Il y en a pour out le monde...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Il y en a pour out le monde... Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il y en a pour out le monde...
Inès a trouvé le moyen de se chamailler avec tout le monde pour que ce soit moi qui la dépose à la gare.
-Ça va avec maman ? Me fait-elle de son siège passager, tout en regardant le paysage autour de nous.
-Tu parles de quoi là ?
-Je pense que tu m’as très bien compris.
Après un moment de silence, elle me relance ;
-Elle est plus ensorceleuse que moi ?
-Inès si tu le permets, j’aimerais éviter de parler de ça !
-Oui je vois !
Et là, je la surprends en train d’ouvrir le compas de ses cuisses. Comme un fait exprès la coquine a omit de se passer une culotte. Elle écarte largement de ses doigts les lèvres de sa chatte. Ma bite double de volume en voyant la chatte de la jeune fille encore toute ouverte. Je devine qu’elle s’est faut ramoner par son copain avant le départ.
-Mais dis-moi, pourquoi n’avoir pas demandé à ton copain de t’accompagner.
- Ai-je besoin de te donner la raison ! Lance-t-elle tout en maintenant sa chatte grande ouverte.
Un filet de sperme coule vers son cul.
- Tu vois ce qu’il m’a mis. Il éjacule vite et énormément. Et encore, j’en ai perdu en cours de route !
Inès est vraiment une superbe salope et en plus exhibitionniste. En regardant le foutre qu’a laissé Côme dans la chatte d’Inès je suis super excité.
-Tu veux me lécher, Alain…
-Quoi ! Tu veux que… et ton train ?
-Je prendrais le prochain. Et, ma chatte me démange. Depuis que tu m’as fait si bien jouir j’ai toujours envie de me faire sucer.
Elle est quand même gonflée de me demander ça, surtout avec sa chatte rempli du sperme de son copain. -Arrête-toi là ? me fait-elle on me désignant un sentier.
Sitôt arrêter la voilà qui me chevauche. Elle se rue d’avant en arrière. Inès crie et je sens le premier flot tiède me baigner le pantalon. Je la repousse par pur réflexe. Je suis témoin d’un filet de pisse giclé hors de sa chatte, éclaboussant mon pantalon.
En jouissant, cette vicieuse d’Inès est en train de me pisser dessus. Elle crie encore. Je déserte mon siège de conducteur pour voir sa pisse giclé en deux salves successives.
Ses sursauts calmés, elle se laisse retomber lourdement sur mon siège pour reprendre son souffle. Sa respiration haletante faisait rouler ses seins sous le tee-shirt qu’elle porte. L’odeur âcre de l’urine se mêle maintenant à celle plus chaudes de mouille et de sueur. Son entrecuisse parait ravagé. Le vagin reste entrouvert les lèvres recroquevillées virent au rouge vif, et le tout baigne de pisse qui étire les poils entortillés, luisants.
Je m’accroupi devant elle, posant un genou de chaque côté de ses épaules. Elle a un faible gémissement alors que je pose ma langue sur son sexe. Je la lape doucement.
-C’est vrai, je suis sale ! Je suis une dégoûtante !
Elle pose les yeux vers moi et je comprends qu’elle recommence déjà à être excitée.
- Sers-toi bien de ta langue ! Et partout !
Avec un grognement, j’entreprends à la fouiller. Je l’enfonce loin que je le peux, tourne dans son vagin. Je le sens gigoter sur son siège. Elle grogne alors que je m’acharne dans son trou. Elle a une expression vicieuse sur son visage.
- Oh oui Alain… !
Elle joui fort, ruant comme une ânesse. Donnant des coups de talons sur mon dos en gueulant.
Après cela, nous nous sommes rhabillé à la hâte. Et là elle me lance :
-Tu sais ce que Côme m’a proposé ?
-Non, je t’écoute.
-Eh bien qu’il ne serait pas contre un trio avec toi.
-Tu parles toi lui et moi.
-Exactement !
-Je pense qu’il est maintenant trop tard !
-Je le pense moi-aussi. Peut-être une autre fois si la chance m’est donnée de revenir !
-Je l’espère !
Sur le quai de la gare, elle se frotte à moi, en gloussant. Puis m’entrainant un peu à l’écart, elle colle ses lèvres sur les miennes. Sa langue me fouille la bouche jusqu’à la glotte et sa main droite palpe fébrilement la bosse qui me gonfle l’entrejambe. Elle gémit à me fendre l’âme. Je l’écarte de moi, les bras raides. Une vraie ventouse. Elle donne des petits coups de reins. Mais elle se cambre de nouveau vers moi, le bas-ventre projeté en avant. Heureusement pour moi le train entre en gare.
Bien plus tard, et encourager par les paroles d’Inès, je me suis laissé tenté, à me rendre dans la chambre de Côme.
Je le trouve bien sûr, seul allongé sur le lit. Très vite le dialogue s’instaure entre nous. Et peu à peu je l’emmène sur mon terrain.
-Inès m’a lâché quelques mots sur ton fantasme.
-Ah oui… ah oui… ! Elle a fait ça ?
-Exactement.
-Et elle t’a tout dit ?
-Tout… exactement tout…
-Et tout quoi ?
-Tu veux vraiment le savoir ?
-Pourquoi pas…
-Comme quoi tu ne serais pas contre un trio…
-Elle n’aurait jamais du dire cela ! C’était entre nous ! Répond-t-elle d’une voix rauque.
Son air timide a disparu et il semble même mieux. Je l’oblige à poser la main sur mon sexe.
-Alors touche.
-Je ne sais pas si je dois…
-Aller touche…
Il enveloppe toute ma queue. L’excitation me donne de la hardiesse. Je le guide, lui montrant, en appuyant dessus où je veux qu’il place ses doigts.
-J’aime bien… bien me la faire toucher !
L’excitation me fait bredouiller mais je poursuis avec obstination la suite.
-Continu !
Rouge et respirant bruyamment, il s’exécute. Je donne des coups de reins en soupirant avec force.
-C’est bon ! Fait coulisser tes doigts comme tu le ferais sur ta queue, petit coquin !
Il s’exécute, il remue sa main, très vite. Il se recule vivement quand je veux fourre ma main dans son caleçon.
-Oh, non !
-Tu as peur de quoi ? Je veux juste de rendre la caresse !
Il est très intimité malgré son excitation bien visible.
-Je ne sais pas si je veux !
-Mais gros nigaud, je suis sûr que tu vas aimer comme j’ai aimé moi aussi.
Ses réticences commencent à m’énerver. Sans fioritures, je lui baisse le slip d’un mouvement, avant de m’accroupir à ses pieds. Sa queue est assez grosse mais possède encore un côté enfantin avec sa peau claire et les couilles qui se remarquent à peine.
J’entoure sa verge de mes doigts, et je prends même l’initiative de poser un baiser sur le gland. Il pousse un gémissement. Son expression effarée, sa façon de se tenir gauchement en attendant la suite des événements, rendent la scène plus excitante encore.
Ma langue virevolte le long de la queue, puis revient sur le gland. Ensuite je l’aspire entre mes lèvres. Il pousse un profond soupir.
-Je…je crois que je vais !
Là ! La porte s’ouvre à la volée et Bérengère nous apparait.
-Voyons, continuez, s’il vous plaît ! Je trouve tout cela très excitant !
Après avoir pris la précaution de verrouiller la porte elle relève très haut sa chemise laissant ainsi voir ses cuisses ouvertes et son slip tendu sur sa motte. Elle nous regarde de son petit air vicieux et elle commence à écarter sa culotte et nous exhibe sa chatte aux lèvres intimes luisantes de désir.
-Alors, ce n’est pas mieux ça, les hommes ?
-C’est Euh… articule Côme.
-Bien sûr, lui répondis-je avec un sourire.
- Exhibez-moi bien vos queues !
Elle se sépare d’un mouvement preste sa culotte pendant ce temps et d’une main continue à se toucher entre les cuisses. J’encourage Côme un peu confus de la situation de s’exécuter. Déjà Bérengère nous prend la queue et commence à nous masturber. Nous excite le gland de ses ongles vernis. Elle alterne son regard sur chacun de nous. D’une prunelle vicieuse, admirant nos bites dressées devant elle. Très vite elle prend la direction des opérations et nous demande soudain :
-Branlez-vous devant moi.
Côme et moi portons immédiatement la main sur notre queue, commençant à nous astiquer devant Bérengère particulièrement excitée qui se palpe les seins en faisant rouler ses tétons sous ses doigts. Au bout de quelques instants, elle ajoute :
-J’aimerais que vous vous branlez réciproquement…
Après un clin d’œil à Côme, j’avance la main vers sa queue et la prends entre mes doigts, pour la masturber. De son côté il prend ma queue pour la caresser sous les yeux de la copine de sa mère, qui elle agite sa main entre ses cuisses.
- Ho putain c’est jouissif !
Très vite, je sens la queue de Côme vibrer sous mes doigts. Pris d’une pulsion, je me penche, jusqu’à poser ma bouche sur le gland. Je le lèche avant de l’emboucher. Bérengère ravie, se place à genoux. Je sens sa main qui me caresse les fesses, elle m’encourage de poursuivre ma fellation. J’écoute ces commentaires excitants. Elle se met à me lécher le trou du cul.
Elle attrape en même temps ma verge et la branle en me suçant la raie. Elle ne tarde pas à mettre un doigt dans mon anus tandis que sa bouche gobe mes couilles. À ce traitement, je ne peux résister longtemps et j’éjacule dans sa bouche.
Bérengère prenant la pose, offre sa croupe à qui la veut. J’insiste Côme de la prendre. Il fait alors disparaître sa verge turgescente dans la chatte trempée de la copine de sa mère. Observant quelques instants le tableau qui met offert, tout en me masturbant. Incapable de me contrôler, je me place en tête-bêche sous les fesses de Bérengère. Je suis aux premières loges devant la vision de la queue de Côme allant et venant dans le con de Bérengère.
Je me mets à sucer alternativement le clitoris dur de la coquine et les couilles du jeune homme. Nous avons joui l’un après l’autre.
Le temps de récupérer et me voilà proposant à Côme de s’allonger sur le tapis et à Bérengère de s’empaler sur le fils de sa bonne copine. Elle comprend tout de suite où je veux en venir puisqu’elle m’offre ses fesses. Des deux pouces, elle va jusqu’à écartée les masses de chair. Je renifle la rosette froncée. J’applique ma langue sur l’anus. On entend le clapotis labial, alors qu’elle ondule des fesses de façon très suggestive. Une fois le tunnel bien assoupli je pointe le gland sur la cible étoilée et pousse… pousse encore jusqu’à m’enfoncer lentement mais sans temps d’arrêt. Dès que mon gland franchi le muscle circulaire je pénètre dans un monde de douceur. Comme toujours dans ses cas là, la sensation est extraordinaire de sentir contre ma bite, de l’autre côté de la fine paroi, celle de Côme qui s’autoriser de pilonner la chatte de la copine de sa mère. Nous accordons rapidement notre rythme de pilonnage tandis que Bérengère gémie et crie de plaisir, parfaitement fourrée.
Je circule avec délice dans le cul moelleux. Bérengère darde naturellement la croupe vers mon sexe. Posée sur le torse de son jeune amant, elle nous subit totalement passive. Je sens l’angle interne du rectum à chacune de mes charges. Je ressors ma queue pour scruter son passage obscure et moite. Dans un grognement sourd je la tambourine de quelques coups de reins et couché sur elle je jouis au fond de son trou la clouant sur Côme.
J’entends à son tour Côme manifesté son plaisir. Alors que je suis en train de récupérer, voilà que Bérengère se place au-dessus de mon visage, avec les jambes écartées. Je fixe le sexe.
Elle plie les genoux, son bassin s’abaisse, sa vulve se rapproche de mes yeux, de ma bouche. Elle garde sa position, assise en l’air en somme, et sans soutien. Elle a beaucoup de mal à tenir.
Alors elle monte et descend, avant de s’asseoir directement de mon visage. La vulve de Bérengère s’écrase sur ma bouche, je donne des coups de langue précis et insiste sur le clitoris. Je lèche les chairs, l’intérieur du vagin, souillé du sperme du jeunot. J’aime le sexe féminin d’une façon presque religieuse. Bérengère se manifeste. Extériorise son bien-être. Elle s’agite d’avant en arrière sur ma figure.
Je la lèche comme un amant gourmand. Je bois à sa fontaine de vie. Le flux doux et chaud coule dans ma gorge. J’aspire ce nectar parfumé pour notre plaisir à tous les deux. J’apprécie le goût et la texture fluide qui nappe ma langue avant de couler dans le fond de ma gorge.
Chaque coup de langue lui arrache un petit râle de plaisir. Ainsi encouragé, je m’applique à lui donner ce bien-être. Elle est folle. Hystérique. Elle gémit, crie, râle, soupire. Son corps se cabre, se tord.
Elle jouit tant qu’elle le peut, sans craindre de se faire entendre. Là dans le manoir.
L’orgasme assimile et après s’être intéressé à l’heure, elle nous invite à nous revoir le lendemain à la même heure, en osant nous défié du regard.

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