Imprévu à l'hôtel avec le patron !
Récit érotique écrit par Claire74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Imprévu à l'hôtel avec le patron !
Lorsque l’on me demanda de partir en déplacement professionnel pour aller visiter l’un de nous fournisseur en Allemagne, ma première réaction fut la joie et la satisfaction. Après une année de travail, j’étais enfin devenue une personne à qui l’on faisait confiance dans l’entreprise. Mon patron, un homme âgé de la cinquantaine et du nom de Christian, était venu me demander, un jeudi, de l’accompagner pour un audit la semaine suivante. J’acceptai avec un grand intérêt.
Agée de 21 années, je m’appelle Claire et je suis plutôt une fille de petite taille.
Les cheveux blonds mi-longs, j’arbore un visage fin aux yeux bleu foncé. Quant aux mensurations de ma poitrine, si cela vous intéresse, je fais du 85 B.
Pour mon tout premier déplacement professionnel, il ne se déroula, bien sûr, absolument pas comme je l’avais imaginé au premier abord.
Suite à la première journée de voyage, nous arrivâmes donc à l’hôtel que notre entreprise nous avait réservé pour le déplacement. Il était déjà bien tard et il faisait déjà nuit. C’était un hôtel de très bonne classe qui donnait sur la rue principale de la ville dans laquelle nous séjournions. Je suivis donc mon chef, traînant ma petite valise rose derrière moi, pour entrer dans un hall d’entrée très accueillant au sol et au comptoir recouvert entièrement d’un marbre brun de bonne qualité. Lorsqu’il nous aperçut, le réceptionniste, un homme d’une trentaine d’année aux yeux bruns, éleva le regard et nous accueillit en allemand avec un aimable sourire. Mon chef Christian s’avança donc et annonça notre réservation. Toute la conversation se poursuivit en anglais.
Au bout de quelques minutes, après que nous ayons finalement annoncé nos noms ainsi que celle de notre entreprise et après que le réceptionniste ai cherché en vain nos chambres allouées, ce dernier se tourna vers nous d’un air désolé.
La réservation qu’avait faite notre agent de voyage avait comporté une erreur. L’une des chambres avait été annulée car l’hôtel avait été déjà presque complet au moment de la validation en ligne. Il n’y avait donc qu’une seule chambre qui ait été acceptée pour nous lors du booking. Mon chef Christian après avoir demandé une solution à l’employé qui s’excusa de ne pas en avoir, se tourna vers moi les lèvres pincées.
-Que fait-on alors ? lui demandais-je.
- Il est plus de 22 heures, c’est un peu tard pour rechercher un autre hôtel pour la nuit ! Tu ne crois pas ?
- Ca va être un peu difficile, oui ! lui répondis-je bêtement.
- Je vois bien une solution mais…
- Que nous prenions la même chambre ? L’interrompis-je en voyant son air gêné.
- Oui, Claire ! Tu serais d’accord ? me demanda-t-il alors.
- Euh… J’hésitai un long moment. Ben, si nous n’avons pas le choix !- Je crois justement que nous ne l’avons plus à cette heure-là !
- Bon ben d’accord ! acceptais-je finalement sans grande conviction.
Il me sourit et se retourna auprès du réceptionniste, l’air satisfait. Il lui confirma alors que la seule chambre disponible ferait l’affaire. Dans son dos, je triturai la poignée de ma valise, profondément gênée de savoir que je me devais de passer la nuit dans la même chambre que mon chef de groupe.
Le réceptionniste nous annonça qu’il nous ferait bien entendu une ristourne et s’excusa une nouvelle fois du problème rencontré avant de nous tendre la clé de la chambre. Elle portait le numéro 18. Christian la prit et m’invita à le suivre jusqu’à l’ascenseur. Je saluai l’employé poliment et suivit mon chef.
La chambre était assez grande. Et comme je le craignais, elle disposait d’un seul grand lit aux draps de couleur blanche et rouge. Il y avait une grande salle de bains à la porte ouverte qui laissait entrevoir une baignoire sur un fond de marbre gris. En face du lit, il y avait une télé fixée au mur et un petit bureau de bois collé contre dessous. Je déposai ma valise auprès du petit bureau et prit la chaise pour m’asseoir tandis que je bouillais d’inquiétude. Ce soir, je n’aurais aucune intimité.
- Je suis vraiment navré, Claire. Je le signalerai à la direction…tu peux en être sûre !
Je hochai la tête sans savoir quoi lui répondre.
- Enfin, de toutes façons, ce n’est que pour une seule nuit.
Il se tût un moment puis reprit :
Tu vas prendre ta douche en premier ou bien j’y vais moi !
- Allez-y, je serais peut-être plus longue que vous !
Il me sourit et me fixa d’un air amical.
- Bon, si nous devons partager la même chambre, Claire , arrête plutôt ses formalités et tutoie-moi, ce sera plus simple pour nous deux.
- Très bien, lui souris-je.
- Parfait, alors j’y vais. A tout de suite…
Il s’éclipsa en emmenant sa valise avec lui dans la salle de bains puis referma la porte. Je patientai alors son retour.
Lorsque ma douche fût faite et après m’être préparée pour la nuit, je ressortis de la salle de bains pour trouver mon chef Christian déjà dans le lit. Il portait un t-shirt blanc et avait remonté la couverture jusqu’à son ventre. Il lisait un prospectus à l’adresse de l’entreprise que nous allions visiter le lendemain. Il se retourna et me découvrit dans mon pyjama de coton rouge comportant un simple chemisier et un pantalon qui me descendait jusqu’aux pieds. Je rougis de honte lorsqu’il me reluqua de haut en bas.
- Je pense que nous devrions nous coucher assez vite. Nous avons rendez-vous demain à 8h30 et nous devons encore prendre notre petit déjeuner avant.
- D’accord. De toute façon, je suis pour ma part, très fatiguée.
Je traînais ma valise pour la placer contre le mur puis contournais le lit à pas précipités pour glisser rapidement sous la couverture afin de ne pas trop en laisser voir de mon pyjama honteux. Il me regarda d’un air perplexe.
- Par contre, Claire, je crois que je ronfle la nuit. Si c’est comme ça, n’hésite pas à me réveiller.
- Ça ira je pense, dis-je d’un air poli. Loin de moi l’idée de réveiller mon chef en pleine nuit à cause de ses nuisances sonores. Je les supporterai.
- Bon… OK.
Je m’installai ensuite en position allongée sur le matelas et rabattit l’oreiller sous ma tête. Je m’écartai au mieux afin de ne pas trop le coller. De ma position, je sentais son déodorant masculin que je trouvai fort agréable.
- C’est bon ? Je peux éteindre ?
- Oui, c’est bon !
Il se pencha alors du côté opposé et éteignit la lumière en agissant sur l’interrupteur situé à proximité du lit. Puis je le sentis bouger pour s’enfoncer dans les draps. Je n’osai bouger tandis que j’entendis sa lente respiration à mes côtés dans le noir de la chambre d’hôtel.
Au bout de cinq minutes, alors que je m’apaisai de la situation et que je sentais doucement le sommeil m’envelopper, je sentis Christian remuer dans le lit. Je devinai qu’il venait de se placer face à moi et je sentis sa main chaude me toucher le bras au travers de mon pyjama. En chuchotant, il m’appela :
- Claire ?
- Oui !
Je sentis alors sa main se poser sur mon bras puis il se mit à passer sa paume le long de ma manche.
- Ça te dérange vraiment que nous soyons dans le même lit ?
- Euh… non ! lui répondis-je sans y croire vraiment. Tout ça pour ne pas le décevoir.
Je le sentis alors se rapprocher de moi en glissant sur le matelas. Il glissa son bras et m’attrapa la main. Il avait la peau quelques peu rugueuse.
- Qu’est-ce que vous… Qu’est-ce que tu fais ? m’enquis-je, perplexe.
- Tu n’as rien contre le petit plaisir d’un homme ?
Et sans m’en dire davantage, il se rapprocha encore et vint plaquer le dos de ma main fine contre lui. Je sentis, surprise, en contact direct contre ma peau, le tissu de son slip ainsi que la forme déjà bien allongée de son pénis à demi-dur. Il se frotta en remuant le bassin contre ma main. Tout se passait sous les draps. Je ne trouvai les mots pour exprimer ma gêne.
- J’en ai pas pour très longtemps, Claire, je te promets. J’en ai juste besoin.
Et en silence, il poursuivit activement à la recherche de son plaisir. Et tout cela à mes dépends.
Il glissa sa tête sur l’oreiller et se rapprocha toujours plus de moi.
- Est-ce que ça te gène si je glisse ta main à l’intérieur de mon slip ?
- Je… hésitai-je, tandis qu’il s’appuyait toujours plus l’entrejambe contre le dos de ma main.
- Je voudrais bien que tu me masturbes, Claire ! Personne n’en saura rien dans l’entreprise, je te le promets. Ils ne sauront même pas que nous avons partagé le même lit.
- D’accord, lui soufflais-je alors malgré la gêne certaine qu’il m’inspirait.
- Merci.
Il se remit en position allongé sur le dos tout en ne lâchant pas ma main de la sienne. Il se replaça à son aise et je le sentis lever mon bras avant de le déposer délicatement sur son torse. Puis il le fit descendre et mes doigts se glissèrent sous l’élastique de son slip qu’il avait soulevé pour m’accueillir. Je sentis d’abord son gland, bien gonflé sous l’envie qu’il ressentait. Puis il me fit glisser sur lui, jusqu’au fond, et ma paume se retrouva contre sa verge tendue. Elle était brûlante de son envie. Il relâcha l’élastique de son slip qui claqua, enfermant ma main à l’intérieur, tout contre son sexe, comme un piège. J’enveloppai alors mes doigts et sans plus réfléchir, je me mis à le caresser. J’avais tout juste 21 ans alors que lui devait bien avoir plus de la cinquantaine. Mais il semblait se détendre sous mon contact qui lui paraissait tant agréable. Je le masturbais directement dans son slip.
Je l’entendis gémir dans le noir, tandis qu’il relâcha mon bras et se laissa faire.
- Claire, c’est agréable ce que tu fais… c’est bien… continue.
Il gémit à nouveau alors que je le sentais se tortiller toujours plus sous les draps.
- Mais… vous êtes mariés, Christian ? J’avais repris sans le vouloir mon vouvoiement.
- Oui, mais tu fais ça mieux que ma femme, continue encore…
Je sentais au bout de mes doigts ses gros testicules tandis que ma paume, enroulée autour de son gros membre, faisait son travail. Malgré mes gestes quelques peu forcés, je sentais néanmoins le désir s’insinuer en moi. Le contact avec un pénis bien redressé dans l’obscurité d’une chambre d’hôtel me donnait une envie indescriptible qui m’inondait de chaleur. Je me relevai donc de mon oreiller et la main gauche toujours dans son sous-vêtement, j’écartai les draps. Dans la pénombre, je le vis me regarder quelques peu étonné mais il garda le silence, déjà satisfait de la situation.
J’écartai alors son slip, faisant ressortir son long sexe à l’air libre et je me penchai timidement sur lui. Du bout des doigts, je redressai le gros pénis qui me faisait envie. Je savais qu’il me fixait dans la pénombre. Je me courbai alors, et du bout des lèvres, chercha le gland apparent. Je le trouvai et, toujours avec une envie certaine, je le gratifiai de cinq baisers saliveux avant de le fourrer dans ma bouche étroite.
-Aaaah…. l’entendis-je gémir empreint d’un plaisir coupable.
Je commençai alors à le sucer. Le bout de son gland, malgré ma salive déposée avait un petit goût acide, sans doute dû à son passage aux toilettes avant de venir se coucher.
Mais c’était bon ! C’était délicieux que de ressentir un gros sexe brûlant contre ma langue. Je lovai mes lèvres autour de lui et entreprit ma lente fellation.
- Claire, je t’en demandais pas tant, mais continue….
Je le sentis m’attraper de sa main droite mon crâne et ma chevelure. Il désirait ressentir les mouvements de ma tête tandis que je m’activais le long de son pénis tendu comme un pieu. Je faisais glisser la moitié de la longueur de son membre dans ma bouche, et je l’entendis, à de nombreuses reprises, gémir de plus en plus fort, suite au bonheur que ma bouche lui procurait.
- Laisse-moi allumer la lumière, Claire ! Je veux te voir me sucer ! Je veux rêver en te regardant faire !
Il se contorsionna alors que je faisais des efforts pour le conserver en bouche puis la lumière principale de la chambre s’alluma. Il se replaça à son aise, légèrement rehaussé sur son oreiller, et me contempla, sa grosse queue dans ma bouche déformée.
Il me sourit.
- Allez suce ! Ne t’arrête pas, tu fais ça si bien…
Il me fixait avec passion. Ma chevelure blonde penchée sur lui. Son slip rouge était baissé à mi-cuisse et je me retrouvai nez à nez avec ses poils pubiens de couleur noire et légèrement odorants. Je repris alors la fellation que j’avais commencée dans l’obscurité. Il ferma les yeux, et poussa une nouvelle fois un petit cri de plaisir.
Il éleva encore la main pour me caresser les cheveux pendant que je remuai de haut en bas la tête sur lui et que je salivai bien sur son sexe bandant.
Soudain , il m’attrapa par le front et me fis m’arrêter.
-Claire, attends, je voulais te demander avant de jouir…
-Quoi ?
Je me redressai, quittant ainsi son pénis qui retomba sur son ventre, toujours bien tendu, et le fixait dans les yeux, me rendant compte que j’avais presque oublié que c’était mon patron.
-Tu… Tu me laisserais me glisser entre tes fesses ?
-Je vous demande pardon ?
-Je voudrais me placer dans ton cul…
Je le regardai, surprise…
-Pou… pourquoi ? balbutiai-je.
-C’est l’un de mes fantasmes. Ma femme ne me laisse pas le faire…
-…
-Tu sais, si tu ne veux pas…
-Euh…
A cause de la fellation, mon désir s’était épanoui. Et même si mon esprit me refusait cette pratique immonde, mon corps trembla à savoir que je pouvais me faire baiser ce soir-là. Et même si cela devait passer par la sodomie.
-Oui, répondis-je finalement, d’une petite voix.
-De quoi, oui ?
-Je veux bien…
-Mais, l’as-tu déjà fait ?
Je secouai la tête, éhontée de ce manque d’expérience.
-Moi non plus… alors je vais faire ça du mieux que je peux.
Toujours penchée sur lui avec son slip baissée, je donnai un dernier baiser à son sexe dur et basculait pour m’allonger sur le ventre à coté de mon patron. Satisfait, il se redressa à son tour puis enleva d’une main son slip pour le lancer sur le sol de la chambre. Il vint se placer derrière moi.
-Merci Claire !
Il avança sa main pour me caresser l’épaule gentiment et recoiffer un peu ma chevelure désordonnée.
-Encore une fois, reprit-il, je ne le dirai à personne. Il se pencha sur moi et m’embrassa gentiment sur la joue. J’étais prête à me faire enculer par lui et il en était parfaitement satisfait.
Il glissa ensuite ses doigts tout le long de ma colonne vertébrale, puis s’arrêta sur mes fesses rebondies. J’avais honte de mon pyjama de coton de gamine.
-Je peux te baisser le pantalon ?
-Oui, Christian, allez-y !
Et je le sentis enfouir ses doigts sous l’élastique de chaque côté de ma taille, puis tirer le tissu sur mes cuisses, découvrant ainsi ma culotte bleu ciel et mes fesses rebondies. Je le sentis s’asseoir sur mes mollets et en tournant la tête, le découvrit se masturbant d’une main rapide en regardant mon arrière train. Puis il vint de nouveau à moi pour tirer ma culotte en arrière. Je soulevai mon bassin afin de l’aider dans sa démarche tandis que je mouillai en sachant que je me découvrais devant un homme avec beaucoup plus d’expérience que moi.
Tout en se tenant le sexe, il m’écarta les fesses de son autre main et se pencha sur moi. Etonnée, je sentis son nez s’insinuer entre mes formes et sa langue venir me chatouiller le cul.
Je me détendis aussitôt, le corps inondé de frissons électriques. J’appuyai mon visage contre l’oreiller à la douce odeur de lessive de l’hôtel pour réfréner mon envie de crier de plaisir.
-Je vais essayer de te détendre, sinon je pense que tu auras mal…
-Je sais…
-Et puis c’est un plaisir de te manger le cul.
Je souriais bien qu’il ne pouvait absolument pas le voir. Il reprit sa démarche. Je sentais sa langue baveuse glisser sur mon cul étroit et descendre parfois sur ma chatte humide pour récolter la cyprine qui filtrait au travers de mes grandes lèvres intimes. Puis il me renifla avec délectation tandis que je me sentais profondément honteuse d’exposer mes odeurs à mon patron. Je ressentis alors un long doigt s’aventurer contre moi avant de le découvrir me massant mes muscles anaux. Puis Christian chercha à entrer le bout de son ongle, ce qu’il parvint à faire au bout d’une longue minute. Je tremblai sur le lit tandis que ma chatte dégoulinante imprégnait le drap de mon fluide brûlant. J’avais envie de me faire enculer. J’avais envie de me faire bourrer le cul par mon patron ! Là ! Directement dans l’hôtel qui recevait notre voyage d’affaires. Je ne me sentais plus ! Et enfin, après avoir réussi à enfoncer un second doigt dans mes entrailles, je sentis sa main s’éloigner tandis qu’il remonta sur moi. Il plaça une main en appui sur le matelas à mes côtés, puis me domina de toute sa carrure directement dans mon dos. Il plia ses muscles et vint finalement placer son pénis pendant entre mes fesses. Avec des mouvements saccadés pour rechercher l’entrée, il cala son gland contre mon anus inexpérimenté.
-Nous y voilà, Claire. Tu me donnes toujours l’autorisation ?
-Oui… Oui ! Enculez-moi !
-Oh, oh, comment tu y vas…
Et tout en se crispant, il se tortilla et je le sentis me forcer le cul avec le bout de son gland. Je fermai les yeux et me concentrait sur l’engin chaud qui était sur le point de s’infiltrer entre mes fesses. Il poussa, il poussa, mais n’y parvint pas.
-Bon sang, jura-t-il.
Il glissa de nouveau une paume entre mes formes et rentra de nouveau un doigt pour ouvrir le passage puis se reprit. Il poussa de nouveau avec son gland puis à bout de force s’affala sur moi.
-Ça ne veut pas rentrer, souffla-t-il ! Tu as le cul trop serré…
-Essayez encore !
Son torse demeurant appuyé contre mon dos, je devais supporter l’ensemble de son poids. Mais il se reprit l’entrejambe et fort de cette position dominante me chercha entre les fesses. Quand il m’eut trouvé, il appuya sa queue dressée comme un bâton et enfin réussit à me pénétrer au prix d’un effort certain. Je sursautai alors de douleur.
-Aiieee !
-Pardon, s’excusa-t-il. C’est que je ne sais pas faire !
Mais l’important était qu’il était finalement en moi. Son gland bien glissé dans mon cul.
-Je suis dedans, Claire, tu me laisses continuer ?
Je hochai la tête, serrant mon coussin de toutes mes forces sous la douleur puis il me remercia, s’affala encore sur moi et enfin se mit à me besogner en remuant le bassin contre moi. J’écartai les jambes pour atténuer la douleur mais ma culotte, tendue entre mes cuisses, me gênait. Il enroula ses bras autour de moi, attrapa mes seins entre ses paumes et se mit à me sodomiser de plus en plus vite, se faisait fi de ce que je ressentais.
-C’est trop bon, Claire ! C’est serré, c’est chaud…. Laisse-moi te baiser.
Je m’étonnais des paroles de mon chef, mais je compris que sous le plaisir, les mots pouvaient s’écouler comme de l’eau.
-Oh c’est bon de bourrer le cul d’une femme. Merci, Claire, merci !
Il me lâcha un sein et glissa sa main contre mon ventre puis posa un doigt contre ma fente humide. Il me tripota la chatte tandis qu’il m’écartelait le cul de son gros pénis. J’avais mal mais je ressentais bien entendu le plaisir de recevoir une telle chose entre mes fesses. Je l’entendis finalement commencer à respirer difficilement, avec saccades. Il n’en pouvait plus de me besogner comme un forcené. Je ne bougeai pas et le lit tremblait dans tous les sens tellement il mettait de l’ardeur à la tâche.
-Claire, tu me laisses éjaculer dans ton cul.
Je pivotai le visage et lui demandai néanmoins.
-Il n’y a pas de danger ?
-Non, pas du tout !
-Vous en êtes sûr ?
-Oui ! Alors, tu me laisses faire ? Je suis sur le point de jouir ! Tu te nettoieras le cul après si ne tu veux pas de mon sperme en toi… mais s’il te plait…
-je…
-Claire, laisse-moi éjaculer dans tes fesses…
-Ok.
Et tout en le sentant heureux de ma réponse, il m’attrapa par la taille afin de me soulever par le bassin et le pyjama toujours baissé, il me bourra de tout son soûl à tel point qu’il me fit avancer sur le matelas tandis que j’étais à genoux dans ses bras. Il se mit alors à grogner dans mon oreille, enfouissant son visage dans ma chevelure de soleil et je sentis un liquide brûlant exploser comme un geyser en moi.
Il était en train d’éjaculer dans mon cul. Non seulement je me faisais enculer par mon patron mais je recevais encore sa semence chaude en moi, et ce même s’il était marié depuis un long moment.
Il se plaqua trois ou quatre fois violemment contre moi pour accompagner ses giclées de sperme frais puis me susurrait avec délectation qu’il n’avait jamais ressenti un tel plaisir avec sa femme. Je l’accueillis en moi en gémissant également, car ma chatte brûlante était en train d’exploser à son tour de plaisir. Emboîtés tous les deux sur le lit de l’hôtel d’Allemagne, presque 1 heure passée à l’horloge, nous prenions notre pied entre patron et employée.
Finalement, il se tarit puis me relâcha tandis que je tombai, recroquevillée sur le matelas. Il m’accompagna puis demeura un instant fourré en moi avant de s’extirper tout honteux de mes fesses.
-Merde, je suis désolé, Claire…
-Ça va, pas de problème.
-Vas vite te laver, j’ai un peu honte de savoir que tu gardes mon sperme en toi.
-Ne vous inquiétez pas, ça ne risque rien !
Et je remontai ma culotte et mon pyjama sous son œil étonné tandis qu’il avait pris un mouchoir en papier pour s’essuyer le bout de son sexe souillé.
Je me glissai de nouveau sous les draps, son sperme frais en moi, avec un mal au cul incroyable pour ma première sodomie.
Agée de 21 années, je m’appelle Claire et je suis plutôt une fille de petite taille.
Les cheveux blonds mi-longs, j’arbore un visage fin aux yeux bleu foncé. Quant aux mensurations de ma poitrine, si cela vous intéresse, je fais du 85 B.
Pour mon tout premier déplacement professionnel, il ne se déroula, bien sûr, absolument pas comme je l’avais imaginé au premier abord.
Suite à la première journée de voyage, nous arrivâmes donc à l’hôtel que notre entreprise nous avait réservé pour le déplacement. Il était déjà bien tard et il faisait déjà nuit. C’était un hôtel de très bonne classe qui donnait sur la rue principale de la ville dans laquelle nous séjournions. Je suivis donc mon chef, traînant ma petite valise rose derrière moi, pour entrer dans un hall d’entrée très accueillant au sol et au comptoir recouvert entièrement d’un marbre brun de bonne qualité. Lorsqu’il nous aperçut, le réceptionniste, un homme d’une trentaine d’année aux yeux bruns, éleva le regard et nous accueillit en allemand avec un aimable sourire. Mon chef Christian s’avança donc et annonça notre réservation. Toute la conversation se poursuivit en anglais.
Au bout de quelques minutes, après que nous ayons finalement annoncé nos noms ainsi que celle de notre entreprise et après que le réceptionniste ai cherché en vain nos chambres allouées, ce dernier se tourna vers nous d’un air désolé.
La réservation qu’avait faite notre agent de voyage avait comporté une erreur. L’une des chambres avait été annulée car l’hôtel avait été déjà presque complet au moment de la validation en ligne. Il n’y avait donc qu’une seule chambre qui ait été acceptée pour nous lors du booking. Mon chef Christian après avoir demandé une solution à l’employé qui s’excusa de ne pas en avoir, se tourna vers moi les lèvres pincées.
-Que fait-on alors ? lui demandais-je.
- Il est plus de 22 heures, c’est un peu tard pour rechercher un autre hôtel pour la nuit ! Tu ne crois pas ?
- Ca va être un peu difficile, oui ! lui répondis-je bêtement.
- Je vois bien une solution mais…
- Que nous prenions la même chambre ? L’interrompis-je en voyant son air gêné.
- Oui, Claire ! Tu serais d’accord ? me demanda-t-il alors.
- Euh… J’hésitai un long moment. Ben, si nous n’avons pas le choix !- Je crois justement que nous ne l’avons plus à cette heure-là !
- Bon ben d’accord ! acceptais-je finalement sans grande conviction.
Il me sourit et se retourna auprès du réceptionniste, l’air satisfait. Il lui confirma alors que la seule chambre disponible ferait l’affaire. Dans son dos, je triturai la poignée de ma valise, profondément gênée de savoir que je me devais de passer la nuit dans la même chambre que mon chef de groupe.
Le réceptionniste nous annonça qu’il nous ferait bien entendu une ristourne et s’excusa une nouvelle fois du problème rencontré avant de nous tendre la clé de la chambre. Elle portait le numéro 18. Christian la prit et m’invita à le suivre jusqu’à l’ascenseur. Je saluai l’employé poliment et suivit mon chef.
La chambre était assez grande. Et comme je le craignais, elle disposait d’un seul grand lit aux draps de couleur blanche et rouge. Il y avait une grande salle de bains à la porte ouverte qui laissait entrevoir une baignoire sur un fond de marbre gris. En face du lit, il y avait une télé fixée au mur et un petit bureau de bois collé contre dessous. Je déposai ma valise auprès du petit bureau et prit la chaise pour m’asseoir tandis que je bouillais d’inquiétude. Ce soir, je n’aurais aucune intimité.
- Je suis vraiment navré, Claire. Je le signalerai à la direction…tu peux en être sûre !
Je hochai la tête sans savoir quoi lui répondre.
- Enfin, de toutes façons, ce n’est que pour une seule nuit.
Il se tût un moment puis reprit :
Tu vas prendre ta douche en premier ou bien j’y vais moi !
- Allez-y, je serais peut-être plus longue que vous !
Il me sourit et me fixa d’un air amical.
- Bon, si nous devons partager la même chambre, Claire , arrête plutôt ses formalités et tutoie-moi, ce sera plus simple pour nous deux.
- Très bien, lui souris-je.
- Parfait, alors j’y vais. A tout de suite…
Il s’éclipsa en emmenant sa valise avec lui dans la salle de bains puis referma la porte. Je patientai alors son retour.
Lorsque ma douche fût faite et après m’être préparée pour la nuit, je ressortis de la salle de bains pour trouver mon chef Christian déjà dans le lit. Il portait un t-shirt blanc et avait remonté la couverture jusqu’à son ventre. Il lisait un prospectus à l’adresse de l’entreprise que nous allions visiter le lendemain. Il se retourna et me découvrit dans mon pyjama de coton rouge comportant un simple chemisier et un pantalon qui me descendait jusqu’aux pieds. Je rougis de honte lorsqu’il me reluqua de haut en bas.
- Je pense que nous devrions nous coucher assez vite. Nous avons rendez-vous demain à 8h30 et nous devons encore prendre notre petit déjeuner avant.
- D’accord. De toute façon, je suis pour ma part, très fatiguée.
Je traînais ma valise pour la placer contre le mur puis contournais le lit à pas précipités pour glisser rapidement sous la couverture afin de ne pas trop en laisser voir de mon pyjama honteux. Il me regarda d’un air perplexe.
- Par contre, Claire, je crois que je ronfle la nuit. Si c’est comme ça, n’hésite pas à me réveiller.
- Ça ira je pense, dis-je d’un air poli. Loin de moi l’idée de réveiller mon chef en pleine nuit à cause de ses nuisances sonores. Je les supporterai.
- Bon… OK.
Je m’installai ensuite en position allongée sur le matelas et rabattit l’oreiller sous ma tête. Je m’écartai au mieux afin de ne pas trop le coller. De ma position, je sentais son déodorant masculin que je trouvai fort agréable.
- C’est bon ? Je peux éteindre ?
- Oui, c’est bon !
Il se pencha alors du côté opposé et éteignit la lumière en agissant sur l’interrupteur situé à proximité du lit. Puis je le sentis bouger pour s’enfoncer dans les draps. Je n’osai bouger tandis que j’entendis sa lente respiration à mes côtés dans le noir de la chambre d’hôtel.
Au bout de cinq minutes, alors que je m’apaisai de la situation et que je sentais doucement le sommeil m’envelopper, je sentis Christian remuer dans le lit. Je devinai qu’il venait de se placer face à moi et je sentis sa main chaude me toucher le bras au travers de mon pyjama. En chuchotant, il m’appela :
- Claire ?
- Oui !
Je sentis alors sa main se poser sur mon bras puis il se mit à passer sa paume le long de ma manche.
- Ça te dérange vraiment que nous soyons dans le même lit ?
- Euh… non ! lui répondis-je sans y croire vraiment. Tout ça pour ne pas le décevoir.
Je le sentis alors se rapprocher de moi en glissant sur le matelas. Il glissa son bras et m’attrapa la main. Il avait la peau quelques peu rugueuse.
- Qu’est-ce que vous… Qu’est-ce que tu fais ? m’enquis-je, perplexe.
- Tu n’as rien contre le petit plaisir d’un homme ?
Et sans m’en dire davantage, il se rapprocha encore et vint plaquer le dos de ma main fine contre lui. Je sentis, surprise, en contact direct contre ma peau, le tissu de son slip ainsi que la forme déjà bien allongée de son pénis à demi-dur. Il se frotta en remuant le bassin contre ma main. Tout se passait sous les draps. Je ne trouvai les mots pour exprimer ma gêne.
- J’en ai pas pour très longtemps, Claire, je te promets. J’en ai juste besoin.
Et en silence, il poursuivit activement à la recherche de son plaisir. Et tout cela à mes dépends.
Il glissa sa tête sur l’oreiller et se rapprocha toujours plus de moi.
- Est-ce que ça te gène si je glisse ta main à l’intérieur de mon slip ?
- Je… hésitai-je, tandis qu’il s’appuyait toujours plus l’entrejambe contre le dos de ma main.
- Je voudrais bien que tu me masturbes, Claire ! Personne n’en saura rien dans l’entreprise, je te le promets. Ils ne sauront même pas que nous avons partagé le même lit.
- D’accord, lui soufflais-je alors malgré la gêne certaine qu’il m’inspirait.
- Merci.
Il se remit en position allongé sur le dos tout en ne lâchant pas ma main de la sienne. Il se replaça à son aise et je le sentis lever mon bras avant de le déposer délicatement sur son torse. Puis il le fit descendre et mes doigts se glissèrent sous l’élastique de son slip qu’il avait soulevé pour m’accueillir. Je sentis d’abord son gland, bien gonflé sous l’envie qu’il ressentait. Puis il me fit glisser sur lui, jusqu’au fond, et ma paume se retrouva contre sa verge tendue. Elle était brûlante de son envie. Il relâcha l’élastique de son slip qui claqua, enfermant ma main à l’intérieur, tout contre son sexe, comme un piège. J’enveloppai alors mes doigts et sans plus réfléchir, je me mis à le caresser. J’avais tout juste 21 ans alors que lui devait bien avoir plus de la cinquantaine. Mais il semblait se détendre sous mon contact qui lui paraissait tant agréable. Je le masturbais directement dans son slip.
Je l’entendis gémir dans le noir, tandis qu’il relâcha mon bras et se laissa faire.
- Claire, c’est agréable ce que tu fais… c’est bien… continue.
Il gémit à nouveau alors que je le sentais se tortiller toujours plus sous les draps.
- Mais… vous êtes mariés, Christian ? J’avais repris sans le vouloir mon vouvoiement.
- Oui, mais tu fais ça mieux que ma femme, continue encore…
Je sentais au bout de mes doigts ses gros testicules tandis que ma paume, enroulée autour de son gros membre, faisait son travail. Malgré mes gestes quelques peu forcés, je sentais néanmoins le désir s’insinuer en moi. Le contact avec un pénis bien redressé dans l’obscurité d’une chambre d’hôtel me donnait une envie indescriptible qui m’inondait de chaleur. Je me relevai donc de mon oreiller et la main gauche toujours dans son sous-vêtement, j’écartai les draps. Dans la pénombre, je le vis me regarder quelques peu étonné mais il garda le silence, déjà satisfait de la situation.
J’écartai alors son slip, faisant ressortir son long sexe à l’air libre et je me penchai timidement sur lui. Du bout des doigts, je redressai le gros pénis qui me faisait envie. Je savais qu’il me fixait dans la pénombre. Je me courbai alors, et du bout des lèvres, chercha le gland apparent. Je le trouvai et, toujours avec une envie certaine, je le gratifiai de cinq baisers saliveux avant de le fourrer dans ma bouche étroite.
-Aaaah…. l’entendis-je gémir empreint d’un plaisir coupable.
Je commençai alors à le sucer. Le bout de son gland, malgré ma salive déposée avait un petit goût acide, sans doute dû à son passage aux toilettes avant de venir se coucher.
Mais c’était bon ! C’était délicieux que de ressentir un gros sexe brûlant contre ma langue. Je lovai mes lèvres autour de lui et entreprit ma lente fellation.
- Claire, je t’en demandais pas tant, mais continue….
Je le sentis m’attraper de sa main droite mon crâne et ma chevelure. Il désirait ressentir les mouvements de ma tête tandis que je m’activais le long de son pénis tendu comme un pieu. Je faisais glisser la moitié de la longueur de son membre dans ma bouche, et je l’entendis, à de nombreuses reprises, gémir de plus en plus fort, suite au bonheur que ma bouche lui procurait.
- Laisse-moi allumer la lumière, Claire ! Je veux te voir me sucer ! Je veux rêver en te regardant faire !
Il se contorsionna alors que je faisais des efforts pour le conserver en bouche puis la lumière principale de la chambre s’alluma. Il se replaça à son aise, légèrement rehaussé sur son oreiller, et me contempla, sa grosse queue dans ma bouche déformée.
Il me sourit.
- Allez suce ! Ne t’arrête pas, tu fais ça si bien…
Il me fixait avec passion. Ma chevelure blonde penchée sur lui. Son slip rouge était baissé à mi-cuisse et je me retrouvai nez à nez avec ses poils pubiens de couleur noire et légèrement odorants. Je repris alors la fellation que j’avais commencée dans l’obscurité. Il ferma les yeux, et poussa une nouvelle fois un petit cri de plaisir.
Il éleva encore la main pour me caresser les cheveux pendant que je remuai de haut en bas la tête sur lui et que je salivai bien sur son sexe bandant.
Soudain , il m’attrapa par le front et me fis m’arrêter.
-Claire, attends, je voulais te demander avant de jouir…
-Quoi ?
Je me redressai, quittant ainsi son pénis qui retomba sur son ventre, toujours bien tendu, et le fixait dans les yeux, me rendant compte que j’avais presque oublié que c’était mon patron.
-Tu… Tu me laisserais me glisser entre tes fesses ?
-Je vous demande pardon ?
-Je voudrais me placer dans ton cul…
Je le regardai, surprise…
-Pou… pourquoi ? balbutiai-je.
-C’est l’un de mes fantasmes. Ma femme ne me laisse pas le faire…
-…
-Tu sais, si tu ne veux pas…
-Euh…
A cause de la fellation, mon désir s’était épanoui. Et même si mon esprit me refusait cette pratique immonde, mon corps trembla à savoir que je pouvais me faire baiser ce soir-là. Et même si cela devait passer par la sodomie.
-Oui, répondis-je finalement, d’une petite voix.
-De quoi, oui ?
-Je veux bien…
-Mais, l’as-tu déjà fait ?
Je secouai la tête, éhontée de ce manque d’expérience.
-Moi non plus… alors je vais faire ça du mieux que je peux.
Toujours penchée sur lui avec son slip baissée, je donnai un dernier baiser à son sexe dur et basculait pour m’allonger sur le ventre à coté de mon patron. Satisfait, il se redressa à son tour puis enleva d’une main son slip pour le lancer sur le sol de la chambre. Il vint se placer derrière moi.
-Merci Claire !
Il avança sa main pour me caresser l’épaule gentiment et recoiffer un peu ma chevelure désordonnée.
-Encore une fois, reprit-il, je ne le dirai à personne. Il se pencha sur moi et m’embrassa gentiment sur la joue. J’étais prête à me faire enculer par lui et il en était parfaitement satisfait.
Il glissa ensuite ses doigts tout le long de ma colonne vertébrale, puis s’arrêta sur mes fesses rebondies. J’avais honte de mon pyjama de coton de gamine.
-Je peux te baisser le pantalon ?
-Oui, Christian, allez-y !
Et je le sentis enfouir ses doigts sous l’élastique de chaque côté de ma taille, puis tirer le tissu sur mes cuisses, découvrant ainsi ma culotte bleu ciel et mes fesses rebondies. Je le sentis s’asseoir sur mes mollets et en tournant la tête, le découvrit se masturbant d’une main rapide en regardant mon arrière train. Puis il vint de nouveau à moi pour tirer ma culotte en arrière. Je soulevai mon bassin afin de l’aider dans sa démarche tandis que je mouillai en sachant que je me découvrais devant un homme avec beaucoup plus d’expérience que moi.
Tout en se tenant le sexe, il m’écarta les fesses de son autre main et se pencha sur moi. Etonnée, je sentis son nez s’insinuer entre mes formes et sa langue venir me chatouiller le cul.
Je me détendis aussitôt, le corps inondé de frissons électriques. J’appuyai mon visage contre l’oreiller à la douce odeur de lessive de l’hôtel pour réfréner mon envie de crier de plaisir.
-Je vais essayer de te détendre, sinon je pense que tu auras mal…
-Je sais…
-Et puis c’est un plaisir de te manger le cul.
Je souriais bien qu’il ne pouvait absolument pas le voir. Il reprit sa démarche. Je sentais sa langue baveuse glisser sur mon cul étroit et descendre parfois sur ma chatte humide pour récolter la cyprine qui filtrait au travers de mes grandes lèvres intimes. Puis il me renifla avec délectation tandis que je me sentais profondément honteuse d’exposer mes odeurs à mon patron. Je ressentis alors un long doigt s’aventurer contre moi avant de le découvrir me massant mes muscles anaux. Puis Christian chercha à entrer le bout de son ongle, ce qu’il parvint à faire au bout d’une longue minute. Je tremblai sur le lit tandis que ma chatte dégoulinante imprégnait le drap de mon fluide brûlant. J’avais envie de me faire enculer. J’avais envie de me faire bourrer le cul par mon patron ! Là ! Directement dans l’hôtel qui recevait notre voyage d’affaires. Je ne me sentais plus ! Et enfin, après avoir réussi à enfoncer un second doigt dans mes entrailles, je sentis sa main s’éloigner tandis qu’il remonta sur moi. Il plaça une main en appui sur le matelas à mes côtés, puis me domina de toute sa carrure directement dans mon dos. Il plia ses muscles et vint finalement placer son pénis pendant entre mes fesses. Avec des mouvements saccadés pour rechercher l’entrée, il cala son gland contre mon anus inexpérimenté.
-Nous y voilà, Claire. Tu me donnes toujours l’autorisation ?
-Oui… Oui ! Enculez-moi !
-Oh, oh, comment tu y vas…
Et tout en se crispant, il se tortilla et je le sentis me forcer le cul avec le bout de son gland. Je fermai les yeux et me concentrait sur l’engin chaud qui était sur le point de s’infiltrer entre mes fesses. Il poussa, il poussa, mais n’y parvint pas.
-Bon sang, jura-t-il.
Il glissa de nouveau une paume entre mes formes et rentra de nouveau un doigt pour ouvrir le passage puis se reprit. Il poussa de nouveau avec son gland puis à bout de force s’affala sur moi.
-Ça ne veut pas rentrer, souffla-t-il ! Tu as le cul trop serré…
-Essayez encore !
Son torse demeurant appuyé contre mon dos, je devais supporter l’ensemble de son poids. Mais il se reprit l’entrejambe et fort de cette position dominante me chercha entre les fesses. Quand il m’eut trouvé, il appuya sa queue dressée comme un bâton et enfin réussit à me pénétrer au prix d’un effort certain. Je sursautai alors de douleur.
-Aiieee !
-Pardon, s’excusa-t-il. C’est que je ne sais pas faire !
Mais l’important était qu’il était finalement en moi. Son gland bien glissé dans mon cul.
-Je suis dedans, Claire, tu me laisses continuer ?
Je hochai la tête, serrant mon coussin de toutes mes forces sous la douleur puis il me remercia, s’affala encore sur moi et enfin se mit à me besogner en remuant le bassin contre moi. J’écartai les jambes pour atténuer la douleur mais ma culotte, tendue entre mes cuisses, me gênait. Il enroula ses bras autour de moi, attrapa mes seins entre ses paumes et se mit à me sodomiser de plus en plus vite, se faisait fi de ce que je ressentais.
-C’est trop bon, Claire ! C’est serré, c’est chaud…. Laisse-moi te baiser.
Je m’étonnais des paroles de mon chef, mais je compris que sous le plaisir, les mots pouvaient s’écouler comme de l’eau.
-Oh c’est bon de bourrer le cul d’une femme. Merci, Claire, merci !
Il me lâcha un sein et glissa sa main contre mon ventre puis posa un doigt contre ma fente humide. Il me tripota la chatte tandis qu’il m’écartelait le cul de son gros pénis. J’avais mal mais je ressentais bien entendu le plaisir de recevoir une telle chose entre mes fesses. Je l’entendis finalement commencer à respirer difficilement, avec saccades. Il n’en pouvait plus de me besogner comme un forcené. Je ne bougeai pas et le lit tremblait dans tous les sens tellement il mettait de l’ardeur à la tâche.
-Claire, tu me laisses éjaculer dans ton cul.
Je pivotai le visage et lui demandai néanmoins.
-Il n’y a pas de danger ?
-Non, pas du tout !
-Vous en êtes sûr ?
-Oui ! Alors, tu me laisses faire ? Je suis sur le point de jouir ! Tu te nettoieras le cul après si ne tu veux pas de mon sperme en toi… mais s’il te plait…
-je…
-Claire, laisse-moi éjaculer dans tes fesses…
-Ok.
Et tout en le sentant heureux de ma réponse, il m’attrapa par la taille afin de me soulever par le bassin et le pyjama toujours baissé, il me bourra de tout son soûl à tel point qu’il me fit avancer sur le matelas tandis que j’étais à genoux dans ses bras. Il se mit alors à grogner dans mon oreille, enfouissant son visage dans ma chevelure de soleil et je sentis un liquide brûlant exploser comme un geyser en moi.
Il était en train d’éjaculer dans mon cul. Non seulement je me faisais enculer par mon patron mais je recevais encore sa semence chaude en moi, et ce même s’il était marié depuis un long moment.
Il se plaqua trois ou quatre fois violemment contre moi pour accompagner ses giclées de sperme frais puis me susurrait avec délectation qu’il n’avait jamais ressenti un tel plaisir avec sa femme. Je l’accueillis en moi en gémissant également, car ma chatte brûlante était en train d’exploser à son tour de plaisir. Emboîtés tous les deux sur le lit de l’hôtel d’Allemagne, presque 1 heure passée à l’horloge, nous prenions notre pied entre patron et employée.
Finalement, il se tarit puis me relâcha tandis que je tombai, recroquevillée sur le matelas. Il m’accompagna puis demeura un instant fourré en moi avant de s’extirper tout honteux de mes fesses.
-Merde, je suis désolé, Claire…
-Ça va, pas de problème.
-Vas vite te laver, j’ai un peu honte de savoir que tu gardes mon sperme en toi.
-Ne vous inquiétez pas, ça ne risque rien !
Et je remontai ma culotte et mon pyjama sous son œil étonné tandis qu’il avait pris un mouchoir en papier pour s’essuyer le bout de son sexe souillé.
Je me glissai de nouveau sous les draps, son sperme frais en moi, avec un mal au cul incroyable pour ma première sodomie.
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