... Il était inépuisable, et j'en redemandais.
Un jour, nous sommes allés avec la classe à une conférence sur la chimie – la plupart d'entre nous y voyait juste l'occasion d'une excursion, le sujet étant incompréhensible. Assise au fond de la salle, bondée, notre classe passa inaperçue; le professeur, Madame Gribiche, préféra s'avancer, nous laissant livrés à nos hormones. La scène, plus éclairée que la salle, permit aux couples de s'enlacer et de s'embrasser sans être vus; la solidarité – ou la frustration - avait poussé les célibataires à se placer devant les couples, laissant le champ libre à leurs pelotages. Grégoire suivit la conférence les 5 premières minutes, puis décrocha - «Complètement incompréhensible à notre niveau», d'après lui.
J'étais blottie contre lui, les jambes par-dessus les siennes, la tête contre son cou. Nous nous embrassâmes, et ses mains se mirent an action: il caressa mon dos et mes fesses de la droite, et la gauche se reporta sur mes seins. Je glissais ma main droite sur le bas de son torse, désireuse de descendre encore, mais craignant d'être découverte. Lorsqu'il glissa sa main gauche sous mon top vert et mon soutien-gorge, je me rendis compte que je mouillais; et j'introduisis ma main dans son boxer, pour caresser sa queue déjà en érection. Nous nous échauffions seulement, mais déjà je n'en pouvais plus; Grégoire délaissa mes seins, et descendit la main vers mon entre-jambes, souleva ma jupe – j'avais banni les pantalons, trop peu pratiques – et glissa sa main dans ma culotte en dentelle ajourée.
Il caressa mon bouton, rendu extra-sensible tant j'étais excitée, puis glissa deux doigts en moi, commençant un ballet, en massant mon clitoris de son pouce. J'accélérais la cadence de ma branlette, et sentis sa queue battre contre ma paume; j'arrêtais la caresse, et l'embrassais. Ses doigts me firent jouir plusieurs fois; ne pouvant plus garder le silence, je le priais d'arrêter, de peur de ne plus pouvoir me retenir. Nous étions assis en bord de rang; il se leva, sortit, et je le suivis un instant après. Les couloirs étaient vide, la plupart des gens étant dans l'amphithéâtre; Grégoire m'attira contre un mur, se colla à moi, et m'embrassa fougueusement, en glissant ses mains sous mon T-shirt.
Il pressa mes seins et colla son bassin contre moi: il avait une érection du feu de dieu! Je lui pris la main, et nous nous sommes glissés dans un renfoncement au fond du couloir – plus personne ne pouvait nous voir. Grégoire baissa pantalon et boxer, libérant sa pinne gonflée et suintante, ainsi que ma jupe et mon slip; il me souleva en calant mes genoux au creux de ses coudes, et il me pénétra rudement. Son sexe commença un va-et-vient torride qui me ramona la chatte. Plus il accélérait, plus je jouissais. Lorsque je sentis sa queue battre dangereusement, il s'arrêta net, m'embrassa fougueusement et me reposa. Je me suis retournée, la poitrine écrasée contre le mur, et Grégoire m'enfila sa bite d'un coup dans la chatte. Il me baisa sauvagement, et je tremblais comme une folle. Je ne pus plus retenir mes gémissements, et priais pour que personne ne vienne. Tout à coup, alors que ma tête me tournais et que j'avais perdu le sens des réalités à cause du plaisir, Greg éjacula en moi en longs jets, poussant un râle viril et terriblement sexy. Il me plaqua contre le mur, en caressant mon clitoris, et me fit jouir une dernière fois. Nous nous sommes rhabillés, et je me suis rendue aux toilettes pour me laver alors que Greg retournait dans l'amphithéâtre pour nous couvrir.
Après notre première «vraie» relation sexuelle (les caresses ne comptent pas, non?), Grégoire et moi devenions inséparables. Pas une heure passait sans qu'il ne m'embrasse, sans que je le dévore des yeux, éprise d'un désir insatiable. Nous faisions l'amour dès que possible, partout : un autre laboratoire, ma chambre, la sienne, dans une douche, sur l'herbe, dans la forêt derrière le lycée... Il était inépuisable, et j'en redemandais.
Un jour, nous sommes allés avec la classe à une conférence sur la chimie – la plupart d'entre nous y voyait juste l'occasion d'une excursion, le sujet étant incompréhensible. Assise au fond de la salle, bondée, notre classe passa inaperçue; le professeur, Madame Gribiche, préféra s'avancer, nous laissant livrés à nos hormones. La scène, plus éclairée que la salle, permit aux couples de s'enlacer et de s'embrasser sans être vus; la solidarité – ou la frustration - avait poussé les célibataires à se placer devant les couples, laissant le champ libre à leurs pelotages. Grégoire suivit la conférence les 5 premières minutes, puis décrocha - «Complètement incompréhensible à notre niveau», d'après lui.
J'étais blottie contre lui, les jambes par-dessus les siennes, la tête contre son cou. Nous nous embrassâmes, et ses mains se mirent an action: il caressa mon dos et mes fesses de la droite, et la gauche se reporta sur mes seins. Je glissais ma main droite sur le bas de son torse, désireuse de descendre encore, mais craignant d'être découverte. Lorsqu'il glissa sa main gauche sous mon top vert et mon soutien-gorge, je me rendis compte que je mouillais; et j'introduisis ma main dans son boxer, pour caresser sa queue déjà en érection. Nous nous échauffions seulement, mais déjà je n'en pouvais plus; Grégoire délaissa mes seins, et descendit la main vers mon entre-jambes, souleva ma jupe – j'avais banni les pantalons, trop peu pratiques – et glissa sa main dans ma culotte en dentelle ajourée.
Il caressa mon bouton, rendu extra-sensible tant j'étais excitée, puis glissa deux doigts en moi, commençant un ballet, en massant mon clitoris de son pouce. J'accélérais la cadence de ma branlette, et sentis sa queue battre contre ma paume; j'arrêtais la caresse, et l'embrassais. Ses doigts me firent jouir plusieurs fois; ne pouvant plus garder le silence, je le priais d'arrêter, de peur de ne plus pouvoir me retenir. Nous étions assis en bord de rang; il se leva, sortit, et je le suivis un instant après. Les couloirs étaient vide, la plupart des gens étant dans l'amphithéâtre; Grégoire m'attira contre un mur, se colla à moi, et m'embrassa fougueusement, en glissant ses mains sous mon T-shirt.
Il pressa mes seins et colla son bassin contre moi: il avait une érection du feu de dieu! Je lui pris la main, et nous nous sommes glissés dans un renfoncement au fond du couloir – plus personne ne pouvait nous voir. Grégoire baissa pantalon et boxer, libérant sa pinne gonflée et suintante, ainsi que ma jupe et mon slip; il me souleva en calant mes genoux au creux de ses coudes, et il me pénétra rudement. Son sexe commença un va-et-vient torride qui me ramona la chatte. Plus il accélérait, plus je jouissais. Lorsque je sentis sa queue battre dangereusement, il s'arrêta net, m'embrassa fougueusement et me reposa. Je me suis retournée, la poitrine écrasée contre le mur, et Grégoire m'enfila sa bite d'un coup dans la chatte. Il me baisa sauvagement, et je tremblais comme une folle. Je ne pus plus retenir mes gémissements, et priais pour que personne ne vienne. Tout à coup, alors que ma tête me tournais et que j'avais perdu le sens des réalités à cause du plaisir, Greg éjacula en moi en longs jets, poussant un râle viril et terriblement sexy. Il me plaqua contre le mur, en caressant mon clitoris, et me fit jouir une dernière fois. Nous nous sommes rhabillés, et je me suis rendue aux toilettes pour me laver alors que Greg retournait dans l'amphithéâtre pour nous couvrir.
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