Il ne rentre pas je me masturbe comme une folle
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Récit érotique écrit par Hellene39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Il ne rentre pas je me masturbe comme une folle
Mika ne va pas revenir vendredi comme il le fait habituellement. Je vais encore être célibataire forcée. Parfois je hais cette société qu’il a créé. Certes elle a pris une envergure internationale et nous procure un train de vie de rêve. Sans aucune honte nous sommes des privilégiés. Mais cela me vole mon mari, trop souvent. Quand il est là je ne pense pas trop a mes désirs sombres. Je profite de tous les instants avec lui, dès le vendredi en fin d’apprès midi ou parfois fin de matinée.
Quand c’est possible on passe le plus clair de notre temps à faire l’amour. Si les garçons nous en laisse le loisir.
Mes week-end ressemblent à un marathon sexuel, comme Mika a été sage toute la semaine, sauf si on se laisse aller parfois au téléphone, et l’amour au téléphone Tokyo Paris la facture peut être salée. Ce n’est pas systématique mais ça arrive bien une fois par semaine.
Ce soir, je suis à cran. Mes dialogues sur internet avec des amis ne sont pas les plus innocents et mes mains sont sans cesse, sur toutes les parties érogènes de mon corps. J’ai besoin de jouissance, comme on peut avoir besoin de boire. Le sexe est indispensable pour moi. Je suis fidèle, pas question de trouver un amant d’un soir. Je ne pourrais plus me regarder dans la glace si je faisais çà. Il ne reste que l’autosatisfaction, la masturbation et les jouets divers. Heureusement nous avons acheté une machine à baiser. On en voit dans toutes les vidéos pornos et sur les chats avec camera. Donc on en vend. Et on en a acheté une. Mika en passant à Los Angeles a trouvé une merveille. Plutôt orientée SM cette machine est soit utilisable sans ou avec le fauteuil qui dispose de bracelets pour l'immobilisation. C’est une sorte de chaise de gynéco sur laquelle on aurait greffé une double machine, car elle peut actionner deux gode simultanément. Installée dans une pièce noire attenante à la chambre. On pourrait faire un Donjon SM au lieu de laisser la machine accrochée au siège je l’ai amenée jusqu’au lit, plus confortable. J’ai négligé le fait qu'en double cette machine me rend dingue comme j’avais une énorme envie je n’ai pas été raisonnable, et à mon dernier orgasme, un squirt que je n’ai pas pu retenir, ni voulu en fait c'était trop bon. Je ne sais pas si vous avez des femmes ou des amies qui sont fontaine c’est parfois impressionnant. J’ai crié si fort que mon grand m’a demandé si j’avais fait un cauchemar. Je devrais faire plus attention, mettre un bâillon.
Notre pièce n’est pas dédiée au SM elle est donc banale, pas de chaines, pas de croix. Dommage j’aurais aimé avoir çà et que mon Mika fasse de moi sa chienne le soir. Non le papier peint est clair dans les tons beige rosé, la maison enfin l’hôtel particulier est fin 19eme début 20eme siècle. Donc des moulures partout c’est joli et j’aime ça. Je me vois bien pensionnaire de maison à cette époque libertine en corset les seins et les fesses à l’air au milieu d’hommes à moustache un verre de sherry à la main. Qui me lutine. Catin de luxe. Je ne suis décidément née pour le sexe.
En attendant dans ma tête tournent les envies, les désirs, je revois des scènes du passé, les excès avec Marion et Charles, les péripéties que je ne suis même pas autorisée à raconter ici ( il faut bien des règles) tant j’ai brisé les tabous, les interdits. Je sais que si c’est vrai tout çà je finirais par rôtir en enfer ? Quelle consécration pour une fille maso être torturée pour l’éternité ma vie au-delà sera un orgasme permanent. Plus prosaïquement je serais juste un bout de viande bouffé par les vers. Oui ma spiritualité est anémique. Quelle belle arnaque, souffrir et galérer toute votre vie et avec la récompense du paradis après votre mort. Si ce n’est pas une escroquerie, alors je suis vierge !
Je me regarde dans le miroir, bientôt 40 ans mais je fais 10 ans de moins voire plus. Je ne suis pas un top model, mais je me trouve relativement jolie. Certes je suis rousse et certains détestent çà. Pas très grande, plus aussi fine qu’avant, j’ai une jolie paire de seins aux tétons roses, qui aiment se faire malmener, ma taille est bien marquée, mes hanches rondes et un petit cul rebondi. Non pas une paire de miches comme certaines africaines. C’est proprement horrible. Je n’ai aucun préjugé raciste, j’aime les hommes noirs avec des grosses queues et en ai déjà consommé quelques-uns. Mais un bon amant n’a rien a voir avec la couleur j’ai connu des blancs merveilleux et des noirs nuls au lit. D’autres m’ont fait voir le paradis et certains blancs m’ont ennuyé
Devant mon miroir je caresse mes seins, prends les pointes dans mes doigts les fait rouler les étire et les pinces très fort. Je plonge la main dans le tiroir du petit meuble à la droite du miroir et je sors une paire de pinces à seins liés par une chainette. Ces pinces sont idéales leur conception est telle que plus on tire sur la pince plus les mâchoires se serrent. Avec un poids au milieu de la chaine la pression est intense. J’en ai de diverses celle-là a des tampons de caoutchouc dur strié. D’autres sont métalliques totalement et les mâchoires ont de petites pointes qui entrent dans la chair.
Je pose la première pince sur mon téton gauche bien à la base. Il se déforme je relâche la pression de mes doigts, c’est comme une morsure. Je me cambre, geint doucement et mon visage fait une petite grimace, remplacée vite pas des yeux qui montent au ciel et ma bouche entrouverte qui exhale un soupir. Dans mon ventre, dans mon sexe le fourmillement du désir se fait plus sensible. Ma main glisse doucement vers mon mont de venus, glisse sur ma fente, je lance mon pubis en avant, écarte légèrement les cuisses un doigt glisse vers mes lèvres, humides déjà. Je regarde mon reflet dans les yeux, et je murmure “ Tu es une salope, une petite chienne” puis je le répète à haute voix, les mots courent sur ma peau, je frissonne. L’autre pince est maintenant en place, mes tétons sont écrasés, cela fait naitre des ondes de plaisir dans mon ventre.
Je passe mes mains sur mes seins, le froid du métal contraste avec la chaleur de ma peau. Ma main glisse le long de la chaine et en son milieu je place mon pouce. Lentement presque imperceptiblement je commence à tendre le bras. La chaine forme un V et se tend doucement, je monte ma main à la hauteur de mes tétons continuant à pousser vers l’avant. Mes cuisses se frottent l’une contre l’autre dans un mouvement que je ne commande pas, c’est réflexe. Je masse ainsi mes lèvres, le capuchon de mon clito par ce simple frottement. Dans mon esprit, je sens naitre l’idée, que j’aimerais que mes amis, mes confidents soient là autour de moi à me regarder. Chris, Rudy, Martial et les autres j’aimerais tant qu’ils me regardent voyeurs de ma conduite de petite pute. La main sur leurs queues, ils se branlent doucement. Ils voient ma respiration qui accélérant imperceptiblement, fait monter et descendre mes seins qui commence à se tendre suivant les pinces vers le miroir. Plus fort, je tire les mâchoires serrent mes tétons. J’ai mal, mon visage est crispé je respire plus vite. Mon dieu que j’aime cette douleur qui par vague envahit mes pointes, puis mes seins. Je la ressens jusque dans mon sexe qui se contracte puis se relâche avant de se contracter de nouveau. Je vois le capuchon de mon clito saillir en haut de ma fente, mon bouton ne va pas tarder à montrer son nez. Bille rose, déclencheur de plaisir, d’une sensibilité incroyable. Mon clitoris a été sollicité par tant de choses : des plumes de cygne, ou pinceaux en poil de martre, des langues et des doigts, des pinces, des cravaches, du papier de verre, des aiguilles ou des bout rougeoyants de cigare et cigarettes.
Les qualificatifs se bousculent dans ma tête folle, nymphomane, salope, putain, chienne, esclave, soumise, truie et d’autres. Tous ces qualificatifs sont une facette de moi, je suis tout ça, je le sais, mais je le désire aussi.
Les chaînes se tendent de plus en plus, mes tétons sont allongés, étirés mordus par les mâchoires des pinces. Les mâchoires qui glissent sur la peau fragile de mes bouts de seins. Je ne cesse pas la traction, millimètre par millimètre ma main fait glisser les pinces sur mes tétons, elles ripent doucement. La douleur monte en flèche je gémis assez fort et grimace vraiment.
Je me regarde, je me trouve excitante, belle, j’aimes être la chose des hommes ou des femmes, s'ils me font souffrir je suis à leur pieds. Masochiste de la pointe des cheveux aux orteils. Si je m’offre c’est sans condition et totalement. Trop même, inconsciemment je recherche le néant, la destruction. Je suis sans doute folle, excessive mais je suis sincère, sans filtre. J’ai toujours eu la chance d’être avec des partenaires responsables qui sont allés très loin avec moi, pour moi à ma demande. Mais aucun n’a exaucé les souhaits que j’ai formulé à plusieurs reprises. Demandant de subir les sévices jusqu’à m’en faire mourir. Et je sais que quand je formule cela je suis totalement sérieuse et désire vraiment cette extrémité. Il y a une part de folie en moi c’est certain.
Je gémis alors que j’impose une traction maximale aux pinces sur mes tétons. Elles glissent doucement, c’est de plus en plus douloureux, il reste un tout petit bout de chair coincé entre les mâchoires. Je pousse un petit cri quand la pince de mon sein droit lâche soudainement, un coup sec sur la chaîne et je fais riper la pince du sein gauche. Je crie à nouveau. Dans le miroir je vois mes bouts de seins un peu déformés par ce traitement. Je suis de plus en plus excitée. Je recule et m’assoie sur le fauteuil derrière moi. Je passe mes jambes par-dessus les accoudoirs écartant largement mes cuisses. J’expose ma chatte, dans cette position elle baille, ma peau blanche est la toile de fond de ce sexe grand ouvert en tons de rose variés, rose brillant laqué par la mouille qui suinte de ma vulve. Au haut de ma chatte, le capuchon peine à couvrir mon clitoris qui est tout gonflé, rond saillant rose soutenu.
Mes doigts courent sur les replis nacrés de mon sexe déjà ouvert. Les caresses le font s’ouvrir et se fermer. J’y glisse mes doigts, ils ressortent couverts de liqueur grasse. Je me regarde dans le miroir les porter à ma bouche les lécher les sucer.
Que j’aimerais être souple au point de pouvoir me lécher jusqu’à la jouissance. J’aime manger le sexe d’une femme, autant que celui d’un homme. Mais la femme le travail est plus subtil, il faut s’occuper des alentours, musarder glisser sa langue dans les recoins, fouiller loin avec les doigts. Et ensuite aller vers le bouton d’amour. Ne pas faire comme tant d’hommes qui se jettent sur votre clito, le froisse le suce un peu et pensent que cela suffira. Nenni messieurs, il faut du temps pour mettre un sexe de femme dans les bonnes dispositions.
Tâtonnant sur le sol, je trouve mon “meilleur ami se solitude” un japonais à grosse tête ronde nommé Hitachi. J’adore le sentir vibrer pour moi. Une pression sur le bouton, le bourdonnement empli la pièce. Je l’approche de mon sexe, pas besoin de le lubrifier mon ami, excitée comme je le suis mon sexe va s’en charger. Je pousse un soupir éloquent quand il se pose au milieu de ma conque trempée déjà. Les vibrations se diffusent dans tout mon corps jusqu’à mes bouts de seins endoloris.
Je me vois lèvres pincées, yeux mi-clos ma tête rejetée en arrière. Ma main gauche avec le majeur et l’index écarte mes petites lèvres pour que la tête du japonais se pose au centre de mon sexe. Encore une fois je m’imagine dans cette impudique posture au milieu de mes amis qui regardent, me désire quel plaisir de savoir que loin de moi il y a des hommes et des femmes qui adoreraient être avec moi en cet instant. Et je ne cache pas que leur désir est partagé, j’aimerais que ce soit possible. Dans mon esprit, dans mes fantasmes je suis à eux comme ils le souhaitent, sensuelle ou soumise, dominante ou dominée. Dans le plaisir ou dans la douleur.
Entre mes pensées, mes doigts, mon vibro mon sexe est de plus en plus humide, je coule même. Dans le miroir je vois une fine rigole brillante qui coule vers mon anneau plissé qui baille déjà un peu. Il s’ennuie sans doute. J’avais prévu cela. Toujours à tâtons je trouve près de moi au sol, une grappe de boules de la petite à la très grosse espacées régulièrement sur une tige souple qui se termine par un anneau. Je fais glisser la petite boule dans mon petit trou. Puis une autre, et la suivante. Chaque boule ouvre plus mon anus.la dernière fais 7cm de diamètre. Quand je fais aller et venir les 5 ou 6 qui sont entrées c’est déjà fou les sensations. Avec le vibro sur mon sexe tout vibre. Je dégouline maintenant, le Hitachi et sa grosse tête écartèle mes petites lèvres. Je pousse un peu la tête articulée se positionne bien à l’orée de mon sexe. La boule fais bien 10 cm Elle est trempée et glisse en vibrant.
Mon image dans le miroir m’excite énormément. Cuisses largement ouvertes, la grappe de boules qui va et vient dans mon petit trou du cul. Je ne peux que gémir ou traiter mon reflet de salope, de chienne. J’ai chaud, mes aisselles trempées la sueur coule sur mex flancs. Ma peau est de plus en plus luisante. J’adore quand je suis ainsi. Je me trouve belle. Mika adore que nous fassions l’amour dans le sauna, nos peaux glissent se frottent je suis dans le même état. Des vagues de frissons s’emparent de moi. Mon clitoris gonflé se tend de minute en minute, je l’ai rarement vu aussi gonflé. Les vibrations me tirent des cris des sons inarticulés sortent de ma gorge. Ma main gauche fait aller et venir les boules dans mon petit trou, tous les deux ou trois allez retour, une nouvelle boule entre m’écartant encore plus l’anus. J’adore être enculée.
J’adore demander à mon homme qu’il m’encule. Le dire crûment c’est affirmer que je suis soumise, je m’humilie moi-même. Et çà ajoute à mon excitation. C’est fou comme de petits détails peuvent prendre de l’importance.
Dans mon miroir je ne vois qu’une jolie rousse, bien salope qui se défonce le cul et la chatte, pour arriver au grand frisson. Le vibro va et vient sur ma fente qui est grande ouverte rose, luisante de mouille grasse, qui me coule sur les fesses. Je saute quand la tête du Hitachi touche mon bouton. Si je posais cette grosse tête sur mon bouton quelques secondes je suis sûre que je déclencherais l’orgasme qui enfle dans mon ventre. Je suis tellement excitée que je pousse un peu fort sur mon vibro et la grosse tête disparait avalée par mon vagin. A cet instant tout mon bas ventre, mon anus sont inondés de vibrations. Si vous avez fait ça vous vous en souvenez surement. Je ne peux retenir mes cris.
- Ouiii ! Ouiii ! oh putain !! Ouii encore
Je passe énormément de temps à me masturber et à jouir. Une journée normale, c’est 5 ou 6 orgasmes, rarement moins, parfois plus c’est selon la correspondance. Je me confie, j’écoute les confidences car j’aimes dialoguer, que le dialogue sur ces sujets me fait du bien. J’espère qu’ils font du bien à mes amis également. Je ne dialogue pas et dévoile ma vie pour pouvoir me caresser, non. Mais il est vrai que lire les correspondances, raconter mes histoires me donne envie de le faire, et je cède presque systématiquement.
Revenons à moi, Le vibro enfoncé dans ma chatte, ma main gauche fait aller et venir la grappe de boules dans mon cul. Je mouille tellement que mon anus trempé avale toutes les boules sauf les deux dernières. Mais avec les vibrations qui se communique en moi à ce chapelet de boules. Je fais pénétrer les deux dernières. Dans mon vagin la tête du Hitachi qui fait 10 cm et dans mon anus la dernière boule de 7cm disparait, entre et sort au rythme que lui imprime ma main.
Je m’agite, me cambre, c’est violent, je vais finir par tomber. Dans le miroir je vois une nana rousse, une belle salope déchainée qui vraiment se défonce les orifices avec des jouets. Elle crie secoue la tête,
J’imagine mes amis, admirateurs et autres en demi-cercle à la place du miroir, surement la queue à la main en train de me dévorer des yeux. Ils aimeraient être les jouets à cet instant. J’ai lâché le Hitachi et il est juste planté en moi, captif de mon sexe. Il est lourd et avec le manque et le fil il s’incline vers le bas. De ma main libre je malaxe mes seins, pince mes pointes toujours douloureuses après les pinces. Ma respiration est hachée, mon esprit est dans une sorte de brume, j’ai des images, des queues, des hommes qui se branlent qui s’approchent de moi. Ils sont au moins une douzaine.
Et comme un claquement de fouet, je crie, je hurle sans doute. Je jouis brutalement... Mon vagin se contracte puis se dilate expulsant le Hitachi qui tombe au sol avec un bruit mat et continue à vibrer bêtement sur la moquette. Je retire les boules de mon anus, fugacement dans le miroir je vois le rose entourant une large béance sombre. Je suis totalement dilatée devant et derrière. Les convulsions ne stoppent pas, je sens déferler en moi une vague puissante mes fesses le sont plus soutenue, je suis arquée, sur mes talons le pubis vers le ciel et un puissant jet est expulsé de mon vagin, un squirt terrible, un vrai jet d’eau qui frappe le miroir et brouille mon image. Mes mains sont sur mon sexe de la droite je branle mon clito qui est gonflée et de la gauche je me pistonne la chatte dans un clapotis intense. J’ai l’impression que ça dure longtemps enfin la pression retombe. Je suis toute molle, trempée jusqu’aux os en sueur. J’ai quand même encore l’image de tous ces hommes qui éjaculent sur moi ce qui est raccord avec le taux d'humidité de ma peau. Le sens pratique on ne le perd jamais car un bref instant je me dis que je vais avoir du travail pour nettoyer.
Essoufflée, trempée je reprends doucement mes esprits, il y avait longtemps que toute seule, j’arrive à me mettre dans cet état. Avec de l’aide j’ai fait bien pire. Je crois bien qu’en me masturbant pensant que je giclais j’ai bien dû avoir 2 orgasmes coup sur coup
Quand c’est possible on passe le plus clair de notre temps à faire l’amour. Si les garçons nous en laisse le loisir.
Mes week-end ressemblent à un marathon sexuel, comme Mika a été sage toute la semaine, sauf si on se laisse aller parfois au téléphone, et l’amour au téléphone Tokyo Paris la facture peut être salée. Ce n’est pas systématique mais ça arrive bien une fois par semaine.
Ce soir, je suis à cran. Mes dialogues sur internet avec des amis ne sont pas les plus innocents et mes mains sont sans cesse, sur toutes les parties érogènes de mon corps. J’ai besoin de jouissance, comme on peut avoir besoin de boire. Le sexe est indispensable pour moi. Je suis fidèle, pas question de trouver un amant d’un soir. Je ne pourrais plus me regarder dans la glace si je faisais çà. Il ne reste que l’autosatisfaction, la masturbation et les jouets divers. Heureusement nous avons acheté une machine à baiser. On en voit dans toutes les vidéos pornos et sur les chats avec camera. Donc on en vend. Et on en a acheté une. Mika en passant à Los Angeles a trouvé une merveille. Plutôt orientée SM cette machine est soit utilisable sans ou avec le fauteuil qui dispose de bracelets pour l'immobilisation. C’est une sorte de chaise de gynéco sur laquelle on aurait greffé une double machine, car elle peut actionner deux gode simultanément. Installée dans une pièce noire attenante à la chambre. On pourrait faire un Donjon SM au lieu de laisser la machine accrochée au siège je l’ai amenée jusqu’au lit, plus confortable. J’ai négligé le fait qu'en double cette machine me rend dingue comme j’avais une énorme envie je n’ai pas été raisonnable, et à mon dernier orgasme, un squirt que je n’ai pas pu retenir, ni voulu en fait c'était trop bon. Je ne sais pas si vous avez des femmes ou des amies qui sont fontaine c’est parfois impressionnant. J’ai crié si fort que mon grand m’a demandé si j’avais fait un cauchemar. Je devrais faire plus attention, mettre un bâillon.
Notre pièce n’est pas dédiée au SM elle est donc banale, pas de chaines, pas de croix. Dommage j’aurais aimé avoir çà et que mon Mika fasse de moi sa chienne le soir. Non le papier peint est clair dans les tons beige rosé, la maison enfin l’hôtel particulier est fin 19eme début 20eme siècle. Donc des moulures partout c’est joli et j’aime ça. Je me vois bien pensionnaire de maison à cette époque libertine en corset les seins et les fesses à l’air au milieu d’hommes à moustache un verre de sherry à la main. Qui me lutine. Catin de luxe. Je ne suis décidément née pour le sexe.
En attendant dans ma tête tournent les envies, les désirs, je revois des scènes du passé, les excès avec Marion et Charles, les péripéties que je ne suis même pas autorisée à raconter ici ( il faut bien des règles) tant j’ai brisé les tabous, les interdits. Je sais que si c’est vrai tout çà je finirais par rôtir en enfer ? Quelle consécration pour une fille maso être torturée pour l’éternité ma vie au-delà sera un orgasme permanent. Plus prosaïquement je serais juste un bout de viande bouffé par les vers. Oui ma spiritualité est anémique. Quelle belle arnaque, souffrir et galérer toute votre vie et avec la récompense du paradis après votre mort. Si ce n’est pas une escroquerie, alors je suis vierge !
Je me regarde dans le miroir, bientôt 40 ans mais je fais 10 ans de moins voire plus. Je ne suis pas un top model, mais je me trouve relativement jolie. Certes je suis rousse et certains détestent çà. Pas très grande, plus aussi fine qu’avant, j’ai une jolie paire de seins aux tétons roses, qui aiment se faire malmener, ma taille est bien marquée, mes hanches rondes et un petit cul rebondi. Non pas une paire de miches comme certaines africaines. C’est proprement horrible. Je n’ai aucun préjugé raciste, j’aime les hommes noirs avec des grosses queues et en ai déjà consommé quelques-uns. Mais un bon amant n’a rien a voir avec la couleur j’ai connu des blancs merveilleux et des noirs nuls au lit. D’autres m’ont fait voir le paradis et certains blancs m’ont ennuyé
Devant mon miroir je caresse mes seins, prends les pointes dans mes doigts les fait rouler les étire et les pinces très fort. Je plonge la main dans le tiroir du petit meuble à la droite du miroir et je sors une paire de pinces à seins liés par une chainette. Ces pinces sont idéales leur conception est telle que plus on tire sur la pince plus les mâchoires se serrent. Avec un poids au milieu de la chaine la pression est intense. J’en ai de diverses celle-là a des tampons de caoutchouc dur strié. D’autres sont métalliques totalement et les mâchoires ont de petites pointes qui entrent dans la chair.
Je pose la première pince sur mon téton gauche bien à la base. Il se déforme je relâche la pression de mes doigts, c’est comme une morsure. Je me cambre, geint doucement et mon visage fait une petite grimace, remplacée vite pas des yeux qui montent au ciel et ma bouche entrouverte qui exhale un soupir. Dans mon ventre, dans mon sexe le fourmillement du désir se fait plus sensible. Ma main glisse doucement vers mon mont de venus, glisse sur ma fente, je lance mon pubis en avant, écarte légèrement les cuisses un doigt glisse vers mes lèvres, humides déjà. Je regarde mon reflet dans les yeux, et je murmure “ Tu es une salope, une petite chienne” puis je le répète à haute voix, les mots courent sur ma peau, je frissonne. L’autre pince est maintenant en place, mes tétons sont écrasés, cela fait naitre des ondes de plaisir dans mon ventre.
Je passe mes mains sur mes seins, le froid du métal contraste avec la chaleur de ma peau. Ma main glisse le long de la chaine et en son milieu je place mon pouce. Lentement presque imperceptiblement je commence à tendre le bras. La chaine forme un V et se tend doucement, je monte ma main à la hauteur de mes tétons continuant à pousser vers l’avant. Mes cuisses se frottent l’une contre l’autre dans un mouvement que je ne commande pas, c’est réflexe. Je masse ainsi mes lèvres, le capuchon de mon clito par ce simple frottement. Dans mon esprit, je sens naitre l’idée, que j’aimerais que mes amis, mes confidents soient là autour de moi à me regarder. Chris, Rudy, Martial et les autres j’aimerais tant qu’ils me regardent voyeurs de ma conduite de petite pute. La main sur leurs queues, ils se branlent doucement. Ils voient ma respiration qui accélérant imperceptiblement, fait monter et descendre mes seins qui commence à se tendre suivant les pinces vers le miroir. Plus fort, je tire les mâchoires serrent mes tétons. J’ai mal, mon visage est crispé je respire plus vite. Mon dieu que j’aime cette douleur qui par vague envahit mes pointes, puis mes seins. Je la ressens jusque dans mon sexe qui se contracte puis se relâche avant de se contracter de nouveau. Je vois le capuchon de mon clito saillir en haut de ma fente, mon bouton ne va pas tarder à montrer son nez. Bille rose, déclencheur de plaisir, d’une sensibilité incroyable. Mon clitoris a été sollicité par tant de choses : des plumes de cygne, ou pinceaux en poil de martre, des langues et des doigts, des pinces, des cravaches, du papier de verre, des aiguilles ou des bout rougeoyants de cigare et cigarettes.
Les qualificatifs se bousculent dans ma tête folle, nymphomane, salope, putain, chienne, esclave, soumise, truie et d’autres. Tous ces qualificatifs sont une facette de moi, je suis tout ça, je le sais, mais je le désire aussi.
Les chaînes se tendent de plus en plus, mes tétons sont allongés, étirés mordus par les mâchoires des pinces. Les mâchoires qui glissent sur la peau fragile de mes bouts de seins. Je ne cesse pas la traction, millimètre par millimètre ma main fait glisser les pinces sur mes tétons, elles ripent doucement. La douleur monte en flèche je gémis assez fort et grimace vraiment.
Je me regarde, je me trouve excitante, belle, j’aimes être la chose des hommes ou des femmes, s'ils me font souffrir je suis à leur pieds. Masochiste de la pointe des cheveux aux orteils. Si je m’offre c’est sans condition et totalement. Trop même, inconsciemment je recherche le néant, la destruction. Je suis sans doute folle, excessive mais je suis sincère, sans filtre. J’ai toujours eu la chance d’être avec des partenaires responsables qui sont allés très loin avec moi, pour moi à ma demande. Mais aucun n’a exaucé les souhaits que j’ai formulé à plusieurs reprises. Demandant de subir les sévices jusqu’à m’en faire mourir. Et je sais que quand je formule cela je suis totalement sérieuse et désire vraiment cette extrémité. Il y a une part de folie en moi c’est certain.
Je gémis alors que j’impose une traction maximale aux pinces sur mes tétons. Elles glissent doucement, c’est de plus en plus douloureux, il reste un tout petit bout de chair coincé entre les mâchoires. Je pousse un petit cri quand la pince de mon sein droit lâche soudainement, un coup sec sur la chaîne et je fais riper la pince du sein gauche. Je crie à nouveau. Dans le miroir je vois mes bouts de seins un peu déformés par ce traitement. Je suis de plus en plus excitée. Je recule et m’assoie sur le fauteuil derrière moi. Je passe mes jambes par-dessus les accoudoirs écartant largement mes cuisses. J’expose ma chatte, dans cette position elle baille, ma peau blanche est la toile de fond de ce sexe grand ouvert en tons de rose variés, rose brillant laqué par la mouille qui suinte de ma vulve. Au haut de ma chatte, le capuchon peine à couvrir mon clitoris qui est tout gonflé, rond saillant rose soutenu.
Mes doigts courent sur les replis nacrés de mon sexe déjà ouvert. Les caresses le font s’ouvrir et se fermer. J’y glisse mes doigts, ils ressortent couverts de liqueur grasse. Je me regarde dans le miroir les porter à ma bouche les lécher les sucer.
Que j’aimerais être souple au point de pouvoir me lécher jusqu’à la jouissance. J’aime manger le sexe d’une femme, autant que celui d’un homme. Mais la femme le travail est plus subtil, il faut s’occuper des alentours, musarder glisser sa langue dans les recoins, fouiller loin avec les doigts. Et ensuite aller vers le bouton d’amour. Ne pas faire comme tant d’hommes qui se jettent sur votre clito, le froisse le suce un peu et pensent que cela suffira. Nenni messieurs, il faut du temps pour mettre un sexe de femme dans les bonnes dispositions.
Tâtonnant sur le sol, je trouve mon “meilleur ami se solitude” un japonais à grosse tête ronde nommé Hitachi. J’adore le sentir vibrer pour moi. Une pression sur le bouton, le bourdonnement empli la pièce. Je l’approche de mon sexe, pas besoin de le lubrifier mon ami, excitée comme je le suis mon sexe va s’en charger. Je pousse un soupir éloquent quand il se pose au milieu de ma conque trempée déjà. Les vibrations se diffusent dans tout mon corps jusqu’à mes bouts de seins endoloris.
Je me vois lèvres pincées, yeux mi-clos ma tête rejetée en arrière. Ma main gauche avec le majeur et l’index écarte mes petites lèvres pour que la tête du japonais se pose au centre de mon sexe. Encore une fois je m’imagine dans cette impudique posture au milieu de mes amis qui regardent, me désire quel plaisir de savoir que loin de moi il y a des hommes et des femmes qui adoreraient être avec moi en cet instant. Et je ne cache pas que leur désir est partagé, j’aimerais que ce soit possible. Dans mon esprit, dans mes fantasmes je suis à eux comme ils le souhaitent, sensuelle ou soumise, dominante ou dominée. Dans le plaisir ou dans la douleur.
Entre mes pensées, mes doigts, mon vibro mon sexe est de plus en plus humide, je coule même. Dans le miroir je vois une fine rigole brillante qui coule vers mon anneau plissé qui baille déjà un peu. Il s’ennuie sans doute. J’avais prévu cela. Toujours à tâtons je trouve près de moi au sol, une grappe de boules de la petite à la très grosse espacées régulièrement sur une tige souple qui se termine par un anneau. Je fais glisser la petite boule dans mon petit trou. Puis une autre, et la suivante. Chaque boule ouvre plus mon anus.la dernière fais 7cm de diamètre. Quand je fais aller et venir les 5 ou 6 qui sont entrées c’est déjà fou les sensations. Avec le vibro sur mon sexe tout vibre. Je dégouline maintenant, le Hitachi et sa grosse tête écartèle mes petites lèvres. Je pousse un peu la tête articulée se positionne bien à l’orée de mon sexe. La boule fais bien 10 cm Elle est trempée et glisse en vibrant.
Mon image dans le miroir m’excite énormément. Cuisses largement ouvertes, la grappe de boules qui va et vient dans mon petit trou du cul. Je ne peux que gémir ou traiter mon reflet de salope, de chienne. J’ai chaud, mes aisselles trempées la sueur coule sur mex flancs. Ma peau est de plus en plus luisante. J’adore quand je suis ainsi. Je me trouve belle. Mika adore que nous fassions l’amour dans le sauna, nos peaux glissent se frottent je suis dans le même état. Des vagues de frissons s’emparent de moi. Mon clitoris gonflé se tend de minute en minute, je l’ai rarement vu aussi gonflé. Les vibrations me tirent des cris des sons inarticulés sortent de ma gorge. Ma main gauche fait aller et venir les boules dans mon petit trou, tous les deux ou trois allez retour, une nouvelle boule entre m’écartant encore plus l’anus. J’adore être enculée.
J’adore demander à mon homme qu’il m’encule. Le dire crûment c’est affirmer que je suis soumise, je m’humilie moi-même. Et çà ajoute à mon excitation. C’est fou comme de petits détails peuvent prendre de l’importance.
Dans mon miroir je ne vois qu’une jolie rousse, bien salope qui se défonce le cul et la chatte, pour arriver au grand frisson. Le vibro va et vient sur ma fente qui est grande ouverte rose, luisante de mouille grasse, qui me coule sur les fesses. Je saute quand la tête du Hitachi touche mon bouton. Si je posais cette grosse tête sur mon bouton quelques secondes je suis sûre que je déclencherais l’orgasme qui enfle dans mon ventre. Je suis tellement excitée que je pousse un peu fort sur mon vibro et la grosse tête disparait avalée par mon vagin. A cet instant tout mon bas ventre, mon anus sont inondés de vibrations. Si vous avez fait ça vous vous en souvenez surement. Je ne peux retenir mes cris.
- Ouiii ! Ouiii ! oh putain !! Ouii encore
Je passe énormément de temps à me masturber et à jouir. Une journée normale, c’est 5 ou 6 orgasmes, rarement moins, parfois plus c’est selon la correspondance. Je me confie, j’écoute les confidences car j’aimes dialoguer, que le dialogue sur ces sujets me fait du bien. J’espère qu’ils font du bien à mes amis également. Je ne dialogue pas et dévoile ma vie pour pouvoir me caresser, non. Mais il est vrai que lire les correspondances, raconter mes histoires me donne envie de le faire, et je cède presque systématiquement.
Revenons à moi, Le vibro enfoncé dans ma chatte, ma main gauche fait aller et venir la grappe de boules dans mon cul. Je mouille tellement que mon anus trempé avale toutes les boules sauf les deux dernières. Mais avec les vibrations qui se communique en moi à ce chapelet de boules. Je fais pénétrer les deux dernières. Dans mon vagin la tête du Hitachi qui fait 10 cm et dans mon anus la dernière boule de 7cm disparait, entre et sort au rythme que lui imprime ma main.
Je m’agite, me cambre, c’est violent, je vais finir par tomber. Dans le miroir je vois une nana rousse, une belle salope déchainée qui vraiment se défonce les orifices avec des jouets. Elle crie secoue la tête,
J’imagine mes amis, admirateurs et autres en demi-cercle à la place du miroir, surement la queue à la main en train de me dévorer des yeux. Ils aimeraient être les jouets à cet instant. J’ai lâché le Hitachi et il est juste planté en moi, captif de mon sexe. Il est lourd et avec le manque et le fil il s’incline vers le bas. De ma main libre je malaxe mes seins, pince mes pointes toujours douloureuses après les pinces. Ma respiration est hachée, mon esprit est dans une sorte de brume, j’ai des images, des queues, des hommes qui se branlent qui s’approchent de moi. Ils sont au moins une douzaine.
Et comme un claquement de fouet, je crie, je hurle sans doute. Je jouis brutalement... Mon vagin se contracte puis se dilate expulsant le Hitachi qui tombe au sol avec un bruit mat et continue à vibrer bêtement sur la moquette. Je retire les boules de mon anus, fugacement dans le miroir je vois le rose entourant une large béance sombre. Je suis totalement dilatée devant et derrière. Les convulsions ne stoppent pas, je sens déferler en moi une vague puissante mes fesses le sont plus soutenue, je suis arquée, sur mes talons le pubis vers le ciel et un puissant jet est expulsé de mon vagin, un squirt terrible, un vrai jet d’eau qui frappe le miroir et brouille mon image. Mes mains sont sur mon sexe de la droite je branle mon clito qui est gonflée et de la gauche je me pistonne la chatte dans un clapotis intense. J’ai l’impression que ça dure longtemps enfin la pression retombe. Je suis toute molle, trempée jusqu’aux os en sueur. J’ai quand même encore l’image de tous ces hommes qui éjaculent sur moi ce qui est raccord avec le taux d'humidité de ma peau. Le sens pratique on ne le perd jamais car un bref instant je me dis que je vais avoir du travail pour nettoyer.
Essoufflée, trempée je reprends doucement mes esprits, il y avait longtemps que toute seule, j’arrive à me mettre dans cet état. Avec de l’aide j’ai fait bien pire. Je crois bien qu’en me masturbant pensant que je giclais j’ai bien dû avoir 2 orgasmes coup sur coup
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime, enfin une femme qui livre sa vérité vraie ! sans aucune retenue. J'adore vos récits, continuez à vous livrer. J'aimerais bien être spectateur, vous encouragez et plus selon vos souhaits dans ces moments si intenses. Guertie
Bonjour Hélène,
Merci pour ce texte si bon à lire oui tu dois avoir beaucoup de queues qui durcissent ou de chatte qui d'humidifient en te lisant.
Ce que j'aime en te lisant c'est que se mêle la psychologique au ressenti et la description physique de ton plaisir.
Tu aurais dû remettre les pinces sur tes pointes pour ajouter de la douleur à cette séance de plaisir physiquement solitaire mais cérébralement exhib.
Bonne journée
Thallium
Merci pour ce texte si bon à lire oui tu dois avoir beaucoup de queues qui durcissent ou de chatte qui d'humidifient en te lisant.
Ce que j'aime en te lisant c'est que se mêle la psychologique au ressenti et la description physique de ton plaisir.
Tu aurais dû remettre les pinces sur tes pointes pour ajouter de la douleur à cette séance de plaisir physiquement solitaire mais cérébralement exhib.
Bonne journée
Thallium
Bonjour belle Hellene!
J'ai adoré !
Vu ta photo de profil et tes préférences, je serai à la place de ton mari, je te ferai mettre toute nue et à 4 pattes pour t'attacher au coup avec une laisse et te promener comme une chienne !!!!
A très vite pour une prochaine histoire !
J'ai adoré !
Vu ta photo de profil et tes préférences, je serai à la place de ton mari, je te ferai mettre toute nue et à 4 pattes pour t'attacher au coup avec une laisse et te promener comme une chienne !!!!
A très vite pour une prochaine histoire !
@Daniel
Oui cela me manque les jeux sm et la soumission, oui la douleur me fait défaut.
Rien a voir avec mon éducation commencée tôt dans ce domaine. Ces 5 années sont sans doute les plus belles que j'ai connues. Mon Mariage me satisfait mais il reste ce petit coin d'ombre que j'aimerais voir éclairé.
Oui je suis sans limites mais j'assume et je voudrais que mon mari que j'aimes partage çà avec moi. Si je voulais le tromper ce serait facile. Crois tu que beaucoup d'hommes refuseraient un RdV ?
Moi je le refuserais, avec mes intentions ce serait totalement suicidaire.
On peut en discuter via le mail.
au moins tu a aimé le texte. Je veux bien essayer de t'expliquer pourquoi je suis ainsi
Oui cela me manque les jeux sm et la soumission, oui la douleur me fait défaut.
Rien a voir avec mon éducation commencée tôt dans ce domaine. Ces 5 années sont sans doute les plus belles que j'ai connues. Mon Mariage me satisfait mais il reste ce petit coin d'ombre que j'aimerais voir éclairé.
Oui je suis sans limites mais j'assume et je voudrais que mon mari que j'aimes partage çà avec moi. Si je voulais le tromper ce serait facile. Crois tu que beaucoup d'hommes refuseraient un RdV ?
Moi je le refuserais, avec mes intentions ce serait totalement suicidaire.
On peut en discuter via le mail.
au moins tu a aimé le texte. Je veux bien essayer de t'expliquer pourquoi je suis ainsi
Hélène encore un joli texte mais a la lecture on revient sur ton manque de maître tu regrettes de ne plus subir des outrances sur ton corps très jeune moi je dirai trop jeune un couple que je qualifierai de destructeur s’est occupé de ton éducation et du fait de tes pré dispositions à pousser les supplices tellement que maintenant tu recherches toujours plus et ton mari qui t’aime essaye de te ramener à la raison on le sent à la manière dont tu en parles. Et là alors qu’il est absent tu vas très loin avec tes tétons au risque de les blesser je ne comprends pas ce besoin de destructions du corps pour éprouver une douleur jouissive.Daniel
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