Il n'y a pas que les manèges qui font tourner la tête
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2013 dans la catégorie Plus on est
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Il n'y a pas que les manèges qui font tourner la tête
- Laura chérie tu es magnifiquement érotique dans cette robe entièrement boutonnée devant mais je la trouve un peu trop osée pour aller à la fête foraine de notre quartier, nous risquons de rencontrer des voisins
- Ho tu parles ils n’en perdront pas la vue
- Pour commencer le slip que tu porte est vachement visible
- Alors je vais l’ôter !, y’a que toi qui saura que j’ai la foufoune a l’air !
- Et le soutien gorge ?
- Pas besoin la robe a des coussinets !
- Ça te moule comme une seconde peau, tu me fais bander salope !
- Calme-toi, garde tes envies pour tout à l’heure Clément j’aurais sans doute moi aussi besoin d’être ‘apaisée’ !
- Tu ne perds rien pour attendre
Malgré ses remontrances mon mari est fier lorsque les hommes jeunes ou moins jeunes se retournent sur moi, nous déambulons parmi les manèges et leurs cacophonie musicale, nous avons croisés plusieurs fois un homme qui semble nous pister, au début je pensais que c’était pour moi mais j’ai vu son regard scruter Clément qui ne s’est aperçu de rien, s’en est resté là ….en tous cas il est vachement bien foutu cet homme d’âge équivalent a celui de Clément, une gueule d’ange un p’tit cul d’enfer , je suis un peu vexée qu’il ne m’ai pas remarquée
- Tu me gagne un nounours au tir à la carabine chéri ?
- Et si essayai toi-même ? je vais te montrer
Je suis accoudée sur la planche du stand de tir pour viser les ballons, le cul bien cambré quand soudain l’homme fait irruption en donnant une grande claque dans le dos de Clément
- CLEMENT ??????? c’est toi clément M ? tu me reconnais ???
- Heuuu désolé je ne vois pas …..
- FLORENT ! de la fac de Poitier il y a dix ans, nous étions vachement copains !
Ce nom a immédiatement résonné dans ma tête, ce Florent mon mari m’en a beaucoup parlé il m’a raconté que ce mec avait baisé sa copine Éva devant lui dans leur chambre d’étudiant sans son accord et sans avoir la force de réagir, cet homme plus fort de caractère avait beaucoup d’emprise sur mon mari, évidement ça avait mit fin a leur amitié, il est vrai qu’il émane de cet homme une sorte d’attraction envoutante
- MAIS OUI ! Ça y est je te remets tu n’as pas beaucoup changé qu’est ce qui t’amène dans le coin ?
- Ho je sorts d’une galère pas possible, ce serait trop long à raconter mais parle moi de toi ? c’est ta copine ?
- Ma femme Laura, nous somme mariés depuis trois ans
- Enchanté ! Hé bien dit donc tu n’a pas choisi la plus moche ! tu te souviens la fameuse Éva ?
- Oui bien sûr…. Tu es resté avec elle finalement ?
- Non, elle a regretté aussitôt notre relation catastrophique d’un soir mais trop honnête pour revenir vers toi et te regarder en face, j’ai fais le con pardonne moi…
- C’est du passé, veut tu boire quelque chose ?
- Boff pourquoi pas, ou ça ? je te dirais que je suis un peu juste financièrement ces temps ci
- Allons boire une bière a la maison nous parlerons du bon vieux temps
- Ça me va, mais je crois que ta femme voulait tirer à la carabine ?
- Oui, Laura voulais un nounours, tu le veux toujours chérie ?
- Bien sur !je ne repartirais pas sans !
- Vous permettez que je vous montre comment épauler ?
- Vas-y guide là …
- Reprenez la position que vous aviez tout a l’heure... les coudes sur le comptoir, la main gauche loin sous le canon …comme ça...
Je ne le crois pas ! Cet inconnu se colle a mon coté il m’enveloppe de ses bras sur mes épaules je dois être rouge comme une tomate car c’est un sexe que je devine imposant qui pèse sur ma hanche et il ne se prive pas de le faire rouler sur moi…ma chatte déjà stimulée par ma tenue se manifeste en spasmes éloquents
- La joue collée sur la crosse, alignez l’œilleton et le guidon, la deuxième phalange sur la gâchette... Vous y êtes ?
- Oui …….
- Tirez ! ….BRAVO !!!! c’est gagné
- C’est bon merci vous pouvez me lâcher ….
- Bravo chérie, allons boire une bière
Je suis troublée, j’ai gagné mon ours et une chatte mouillée ….clément n’a donc rien vu ??? Nous prenons place autour de la table de salon devant un verre de bière
- Clément je peux te demander une faveur ?
- Tant que ça reste dans mes cordes …..
- J’aimerais fumer un joint je suis a cran
- Je n’ai rien de ça chez moi
- Ne t’inquiète pas j’ai ce qu’il faut sur moi, ça m’embête de fumer ça dehors
- Vas-y fait comme chez toi
Il sort d’une boite en fer une cigarette grossièrement roulée
- Vous avez déjà essayé Laura ?
- Ma foi non ? qu’est ce que ça fait ?
- Rien de nocif, voulez vous tirer une taffe ?
- Tu veux essayer chérie ?
- Si tu le fait aussi pourquoi pas ….
- A la bonne heure ! qui commence ?
- Passe le moi
- Tire une longue bouffée ….
- Vooouuuffff ça décoiffe... à toi chérie, n’ai pas peur d’avaler profondément la fumée
J’ai cru étouffer … très vite ma tête s’embrume, mes yeux ne voient plus nettement je me sens légère ! Légère ! Un fou rire prend Clément qui doit ressentir la même chose, Florent nous observe d’un air égrillard, je me lève pour aller a la cuisine quand je perds l’équilibre, Florent a le réflexe de me rattraper, je me retrouve assise sur ses genoux ça fait éclater de rire mon mari
- Heureusement que tu étais là sinon elle s’affalait !
J’ai mon bras autour du cou du copain ma robe est très remontée, Florent a rapidement posé sa main sur ma cuisse découverte, je ne trouve pas la force de me relever, un silence pesant s’installe ….
- Elle n’est pas belle ma femme ?
- Laura est très belle … sa peau est douce …ses jambes sont élancées
- Et encore tu ne vois pas tout
Clément passe derrière moi et commence à défaire un bouton, puis deux puis trois, mes seins apparaissent, clément en caresse un tandis que la main du copain remonte entre mes cuisses assez ouvertes pour permettre la progression jusqu'à ma toucher ma touffe
- Ta femme est très libérée
- Houais ! elle ne porte pas de culotte aujourd’hui ! tu peux dépatter les boutons du bas si tu veux
- Chéri je ne sais pas ce qui m’arrive j’ai très chaud….
- Laisse toi faire je suis privé de femme depuis six mois
- Fait plaisir a mon copain mon amour nous avons l’habitude de tout partager !
Mon corps ne m’obéis plus j’ai trop envie de sentir des mains sur moi, les deux pans de la robe sont écartés mes cuisses s’ouvrent, Florent tète un sein tandis que deux doigts vont et viennent a toute vitesse dans mon vagin qui commence à émettre des bruits mouillés
- Elle est bonne ta femme sa chatte est déjà très dilatée regarde mes doigts … tu veux gouter ?
- Je connais son jus, suce tes doigts tu ne seras pas déçu
- Je préfère boire directement à sa source si ça ne te dérange pas
- Ce qui est a moi est a toi allonge la sur la table …..
Comme une somnambule je vais moi-même m’assoir sur le bord de la table mon mari prend mes lèvres et me bascule délicatement afin de m’offrir a son ami qui se rue entre mes cuisses, son souffle chaud attise mon envie il me tarde se sentir sa langue et ses doigts jouer avec ma vulve, je lui tends mon bassin sans pudeur
- Bouffe-moi Florent ……
- Ne la fait pas languir mange lui l’abricot
- Je vais lui aspirer les entrailles …. MMUUUUUUMMMMMMMMM !!!!!
- Hooooooaaaaaaaaaaooooooouuuuuuiiiiiiiii, chéri ça me fait du bien
- Laisse-toi aller donne lui tout ton jus
- Il va me baiser après ?
- Si tu le désire bien sûr
- Tu ne seras pas jaloux ? rassure toi je ne partirais pas avec lui comme cette Éva
- J’ai confiance en toi
- Hoooooo c’est trop bon … il a mis deux doigts dans mon cul je vais jouir ……
- Lâche prise pisse lui dans la bouche ….
- ……. C’est fait ………
- HOU ! c’est un ouragan ce p’tit bout de femme !! si j’ai bien entendu je peux la prendre ?
- Oui défonce lui la chatte avec ton gros nœud
- Ha ! tu te souviens de la grosseur de ma bitte ?
- Je l’ai assez vue quand tu as baisé Éva, enfonce là lentement dans ma femme je veux tout voir
- Ecarte lui les lèvres ainsi tu va être aux premières loges
L’air frais caresse l’entrée de mon vagin, clément tire mes lèvres vers l’extérieur, un bout arrondi et satiné force sur ma matrice, mes chairs s’écartent, s’écartent encore a me couper le souffle, le mandrin d’acier n’en finit pas de s’introduire en moi
- Il te fait du bien chérie ?
- C’est merveilleusement bon …. Qu’il me baise pendant que je te suce …mon dieu que tu bande dur chéri….
- Ça m’excite de voir sa bitte coulisser dans ton ventre
- Ta femme est une bonne baiseuse je me régale
Le vagin explosé par le membre raide de Florent, la bouche bâillonnée par celui de clément, la tête encore embrumée par la cigarette il me semble flotter dans les airs, ce n’est pas moi cette salope qui se fait baiser ainsi ? Et pourtant celle qui jouis sans retenues c’est bien moi je sens un jus brulant couler entre mes cuisses et ces jets puissants ? C’est le sperme de mon amant qui percute mon utérus tandis qu’un goût bien connu envahit mon palais, une odeur de fornication flotte dans la pièce, les queues se retirent de mon corps, mes hommes poussent des soupirs de satisfactions
- Je crois qu’elle est satisfaite de notre prestation ta femme !
- Elle aime baiser ma cochonne de Laura !...tu disais être en galère ces temps ci ?
- Oui je sors de six mois de placard et je ne sais pas où aller
- Nous t’accueillons avec plaisir pendant un mois le temps que tu te retourne, évidement ma femme sera aussi la tienne qu’en dit tu ??
- Qu’en dit Laura ?
- Je vous veux tous les deux dans tous mes trous !!! et tout de suite, les effets sont retombés mes idées sont claires baisez moi !!
- Vient t’assoir sur mes genoux je vais te prendre le petit trou et ton mari celui de devant
J’ai passée la nuit dans le lit du copain, au petit matin j’ai rejoint Clément pour qu’il me prenne encore chaude de mon amant, cela a duré deux mois avant que nous puissions nous libérer de l’emprise de Florent.
- Ho tu parles ils n’en perdront pas la vue
- Pour commencer le slip que tu porte est vachement visible
- Alors je vais l’ôter !, y’a que toi qui saura que j’ai la foufoune a l’air !
- Et le soutien gorge ?
- Pas besoin la robe a des coussinets !
- Ça te moule comme une seconde peau, tu me fais bander salope !
- Calme-toi, garde tes envies pour tout à l’heure Clément j’aurais sans doute moi aussi besoin d’être ‘apaisée’ !
- Tu ne perds rien pour attendre
Malgré ses remontrances mon mari est fier lorsque les hommes jeunes ou moins jeunes se retournent sur moi, nous déambulons parmi les manèges et leurs cacophonie musicale, nous avons croisés plusieurs fois un homme qui semble nous pister, au début je pensais que c’était pour moi mais j’ai vu son regard scruter Clément qui ne s’est aperçu de rien, s’en est resté là ….en tous cas il est vachement bien foutu cet homme d’âge équivalent a celui de Clément, une gueule d’ange un p’tit cul d’enfer , je suis un peu vexée qu’il ne m’ai pas remarquée
- Tu me gagne un nounours au tir à la carabine chéri ?
- Et si essayai toi-même ? je vais te montrer
Je suis accoudée sur la planche du stand de tir pour viser les ballons, le cul bien cambré quand soudain l’homme fait irruption en donnant une grande claque dans le dos de Clément
- CLEMENT ??????? c’est toi clément M ? tu me reconnais ???
- Heuuu désolé je ne vois pas …..
- FLORENT ! de la fac de Poitier il y a dix ans, nous étions vachement copains !
Ce nom a immédiatement résonné dans ma tête, ce Florent mon mari m’en a beaucoup parlé il m’a raconté que ce mec avait baisé sa copine Éva devant lui dans leur chambre d’étudiant sans son accord et sans avoir la force de réagir, cet homme plus fort de caractère avait beaucoup d’emprise sur mon mari, évidement ça avait mit fin a leur amitié, il est vrai qu’il émane de cet homme une sorte d’attraction envoutante
- MAIS OUI ! Ça y est je te remets tu n’as pas beaucoup changé qu’est ce qui t’amène dans le coin ?
- Ho je sorts d’une galère pas possible, ce serait trop long à raconter mais parle moi de toi ? c’est ta copine ?
- Ma femme Laura, nous somme mariés depuis trois ans
- Enchanté ! Hé bien dit donc tu n’a pas choisi la plus moche ! tu te souviens la fameuse Éva ?
- Oui bien sûr…. Tu es resté avec elle finalement ?
- Non, elle a regretté aussitôt notre relation catastrophique d’un soir mais trop honnête pour revenir vers toi et te regarder en face, j’ai fais le con pardonne moi…
- C’est du passé, veut tu boire quelque chose ?
- Boff pourquoi pas, ou ça ? je te dirais que je suis un peu juste financièrement ces temps ci
- Allons boire une bière a la maison nous parlerons du bon vieux temps
- Ça me va, mais je crois que ta femme voulait tirer à la carabine ?
- Oui, Laura voulais un nounours, tu le veux toujours chérie ?
- Bien sur !je ne repartirais pas sans !
- Vous permettez que je vous montre comment épauler ?
- Vas-y guide là …
- Reprenez la position que vous aviez tout a l’heure... les coudes sur le comptoir, la main gauche loin sous le canon …comme ça...
Je ne le crois pas ! Cet inconnu se colle a mon coté il m’enveloppe de ses bras sur mes épaules je dois être rouge comme une tomate car c’est un sexe que je devine imposant qui pèse sur ma hanche et il ne se prive pas de le faire rouler sur moi…ma chatte déjà stimulée par ma tenue se manifeste en spasmes éloquents
- La joue collée sur la crosse, alignez l’œilleton et le guidon, la deuxième phalange sur la gâchette... Vous y êtes ?
- Oui …….
- Tirez ! ….BRAVO !!!! c’est gagné
- C’est bon merci vous pouvez me lâcher ….
- Bravo chérie, allons boire une bière
Je suis troublée, j’ai gagné mon ours et une chatte mouillée ….clément n’a donc rien vu ??? Nous prenons place autour de la table de salon devant un verre de bière
- Clément je peux te demander une faveur ?
- Tant que ça reste dans mes cordes …..
- J’aimerais fumer un joint je suis a cran
- Je n’ai rien de ça chez moi
- Ne t’inquiète pas j’ai ce qu’il faut sur moi, ça m’embête de fumer ça dehors
- Vas-y fait comme chez toi
Il sort d’une boite en fer une cigarette grossièrement roulée
- Vous avez déjà essayé Laura ?
- Ma foi non ? qu’est ce que ça fait ?
- Rien de nocif, voulez vous tirer une taffe ?
- Tu veux essayer chérie ?
- Si tu le fait aussi pourquoi pas ….
- A la bonne heure ! qui commence ?
- Passe le moi
- Tire une longue bouffée ….
- Vooouuuffff ça décoiffe... à toi chérie, n’ai pas peur d’avaler profondément la fumée
J’ai cru étouffer … très vite ma tête s’embrume, mes yeux ne voient plus nettement je me sens légère ! Légère ! Un fou rire prend Clément qui doit ressentir la même chose, Florent nous observe d’un air égrillard, je me lève pour aller a la cuisine quand je perds l’équilibre, Florent a le réflexe de me rattraper, je me retrouve assise sur ses genoux ça fait éclater de rire mon mari
- Heureusement que tu étais là sinon elle s’affalait !
J’ai mon bras autour du cou du copain ma robe est très remontée, Florent a rapidement posé sa main sur ma cuisse découverte, je ne trouve pas la force de me relever, un silence pesant s’installe ….
- Elle n’est pas belle ma femme ?
- Laura est très belle … sa peau est douce …ses jambes sont élancées
- Et encore tu ne vois pas tout
Clément passe derrière moi et commence à défaire un bouton, puis deux puis trois, mes seins apparaissent, clément en caresse un tandis que la main du copain remonte entre mes cuisses assez ouvertes pour permettre la progression jusqu'à ma toucher ma touffe
- Ta femme est très libérée
- Houais ! elle ne porte pas de culotte aujourd’hui ! tu peux dépatter les boutons du bas si tu veux
- Chéri je ne sais pas ce qui m’arrive j’ai très chaud….
- Laisse toi faire je suis privé de femme depuis six mois
- Fait plaisir a mon copain mon amour nous avons l’habitude de tout partager !
Mon corps ne m’obéis plus j’ai trop envie de sentir des mains sur moi, les deux pans de la robe sont écartés mes cuisses s’ouvrent, Florent tète un sein tandis que deux doigts vont et viennent a toute vitesse dans mon vagin qui commence à émettre des bruits mouillés
- Elle est bonne ta femme sa chatte est déjà très dilatée regarde mes doigts … tu veux gouter ?
- Je connais son jus, suce tes doigts tu ne seras pas déçu
- Je préfère boire directement à sa source si ça ne te dérange pas
- Ce qui est a moi est a toi allonge la sur la table …..
Comme une somnambule je vais moi-même m’assoir sur le bord de la table mon mari prend mes lèvres et me bascule délicatement afin de m’offrir a son ami qui se rue entre mes cuisses, son souffle chaud attise mon envie il me tarde se sentir sa langue et ses doigts jouer avec ma vulve, je lui tends mon bassin sans pudeur
- Bouffe-moi Florent ……
- Ne la fait pas languir mange lui l’abricot
- Je vais lui aspirer les entrailles …. MMUUUUUUMMMMMMMMM !!!!!
- Hooooooaaaaaaaaaaooooooouuuuuuiiiiiiiii, chéri ça me fait du bien
- Laisse-toi aller donne lui tout ton jus
- Il va me baiser après ?
- Si tu le désire bien sûr
- Tu ne seras pas jaloux ? rassure toi je ne partirais pas avec lui comme cette Éva
- J’ai confiance en toi
- Hoooooo c’est trop bon … il a mis deux doigts dans mon cul je vais jouir ……
- Lâche prise pisse lui dans la bouche ….
- ……. C’est fait ………
- HOU ! c’est un ouragan ce p’tit bout de femme !! si j’ai bien entendu je peux la prendre ?
- Oui défonce lui la chatte avec ton gros nœud
- Ha ! tu te souviens de la grosseur de ma bitte ?
- Je l’ai assez vue quand tu as baisé Éva, enfonce là lentement dans ma femme je veux tout voir
- Ecarte lui les lèvres ainsi tu va être aux premières loges
L’air frais caresse l’entrée de mon vagin, clément tire mes lèvres vers l’extérieur, un bout arrondi et satiné force sur ma matrice, mes chairs s’écartent, s’écartent encore a me couper le souffle, le mandrin d’acier n’en finit pas de s’introduire en moi
- Il te fait du bien chérie ?
- C’est merveilleusement bon …. Qu’il me baise pendant que je te suce …mon dieu que tu bande dur chéri….
- Ça m’excite de voir sa bitte coulisser dans ton ventre
- Ta femme est une bonne baiseuse je me régale
Le vagin explosé par le membre raide de Florent, la bouche bâillonnée par celui de clément, la tête encore embrumée par la cigarette il me semble flotter dans les airs, ce n’est pas moi cette salope qui se fait baiser ainsi ? Et pourtant celle qui jouis sans retenues c’est bien moi je sens un jus brulant couler entre mes cuisses et ces jets puissants ? C’est le sperme de mon amant qui percute mon utérus tandis qu’un goût bien connu envahit mon palais, une odeur de fornication flotte dans la pièce, les queues se retirent de mon corps, mes hommes poussent des soupirs de satisfactions
- Je crois qu’elle est satisfaite de notre prestation ta femme !
- Elle aime baiser ma cochonne de Laura !...tu disais être en galère ces temps ci ?
- Oui je sors de six mois de placard et je ne sais pas où aller
- Nous t’accueillons avec plaisir pendant un mois le temps que tu te retourne, évidement ma femme sera aussi la tienne qu’en dit tu ??
- Qu’en dit Laura ?
- Je vous veux tous les deux dans tous mes trous !!! et tout de suite, les effets sont retombés mes idées sont claires baisez moi !!
- Vient t’assoir sur mes genoux je vais te prendre le petit trou et ton mari celui de devant
J’ai passée la nuit dans le lit du copain, au petit matin j’ai rejoint Clément pour qu’il me prenne encore chaude de mon amant, cela a duré deux mois avant que nous puissions nous libérer de l’emprise de Florent.
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Histoire, qui n'arrive pas qu'aux autres quand on héberge l'ami ( du mari ou de madame ) en galère. Ou, du voisin retraité seul qui se plaint de sa solitude, et demande à votre épouse quelques heures de ménage car il ne sait pas le faire. Si votre femme ne travaille pas car elle garde le dernier enfant, il arrivera ce que j'ai vécu, le retraité: aura plus de temps que vous, pour s'occuper chaudement de votre ( épouse ou salope ) . Belle histoire.