Il était une fois… L’approche du loup dans le petit bois
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il était une fois… L’approche du loup dans le petit bois
Leslie RF13 – Rêves et fantasmesIl était une fois… L’approche du loup dans le petit bois
« Je viens de dénicher un petit endroit assez retiré, discret et vraiment sympa, en fait je le connais car c’et là que je viens toujours.
Cet endroit à tout ce qu’i faut pour ce que je viens y faire, isoler des chemins, bien protéger par la végétation abondante, c’est un endroit dégager de cinq mètres de diamètre environ, avec sur le bord un gros tronc d’arbre abattu qui sert de banc. Le sol est couvert de mousse épaisse et les rayons du soleil viennent, au travers des feuillages, éclairer cet endroit d’une douce lumière diffuse qui confer une certaine intimité.
Je stresse un peu car depuis tout à l’heure, c’est fou tous les bruits que j’entends ! En réalité ce petit bois n’est pas du tout le monde du silence, entre le bruissement des feuilles et les craquements des branches mortes jonchent le sol, mille bruits signalent d’autres présences que la mienne…Arrivée, je m’appuie contre un arbre, en prenant un air provoquant, les seins durcis par l’excitation et le sexe en éveil, semi-érigée, attendant de voir si les hommes arrivent ou pas.
Soudain, j’entends comme un bruit de pas juste derrière moi, et une voix me dit :- Vous savez que vous êtes magnifique ? Surtout nue au milieu de ce petit bois !
Pivotant aussitôt sur moi-même, je me retrouve avec un homme près de moi, habillé d’une chemisette blanche ouverte sur son torse velu et d’un pantalon de toile blanche, qui me regarde droit dans les yeux.
- Ce n’est pas n’importe quel petit bois, lui dis-je, chacun se trouvant ici sait pourquoi il est là, je pense que pour vous il en est de même !
- En effet, mais je ne m’attendais pas à vous y retrouver !
Il s’approche de moi, pour me prendre dans ses bras, pas choquée puisque je suis là pour cela, je n’oppose pas de résistance et je le laisse coller son corps contre le mien.
Il est flagrant que je lui fais un certain effet, car quelque chose d’assez dur plus bas, contre ma cuisse, l’atteste sans problème !
Il incline la tête vers moi et approchant ses lèvres des miennes, il me dit :- Vous savez que nous ne sommes pas seuls ici ?
- Oui je le sais, comme je sais que vous êtes un habitué des lieux et que c’est la première fois que vous vous êtes décidé à m’aborder !
Oui, cet homme ce n’est pas la première fois que je le vois me regarder et me mater dans mes exhibitions les plus folles- Je regrette bien de ne pas avoir osé plus tôt, vous m’exciter tant !
Et il m’attire contre et m’embrasse à pleine bouche, durant ce baiser je ne peux que constater la raideur de son sexe qui bat de désir contre ma cuisse et posant ma main sur son pantalon de toile, je prends son membre au travers du tissu pour mieux en discerner la forme, la raideur et la grosseur.
C’est pas la première fois que je me laisse embrasser durant une exhibition, en général je refuse mes lèvres aux premier venu et même si cela se termine parfois par une sodomie, mais là, je suis tellement excitée que je ne peux refuser ce baiser, et je l’avoue, cela me fait franchement quelque chose !
Je me sens soudain toute faible et consentante et je dois même lutter contre moi-même pour ne pas répondre à son baiser ! Quand ses lèvres quittent les miennes, je suis partagée entre le soulagement et la frustration. Et visiblement, il semble s’en rendre compte :- Tu as aimée n’est-ce pas, même si c’est contraire à tes principes !
En me disant cela, mon inconnu ne perd pas son temps, me gardant bien contre lui, ses mains caressant mon dos dénudé, tandis que je me laisse faire !
Je sens ses doigts descendre petit à petit, très tendrement vers ma raie des fesses et ça me procure des doux frissons, puis d’une main il me caresse les fesses, puis empruntant le sillon, il va caresser ce qu’il y a entre elles.
Son doigt aventurier après avoir parcouru le sillon, accroche la pierre de mon rosebud et il me dit :- Ah, je sens que vous avez toujours votre rosebud !
- Oui, cela vous plait ?
- C’est admirable ! Cela met ton anneau en valeur…- Ne me l’enlevez pas, enfin, pas tout de suite- Ce n’était pas mon attention, pas maintenant.
- Mais… Que faites-vous ?
- Laissez-vous aller et vous verrez !
Il me fait taire d’un autre baiser qui me tétanise à nouveau, et me fait bander aussitôt, puis quand nos lèvres se quittent, il se décolle de moi doucement et me retournant le dos contre lui, il m’exhibe aux yeux des autres en me branlant le sexe…Cela dure un moment et je sais que les voyeurs présents ne perdent pas une miette du spectacle, d’autant que complètement abandonnée je me laisse branler en soupirant de plaisir, ma poitrine est elle aussi caressée et aussi le bout de mes seins érigés et durs.
Tandis que je succombe aux caresses de mon inconnu, qui il faut le dire sait y faire, je retourne ma tête vers lui pour lui offrir mes lèvres et mêler nos langues dans un baiser torride.
Je ne me reconnais plus, à bas tous mes principes, seul maintenant mon plaisir compte et m’emporte, tandis que je remarque le mouvement des feuilles non loin de nous, et peux constater que nous sommes matés par trois autres hommes… »
A suivre…
« Je viens de dénicher un petit endroit assez retiré, discret et vraiment sympa, en fait je le connais car c’et là que je viens toujours.
Cet endroit à tout ce qu’i faut pour ce que je viens y faire, isoler des chemins, bien protéger par la végétation abondante, c’est un endroit dégager de cinq mètres de diamètre environ, avec sur le bord un gros tronc d’arbre abattu qui sert de banc. Le sol est couvert de mousse épaisse et les rayons du soleil viennent, au travers des feuillages, éclairer cet endroit d’une douce lumière diffuse qui confer une certaine intimité.
Je stresse un peu car depuis tout à l’heure, c’est fou tous les bruits que j’entends ! En réalité ce petit bois n’est pas du tout le monde du silence, entre le bruissement des feuilles et les craquements des branches mortes jonchent le sol, mille bruits signalent d’autres présences que la mienne…Arrivée, je m’appuie contre un arbre, en prenant un air provoquant, les seins durcis par l’excitation et le sexe en éveil, semi-érigée, attendant de voir si les hommes arrivent ou pas.
Soudain, j’entends comme un bruit de pas juste derrière moi, et une voix me dit :- Vous savez que vous êtes magnifique ? Surtout nue au milieu de ce petit bois !
Pivotant aussitôt sur moi-même, je me retrouve avec un homme près de moi, habillé d’une chemisette blanche ouverte sur son torse velu et d’un pantalon de toile blanche, qui me regarde droit dans les yeux.
- Ce n’est pas n’importe quel petit bois, lui dis-je, chacun se trouvant ici sait pourquoi il est là, je pense que pour vous il en est de même !
- En effet, mais je ne m’attendais pas à vous y retrouver !
Il s’approche de moi, pour me prendre dans ses bras, pas choquée puisque je suis là pour cela, je n’oppose pas de résistance et je le laisse coller son corps contre le mien.
Il est flagrant que je lui fais un certain effet, car quelque chose d’assez dur plus bas, contre ma cuisse, l’atteste sans problème !
Il incline la tête vers moi et approchant ses lèvres des miennes, il me dit :- Vous savez que nous ne sommes pas seuls ici ?
- Oui je le sais, comme je sais que vous êtes un habitué des lieux et que c’est la première fois que vous vous êtes décidé à m’aborder !
Oui, cet homme ce n’est pas la première fois que je le vois me regarder et me mater dans mes exhibitions les plus folles- Je regrette bien de ne pas avoir osé plus tôt, vous m’exciter tant !
Et il m’attire contre et m’embrasse à pleine bouche, durant ce baiser je ne peux que constater la raideur de son sexe qui bat de désir contre ma cuisse et posant ma main sur son pantalon de toile, je prends son membre au travers du tissu pour mieux en discerner la forme, la raideur et la grosseur.
C’est pas la première fois que je me laisse embrasser durant une exhibition, en général je refuse mes lèvres aux premier venu et même si cela se termine parfois par une sodomie, mais là, je suis tellement excitée que je ne peux refuser ce baiser, et je l’avoue, cela me fait franchement quelque chose !
Je me sens soudain toute faible et consentante et je dois même lutter contre moi-même pour ne pas répondre à son baiser ! Quand ses lèvres quittent les miennes, je suis partagée entre le soulagement et la frustration. Et visiblement, il semble s’en rendre compte :- Tu as aimée n’est-ce pas, même si c’est contraire à tes principes !
En me disant cela, mon inconnu ne perd pas son temps, me gardant bien contre lui, ses mains caressant mon dos dénudé, tandis que je me laisse faire !
Je sens ses doigts descendre petit à petit, très tendrement vers ma raie des fesses et ça me procure des doux frissons, puis d’une main il me caresse les fesses, puis empruntant le sillon, il va caresser ce qu’il y a entre elles.
Son doigt aventurier après avoir parcouru le sillon, accroche la pierre de mon rosebud et il me dit :- Ah, je sens que vous avez toujours votre rosebud !
- Oui, cela vous plait ?
- C’est admirable ! Cela met ton anneau en valeur…- Ne me l’enlevez pas, enfin, pas tout de suite- Ce n’était pas mon attention, pas maintenant.
- Mais… Que faites-vous ?
- Laissez-vous aller et vous verrez !
Il me fait taire d’un autre baiser qui me tétanise à nouveau, et me fait bander aussitôt, puis quand nos lèvres se quittent, il se décolle de moi doucement et me retournant le dos contre lui, il m’exhibe aux yeux des autres en me branlant le sexe…Cela dure un moment et je sais que les voyeurs présents ne perdent pas une miette du spectacle, d’autant que complètement abandonnée je me laisse branler en soupirant de plaisir, ma poitrine est elle aussi caressée et aussi le bout de mes seins érigés et durs.
Tandis que je succombe aux caresses de mon inconnu, qui il faut le dire sait y faire, je retourne ma tête vers lui pour lui offrir mes lèvres et mêler nos langues dans un baiser torride.
Je ne me reconnais plus, à bas tous mes principes, seul maintenant mon plaisir compte et m’emporte, tandis que je remarque le mouvement des feuilles non loin de nous, et peux constater que nous sommes matés par trois autres hommes… »
A suivre…
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