Il y a longtemps, quand j’étais encore à l’école - histoire érotique

Cette histoire se passe en 1978. Je venais d’avoir 18 ans et j’étais dans un lycée d’enseignement professionnel du 92 dans une section où il y avait plus de filles que de garçons.
Lors des cours, c’était toujours très agréable d’admirer les jolis petits culs lorsque l’une de ces demoiselles devait passer au tableau.

Je me souviens notamment de l’une d’entre elles qui se prénommait Isabelle. C’était une petite blonde, les cheveux mi-longs, un visage d’ange, un cul et des seins à faire bander un cheval de bois.

Je me souviens encore de ses seins très volumineux dont elle jouait pour exciter les mecs. Faisant parti de ces derniers, je bandais régulièrement lorsque je la voyais. Si en plus, elle s’apercevait qu’on la matait, elle nous sortait le grand jeu en tortillant son petit cul qui a fait frémir un bon nombre de garçons de cette classe, mais aussi d’autres. C’était un peu la « star » de l’école.

Un jour, lorsque nous étions en cours de gymnastique, nous étions en extérieur pour faire des 100 mètres. Notre prof de gym était comme la plupart des profs de cette discipline, très cool.
Avec un autre garçon, nous commençons à plaisanter avec Isabelle et une autre fille de la classe qui était encore plus chaude qu’elle, mais qui était moins mignonne. Avec mon pote, on s’était dit qu’on pourrait peut-être se les brancher, même si nous étions tous les deux assez timides.
Sur le ton de la plaisanterie, nous commençons par leur dire quelque chose comme :
- « Vous savez, les filles, que nous sommes les rois du tapis ? » (en référence au tapis de protection qui sont dans les gymnases).
Elles nous répondent quasiment en cœur :
- « Eh bien moi, je voudrais bien voir ça !
- Quand vous voulez, mesdemoiselles. Maintenant si le souhaitez.
- OK.
- Vous nous suivez ? »
Comme notre prof était sympa, on se risque à rentrer dans le gymnase pour être un peu plus tranquilles.

Nous savions qu’il y avait une salle libre dans laquelle il y avait de gros tapis bien rembourrés. Arrivés sur place, nous nous asseyons et commençons par discuter de choses et d’autres, puis au bout de quelques minutes, Isabelle nous demande si elles sont venues là seulement pour discuter.

Isabelle était assise sur ses talons, je passe derrière elle et je commence par lui caresser les seins. Elle doit être très sensibles de cette partie-là car je sens qu’elle respire un peu plus fort et un peu plus rapidement que quelques instants auparavant.
Elle est super serrée dans son haut et je ne peux pas passer mes mains en dessous pour lui caresser à même la peau. J’aurais pu lui caresser les tétons et vérifier qu’ils étaient dressés et bien durs.

Ce n’est pas grave car rien que le fait de la caresser pendant que sa copine et mon pote mataient pour voir comment cela allait se terminer, ça me faisait bander à mort. Isabelle ne pouvait pas ignorer cette queue qui devait lui rentrer à moitié dans les fesses. Mon survêtement (à l’époque, on n’appelait pas ça un jogging) laissait paraitre une bosse qui en disait long sur mon état.

Comme Isabelle avait mis un haut qui était une chemise de son frère, elle me dit :
- Tu es en train de peloter un mec, là.
- Je n’en suis pas sûr, lui répondis-je. Je vais vérifier tout de suite.
Isabelle avait en fait, très envie de se faire caresser...

Et là, je passe ma main devant elle et je plonge directement dans sa culotte. Isabelle se met à rire, mais ne se dégage pas pour autant. Je me dis que c’est une bonne chose.
Je la fais se lever et je commence à lui baisser son pantalon de survêtement. Une magnifique petite culotte venait de se découvrir, avec un cul dedans, je ne vous dis que cela.
En attendant, mon mât s’était dressé au plus haut dans mon pantalon de survet.
Je me lève en même temps qu’Isabelle et nous restons collés avec ma queue bien coincée entre les deux lobes de son petit cul.

Sa copine ne voulant pas être en reste, se rapproche de moi et prend mon pantalon de survet et le descend. Comme mon sexe était dressé, il a retenu mon slip, mais c’était tout comme si j’étais à poil car on devinait allégrement ce qu’il y avait en dessous. Annick, la deuxième fille du groupe, me caresse la bite par-dessus le slip. Je lui dis qu’elle n’a qu’a la sortir comme cela je serais plus à l’aise.
Cette petite cochonne ne s’est pas faite prier : elle a pris mon slip de chaque côté et l’a descendu d’un seul coup. Mon sexe qui était tendu, s’est redressé lorsque mon slip l’a libéré et Annick a failli le prendre sur la figure.

Elle me prend le sexe en main alors que moi, j’avais la main dans la culotte d’Isabelle et je la doigtais tout en douceur. Isabelle n’en perdait pas une miette. Je sentais que son bassin poussait en avant pour que mes doigts entrent plus profondément dans sa chatte.
Annick commence à me branler en alternant la vitesse : parfois, c’était brutal, parfois elle allait tout doucement. Je sentais Isabelle partir petit à petit. Son corps s’est mis à trembler. J’ai senti ses muscles se contracter autour de mes doigts. Isabelle me fait face. Elle mouillait comme ce n’était pas possible. J’en avais plein les doigts et aussi plein la main.
J’ajoute un doigt dans sa chatte (ça en fait trois) et je continue de la limer avec mes doigts.

Elle aime ça. Je décide de mettre un 4e dans sa chatte. Même s’ils sont à l’étroit, je sens qu’ils coulissent bien dans sa petite chatte bien mouillée.
Isabelle se met de côté. C’est à ce moment qu’Annick a décidé de me présenter son cul. Elle s’était cambrée le plus possible pour m’offrir une vue et une meilleure prise pour la baiser.
En fait, je n’ai rien fait : Annick a approché son cul et elle a pris ma bite en main. Elle l’a présentée devant son petit minou. Annick s’est reculée brusquement pour se faire empaler sur ma bite.

Et moi, pendant ce temps, je limais la chatte d’Isabelle avec mes doigts et je baisais Annick avec ma queue. Mon pote regardait et n’osait pas venir se joindre à nous.
Annick en contractant les muscles de son vagin a fini par me faire décharger une sacrée quantité de sperme. Elle a tout pris dans sa chatte. Elle a remis sa culotte et nous a regardé en train de baiser avec Isabelle.

Dès que j’en ai eu terminé avec Annick, c’est Isabelle qui m’a présenté son cul… et quel cul ! J’ai vu que sa rondelle commençait à s’ouvrir de plaisir. J’ai donc approché ma queue près de son petit trou en pensant que je vais me faire jeter. Eh bien non, au contraire. Ma queue a été comme absorbée par son cul. Je n’ai pas senti le moindre obstacle. C’est rentré comme dans du gruyère. Il faut dire que sa chatte bavait tellement que cela lui avait lubrifié sa petite rondelle.

Quel plaisir de coulisser à l’intérieur de ce magnifique cul.

Isabelle H. : si tu te reconnais dans ce récit, n’hésite pas à me recontacter. Nous pourrons ainsi continuer cette histoire commencée il y a bien longtemps.