IL Y AVAIT SI LONGTEMPS

- Par l'auteur HDS Helene2010 -
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Auteur femme.
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Récit libertin : IL Y AVAIT SI LONGTEMPS Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2012 dans la catégorie Fétichisme
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IL Y AVAIT SI LONGTEMPS
IL Y AVAIT SI LONGTEMPS

Ça commençait bien ! Pour une fois que je prenais des vacances, ma carte bleue
est restée bloquée dans le distributeur de billets. Je suis rentré dans l'agence et je
suis allé directement au comptoir pour expliquer ce qui m'arrivait mais la jeune femme
m'a dit qu'elle n'y pouvait rien et que je devais voir la responsable de l'agence.

J'ai attendu un moment puis la femme m'a dit que j'allais voir Mme Suzanne
Françoise V... Suzanne Françoise ! Tout à coup, je me souvenais que j'en avais connue
une, qui était copine avec ma soeur, il y avait trente ans de ça alors que nous étions
encore gamins. J'essayais de me souvenir de son nom. C'est souvent qu'on pense que ça
commence par une syllabe ou que ça se termine par tel son.

La femme a ouvert la porte du bureau et je suis entré et la responsable
d'agence était plongée dans son ordinateur mais elle m'a quand même dit de m'asseoir.
Elle était en train de faire quelque chose et je la regardais. Difficile, trente ans
plus tard, de trouver une ressemblance entre une femme mûre et la gamine qu'elle avait
été. Quelques feuilles sont sorties de l'imprimante et la femme les a rangées dans un
dossier.

- Votre carte bleue... coincée, m'a-t-elle ensuite dit... Il faudra attendre
demain après-midi que la société qui s'occupe des distributeurs soit passée, a-t-elle
ajouté !

Je lui ai expliqué que j'avais besoin d'argent et elle était visiblement
désolée pour moi mais elle a ajouté qu'elle ne pouvait rien et elle m'a donné sa carte
professionnelle. Je la regardais et je cherchais son regard.

- Oui, m'a-t-elle demandé quand nos regards se sont croisés ?

- Suzanne Françoise, c'est pas courant, lui ai-je répondu !

- Oui, c'est vrai, m'a-t-elle répondu ! On trouve plutôt l'inverse : Françoise
Suzanne !

- Vous n'auriez pas vécu à S... il y a trente ans ?

La femme a ouvert la bouche et aucun cri n'en est sorti puis elle m'a demandé
si j'y avais vécu moi aussi et je lui ai raconté que ma soeur avait une copine
prénommée Suzanne Françoise mais que je ne me souvenais plus de son nom.

- Marie-Claude, m'a demandé la femme ? Je n'en reviens pas ! Oui, c'est moi !

Elle m'a expliqué qu'après son bac elle était entrée dans cette banque puis
qu'elle avait été d'agence en agence et changeant de ville et de vie à chaque fois
puis elle m'a demandé pourquoi j'avais besoin d'argent et il a bien fallu que je lui
dise que si j'étais à l'hôtel, il n'y avait pas de restaurant et que pour ce soir...
et là, elle m'a proposé de me prêter de l'argent et elle m'a demandé combien je
voulais mais elle a tout de suite changé d'avis et elle m'a proposé autre chose :
dîner avec moi ce soir et m'inviter en souvenir du vieux temps. J'ai accepté. Elle m'a
dit qu'elle quittait son travail à six heures et je n'avais qu'une demi-heure à
attendre. Elle a ajouté qu'elle prenait sa voiture au sous-sol et qu'elle me
retrouverait au numéro seize de la même rue et j'allais me lever de ma chaise quand
elle s'est levée. Je me souvenais d'une fille mince voire maigre et toute en hauteur.
Elle était toujours aussi mince mais son soutien-gorge semblait avoir du mal à
maintenir sa poitrine assez haut tellement elle semblait lourde. Un soutien-gorge noir
que je pouvais deviner au travers de son chemisier de soie grège. Elle m'a tendu la
main par-dessus son bureau.

- Alors, a tout à l'heure, a-t-elle ajouté ?

- A tout à l'heure, lui ai-je répondu avant de sortir de son bureau. Je suis
sorti de l'agence et j'ai traversé la rue, comme ça, pour regarder l'immeuble. Le
numéro seize se trouvait sur la droite. J'ai regardé combien j'avais d'argent dans mon
porte-feuille. D'un côté, j'avait été idiot de payer l'essence avec de l'argent et de
l'autre côté, c'était bien de retrouver une fille que j'avais connue. Juste un peu
connue. J'ai fait les cent pas et à l'heure dite une voiture a surgi du parking
souterrain et je me suis précipité vers elle. La femme a ouvert la porte et je suis
monté. Suzanne m'a demandé s'il y avait longtemps que j'étais en ville et comme je
venais d'arriver, elle m'a proposé d'aller faire un tour et pendant que nous roulions,
elle m'a redit que c'était elle qui m'invitait et qu'on allait dans un restaurant
qu'elle aimait bien. Nous avons encore roulé un moment et elle s'est garée près d'un
lac. Il y avait un restaurant sur l'eau, au bout d'un promontoire. Elle était
visiblement connue et je l'ai suivie à l'intérieur puis un serveur nous a dirigés vers
la terrasse extérieure et nous avons pris un verre. Elle était intarissable et quand
je lui ai gentiment dit qu'elle n'était pas obligée de parler, elle m'a répondu que ça
lui faisait du bien de rencontrer une vieille connaissance et à partir de là, elle m'a
parlé d'elle et je lui ai parlé de moi, sur le fait que je ne m'étais jamais marié et
elle m'a demandé si j'étais gay mais c'était simplement que je n'avais jamais
rencontré la bonne personne.

- Moi aussi, m'a répondu Suzanne ! J'ai toujours été la fille à baiser, sans
lendemain !

C'était son deuxième verre et elle était légèrement excitée.

- Pourquoi est-ce qu'on n'est pas restés en contact, m'a-t-elle encore dit en
commandant son troisième verre ?

J'ai fait signe au serveur d'annuler sa commande et Suzanne ne s'en même pas
aperçu.

- Vous êtes gentil garçon, a poursuivi Suzanne ! Vous êtes même beau ! On se
serait mariés et vous m'auriez fait des enfants, ce qui aurait plu à ma mère !

Elle a réclamé son verre et pour la convaincre qu'elle avait bu assez, j'ai
posé ma main sur la sienne et elle a fini par me dire qu'elle était bête et que
c'était tout ça elle et que ce n'était pas étonnant qu'elle n'ait jamais trouvé
quelqu'un et je ne sais pas pourquoi je lui ai répondu qu'à son âge, il était encore
temps...

- Temps de quoi, m'a demandé Suzanne ? J'ai des gros nichons et ils n'ont
jamais servi !

Elle a éclaté de rire puis elle m'a demandé si j'étais encore là samedi et
comme je serais encore là, elle m'a proposé d'aller avec elle dans un club naturiste,
ajoutant que ça ne l'avait jamais amusée d'y aller seule. J'ai promis à condition
qu'elle arrête de boire.

- Juste un verre de vin pendant le repas, m'a supplié Suzanne ?

J'ai accepté. Il était d'ailleurs temps de passer à table. Je l'ai aidée à
faire les quelques mètres qui nous séparaient de la salle à manger. Elle avait croisé
ses doigts dans les miens et je serrais son coude sous mon coude. A peine assise, elle
m'a dit qu'elle avait fait des bêtises toute sa vie et qu'à part son boulot, elle
avait tout gâché. Il valait mieux que je prenne ce qu'elle me racontait à la rigolade.
Après les entrées qu'elle n'a pas touchées, je lui ai servi son verre de vin qu'elle
n'a pas touché non plus. Elle était soudain raisonnable et elle ne buvait plus que de
l'eau et elle n'a rien bu d'autre jusqu'à la fin du repas. Quand j'ai voulu prendre le
volant, Suzanne m'a dit qu'elle ne prêtait pas sa voiture et nous sommes rentrés
presque au pas jusqu'à mon hôtel.

- Au revoir, m'a fait Suzanne ! On se voit samedi ?

Elle s'est penchée vers moi et je me suis penchée vers elle pour l'embrasser
sur la joue mais le hasard a fait que mes lèvres ont rencontré les siennes et je l'ai
embrassée sur la bouche et j'ai passé la main derrière son cou pour empêcher qu'elle
ne se retire. Elle sentait bon et ses lèvres étaient douces et je n'avais pas souvenir
d'avoir embrassé une telle fille. J'ai même passé la main sur sa poitrine et quand je
l'ai libérée, elle avait les yeux mouillés et elle m'a demandé si j'allais la baiser,
moi aussi puis elle a remis sa voiture en marche et elle a roulé jusque chez elle.

Je me sentais lâche d'avoir accepté tacitement sans rien dire. Je l'ai suivie
dans l'escalier de son immeuble et je l'ai aussi suivie chez elle.

- Refermez la porte, m'a-t-elle intimé !

Je me suis retourné et j'ai refermé la porte d'entrée de son appartement. Elle
avait disparu. A gauche, c'était la cuisine puis le couloir et je suis arrivé à sa
chambre. Suzanne était allongée sur son lit et complètement nue à part la bande de
poils qu'elle avait laissé juste au dessus de son clitoris. Je me suis déshabillé et
je me suis allongé sur elle. Elle a ouvert ses cuisses et je l'ai pénétrée puis j'ai
commencé à limer avant de m'arrêter.

Je suis resté enfoncé en elle mais j'ai redressé mes bras pour dominer
Suzanne. Elle regardait au plafond.

- Qu'est-ce que tu attends, m'a-t-elle dit ? Tire ton coup et va-t-en !

Je lui ai dit que ça ne pouvait pas se passer comme ça et qu'elle devait
participer sinon je n'y arriverais pas. Je reconnais que c'était maladroit. J'ai
glissé les doigts sur son torse. Ses seins avaient disparu dans le creux entre ses
côtes et ses bras.

- Vas-y, a répété Suzanne ! Baise-moi et va-t-en !

Je me suis retiré et je l'ai poussée pour qu'elle se retrouve sur le côté et
je me suis collé dans son dos et j'ai passé la main sur ses seins plaqués l'un sur
l'autre. Je voyais les rides que leur poids avait fait jaillir sur ses côtes.

- J'ai envie de toi, ai-je ajouté, mais ce n'est pas une raison...

Elle a tourné la tête vers moi et pendant que je continuais à lui caresser la
poitrine et à jouer avec ses mamelons. Je me suis penché sur son oreille et je lui ai
murmuré de me toucher et Suzanne a lancé sa main en arrière et elle a attrapé ma bite
et sans qu'elle ne la lâche, je suis passé par-dessus Suzanne pour me retrouver face à
elle. Je lui ai demandé de relever son genoux et je lui ai aussi demandé si elle
voulait que je la caresse et elle m'a répondu juste avec un sourire et j'ai posé les
doigts sur sa chatte et j'ai enfoncé le bout de mon index pour dégager ses petites
lèvres et son clitoris et elle m'a demandé ce que je faisais. Je ne lui ai pas répondu
et Suzanne a fini par me dire qu'elle allait jouir et elle a joui dans mes doigts.
Elle était devenue souriante même si elle m'avait brièvement fait une grimace et elle
a continué à me branler.

- Tu as déjà sucé... lui ai-je demandé ?

- Une fois, m'a répondu Suzanne ! C'est dégoûtant !

- Tu as avalé le sperme, ai-je insisté ?

Elle l'avait avalé.

- Et avec moi, lui ai-je demandé ?

Elle ne m'a pas répondu et je lui ai dit que si elle me suçait la bite, je la
préviendrait quand j'allais éjaculer et elle a semblé d'accord puis elle a rampé en
arrière jusqu'à ce que sa bouche soit à la hauteur de ma bite et elle m'a sucé. Je lui
aurais bien dit que c'était un talent caché parce qu'elle avalait ma bite jusqu'à ce
que ses lèvres et ses dents touchent mes bourses et elle faisait ça tout doucement si
bien que j'ai fini par lui dire que c'était une torture mais ça ne l'a pas arrêtée.
Elle a continué à me sucer la bite jusqu'à ce que je lui dise que j'allais jouir, que
j'allais vraiment jouir puis que je jouissais mais Suzanne a gardé ma bite dans sa
bouche et j'ai éjaculé au fond de sa bouche et elle a continué à me sucer jusqu'à
m'arracher la dernière goutte et elle s'est redressée. Elle avait la bouche fermée
quand elle s'est couchée sur moi et quand j'ai ouvert la bouche, elle a collé ses
lèvres sur la mienne et j'ai avalé mon sperme.

- Alors, c'est comment, m'a-t-elle demandé quand elle s'est reculée ?

Elle en avait encore sur les lèvres et même à la commissure des lèvres et
aussi plein les dents, tout comme moi. J'ai tiré Suzanne vers moi et je l'ai embrassée
à nouveau. Notre baiser sentait le sperme et le plaisir.

- Tu t'en vas, m'a-t-elle demandé quand elle a pu s'échapper ?

Je lui ai répondu que ce n'était pas fini. Elle était là, devant moi, penchée
sur ses bras tendus et ses mamelons touchaient le drap. Je lui ai dit que c'était la
première fois que c'était aussi agréable et aussi qu'elle était la plus belle fille
avec qui j'avais fait l'amour mais Suzanne m'a dit qu'elle ne me croyait pas.

- Tu veux rester, m'a-t-elle encore demandé ? Tu annules ton hôtel et tu
passes ta semaine avec moi ?

Je lui ai répondu que je n'avais rien, pas de bagages, pas de pyjama, ce qui
l'a fait rire, pas de brosse à dent mais elle en avait une pour moi.

- Reste, a insisté Suzanne ! Tu pourras faire tout ce que tu veux !

J'aurais pu lui répondre que j'aimerais bien l'enculer parce que j'avais
toujours eu envie de faire ça à une fille sans oser le demander. Je l'ai suivie à la
salle de bains. Elle n'avait pas que les seins bas, mais aussi les fesses. Une vraie
monture pour un étalon. Je l'ai rattrapée dans le couloir et je lui ai mis la main aux
fesses et elle m'a répondu que c'était facile. Nous nous sommes lavé les dents et
après elle m'a lavé la bite comme me l'aurait fait une putain puis elle s'est faite un
lavement et je suis sorti pour ne pas voir ça. Je suis allé me coucher et je me suis
mis sous le drap. Suzanne m'a rejoint et elle s'est lovée contre moi et j'ai passé la
main sous son bras pour pouvoir attraper sa poitrine.

- Je ne t'ai jamais regardé quand j'étais au lycée avec ta soeur, m'a dit
Suzanne ! Je m'intéressais aux garçons mais pas à toi !

Je lui ai répondu qu'elle était pardonnée puis elle m'a demandé si je voulais
voir de vieilles photos et elle s'est levée du lit sans attendre ma réponse et quand
elle est revenue, elle a ouvert un album. C'était bien elle, à l'époque. Maintenant,
je me souvenais très bien. Elle était plate, presque un garçon manqué avec ses cheveux
courts coupés à la Jeanne d'Arc. Elle m'a encore montré quelques photos puis elle a
refermé l'album et quand j'ai voulu en voir plus, elle m'a dit que ça ne me regardait
pas et que je la voyais nue et ça devait me suffire. Suzanne a posé l'album sur le
tapis puis elle s'est tournée vers moi. Elle semblait mystérieuse.

- Depuis tout à l'heure, je veux te dire quelque chose mais tu dois me
promettre de ne pas te fâcher, m'a dit Suzanne et peut-être que tu le sais ?

Je lui ai répondu que je ne pouvais pas savoir de quoi elle voulait me parler
et que de toute façon, je ne me fâcherai pas.

- Voilà, m'a fait Suzanne après avoir pris une grande inspiration : ta soeur
et moi, pendant deux ans, on a vécu ensemble ! Je veux dire qu'on a vécu ensemble
parce qu'on faisait l'amour ensemble !

J'étais incapable de dire quoi que ce soit. Je regardais Suzanne et je ne
voyais qu'une énorme paire de seins sur lesquels ma soeur avait posé ses lèvres, ses
doigts, elles s'étaient caressées l'une l'autre et peut-être qu'elle s'étaient prises
avec un gode ceinture. Elle me regardait et elle semblait attendre une réponse.

- Tu l'aimais, lui ai-je demandé ?

- J'étais presque un garçon, m'a répondu Suzanne ! Je n'avais pas de poitrine
et ça n'attirait pas les garçons et puis j'avais envie de ta soeur !

- C'était quand, lui ai-je encore demandé ?

- Oh, rassure-toi, m'a fait Suzanne ! On avait vingt-trois ans et on
travaillait !

- C'était comment ?

- C'était rien que pour le sexe, a ajouté Suzanne ! C'était excitant de faire
l'amour entre filles et puis on n'avait pas besoin de prendre la pilule ! D'ailleurs,
ta soeur m'avait dit que ça la rendait malade de la prendre, que ça la faisait
grossir.

- Et quand est-ce que tu as eu ces gros seins, lui ai-je demandé ?

Suzanne a rougi puis elle m'a dit que ça lui était arrivé quand elle a eu
vingt-cinq ans, quand elle s'est séparée de ma soeur...

- C'est qui qui est parti, l'ai-je interrompu ?

- C'est elle, m'a répondu Suzanne ! Elle avait toujours eu envie de se marier
et elle venait de tomber sur le bon numéro...

J'ai pensé à mon beau-frère qui serait content de savoir qu'il était le bon
numéro et surtout qu'il avait pris la suite d'une femme dans le lit de ma soeur.

- Tu garderas ça pour toi, a ajouté Suzanne ?

Je lui ai répondu que ça ne regardait que nous deux puis j'ai attrapé son sein
gauche et je lui ai demandé si elle était sûre qu'il n'était pas plein de silicone
mais je connaissais déjà la réponse. C'était du cent pour cent naturel !

- Tu n'as qu'à chercher une cicatrice, m'a dit Suzanne ! Allume le plafonnier
!

Je me suis contenté de lui broyer le sein entre mes doigts, quitte à faire
péter l'enveloppe de silicone s'il y en avait une mais il n'y avait pas de mystère.
D'ailleurs, elle m'aurait empêché de lui faire ça si ça avait été le cas. Je lui ai
demandé si elle ne voulait pas vérifier si par hasard je n'avais pas une érection. Je
sentais bien que j'avais la trique. Suzanne a posé ses doigts sur ma bite et elle m'a
dit que j'étais un cochon et moi, je lui ai répondu que le cochon avait envie de
saillir sa truie et Suzanne a protesté qu'elle n'était pas une truie mais elle m'a
laissé la mettre sur ses genoux et elle a calé sa tête dans ses bras croisés et je
l'ai pénétrée et j'ai commencé mon labour parce que ce n'était pas comme la première
fois. Sa chatte était bien serrée sur ma bite. J'ai attrapé ses hanches et j'ai
continué mon layon. Suzanne a commencé à se plaindre que je lui faisais mal. Elle
semblait se refuser et c'était dur mais j'ai continué puis après m'avoir encore dit
que je lui faisais mal, elle a crié qu'elle jouissait et j'ai joui à mon tour,
envahissant son vagin avec ma semence et nous sommes restés sur le lit, sans bouger,
imbriqués l'un dans l'autre jusqu'à ce que je débande. Des gouttes de sperme se sont
écoulées de son vagin et Suzanne a mis sa main pour arrêter la fuite, elle m'a mis un
coup de fesses pour me repousser et elle s'est enfuie en courant vers la salle de
bains.

J'ai pris l'album de photos et je l'ai monté sur le lit et je l'ai ouvert par
la fin. Suzanne Françoise n'était pas tout à fait innocente parce que sur les photos,
elle se masturbait avec ses doigts et aussi avec différents godemichés. Il y an avait
des douzaines de photos et une fois arrivé au milieu de l'album, c'était maintenant
deux femmes qui faisaient l'amour et j'ai reconnu le visage de ma soeur en gros plan
qui léchait un con et quand j'ai vu l'inverse, que ma soeur se faisait lécher le con,
j'ai compris que c'était avec son amie Suzanne puis il y a eu ces photos encore plus
excitantes où Suzanne était attachée au montant de son lit par les poignets et les
chevilles et elle présentait ses fesses et tout le reste et sur une autre photo, ma
soeur la pénétrait avec un gode ceinture. Encore d'autres photos où ma soeur avait les
seins enserrés dans un énorme élastique ce qui les lui décollait du torse et leur
faisait prendre la forme d'un ballon. Quelqu'un avait écrit "Putain !" sur une de ces
photos.

J'avais oublié que je n'étais pas seul et tout à coup j'ai senti une présence.
Suzanne était de retour dans la chambre. Elle m'a dit qu'elle se doutait bien que je
n'aurais pas pu résister. Elle a ajouté qu'elle n'avait jamais forcé ma soeur et que
c'était elle qui le lui avait demandé mais je m'en foutais.

- Et si je t'attache les seins comme elle, lui ai-je demandé ?

Avant que Suzanne ne puisse me répondre, j'ai pris les rubans qui attachaient
la housse du traversin et je les ai serrés autour de ses seins. C'était extraordinaire
parce qu'il ne restait plus que trois centimètres de diamètre de peau dans l'anneau
des rubans et tout ça m'avait fait rebander. Moi qui avais du mal à satisfaire une
fille une seconde fois, voilà que j'en avais encore envie. Suzanne se laissait faire
et je l'ai poussée contre le mur et je l'ai prise par derrière puis je lui dit que je
l'enculais et je me suis enfoncé dans son anus. Elle était plaquée contre la cloison
et elle se laissait faire et je l'ai enculée pendant un bon moment avant de lui dire
de se masturber mais ce n'était pas pratique. J'avais envie qu'elle s'appuie sur le
lit tout en me présentant ses fesses et j'ai passé les mains sur son ventre pour la
garder tout en lui intimant de ne pas arrêter de se masturber et j'ai continué à
l'enculer tranquillement pendant qu'elle se masturbait et je lui ai dit que je
n'arrêterai que quand elle aura joui et j'ai guetté ce qu'elle faisait, la moindre
respiration.

- Je t'en supplie, m'a supplié Suzanne !

Je lui ai rappelé qu'elle devait se faire jouir et j'ai continué à l'enculer
et puis elle n'a plus pu s'en empêcher et elle a joui et j'étais prêt moi aussi et
j'ai éjaculé dans son sphincter. Suzanne ne disait plus rien et tout à coup elle s'est
mise à uriner, tout doucement puis très fort et sa pisse s'est écoulée sur le drap.
Quand elle s'est redressée, ses seins étaient violet foncé, presque noir et je n'ai
voulu lui retirer les rubans qu'à condition que je lui compresse les seins avec un
bandage et elle était bien contrainte d'accepter. J'ai retiré les rubans et Suzanne
s'est massée la poitrine pour rétablir la circulation. Pendant ce temps, je retirais
le drap mouillé. Elle m'a dit qu'il y en avait d'autres dans l'armoire et j'ai refait
le lit. Suzanne était bien incapable de faire quoi que ce soit et je l'ai emmenée sous
la douche. Je l'ai savonnée avec plus de soin que je n'en aurais jamais avec moi et je
l'ai rincée puis essuyée puis je lui ai dit que je voulais voir disparaître cette
bande de poils et elle m'a montré son rasoir mécanique et la bombe à raser et j'ai
fait disparaître sa piste d'atterrissage.

Je n'avais plus qu'à lui faire un bandage et j'ai enroulé la bande autour de
son torse, forçant sa poitrine à fuir par le bas et quand j'ai enroulé le dernier
morceau, les mamelons lui arrivaient à hauteur du nombril. Qu'aurais-je pu faire de
plus ? Au moins, elle allait pouvoir dormir tranquillement. Je l'ai aidée à s'allonger
et je me suis à nouveau collé dans son dos et j'ai passé la main sous son bras pour
attraper ses seins. Quand je me suis réveillé, elle était partie travaillée et sur la
table de la cuisine, elle avait laissé un petit mot, me disant qu'elle n'était pas mon
esclave et que je lui avais fait mal la nuit dernière. Elle disait encore qu'elle
avait gardé le bandage et qu'elle ne savait pas la réaction que ça allait provoquer.
Il y avait aussi un trousseau de clefs et je suis allé annuler mon hôtel et j'ai
ramené ma valise. A six heures moins le quart, je suis passé à l'agence bancaire et
j'ai récupéré ma carte bleue. Qu'est-ce qui me retenait ? J'ai attendu Suzanne et j'ai
passé toutes mes nuits avec elle. Nous avons passé le samedi suivant dans le club
naturiste mais à part des gens de notre âge et des petits vieux et surtout les petites
vieilles avec leur grelots épinglés sur le torse, je n'ai rien trouvé d'excitant. Il
était temps que je rentre. Je me demandais si j'avais eu raison de laisser mon adresse
à Suzanne. Deux mois plus tard, elle m'a écrit qu'elle était enceinte et elle me
demandait mon avis. Je lui ai répondu que je viendrais la voir souvent et en fait, j'y
suis allé toutes les fins de semaine pour voir ses seins se remplir et son ventre
s'arrondir et aussi faire l'amour avec son gros ventre.

Quand elle en a été à son huitième mois - elle m'avait appris que ce serait
une fille - je me suis démené pour que ma soeur vienne avec moi sans son mari mais je
ne lui ai parlé de rien. Même pas de Suzanne et quand elles se sont rencontrées, je
les ai laissées ensemble. Je les ai même laissées ensemble toute la nuit et quand je
suis rentré à l'appartement, je les ai trouvées enlacées toutes les deux. Je n'avais
vraiment plus rien d'autre à faire que de partir et comme j'avais trouvé une mutation,
je suis aussi parti de chez moi sans laisser d'adresse et depuis je me demande ce que
sont devenues les deux femmes.

Je pourrais y retourner, discrètement, comme ça, pour essayer de les
apercevoir. Rien que comme ça...

FIN

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Texte coquin : IL Y AVAIT SI LONGTEMPS
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