Il ne peut plus baiser
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il ne peut plus baiser
Je me suis mariée par amour avec Jules. Jules a 25 ans de plus que moi. pendant longtemps nous baisons très correctement pas souvent mais bien: il me prenait par tous les orifices. J'aimais surtout quand il me suçait avant de me baiser ou m'enculer. Hélas, un jour il a eu un accident cardiaque, ce qui ne nous empêchait pas de faire l'amour. Par la suite il
a eu un très fort diabète et là; terminées les galipettes, il devenait impuissant. Pendant quelques semaines je me suis passé assez facilement de la baise: je me masturbais une ou deux fois pas jour, en cachette, jusqu'au moment où il m'a surprise. Je pensais qu'il n'était pas content. Au contraire, la seule chose qu'il m'ait dite c'était qu'il me comprenait et que si j'avais un amant il ne me dirait rien. Je le voulais pas le tromper vulgairement.
Je savais qu'une de mes amie connaissait pas mal de garçons capable de bien baiser. je voulais surtout qu'il soit très présentable puisque je tenais avant de faire l'amour avec lui qu'il connaisse Jules. Assez rapidement mon amie me présentait Jean, un garçon de mon âge bien fait, grand, brun aux yeux verts. Il ne me déplaisais pas du tout. Il savait déjà de quoi il s'agissait: me faire l'amour sans doute en présence de mon époux. Avant d'aller plus loin avec Jean j'en parlais avec mon époux. Il était bien d'accord, à condition que je lui présente Jean.
Je n'hésitais pas: j'en avais assez de me branler, même avec un godemiché. Un soir je demande à Jean de venir chez moi. Je le présente comme convenu à Jules. Jean était comme un amoureux qui vient demander la main d'une fiancée: un peu angoissé. Nous ne nous étions même pas embrassés avant. Je prends la chose en main et devant mon mari je l'embrasse sur la bouche. Ce premier baiser a un goût particulier: j'allais tromper mon mari, devant lui et avec son accord. Très excitée et je n'en peux plus: je commence par lui toucher la bite déjà en érection. Jules m'encourage: n'hésites pas sort lui la bite et suce là. Je sais que tu en meurs d'envie. Là Jean m'a bien aidé, il sort sa bite et je vois une belle queue, plus grosse que celle de mon mari. Je n'y tiens plus: Je me déshabille rapidement: Jean en faisait autant. Enfin nos corps peuvent se frotter l'un à l'autre. Je me
colle contre lui est sent sa queue contre mon ventre. Lui me tient les fesses et les masse.
Je deviens folle de désir. Je me baisse et lui prend la queue dans ma bouche: je me sert des mains pour le branler pendant que ma bouche va et vient sur son bâton bien raide.Jules me regarde faire: je sens un peu de tristesse dans son regard et pourtant il m'encourage: suce le bien, fait le jouir dans ta bouche. Je tiens donc la bite dans ma bouche et je passe une main sur ses couilles et l'autre vers le cul où j'introduis deux doigts.
Il se laisse faire et se tend un peu juste avant qu'il jouisse dans ma bouche à jeun de sperme depuis un moment. Il débande et vient s'asseoir sur le divan, pas loin de Jules. je me mets entre les deux: j'embrasse Jules en lui disant merci de ta compréhension. je m'appuie contre lui. Jean s'approche et me prend les seins pour me faire une caresse globale, en huit entre les seins. C'est délicieux et surtout excitant, j'attends qu'il me les embrasse. Enfin ses lèvres arrivent et il me mordille les tétons avant de les téter. c'est jouissif. Il pose une main sur mes genoux: j'écarte les jambes et lui donne accès à ma fente. Je ne sais pas ce qu'il va me faire, j'aimerai qu'il me branle le bouton. Pourtant il ne
commence pas par là: il me met à son tour deux doigts dans le cul et me le branle un moment. Je suis sur le point de jouir quand il arrête pour remonter et me doigter. J'aime ce qu'il fait. Enfin il se fixe sur mon clitoris et là il fait preuve de dextérité: il me fait jouir plusieurs fois. A chaque fois je me mets contre mon pauvre mari. Jean commence à en
avoir assez de me branler: il veux me faire des choses, sans préciser lesquelles. Il me couche moitié sur le divan, toujours en vue de Jules et m'écartèle je ne connais toujours pas ses intentions: je le lui demande, il ne répond que je verrai bien. Je patiente, surtout qu'il me tient ainsi un bon moment: je vois sa bite qui a des soubresauts. Enfin il pose sa
bite sur mon cul. Il me mouille avec la cyprine que je déverse depuis le début et encore un moment d'attente, je n'en peux plus je le supplie de m'enculer. Il n'en fait rien: il attend toujours et à ma grande surprise il demande à mon mari si j'aime la sodomie: la réponse est affirmative. Alors simplement sans me forcer il rentre lentement dans mon anus dilaté.
Quand le gros de sa bite est passé, il la rentre complètement et commence les allers et venues. Je la sens et je me retiens pour ne pas jouir vite. Il m'encule bien mieux que Jules.
Je me garde bien de le dire. Enfin je sens les crispations de sa queue dans mon cul et je sens le sperme qui envahi les intestins. Il sort de moi. Comme il débande je manifeste ma déception. Il me demande de me branler devant lui. Eh bien non, je n'ai pas à me branler: Jules veux participer à notre baise et il me passe sa main sur le con et trouve mon clitoris. Il sait bien encore branler et Jean recommence à bander en me voyant ainsi, cuisses ouvertes, toute ma féminité offerte à son regard et la main de Jules qui me donne du plaisir et me fait jouir. Jules est tout heureux, il s'efface en disant vous n'avez plus besoin de moi:
baisez quand et comme vous voudrez, mais ici.
Jean et moi sommes enfin seuls pour baiser. Je lui demande avec insistance de ma la mettre au con. Lui voulait le faire dès le début, mais la présence de Jules.......
Toujours est-il qu'il me la met d'une façon telle qu'il me fait jouir beaucoup. Il me demande de recommencer cette fois en me branlant. C'est une découverte quand il me met en levrette, me prend la main et la pose sur mon con et me dit: vas-y fais toi jouir. Je commence à me masturber avant qu'il me baise. Cette queue en moi et ma main me font jouir encore beaucoup. Je ne sais plus comment me mettre d'autant plus qu'il débande: ce n'est pas un surhomme. Je lui propose de pendre mon gode pour qu'il me branle avec. Il le prend et s'en sert comme de sa bite: bien mieux que moi. Il me le met partout où je veux, surtout dans le cul, puisque j'aime maintenant me branler en étant enculée.
Il vient souvent à la maison: il me dit et je le crois que je suis la seule avec qui il baise depuis qu'il me connait. Est-il sincère ou diplomate, je ne sais rien. La seule chose que je sais c'est que mon bas ventre est satisfait depuis qu'il me fait souvent l'amour.
a eu un très fort diabète et là; terminées les galipettes, il devenait impuissant. Pendant quelques semaines je me suis passé assez facilement de la baise: je me masturbais une ou deux fois pas jour, en cachette, jusqu'au moment où il m'a surprise. Je pensais qu'il n'était pas content. Au contraire, la seule chose qu'il m'ait dite c'était qu'il me comprenait et que si j'avais un amant il ne me dirait rien. Je le voulais pas le tromper vulgairement.
Je savais qu'une de mes amie connaissait pas mal de garçons capable de bien baiser. je voulais surtout qu'il soit très présentable puisque je tenais avant de faire l'amour avec lui qu'il connaisse Jules. Assez rapidement mon amie me présentait Jean, un garçon de mon âge bien fait, grand, brun aux yeux verts. Il ne me déplaisais pas du tout. Il savait déjà de quoi il s'agissait: me faire l'amour sans doute en présence de mon époux. Avant d'aller plus loin avec Jean j'en parlais avec mon époux. Il était bien d'accord, à condition que je lui présente Jean.
Je n'hésitais pas: j'en avais assez de me branler, même avec un godemiché. Un soir je demande à Jean de venir chez moi. Je le présente comme convenu à Jules. Jean était comme un amoureux qui vient demander la main d'une fiancée: un peu angoissé. Nous ne nous étions même pas embrassés avant. Je prends la chose en main et devant mon mari je l'embrasse sur la bouche. Ce premier baiser a un goût particulier: j'allais tromper mon mari, devant lui et avec son accord. Très excitée et je n'en peux plus: je commence par lui toucher la bite déjà en érection. Jules m'encourage: n'hésites pas sort lui la bite et suce là. Je sais que tu en meurs d'envie. Là Jean m'a bien aidé, il sort sa bite et je vois une belle queue, plus grosse que celle de mon mari. Je n'y tiens plus: Je me déshabille rapidement: Jean en faisait autant. Enfin nos corps peuvent se frotter l'un à l'autre. Je me
colle contre lui est sent sa queue contre mon ventre. Lui me tient les fesses et les masse.
Je deviens folle de désir. Je me baisse et lui prend la queue dans ma bouche: je me sert des mains pour le branler pendant que ma bouche va et vient sur son bâton bien raide.Jules me regarde faire: je sens un peu de tristesse dans son regard et pourtant il m'encourage: suce le bien, fait le jouir dans ta bouche. Je tiens donc la bite dans ma bouche et je passe une main sur ses couilles et l'autre vers le cul où j'introduis deux doigts.
Il se laisse faire et se tend un peu juste avant qu'il jouisse dans ma bouche à jeun de sperme depuis un moment. Il débande et vient s'asseoir sur le divan, pas loin de Jules. je me mets entre les deux: j'embrasse Jules en lui disant merci de ta compréhension. je m'appuie contre lui. Jean s'approche et me prend les seins pour me faire une caresse globale, en huit entre les seins. C'est délicieux et surtout excitant, j'attends qu'il me les embrasse. Enfin ses lèvres arrivent et il me mordille les tétons avant de les téter. c'est jouissif. Il pose une main sur mes genoux: j'écarte les jambes et lui donne accès à ma fente. Je ne sais pas ce qu'il va me faire, j'aimerai qu'il me branle le bouton. Pourtant il ne
commence pas par là: il me met à son tour deux doigts dans le cul et me le branle un moment. Je suis sur le point de jouir quand il arrête pour remonter et me doigter. J'aime ce qu'il fait. Enfin il se fixe sur mon clitoris et là il fait preuve de dextérité: il me fait jouir plusieurs fois. A chaque fois je me mets contre mon pauvre mari. Jean commence à en
avoir assez de me branler: il veux me faire des choses, sans préciser lesquelles. Il me couche moitié sur le divan, toujours en vue de Jules et m'écartèle je ne connais toujours pas ses intentions: je le lui demande, il ne répond que je verrai bien. Je patiente, surtout qu'il me tient ainsi un bon moment: je vois sa bite qui a des soubresauts. Enfin il pose sa
bite sur mon cul. Il me mouille avec la cyprine que je déverse depuis le début et encore un moment d'attente, je n'en peux plus je le supplie de m'enculer. Il n'en fait rien: il attend toujours et à ma grande surprise il demande à mon mari si j'aime la sodomie: la réponse est affirmative. Alors simplement sans me forcer il rentre lentement dans mon anus dilaté.
Quand le gros de sa bite est passé, il la rentre complètement et commence les allers et venues. Je la sens et je me retiens pour ne pas jouir vite. Il m'encule bien mieux que Jules.
Je me garde bien de le dire. Enfin je sens les crispations de sa queue dans mon cul et je sens le sperme qui envahi les intestins. Il sort de moi. Comme il débande je manifeste ma déception. Il me demande de me branler devant lui. Eh bien non, je n'ai pas à me branler: Jules veux participer à notre baise et il me passe sa main sur le con et trouve mon clitoris. Il sait bien encore branler et Jean recommence à bander en me voyant ainsi, cuisses ouvertes, toute ma féminité offerte à son regard et la main de Jules qui me donne du plaisir et me fait jouir. Jules est tout heureux, il s'efface en disant vous n'avez plus besoin de moi:
baisez quand et comme vous voudrez, mais ici.
Jean et moi sommes enfin seuls pour baiser. Je lui demande avec insistance de ma la mettre au con. Lui voulait le faire dès le début, mais la présence de Jules.......
Toujours est-il qu'il me la met d'une façon telle qu'il me fait jouir beaucoup. Il me demande de recommencer cette fois en me branlant. C'est une découverte quand il me met en levrette, me prend la main et la pose sur mon con et me dit: vas-y fais toi jouir. Je commence à me masturber avant qu'il me baise. Cette queue en moi et ma main me font jouir encore beaucoup. Je ne sais plus comment me mettre d'autant plus qu'il débande: ce n'est pas un surhomme. Je lui propose de pendre mon gode pour qu'il me branle avec. Il le prend et s'en sert comme de sa bite: bien mieux que moi. Il me le met partout où je veux, surtout dans le cul, puisque j'aime maintenant me branler en étant enculée.
Il vient souvent à la maison: il me dit et je le crois que je suis la seule avec qui il baise depuis qu'il me connait. Est-il sincère ou diplomate, je ne sais rien. La seule chose que je sais c'est que mon bas ventre est satisfait depuis qu'il me fait souvent l'amour.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi aussi, je suis impuissant. Bien sûr je caresse ma femme, je la fait jouir, et elle a la gentillesse de me faire éjaculer entre ses doigts. Mais je sens bien qu'elle reste en manque. L'autre jour, elle est rentrée un peu tard. Elle souriait et avait l'air heureuse. Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire "Tu as l'air d'avoir bien baisée" Elle m'a répondu "Oui" et s'est jetée sur moi pour m'embrasser et me dire "Tu ne m'en veut pas? J'en avait tellement besoin". Je lui ait dit "non, tu ne me trompes pas si tu me racontes, t'en as besoin, recommence" Alors elle m'a tout dit, qu'il avait juté dans son vagin, dans son cul, dans sa bouche et dans sa main, et qu'elle le retrouverait, et qu'elle lui avait demandé de venir avec ses amis, qu'elle voulait qu'ils soient trois.
Je lui dit d'accord mais tu me raconteras.
Je lui dit d'accord mais tu me raconteras.
Je suis impuissant.
Bien sur je caresse ma femme , mais je sens bien qu'elle, sensuelle comme elle est, a besoin d'une vraie bite pour la limer, et qu'elle suce pour se faire enculer.
Alors je l'encourage à séduire d'autres hommes.
Pourvu qu'elle soit heureuse et jouisse bien.
Bien sur je caresse ma femme , mais je sens bien qu'elle, sensuelle comme elle est, a besoin d'une vraie bite pour la limer, et qu'elle suce pour se faire enculer.
Alors je l'encourage à séduire d'autres hommes.
Pourvu qu'elle soit heureuse et jouisse bien.
ma femme aussi dit quelle a de la chance davoir un mari comme moi qui aime etre cocu et la pousse a se faire sauter le plus quand ou et comment elle le veut, dont souvent devant moi dans notre lit conjugal Elle auss jouit plus et mieux avec son amant mais elle elle n'a pas peur de me ledire quand je la regarde avec son cheri, elle aime mer appeler dans l'intimité que je suis cocu et incapable de la satisfaire, mais elle me reconnait le grand merite detre un mari complaisant, qu'elle me considere comme le pourvoyeur de ses plaisirs etqu'elle m'en est reconnaisante
tres belle histoire qui resemble n peu a la meinne Mais moi j'etais impuissant des le
debut mariage a faire jouir maf emme car ejc trop precoce et a force de la voir jouir
avec ses amants je suis devenu vraiment impuissant ne bande plus mais toujours heureux
de la voir jouir avec des mecs, pour elle je suis le mari ideal, permissif, cocu
heureux de l etre
debut mariage a faire jouir maf emme car ejc trop precoce et a force de la voir jouir
avec ses amants je suis devenu vraiment impuissant ne bande plus mais toujours heureux
de la voir jouir avec des mecs, pour elle je suis le mari ideal, permissif, cocu
heureux de l etre
Il faut une suite à cette bonne histoire de candauliste...