Il y a une vie (sexuelle) après le voile
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il y a une vie (sexuelle) après le voile
Il y a une vie (sexuelle) après le voile
— Pour elle, sitôt le voile retiré on devenait une catin et on se précipitait dans le plumard de tous les petits blancs qu'on croise.
— C’était vraiment sa vision ?
— « Sa » vision propre, pas sûre. Disons plutôt, celle qu’on lui avait fourrée dans le crâne à coups de prières.
— Le mieux en ce cas, c’est de fréquenter des filles un peu plus lambdas que nous. Toi comme moi on couche beaucoup : de quoi conforter certaines voilées dans leurs convictions à la noix.
— La fac a fait beaucoup changer Jamila. Elle a fréquenté… de tout, vraiment. Aussi bien des garçons et filles chastes, ou assez sages, ou très volages. Depuis la rentrée, elle est bien plus mûre. Dieu merci !
— Quoi Dieu merci... Simple trait d’esprit ou bien tu vires de nouveau de bord ?
— Au contraire, je suis devenue agnostique à tendance Taoïste.
— Pfff… Tu changes à chaque trimestre.
— En tout cas je retournerai jamais dans ce qu'on m'a inculqué.
— Pendant un temps, t’as été à la fois libérée et musulmane, non ?
— Tout pouvait pas se faire d’un coup ! Oui, j’ai commencé par là, et je suis la preuve vivante, enfin une des innombrables preuves vivantes que les extrémistes se trompent. La musulmane libérée se contente d'être libre. Être départie du poids des barbus ne donne pas envie de faire tout et n'importe quoi.
— Forcément, y’a toujours le regard d’Allah !
— Et puis les textes religieux, la notion du mariage, de la fidélité et patati et patata.
— Et tous ces boulets psychiques sont restés accrochés combien de temps ?
— Bien moins longtemps que prévu !
— Comment tu as fait ?
— Un psy je le sentais moyen, j'ai préféré faire mon auto-analyse. Plus pertinent et plus économique. Je pense que plus on est entravé, plus on se lâche le jour de la vraie libération. Genre, la musulmane modérée, après son apostasie, restera sage. Ou au même niveau qu’avant. Par contre, l’ex-musulmane radicale deviendra une vraie cochonne.
— Je l’ai souvent constaté chez les anciens enfants de chœur. C’est pareil pour toutes les religions j’imagine.
— À chacune sa libération mais elles sont souvent similaires entre elles, oui.
— Je me souviens, la tienne a été très symbolique. Tu n'étais plus sous la coupe de tes parents depuis belle lurette quand tu as zappé le voile.
— Je suis restée malgré tout longtemps sous leur contrôle. Il étaient là même en n’étant plus là. À chaque pas c'est comme s’ils me suivaient, me jugeant encore plus durement qu'Allah. Dis-toi bien que la toute première verge que j’ai eu dans la bouche, seigneur à près de vingt-trois ans, j’avais l’impression d’avoir mon père à coté de la couille droite et ma mère à côté de la gauche, qui voulaient m’expédier en enfer.
— Ma pauvre… et te passer de ce tissu, c’est venu comment ? Qu’est-ce qui a produit le déclic ?
— Presque par hasard, encore que je crois pas au hasard. Ce jour-là, je l’avais mal mis. Il y a eu de la brise, le vent a commencé à le retirer, je l’y ai aidé. J’ai laissé flotter mes cheveux, j’ai croisé un premier regard charmé de mec. Forcément je l’ai plus jamais remis.
— Une aide du ciel ! T’as carrément reçu une aide du ciel !
— Et pourquoi pas ?
— Après, quelque part, avoir retiré un vêtement donne envie tôt ou tard… de tout retirer pour câliner un garçon.
À suivre… (samedi prochain, ou dans la liste de textes de Théo Kosma, selon le jour où vous lisez cette histoire)
— Pour elle, sitôt le voile retiré on devenait une catin et on se précipitait dans le plumard de tous les petits blancs qu'on croise.
— C’était vraiment sa vision ?
— « Sa » vision propre, pas sûre. Disons plutôt, celle qu’on lui avait fourrée dans le crâne à coups de prières.
— Le mieux en ce cas, c’est de fréquenter des filles un peu plus lambdas que nous. Toi comme moi on couche beaucoup : de quoi conforter certaines voilées dans leurs convictions à la noix.
— La fac a fait beaucoup changer Jamila. Elle a fréquenté… de tout, vraiment. Aussi bien des garçons et filles chastes, ou assez sages, ou très volages. Depuis la rentrée, elle est bien plus mûre. Dieu merci !
— Quoi Dieu merci... Simple trait d’esprit ou bien tu vires de nouveau de bord ?
— Au contraire, je suis devenue agnostique à tendance Taoïste.
— Pfff… Tu changes à chaque trimestre.
— En tout cas je retournerai jamais dans ce qu'on m'a inculqué.
— Pendant un temps, t’as été à la fois libérée et musulmane, non ?
— Tout pouvait pas se faire d’un coup ! Oui, j’ai commencé par là, et je suis la preuve vivante, enfin une des innombrables preuves vivantes que les extrémistes se trompent. La musulmane libérée se contente d'être libre. Être départie du poids des barbus ne donne pas envie de faire tout et n'importe quoi.
— Forcément, y’a toujours le regard d’Allah !
— Et puis les textes religieux, la notion du mariage, de la fidélité et patati et patata.
— Et tous ces boulets psychiques sont restés accrochés combien de temps ?
— Bien moins longtemps que prévu !
— Comment tu as fait ?
— Un psy je le sentais moyen, j'ai préféré faire mon auto-analyse. Plus pertinent et plus économique. Je pense que plus on est entravé, plus on se lâche le jour de la vraie libération. Genre, la musulmane modérée, après son apostasie, restera sage. Ou au même niveau qu’avant. Par contre, l’ex-musulmane radicale deviendra une vraie cochonne.
— Je l’ai souvent constaté chez les anciens enfants de chœur. C’est pareil pour toutes les religions j’imagine.
— À chacune sa libération mais elles sont souvent similaires entre elles, oui.
— Je me souviens, la tienne a été très symbolique. Tu n'étais plus sous la coupe de tes parents depuis belle lurette quand tu as zappé le voile.
— Je suis restée malgré tout longtemps sous leur contrôle. Il étaient là même en n’étant plus là. À chaque pas c'est comme s’ils me suivaient, me jugeant encore plus durement qu'Allah. Dis-toi bien que la toute première verge que j’ai eu dans la bouche, seigneur à près de vingt-trois ans, j’avais l’impression d’avoir mon père à coté de la couille droite et ma mère à côté de la gauche, qui voulaient m’expédier en enfer.
— Ma pauvre… et te passer de ce tissu, c’est venu comment ? Qu’est-ce qui a produit le déclic ?
— Presque par hasard, encore que je crois pas au hasard. Ce jour-là, je l’avais mal mis. Il y a eu de la brise, le vent a commencé à le retirer, je l’y ai aidé. J’ai laissé flotter mes cheveux, j’ai croisé un premier regard charmé de mec. Forcément je l’ai plus jamais remis.
— Une aide du ciel ! T’as carrément reçu une aide du ciel !
— Et pourquoi pas ?
— Après, quelque part, avoir retiré un vêtement donne envie tôt ou tard… de tout retirer pour câliner un garçon.
À suivre… (samedi prochain, ou dans la liste de textes de Théo Kosma, selon le jour où vous lisez cette histoire)
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