Il n’y a pas d’âge pour apprendre (2)
Récit érotique écrit par Alexhia [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Il n’y a pas d’âge pour apprendre (2)
Voici la suite de cette histoire. En réponse à quelque commentaire, je précise que la protagoniste de cette histoire existe et que toutes les informations la concernant sont réelles. Merci et bonne lecture.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre (2)
Dans l’après-midi je laisse un message à Max sur son répondeur : « Max, c’est Alexhia. J’ai besoin en urgence de fric. Je veux commencer les séances photo cette semaine. »
Une heure après, il me téléphone : « Ça y est. Tu as décidé. Tu veux faire quoi, des solos, des duos avec Luis ? »
Je réponds « les deux »
Et Max reprend : « Les photos en solo, on peut les programmer très vite. Mais pour celles avec Luis, et la sodomie, t’as entendu Bernard, il faut préparer ton cul. Tu as quelqu’un pour ça ou tu veux que je te le dilate ? »
« Pourquoi ? C’est obligé qu’il m’encule à la première fois ? »
Max est surpris : « Première fois ? Ça veut dire que tu veux faire plusieurs séries ? »
« Si je prends la décision de me faire photographier à poil et entrain de me faire baiser, il n’y a pas de raison que je me contente d’une seule. Tant qu’à faire, je vais essayer de me renflouer et si je prends aussi du plaisir alors c’est le top. »
Max enchaine : « Mais ton cul, je connais Luis, il aime bien enculer les nanas. Tu ne pourras pas le retenir longtemps avant qu’il s’attaque à ton trou de balle. Je te repose la question, tu as quelqu’un pour te préparer à recevoir sa grosse bite ?»
« Il a aussi dit qu’il voulait me bouffer la chatte. On pourra démarrer en douceur pour la première séance. »
Je continue : « Je suis vierge du cul. Il faut que tu viennes me dépuceler le cul. »
« T’as plus peur que je voie à poil alors » me dit-il en rigolant, faisant allusion au rendez-vous chez le photographe. »
« Je pense que tu n’as plus grand-chose à découvrir de mon anatomie après ce que je vous ai montré au studio et la photo de ma chatte bien ouverte avec ton téléphone. Si ça trouve tu en a pris plusieurs d’ailleurs, non ? »
« Ben dis donc tu l’as prise vite ta décision. C’est dû à quoi cette rapidité, le fric ou la vision de la bite de Luis, Les 2 peut-être ? Mais je ne vais pas me plaindre si c’est moi qui te dépucèle le cul. »
Il continue : « J’ai pas mal à faire tous les jours. Si tu veux je peux être chez toi le matin à 9 heures. »
« Si tôt ? Un café et une sodomie au petit déj. Ça démarre fort la journée. » je lui réponds.
« C’est comme tu veux. Mais je t’ai dit que j’ai du boulot. Je viens tous les matins à 9 heures et on prévoit une série sodomie avec Luis dès que tu te sens prête. »
Je le reprends : « on est obligé d’attendre que tu m’aies préparé le fion ? On ne peut pas faire les photos et commencer mon entrainement ? »
« Tu veux que je t’encule le matin, et faire des photos de baise avec Luis plus tard dans la journée ? Dis donc tu deviens gourmande et dois être sacrément en manque. »
« Oui je suis en manque de cul et de fric ! »
« Donne-moi ton adresse et je serai chez toi après-demain matin vers 9 heures. Si c’est l’heure où tu te lèves, tu restes à poil au lit et on gagnera du temps sur ton déshabillage. Je vais venir avec un gel pour te lubrifier le cul mais je vais aussi utiliser ta mouille quand je vais te doigter la chatte avant de te baiser. »
Le surlendemain matin, je suis tôt la salle de bains. Je veux quand même avoir ma foune soit reluisante pour accueillir Max et je la taille tous les deux jours.
C’est une curieuse sensation que d’attendre quelqu’un que tu ne connais pas, mais avec qui tu as convenu d’un rendez-vous pour qu’il vienne chez toi te baiser et entrainer ton cul à la sodomie !
J’ai aussi pris le temps de me maquiller, rituel immuable du matin.
Je suis à enfiler ma nuisette quand l’interphone résonne dans l’appart.
« Bonjour, c’est Max »
« Je me doutais. Tu montes au 6ème et après il faut monter à pied jusqu’au 7ème. »
Je lui dis, d’un ton ironique : « C’est pour quoi cette visite matinale Monsieur ? »
L’interphone me renvoie une réponse, mélangée avec les bruits du hall de l’immeuble où il doit y avoir du monde à cette heure-là : « C’est pour une sodomie, Madame. C’est bien vous qui l’avez commandée ? »
J’imagine les réactions des locataires présents dans le hall et qui ont entendu Max. Ca va jaser.
Il sonne à la porte de l’appartement et, après un coup d’œil dans le judas, car je vais ouvrir en étant quasiment nue, je le laisse entrer. Il me dépose une bise rapide sur la bouche et une petite claque sur les fesses. Il se sent aussi obligé de relever un peu ma nuisette, bien transparente. Et il me fait remarquer que j’ai affirmé ne pas aimer les vêtements transparents.
« C’est pour toi que je l’ai sortie. Je ne la porte jamais. »
« Tu dors à poil alors ? »
«Non, jamais. Avec un t-shirt et un caleçon de mec, que j’ai taxé à un copain il y a longtemps.»
Il pose sur la table un sac avec des croissants. « C’est pour reprendre des forces après l’activité physique, et en cadeau pour ton pucelage » me dit-il en se marrant.
« Bon on commence tout de suite, je vois que tu es en tenue. Tu sens bon, il est agréable ton parfum. »
Je l’emmène à la chambre.
Pendant qu’il se déshabille je m’allonge sur mon lit, les cuisses écartées au maximum.
« Je me suis un peu taillé la touffe ce matin. Tu aimes ce que tu vois ? C’est pour toi, te mettre en condition ».
En le regardant retirer pantalon et caleçon, je remarque que sa bite prend de l’altitude. Certes il doit être un baiseur aux nombreuses conquêtes, mais je suis flattée que la vue de mon cul grand ouvert, qui l’attend et mouille, lui fasse déjà de l’effet.
« Toi aussi tu as une belle bite. Tu crois pouvoir me la mettre facilement ? »
Et je continue : « Tu te rends compte qu’avant-hier matin on ne se connaissait pas. Et ce matin tu es là dans ma chambre. Je suis à poil devant toi. Mes cuisses sont grandes ouvertes pour toi. Tu es là en service commandé pour me bouffer la chatte, me baiser, dépuceler mon cul et m’apprendre à aimer la sodomie ? Et le comble, c’est que, tu vois, je mouille en pensant à ce que tu vas me faire. Depuis le temps que je n’ai pas baisé, et les circonstances de cette baise matinale avec un inconnu, ma libido s’emballe. J’ai envie que tu me fasses jouir et que tu m’apprennes à jouir quand j’ai une bite dans le cul. »
« Tu parles beaucoup, tu parles trop, ça doit être l’excitation » me dit Max. « Et maintenant place aux travaux pratiques. »
Il monte sur le lit, m’embrasse et m’enlève ma fine nuisette. Ses mains caressent longuement mes seins. Il me suce alternativement les tétons qui bandent comme jamais je ne les ai sentis durs à ce point.
Sa main droite fouille mon vagin, écarte mes grandes lèvres, cherche et trouve mon clito et le titille de plus en plus fort.
Puis il me remet dans la position que j’avais au studio, allongée sur le dos, mets ses mains sous fesses, les relève vers sa bouche et plonge sa tête entre mes cuisses.
Depuis si longtemps privée de sexe, Je sens que je vais jouir ce matin. L’incongruité de la situation, les folles heures qui viennent de passer, font monter mon excitation à un niveau que je ne connaissais plus.
Après m’avoir bien sucée, léchée le clito et l’anus, Max relève sa tête et s’allonge sur le dos à son tour et me dit : « Viens sur moi en 69. »
Alors je me couche sur lui, mes cuisses ouvertes le plus possible. Je prends sa queue dans ma bouche. Encore un goût perdu dans mes souvenirs. Et je me régale d’avoir ce pieu dressé entre mes lèvres.
Aujourd’hui toutes mes lèvres retrouvent des sensations qu’elles ne connaissaient plus.
En même temps qu’il fouille mon vagin avec ses doigts, et entre 2 léchages de mon clito, il me dit : « tu sais, c’est pas seulement ton cul qui va devoir s’habituer à une grosse queue, c’est aussi ta chatte et ta bouche. Alors suce moi bien, jusqu’au bout et applique-toi. Je vais peut-être dépuceler ton cul, mais je vais aussi ramener ta bouche et ta chatte à la vie, les dépoussiérer. Avec les séances photo, tu vas en voir passer des queues dans tes trous. Au fait, quand tu seras prête pour la sodomie, tu vas essayer la double, et avec des blacks ? »
Et en même temps qu’il recommence à me lécher, je sens ses doigts fouiller mon vagin, en sortir et tourner doucement autour de mon petit trou qu’il humidie de ma mouille. C’est dingue quand même il est là à prendre du plaisir, au moins je l’espère, en jouant avec ma chatte, mais il n’oublie pas pourquoi il est là, me dépuceler le cul. Je sens alors un de ses doigts qui commence à me fouiller, à entrer petit à petit dans mon anus. Excitée comme je suis, je ne ressens que du plaisir à cette exploration rectale et je m’ouvre encore plus, ce qui lui permet d’introduire un 2ème doigt.
Il me dit : « c’est bon, tu n’as pas mal ? »
Avec sa queue dans la bouche que je suce goulument, je ne peux pas lui répondre immédiatement, alors je me redresse un instant pour lui dire de continuer, que j’aime ce qu’il me fait. Et je me remets sa bite en bouche. Il me donne du plaisir, j’essaie de lui en donner aussi, et je me régale à avoir au fond de ma gorge cette bite qui me fait pourtant un peu suffoquer.
La bite de Max est bien calibrée, mais il me l’a dit, celle de Luis sera plus difficile à avaler.
Ce matin, c’est plaisir et entrainement au plaisir. Ce sera ma réflexion du jour !
Après avoir bien fouillé mon anus avec 2 doigts, il s’arrête et me félicite pour la fellation que je lui fais mais qu’il faut ralentir maintenant pour qu’il n’éjacule pas trop vite.
Il a bien compris que je suis tellement en manque que j’essaie de rattraper le temps perdu en le pompant comme une malade.
Encore une leçon à retenir pour moi.
Il se redresse, me fait assoir sur le lit et me demande de lui enfiler le préservatif. Puis il me bascule en levrette et s’introduit dans mon vagin, tellement humide, qu’il rentre en totalité sa queue d’un seul coup. Il commence ses mouvements de va et vient que j’accompagne en remuant mon corps en cadence. Et en plus de sa bite qui me démonte, il me met à nouveau, 1 puis 2 doigts dans le cul, qui s’ouvre et se détend.
C’est trop bon et j’explose en criant de jouissance. Ça va faire plaisir aux voisins de m’entendre hurler. Depuis le temps que je vis seule et qu’ils ne voient pas grand monde venir chez moi, certains me posaient des questions un peu salaces sur ma solitude.
Une queue dans le vagin, 2 doigts dans mon cul, il m’entraine à la double pénétration … et j’ai hâte d’y être !
A mon âge, je découvre des plaisirs inconnus et je sens que ce n’est que le début.
Moi qui ai tendance à me méfier de tout le monde, et surtout des Blacks, je suis pressée qu’il y en ait 2 sur moi, à leur servir de jouet, de défouloir. Tout ça sous les projecteurs et devant l’objectif du photographe qui va filmer la scène… avant de la diffuser sur internet. Mon bonheur de me faire baiser et enculer en même temps va être visible partout.
Et tant pis si quelqu’un me reconnait sur des sites pornos.
J’en oublierais presque que c’est le manque d’argent qui me mène ici, à la redécouverte du plaisir sexuel.
Max décharge à son tour dans le préservatif et j’admire son endurance.
En se levant très vite, il me frustre d’un moment de tendresse et de calme que j’attendais. Mais il n’est pas venu pour ça. Si je suis en manque de tendresse et de sexe, il n’est là que pour le sexe.
Nous nous dirigeons tous les 2 à la salle d bains. C’est à nouveau une vision oubliée, me retrouver nue, après l’amour dans la salle de bains, avec l’homme qui vient de me donner du plaisir. En sortant de la douche, pendant qu’il s’essuie et commence déjà à se rhabiller, il me demande si j’ai apprécié cette baise matinale, si je suis prête à remettre ça demain matin.
Je ne peux que lui répondre que j’ai aimé tout ce qu’il m’a fait, sa douceur et sa délicatesse que je ne soupçonnais pas… et que je vais avoir du mal à l’attendre jusqu’au lendemain matin.
Il me dit : « tu restes à poil pendant qu’on prend le café. Je te sens encore chaude et ça me plait que tu sois nue pendant que je suis avec toi. »
Alors je vais à la cuisine préparer le café et nous nous asseyons, lui habillé, moi nue, pour « reprendre des forces après l’activité physique » en trempant les croissants dans nos tasses.
« Quand je vais partir, tu restes nue et tu m’accompagnes quand je vais ouvrir. S’il y a des voisins sur le palier, ils vont comprendre pourquoi tu as crié tout à l’heure. »
« Demain matin aussi tu m’attendras à poil et tu ouvriras grand la porte de l’appart quand je vais arriver, et sans vérifier par le judas qui est derrière. Peut-être que j’attendrai pour sonner qu’une porte s’ouvre sur ton pallier pour qu’un voisin profite du spectacle. Depuis ce matin tu es à poil, tu t’exhibes autant que tu peux pour moi et c’est bien. Mais il faut que tu apprennes à être à poil tout le temps, même s’il y a des gens que tu ne connais pas. C’est de cette manière que tu vas assumer ta nudité, te détendre et aimer être à poil. Pour commencer, comme tu as une belle terrasse, demain matin on prendra le café dehors, et tu seras nue. Peut-être que dimanche, comme c’est le jour où il y a du monde, je t’emmènerai à la plage. Tu te déshabilleras en public et restera nue sur la plage, tu partiras sans maillot de bain et nue sous une petite robe. »
Même en vivant seule, le moins qu’on puisse dire c’est que ce n’est pas dans mon mode vie que de rester nue et me balader à poil chez moi. Même s’il n’y a pas de fenêtre de voisins donnant sur mon appartement. Et encore moins en plein air et en public. Pour la terrasse demain, je le ferai car il n’y a pas de vis-à-vis. Juste les voisins de balcon qui peuvent nous entendre parler. Pour la plage, en public, je ne pense pas céder à sa demande. Et quoiqu’on en pense, si je vais me déshabiller chez le photographe, c’est pour gagner de l’argent. Sur la plage ce serait de l’exhibition, gratuite, et je n’en suis pas là.
A une époque, déjà en manque d’argent – c’est le fil conducteur de ma vie – je m’étais imaginée devenir Escort, sans jamais franchir le pas toutefois. Être appelée pour tenir compagnie à de riches messieurs aurait pu correspondre à mon maintien, mon physique. Aurait pu seulement. Parce que mon éducation m’a écarté de cette « profession ».
J’ai perdu des emplois, d’autres m’ont été inaccessibles parce que j’ai toujours refusé de « coucher » comme on dit.
Pourtant c’est quand même cette rencontre, inattendue, avec un photographe qui va me filmer à poil, et entrain de me faire sauter, qui m’amène à me décider à gagner de l’argent avec mon cul. Certes, je « coucherai » moins qu’en étant Escort, et pourrai – un peu j’espère– donner mon avis sur le choix des mecs qui vont me baiser devant l’objectif du photographe, mais c’est bien avec mon cul que je vais payer mes dettes.
Les années défilent, mon corps est toujours « consommable » mais ça ne durera pas éternellement. Je n’en peux plus de toujours, à mon âge, devoir me priver de out, de ne pas manger à ma faim chaque jour, d’être « réprimandée » par mon banquier, qui d’ailleurs m’a fait des avances, non pas d’argent, mais sexuelles.
Comme finalement tant de femmes de cette ville des Alpes Maritimes, ce sera avec mon cul que je vais améliorer mon quotidien, bref, vivre !
Quant à Max, je sais qu’il est venu « par devoir », que le plaisir qu’il a prend en me sautant le dédommage (!), qu’il reviendra chaque jour pour me baiser, pour mettre 2 ou 3 doigts de plus dans mon cul jusqu’à ce qu’il puisse m’enculer et que j’aime ça, mais je dois surtout me dire que cette relation va demeurer celle d’une sportive avec son entraineur… même si cet entraineur est un entraineur de sexe. Je vais ressentir de l’affection pour lui mais ça restera une relation de «sex-friend » … et pour la tendresse, et peut-être le fric, je devrai chercher ailleurs.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre (2)
Dans l’après-midi je laisse un message à Max sur son répondeur : « Max, c’est Alexhia. J’ai besoin en urgence de fric. Je veux commencer les séances photo cette semaine. »
Une heure après, il me téléphone : « Ça y est. Tu as décidé. Tu veux faire quoi, des solos, des duos avec Luis ? »
Je réponds « les deux »
Et Max reprend : « Les photos en solo, on peut les programmer très vite. Mais pour celles avec Luis, et la sodomie, t’as entendu Bernard, il faut préparer ton cul. Tu as quelqu’un pour ça ou tu veux que je te le dilate ? »
« Pourquoi ? C’est obligé qu’il m’encule à la première fois ? »
Max est surpris : « Première fois ? Ça veut dire que tu veux faire plusieurs séries ? »
« Si je prends la décision de me faire photographier à poil et entrain de me faire baiser, il n’y a pas de raison que je me contente d’une seule. Tant qu’à faire, je vais essayer de me renflouer et si je prends aussi du plaisir alors c’est le top. »
Max enchaine : « Mais ton cul, je connais Luis, il aime bien enculer les nanas. Tu ne pourras pas le retenir longtemps avant qu’il s’attaque à ton trou de balle. Je te repose la question, tu as quelqu’un pour te préparer à recevoir sa grosse bite ?»
« Il a aussi dit qu’il voulait me bouffer la chatte. On pourra démarrer en douceur pour la première séance. »
Je continue : « Je suis vierge du cul. Il faut que tu viennes me dépuceler le cul. »
« T’as plus peur que je voie à poil alors » me dit-il en rigolant, faisant allusion au rendez-vous chez le photographe. »
« Je pense que tu n’as plus grand-chose à découvrir de mon anatomie après ce que je vous ai montré au studio et la photo de ma chatte bien ouverte avec ton téléphone. Si ça trouve tu en a pris plusieurs d’ailleurs, non ? »
« Ben dis donc tu l’as prise vite ta décision. C’est dû à quoi cette rapidité, le fric ou la vision de la bite de Luis, Les 2 peut-être ? Mais je ne vais pas me plaindre si c’est moi qui te dépucèle le cul. »
Il continue : « J’ai pas mal à faire tous les jours. Si tu veux je peux être chez toi le matin à 9 heures. »
« Si tôt ? Un café et une sodomie au petit déj. Ça démarre fort la journée. » je lui réponds.
« C’est comme tu veux. Mais je t’ai dit que j’ai du boulot. Je viens tous les matins à 9 heures et on prévoit une série sodomie avec Luis dès que tu te sens prête. »
Je le reprends : « on est obligé d’attendre que tu m’aies préparé le fion ? On ne peut pas faire les photos et commencer mon entrainement ? »
« Tu veux que je t’encule le matin, et faire des photos de baise avec Luis plus tard dans la journée ? Dis donc tu deviens gourmande et dois être sacrément en manque. »
« Oui je suis en manque de cul et de fric ! »
« Donne-moi ton adresse et je serai chez toi après-demain matin vers 9 heures. Si c’est l’heure où tu te lèves, tu restes à poil au lit et on gagnera du temps sur ton déshabillage. Je vais venir avec un gel pour te lubrifier le cul mais je vais aussi utiliser ta mouille quand je vais te doigter la chatte avant de te baiser. »
Le surlendemain matin, je suis tôt la salle de bains. Je veux quand même avoir ma foune soit reluisante pour accueillir Max et je la taille tous les deux jours.
C’est une curieuse sensation que d’attendre quelqu’un que tu ne connais pas, mais avec qui tu as convenu d’un rendez-vous pour qu’il vienne chez toi te baiser et entrainer ton cul à la sodomie !
J’ai aussi pris le temps de me maquiller, rituel immuable du matin.
Je suis à enfiler ma nuisette quand l’interphone résonne dans l’appart.
« Bonjour, c’est Max »
« Je me doutais. Tu montes au 6ème et après il faut monter à pied jusqu’au 7ème. »
Je lui dis, d’un ton ironique : « C’est pour quoi cette visite matinale Monsieur ? »
L’interphone me renvoie une réponse, mélangée avec les bruits du hall de l’immeuble où il doit y avoir du monde à cette heure-là : « C’est pour une sodomie, Madame. C’est bien vous qui l’avez commandée ? »
J’imagine les réactions des locataires présents dans le hall et qui ont entendu Max. Ca va jaser.
Il sonne à la porte de l’appartement et, après un coup d’œil dans le judas, car je vais ouvrir en étant quasiment nue, je le laisse entrer. Il me dépose une bise rapide sur la bouche et une petite claque sur les fesses. Il se sent aussi obligé de relever un peu ma nuisette, bien transparente. Et il me fait remarquer que j’ai affirmé ne pas aimer les vêtements transparents.
« C’est pour toi que je l’ai sortie. Je ne la porte jamais. »
« Tu dors à poil alors ? »
«Non, jamais. Avec un t-shirt et un caleçon de mec, que j’ai taxé à un copain il y a longtemps.»
Il pose sur la table un sac avec des croissants. « C’est pour reprendre des forces après l’activité physique, et en cadeau pour ton pucelage » me dit-il en se marrant.
« Bon on commence tout de suite, je vois que tu es en tenue. Tu sens bon, il est agréable ton parfum. »
Je l’emmène à la chambre.
Pendant qu’il se déshabille je m’allonge sur mon lit, les cuisses écartées au maximum.
« Je me suis un peu taillé la touffe ce matin. Tu aimes ce que tu vois ? C’est pour toi, te mettre en condition ».
En le regardant retirer pantalon et caleçon, je remarque que sa bite prend de l’altitude. Certes il doit être un baiseur aux nombreuses conquêtes, mais je suis flattée que la vue de mon cul grand ouvert, qui l’attend et mouille, lui fasse déjà de l’effet.
« Toi aussi tu as une belle bite. Tu crois pouvoir me la mettre facilement ? »
Et je continue : « Tu te rends compte qu’avant-hier matin on ne se connaissait pas. Et ce matin tu es là dans ma chambre. Je suis à poil devant toi. Mes cuisses sont grandes ouvertes pour toi. Tu es là en service commandé pour me bouffer la chatte, me baiser, dépuceler mon cul et m’apprendre à aimer la sodomie ? Et le comble, c’est que, tu vois, je mouille en pensant à ce que tu vas me faire. Depuis le temps que je n’ai pas baisé, et les circonstances de cette baise matinale avec un inconnu, ma libido s’emballe. J’ai envie que tu me fasses jouir et que tu m’apprennes à jouir quand j’ai une bite dans le cul. »
« Tu parles beaucoup, tu parles trop, ça doit être l’excitation » me dit Max. « Et maintenant place aux travaux pratiques. »
Il monte sur le lit, m’embrasse et m’enlève ma fine nuisette. Ses mains caressent longuement mes seins. Il me suce alternativement les tétons qui bandent comme jamais je ne les ai sentis durs à ce point.
Sa main droite fouille mon vagin, écarte mes grandes lèvres, cherche et trouve mon clito et le titille de plus en plus fort.
Puis il me remet dans la position que j’avais au studio, allongée sur le dos, mets ses mains sous fesses, les relève vers sa bouche et plonge sa tête entre mes cuisses.
Depuis si longtemps privée de sexe, Je sens que je vais jouir ce matin. L’incongruité de la situation, les folles heures qui viennent de passer, font monter mon excitation à un niveau que je ne connaissais plus.
Après m’avoir bien sucée, léchée le clito et l’anus, Max relève sa tête et s’allonge sur le dos à son tour et me dit : « Viens sur moi en 69. »
Alors je me couche sur lui, mes cuisses ouvertes le plus possible. Je prends sa queue dans ma bouche. Encore un goût perdu dans mes souvenirs. Et je me régale d’avoir ce pieu dressé entre mes lèvres.
Aujourd’hui toutes mes lèvres retrouvent des sensations qu’elles ne connaissaient plus.
En même temps qu’il fouille mon vagin avec ses doigts, et entre 2 léchages de mon clito, il me dit : « tu sais, c’est pas seulement ton cul qui va devoir s’habituer à une grosse queue, c’est aussi ta chatte et ta bouche. Alors suce moi bien, jusqu’au bout et applique-toi. Je vais peut-être dépuceler ton cul, mais je vais aussi ramener ta bouche et ta chatte à la vie, les dépoussiérer. Avec les séances photo, tu vas en voir passer des queues dans tes trous. Au fait, quand tu seras prête pour la sodomie, tu vas essayer la double, et avec des blacks ? »
Et en même temps qu’il recommence à me lécher, je sens ses doigts fouiller mon vagin, en sortir et tourner doucement autour de mon petit trou qu’il humidie de ma mouille. C’est dingue quand même il est là à prendre du plaisir, au moins je l’espère, en jouant avec ma chatte, mais il n’oublie pas pourquoi il est là, me dépuceler le cul. Je sens alors un de ses doigts qui commence à me fouiller, à entrer petit à petit dans mon anus. Excitée comme je suis, je ne ressens que du plaisir à cette exploration rectale et je m’ouvre encore plus, ce qui lui permet d’introduire un 2ème doigt.
Il me dit : « c’est bon, tu n’as pas mal ? »
Avec sa queue dans la bouche que je suce goulument, je ne peux pas lui répondre immédiatement, alors je me redresse un instant pour lui dire de continuer, que j’aime ce qu’il me fait. Et je me remets sa bite en bouche. Il me donne du plaisir, j’essaie de lui en donner aussi, et je me régale à avoir au fond de ma gorge cette bite qui me fait pourtant un peu suffoquer.
La bite de Max est bien calibrée, mais il me l’a dit, celle de Luis sera plus difficile à avaler.
Ce matin, c’est plaisir et entrainement au plaisir. Ce sera ma réflexion du jour !
Après avoir bien fouillé mon anus avec 2 doigts, il s’arrête et me félicite pour la fellation que je lui fais mais qu’il faut ralentir maintenant pour qu’il n’éjacule pas trop vite.
Il a bien compris que je suis tellement en manque que j’essaie de rattraper le temps perdu en le pompant comme une malade.
Encore une leçon à retenir pour moi.
Il se redresse, me fait assoir sur le lit et me demande de lui enfiler le préservatif. Puis il me bascule en levrette et s’introduit dans mon vagin, tellement humide, qu’il rentre en totalité sa queue d’un seul coup. Il commence ses mouvements de va et vient que j’accompagne en remuant mon corps en cadence. Et en plus de sa bite qui me démonte, il me met à nouveau, 1 puis 2 doigts dans le cul, qui s’ouvre et se détend.
C’est trop bon et j’explose en criant de jouissance. Ça va faire plaisir aux voisins de m’entendre hurler. Depuis le temps que je vis seule et qu’ils ne voient pas grand monde venir chez moi, certains me posaient des questions un peu salaces sur ma solitude.
Une queue dans le vagin, 2 doigts dans mon cul, il m’entraine à la double pénétration … et j’ai hâte d’y être !
A mon âge, je découvre des plaisirs inconnus et je sens que ce n’est que le début.
Moi qui ai tendance à me méfier de tout le monde, et surtout des Blacks, je suis pressée qu’il y en ait 2 sur moi, à leur servir de jouet, de défouloir. Tout ça sous les projecteurs et devant l’objectif du photographe qui va filmer la scène… avant de la diffuser sur internet. Mon bonheur de me faire baiser et enculer en même temps va être visible partout.
Et tant pis si quelqu’un me reconnait sur des sites pornos.
J’en oublierais presque que c’est le manque d’argent qui me mène ici, à la redécouverte du plaisir sexuel.
Max décharge à son tour dans le préservatif et j’admire son endurance.
En se levant très vite, il me frustre d’un moment de tendresse et de calme que j’attendais. Mais il n’est pas venu pour ça. Si je suis en manque de tendresse et de sexe, il n’est là que pour le sexe.
Nous nous dirigeons tous les 2 à la salle d bains. C’est à nouveau une vision oubliée, me retrouver nue, après l’amour dans la salle de bains, avec l’homme qui vient de me donner du plaisir. En sortant de la douche, pendant qu’il s’essuie et commence déjà à se rhabiller, il me demande si j’ai apprécié cette baise matinale, si je suis prête à remettre ça demain matin.
Je ne peux que lui répondre que j’ai aimé tout ce qu’il m’a fait, sa douceur et sa délicatesse que je ne soupçonnais pas… et que je vais avoir du mal à l’attendre jusqu’au lendemain matin.
Il me dit : « tu restes à poil pendant qu’on prend le café. Je te sens encore chaude et ça me plait que tu sois nue pendant que je suis avec toi. »
Alors je vais à la cuisine préparer le café et nous nous asseyons, lui habillé, moi nue, pour « reprendre des forces après l’activité physique » en trempant les croissants dans nos tasses.
« Quand je vais partir, tu restes nue et tu m’accompagnes quand je vais ouvrir. S’il y a des voisins sur le palier, ils vont comprendre pourquoi tu as crié tout à l’heure. »
« Demain matin aussi tu m’attendras à poil et tu ouvriras grand la porte de l’appart quand je vais arriver, et sans vérifier par le judas qui est derrière. Peut-être que j’attendrai pour sonner qu’une porte s’ouvre sur ton pallier pour qu’un voisin profite du spectacle. Depuis ce matin tu es à poil, tu t’exhibes autant que tu peux pour moi et c’est bien. Mais il faut que tu apprennes à être à poil tout le temps, même s’il y a des gens que tu ne connais pas. C’est de cette manière que tu vas assumer ta nudité, te détendre et aimer être à poil. Pour commencer, comme tu as une belle terrasse, demain matin on prendra le café dehors, et tu seras nue. Peut-être que dimanche, comme c’est le jour où il y a du monde, je t’emmènerai à la plage. Tu te déshabilleras en public et restera nue sur la plage, tu partiras sans maillot de bain et nue sous une petite robe. »
Même en vivant seule, le moins qu’on puisse dire c’est que ce n’est pas dans mon mode vie que de rester nue et me balader à poil chez moi. Même s’il n’y a pas de fenêtre de voisins donnant sur mon appartement. Et encore moins en plein air et en public. Pour la terrasse demain, je le ferai car il n’y a pas de vis-à-vis. Juste les voisins de balcon qui peuvent nous entendre parler. Pour la plage, en public, je ne pense pas céder à sa demande. Et quoiqu’on en pense, si je vais me déshabiller chez le photographe, c’est pour gagner de l’argent. Sur la plage ce serait de l’exhibition, gratuite, et je n’en suis pas là.
A une époque, déjà en manque d’argent – c’est le fil conducteur de ma vie – je m’étais imaginée devenir Escort, sans jamais franchir le pas toutefois. Être appelée pour tenir compagnie à de riches messieurs aurait pu correspondre à mon maintien, mon physique. Aurait pu seulement. Parce que mon éducation m’a écarté de cette « profession ».
J’ai perdu des emplois, d’autres m’ont été inaccessibles parce que j’ai toujours refusé de « coucher » comme on dit.
Pourtant c’est quand même cette rencontre, inattendue, avec un photographe qui va me filmer à poil, et entrain de me faire sauter, qui m’amène à me décider à gagner de l’argent avec mon cul. Certes, je « coucherai » moins qu’en étant Escort, et pourrai – un peu j’espère– donner mon avis sur le choix des mecs qui vont me baiser devant l’objectif du photographe, mais c’est bien avec mon cul que je vais payer mes dettes.
Les années défilent, mon corps est toujours « consommable » mais ça ne durera pas éternellement. Je n’en peux plus de toujours, à mon âge, devoir me priver de out, de ne pas manger à ma faim chaque jour, d’être « réprimandée » par mon banquier, qui d’ailleurs m’a fait des avances, non pas d’argent, mais sexuelles.
Comme finalement tant de femmes de cette ville des Alpes Maritimes, ce sera avec mon cul que je vais améliorer mon quotidien, bref, vivre !
Quant à Max, je sais qu’il est venu « par devoir », que le plaisir qu’il a prend en me sautant le dédommage (!), qu’il reviendra chaque jour pour me baiser, pour mettre 2 ou 3 doigts de plus dans mon cul jusqu’à ce qu’il puisse m’enculer et que j’aime ça, mais je dois surtout me dire que cette relation va demeurer celle d’une sportive avec son entraineur… même si cet entraineur est un entraineur de sexe. Je vais ressentir de l’affection pour lui mais ça restera une relation de «sex-friend » … et pour la tendresse, et peut-être le fric, je devrai chercher ailleurs.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je n'avais pas aimé le début de l'histoire, qui devient maintenant très excitante car Alexhia s'est ouverte et redécouvre les joies du sexe...
Elle a levé le blocage psychologique de sodomie et va commencer des cours particuliers que l'on a hâte de découvrir !..
Elle a levé le blocage psychologique de sodomie et va commencer des cours particuliers que l'on a hâte de découvrir !..