Improbable rencontre - 01
Récit érotique écrit par IR-Cyril [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Improbable rencontre - 01
Après avoir lu ici quelques fictions ou témoignages, j'ai envie de vous raconter quelques bribes de ma propre histoire. Plutôt introverti, j'ai besoin de me raconter un peu ; ça m'aide à mieux comprendre tout ce qui m'est arrivé et à mieux m'assumer aussi.
Impossible de déroger aux traditionnelles présentations : je m'appelle Cyril, 24 ans, et je travaille dans une boîte de com' ! J'ai compris que j'étais gay au lycée où je n'étais pas très séduisant : fin mais sans muscle, pas moche mais avec de l'acné, pas mauvais élève mais trop sérieux pour sortir. J'ai évolué après le bac. Je me suis mis à sortir parfois en boîte gay mais c'est en cours que j'ai rencontré mon mec, Stéphan, 24 ans et doctorant en Histoire. On est en couple depuis cinq ans … malgré son côté râleur et parfois égocentrique, ses pannes (le sexe ne fait pas tout mais il fait tout de même beaucoup). Mais je l'aime aveuglément.
Pour notre cinquième anniversaire, on a décidé de sortir en boîte après un restaurant. Je veux sortir le grand jeu. Je vais courir et fais quelques exercices : après le lycée, je me suis pris en main et mes épaules se sont élargies, j'ai de fins abdos et des pecs gonflés … et un petit cul qui fait bien bander mon mec. Mais attention, je ne suis plutôt actif. Pour sortir le grand jeu, je le sors. Je mets un brief sombre qui moule bien mon cul et ma queue dont je n'ai pas à rougir : un bon 18 cm bien épais. Un jean moulant, une chemise cintrée … et j'espère lui plaire.
Voilà justement Stephan qui rentre. Il ne me regarde pas et va se jeter sur le canapé (nous vivons ensemble depuis deux ans). Il a complètement oublié notre sortie d'anniversaire : il préfère dîner chez une amie. Je vous passe la prise de tête. Il part furieux mais je n'abandonne pas le projet : j'irai tout seul en boîte.
Il est minuit passé. J'aime bien cette boîte gay. J'étais chargé de lui proposer un plan de communication et ça a l'air de bien fonctionner. Je suis plutôt morose. Je déteste les crises avec Stephan mais c'est quand même un sale coup qu'il vient de me faire ce soir. Le DJ est génial mais j'ai pas envie. Je m'accoude au bar : un verre de vin, un deuxième … Je vais me trémousser sur la piste de danse avec mon cinquième verre de vin. Je tiens bien l'alcool mais j'ai pas mangé avant. Les quelques mains sur mes fesses sont réconfortantes. Une main reste fermement sur mon cul. Elle m'électrise. Je me retourne et je vois un pur beau gosse : la quarantaine, brun, de très beaux yeux noisette, un peu plus grand que moi (donc plus de 1m78), musclé et un charme fou se dégage de son sourire. Je bande direct. Je veux m'amuser un peu, je n'irai pas jusqu'à la faute. Comment résister à ce t-shirt moulant ses pecs, ce col V laissant échapper des poils finement rasés et ce jean moulant son paquet imposant. On danse un peu ensemble. Kungs, Christina Aguilera, Loreen … Il me propose un verre. J'accepte et il pose délicatement sa main sur mon cul pour me diriger vers le bar. Il m'offre un cocktail. On discute un peu et j'en profite pour regarder son visage jeune : de sublimes yeux en amande, une barbe de 3 jours qui lui donne un air viril. Je repense à Stephan. Je dis au mec que je suis en couple et que je pense partir. Belle phrase de dragueur : « impossible qu'un mec comme toi soit célib' mais encore faut-il être avec le bon ». Flatté mais pas naïf, je me dirige vers la sortie. Faisant la queue pour récupérer ma veste, je sens que l'escalier descendant vers la backroom m'attire. Et pourquoi pas y faire un tour. Juste pour mater. Quitte à me branler parce que mon mec a toujours mal à la tête, autant le faire de manière plus érotique.
Je descends. Je m'habitue rapidement à l'obscurité. Les râles de plaisir et les bruits de succion sont excitants. Il y a même un mec qui couine de plaisir. Vu comme claquent ses fesses, il doit bien se faire monter. J'avance un peu. Une main défait deux boutons de ma chemise, une autre me caresse le cul, une autre caresse mon paquet qui commence à gonfler. Puis une poigne ferme me saisit l'avant-bras ; je reconnais cette main. Une autre main me plaque contre le mur et le quarantenaire se colle à moi. Putain de beau gosse. J'ai beau être fidèle, putain qu'est-ce qu'il est beau. Ses yeux me fixent intensément. Ils brillent de désir. C'est vrai que je commence à m'enflammer, à le désirer, le voir nu et le sucer. Que dirait Stephan ! Le mec essaye de m'embrasser, je détourne la tête :
« Ecoute mec, je t'ai dit que je suis en couple.
- Matthias, me dit-il
- Quoi ?
- Je m'appelle Matthias
- Ca ne change rien au fait que je suis en couple.
- C'est vrai. Et toi c'est quoi ton p'tit nom ?
- Cyril. Ecoute …
- Ecoute Cyril, ton mec est un baltringue. Si tu voyais comment ton visage s'assombrit quand tu me parles de lui. T'es pas avec le bon.
- Parce que tu crois être le bon
- Je n'ai pas cette prétention. T'as l'air d'être un chic type mais tu peux t'amuser !
- Ecoute Matthias, je suis en couple et fidèle.
- Et tu vas dans une backroom ?
- Ah ! Elle était facile celle-là !
- T'as envie de moi, je le sens, dit-il en mettant sa main sur mon jean où ma queue est gonflée à bloc.
- Ca ne change rien.
- OK ! Je te laisse partir, j'ai horreur de forcer un mec. Je te laisse 30 secondes pour choisir entre m'embrasser et quitter tranquillement la boîte ».
Il s'éloigne de moi, je distingue à peine son visage. J'ai l'impression d'être seul avec lui dans cette backroom. J'entends à peine un mec se faire enculer et un autre râler de plaisir en se faisant sucer. Je suis tout déboussolé. Je bande comme une chienne dans mon jean : c'est clair que j'ai envie de Matthias. Ce mec est un pur beau gosse et plutôt gentleman. Et en plus, j'ai trop envie de le voir nu et de le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche. Je ne saurai pas expliquer pourquoi. Et j'en ai vraiment marre de Stephan ; je dois rester avec lui par dépit, par peur de me retrouver seul. Bref !
Je réfléchis pas ; je me jette contre Matthias et je l'embrasse. Il me serre dans ses bras et me mordille la langue. Il me pousse dans une cabine et tout en me gardant collé contre lui, il verrouille la porte. Je ne tiens plus, je lui enlève son t-shirt. Je passe ma langue sur ses pecs musclés couverts de poils raccourcis. Je descends sur ses abdos saillants. Je suis face à son jean qui est déformé par une boule imposante. En plus d'être canon, le mec est un étalon. Il me repousse pour me forcer à m'asseoir sur le petit banc de la cabine. Je déboucle sa ceinture et lui enlève son jean. Il est en boxer devant moi. Un boxer gris bien moulant. Je vois sa grosse queue veineuse plaquée contre sa cuisse. Matthias doit facilement être monté de 22 cm. Je suis excité devant cette queue. Matthias me déshabille et me rassois. Je bande comme une salope et un peu de mouille sort de ma queue. Il pince un téton et je lâche un petit gémissement.
« T'aurais donc un côté chienne Cyril ? Oui, quand je vois ta queue mouiller. Enlève mon boxer et suce ma queue ».
J'aurai horreur qu'on me donne des ordres mais là j'ai tellement envie d'obéir au beau quarantenaire. J'arrache presque son boxer et sa queue me bifle en sortant. Un beau gland bien gonflé. Je le prends en bouche. Elle a une odeur de mouille. Ma langue titille son gland. Je descend pour prendre toute sa queue en bouche mais elle est trop longue et trop épaisse. Je caresse ses couilles tout en le suçant. Il commence à râler de plaisir sous mes coups de langue. Son gland mouille. J'aime le goût à la fois salé et amer.
« T'es une bonne suceuse toi. J'y mettrai bien mon jus. Mais avant je vais te montrer que ton mec est un baltringue ».
J'avais oublié Stephan. Je ne pense qu'à cette queue que je veux faire jouir dans ma bouche. Il prend ma tête à deux mains et fait des va-et-vient dans ma bouche. Il enfonce entièrement sa queue en moi. Je sens ses veines gonflées dans ma gorge. J'ai du mal à respirer. Il sort sa queue pleine de bave et la renforce d'un coup dans ma bouche. Il râle plus fort. Il est super excitant. Des râles virils, de mâle qui contrôle et prend son pied.
« T'as une bonne bouche toi. T'aimes le sexe et tu dois être frustré. Oh oui, t'aimes le sexe. Regarde comment ta queue raide mouille ».
Un filet de mouille épais suinte de ma queue. Je peux être passif mais jamais soumis. Pourtant j'ai envie que ce mec contrôle tout, je veux m'abandonner à lui. Le sucer et l'entendre râler me rendent chienne, une vraie petite salope assoiffée de sexe. Il enfonce sa queue au fond de ma gorge. A genoux devant lui, sa queue en bouche, je lève les yeux avec un air soumis.
« Regardez-moi cette petite chienne ! T'aimes sucer un vrai mâle qui sait ce qu'est le sexe. C'est pas ton baltringue qui te rend soumis et te fait prendre ton pied. Allez suce-moi encore avant que je te monte. Suce ma queue. Ouais, putain, comme ça ».
Il se retire et me met son index en bouche. Je le suce et salive dessus. Il le retire. Il me bifle avant de me remettre sa queue d'étalon en bouche. Il se penche sur mon dos et titille mon trou avec son index. Je gémis doucement. Il s'enfonce de plus en plus. Je gémis plus fort avec sa queue en bouche. Il fait des va-et-vient avec son doigt. Je commence à couiner. Il retire son index, crache sur mon trou qui se dilate et m'enfonce deux doigts. Je pousse un petit cri … de plaisir. Ce mec me rend vraiment salope. J'adore ses deux doigts en train de dilater mon cul. J'ai une boule chaude de plaisir dans le bas ventre. Il retire sa queue. Je couine pendant qu'il me doigte. Je suis à quatre pattes en train de couiner comme une chienne en me faisant doigter le cul par un étalon inconnu. C'est tellement excitant.
« Mais t'aimes ça ma petite chienne. Vu comme t'es serré Cyril, ton mec ne doit pas te monter souvent. Tu me fais mouiller quand tu couines comme une petite chienne ».
L'entendre me parler ainsi m'excite encore plus. Il accélère le mouvement de ses doigts dans mon cul et en couinant plus fort, je jouis à quatre pattes. J'ai l'impression de ne pas arrêter de jouir. Le mec est surpris mais ça l'excite encore plus. Il récupère les dernières gouttes de sperme coulant de ma queue et les porte à ma bouche. Je lèche avec gourmandise. Puis, il prend une capote dans le distributeur, l'enfile sur sa grosse queue d'étalon et pointe son gland sur mon trou dilaté. Je ne sais pas comment je vais pouvoir prendre un tel engin. Le con qui me sert de mec n'est pas aussi bien monté. Le beau mâle commence à me monter. Bien qu'excité, il reste gentleman car il s'arrête quand je me crispe de douleur. Le plaisir domine rapidement. Il accélère ses coups de reins. Je rebande vite. Je commence à gémir et ma queue à mouiller. J'ai déjà joui comme jamais et voilà que j'en redemande. Et même que je pourrai jouir à nouveau. Il appuie sur mes reins pour que je me cambre encore plus. Ses mains serrent fort mes hanches. Il accélère, ses coups de reins sont amples et rapides. Je l'entends râler de plaisir. Toujours aussi viril, la voix grave. Je tourne la tête pour le voir. Ses abdos sont contractés, ses pecs poilus transpirent. Il s'approche de mon visage et crache dans ma bouche. Ca m'excite. Je suis à quatre pattes en train de me faire enculer par un étalon de quarante ans et j'aime ça. Je couine comme une vraie salope.
« T'aimes ma queue. Rien à voir avec le baltringue. T'as un bon cul de chienne bien serré. Ca se voit que l'autre ne sait pas te baiser. C'est un crime avec une petite salope comme toi. Tu fais monter le jus avec ton cul. C'est bon de te monter. T'aimes ça, hein ! Une bonne petite chienne, bien soumise ». Il accélère encore. Ses couilles cognent contre les miennes. Mes fesses claquent sous ses coups de reins puissants. J'adore comment ce mec est en train de me baiser comme une salope. Il me fait découvrir d'autres sensations. Je touche ma queue, elle mouille abondamment. Difficile de rester en équilibre à quatre pattes quand on se fait enculer par un tel mâle. Je couine de plaisir, en oubliant toute la backroom.
« Couine ma petite chienne. Allez jouis en te faisant enculer par ma queue. Montre à ton mâle que t'aimes sa queue et qu'elle te fait jouir. Je veux te voir cracher ton jus comme une salope bien soumise ».
Ces mots et ses ordres m'excitent tellement que je jouis à nouveau en couinant de plaisir. Il se retire et je ressens un manque dans mon cul, c'est tellement bon de se faire enculer par un tel mâle.
Il retire sa capote et bifle mon visage avec sa queue. Il se branle et son gland frôle mes lèvres. Je lèche sa mouille amer et salé. Je mate ses pecs et son visage cripsé de plaisir. Son bras musclé et velu s'agite plus rapidement. Dans un cri viril et grave, il jouit sur mon visage. Sons sperme sur mes lèvres, mon nez et coule de mon menton. Je lèche mes lèvres.
J'entends quelqu'un dans la backroom « Comment elle s'est fait baiser la salope, elle a dû se faire démonter ». C'est un électrochoc. Je sors de ma torpeur et je culpabilise. Je m'essuie le visage. Matthias s'approche de moi : « Dommage que tu sois avec ce baltringue, me dit-il.
- Tu ne le connais même pas.
- C'est vrai mais ça se voit qu'il ne te baise pas comme ça. J'aurai pu te rendre heureux ».
Je panique complètement. Je me rhabille et quitte la boîte comme une furie en oubliant de récupérer ma veste. Je suis déboussolé. J'ai trompé Stephan mais, surtout, Matthias m'a donné un plaisir que je n'ai jamais eu avec Stephan et m'a fait découvrir une autre facette de ma sexualité. J'ai aimé me faire enculer par ce mâle viril et audacieux.
Impossible de déroger aux traditionnelles présentations : je m'appelle Cyril, 24 ans, et je travaille dans une boîte de com' ! J'ai compris que j'étais gay au lycée où je n'étais pas très séduisant : fin mais sans muscle, pas moche mais avec de l'acné, pas mauvais élève mais trop sérieux pour sortir. J'ai évolué après le bac. Je me suis mis à sortir parfois en boîte gay mais c'est en cours que j'ai rencontré mon mec, Stéphan, 24 ans et doctorant en Histoire. On est en couple depuis cinq ans … malgré son côté râleur et parfois égocentrique, ses pannes (le sexe ne fait pas tout mais il fait tout de même beaucoup). Mais je l'aime aveuglément.
Pour notre cinquième anniversaire, on a décidé de sortir en boîte après un restaurant. Je veux sortir le grand jeu. Je vais courir et fais quelques exercices : après le lycée, je me suis pris en main et mes épaules se sont élargies, j'ai de fins abdos et des pecs gonflés … et un petit cul qui fait bien bander mon mec. Mais attention, je ne suis plutôt actif. Pour sortir le grand jeu, je le sors. Je mets un brief sombre qui moule bien mon cul et ma queue dont je n'ai pas à rougir : un bon 18 cm bien épais. Un jean moulant, une chemise cintrée … et j'espère lui plaire.
Voilà justement Stephan qui rentre. Il ne me regarde pas et va se jeter sur le canapé (nous vivons ensemble depuis deux ans). Il a complètement oublié notre sortie d'anniversaire : il préfère dîner chez une amie. Je vous passe la prise de tête. Il part furieux mais je n'abandonne pas le projet : j'irai tout seul en boîte.
Il est minuit passé. J'aime bien cette boîte gay. J'étais chargé de lui proposer un plan de communication et ça a l'air de bien fonctionner. Je suis plutôt morose. Je déteste les crises avec Stephan mais c'est quand même un sale coup qu'il vient de me faire ce soir. Le DJ est génial mais j'ai pas envie. Je m'accoude au bar : un verre de vin, un deuxième … Je vais me trémousser sur la piste de danse avec mon cinquième verre de vin. Je tiens bien l'alcool mais j'ai pas mangé avant. Les quelques mains sur mes fesses sont réconfortantes. Une main reste fermement sur mon cul. Elle m'électrise. Je me retourne et je vois un pur beau gosse : la quarantaine, brun, de très beaux yeux noisette, un peu plus grand que moi (donc plus de 1m78), musclé et un charme fou se dégage de son sourire. Je bande direct. Je veux m'amuser un peu, je n'irai pas jusqu'à la faute. Comment résister à ce t-shirt moulant ses pecs, ce col V laissant échapper des poils finement rasés et ce jean moulant son paquet imposant. On danse un peu ensemble. Kungs, Christina Aguilera, Loreen … Il me propose un verre. J'accepte et il pose délicatement sa main sur mon cul pour me diriger vers le bar. Il m'offre un cocktail. On discute un peu et j'en profite pour regarder son visage jeune : de sublimes yeux en amande, une barbe de 3 jours qui lui donne un air viril. Je repense à Stephan. Je dis au mec que je suis en couple et que je pense partir. Belle phrase de dragueur : « impossible qu'un mec comme toi soit célib' mais encore faut-il être avec le bon ». Flatté mais pas naïf, je me dirige vers la sortie. Faisant la queue pour récupérer ma veste, je sens que l'escalier descendant vers la backroom m'attire. Et pourquoi pas y faire un tour. Juste pour mater. Quitte à me branler parce que mon mec a toujours mal à la tête, autant le faire de manière plus érotique.
Je descends. Je m'habitue rapidement à l'obscurité. Les râles de plaisir et les bruits de succion sont excitants. Il y a même un mec qui couine de plaisir. Vu comme claquent ses fesses, il doit bien se faire monter. J'avance un peu. Une main défait deux boutons de ma chemise, une autre me caresse le cul, une autre caresse mon paquet qui commence à gonfler. Puis une poigne ferme me saisit l'avant-bras ; je reconnais cette main. Une autre main me plaque contre le mur et le quarantenaire se colle à moi. Putain de beau gosse. J'ai beau être fidèle, putain qu'est-ce qu'il est beau. Ses yeux me fixent intensément. Ils brillent de désir. C'est vrai que je commence à m'enflammer, à le désirer, le voir nu et le sucer. Que dirait Stephan ! Le mec essaye de m'embrasser, je détourne la tête :
« Ecoute mec, je t'ai dit que je suis en couple.
- Matthias, me dit-il
- Quoi ?
- Je m'appelle Matthias
- Ca ne change rien au fait que je suis en couple.
- C'est vrai. Et toi c'est quoi ton p'tit nom ?
- Cyril. Ecoute …
- Ecoute Cyril, ton mec est un baltringue. Si tu voyais comment ton visage s'assombrit quand tu me parles de lui. T'es pas avec le bon.
- Parce que tu crois être le bon
- Je n'ai pas cette prétention. T'as l'air d'être un chic type mais tu peux t'amuser !
- Ecoute Matthias, je suis en couple et fidèle.
- Et tu vas dans une backroom ?
- Ah ! Elle était facile celle-là !
- T'as envie de moi, je le sens, dit-il en mettant sa main sur mon jean où ma queue est gonflée à bloc.
- Ca ne change rien.
- OK ! Je te laisse partir, j'ai horreur de forcer un mec. Je te laisse 30 secondes pour choisir entre m'embrasser et quitter tranquillement la boîte ».
Il s'éloigne de moi, je distingue à peine son visage. J'ai l'impression d'être seul avec lui dans cette backroom. J'entends à peine un mec se faire enculer et un autre râler de plaisir en se faisant sucer. Je suis tout déboussolé. Je bande comme une chienne dans mon jean : c'est clair que j'ai envie de Matthias. Ce mec est un pur beau gosse et plutôt gentleman. Et en plus, j'ai trop envie de le voir nu et de le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche. Je ne saurai pas expliquer pourquoi. Et j'en ai vraiment marre de Stephan ; je dois rester avec lui par dépit, par peur de me retrouver seul. Bref !
Je réfléchis pas ; je me jette contre Matthias et je l'embrasse. Il me serre dans ses bras et me mordille la langue. Il me pousse dans une cabine et tout en me gardant collé contre lui, il verrouille la porte. Je ne tiens plus, je lui enlève son t-shirt. Je passe ma langue sur ses pecs musclés couverts de poils raccourcis. Je descends sur ses abdos saillants. Je suis face à son jean qui est déformé par une boule imposante. En plus d'être canon, le mec est un étalon. Il me repousse pour me forcer à m'asseoir sur le petit banc de la cabine. Je déboucle sa ceinture et lui enlève son jean. Il est en boxer devant moi. Un boxer gris bien moulant. Je vois sa grosse queue veineuse plaquée contre sa cuisse. Matthias doit facilement être monté de 22 cm. Je suis excité devant cette queue. Matthias me déshabille et me rassois. Je bande comme une salope et un peu de mouille sort de ma queue. Il pince un téton et je lâche un petit gémissement.
« T'aurais donc un côté chienne Cyril ? Oui, quand je vois ta queue mouiller. Enlève mon boxer et suce ma queue ».
J'aurai horreur qu'on me donne des ordres mais là j'ai tellement envie d'obéir au beau quarantenaire. J'arrache presque son boxer et sa queue me bifle en sortant. Un beau gland bien gonflé. Je le prends en bouche. Elle a une odeur de mouille. Ma langue titille son gland. Je descend pour prendre toute sa queue en bouche mais elle est trop longue et trop épaisse. Je caresse ses couilles tout en le suçant. Il commence à râler de plaisir sous mes coups de langue. Son gland mouille. J'aime le goût à la fois salé et amer.
« T'es une bonne suceuse toi. J'y mettrai bien mon jus. Mais avant je vais te montrer que ton mec est un baltringue ».
J'avais oublié Stephan. Je ne pense qu'à cette queue que je veux faire jouir dans ma bouche. Il prend ma tête à deux mains et fait des va-et-vient dans ma bouche. Il enfonce entièrement sa queue en moi. Je sens ses veines gonflées dans ma gorge. J'ai du mal à respirer. Il sort sa queue pleine de bave et la renforce d'un coup dans ma bouche. Il râle plus fort. Il est super excitant. Des râles virils, de mâle qui contrôle et prend son pied.
« T'as une bonne bouche toi. T'aimes le sexe et tu dois être frustré. Oh oui, t'aimes le sexe. Regarde comment ta queue raide mouille ».
Un filet de mouille épais suinte de ma queue. Je peux être passif mais jamais soumis. Pourtant j'ai envie que ce mec contrôle tout, je veux m'abandonner à lui. Le sucer et l'entendre râler me rendent chienne, une vraie petite salope assoiffée de sexe. Il enfonce sa queue au fond de ma gorge. A genoux devant lui, sa queue en bouche, je lève les yeux avec un air soumis.
« Regardez-moi cette petite chienne ! T'aimes sucer un vrai mâle qui sait ce qu'est le sexe. C'est pas ton baltringue qui te rend soumis et te fait prendre ton pied. Allez suce-moi encore avant que je te monte. Suce ma queue. Ouais, putain, comme ça ».
Il se retire et me met son index en bouche. Je le suce et salive dessus. Il le retire. Il me bifle avant de me remettre sa queue d'étalon en bouche. Il se penche sur mon dos et titille mon trou avec son index. Je gémis doucement. Il s'enfonce de plus en plus. Je gémis plus fort avec sa queue en bouche. Il fait des va-et-vient avec son doigt. Je commence à couiner. Il retire son index, crache sur mon trou qui se dilate et m'enfonce deux doigts. Je pousse un petit cri … de plaisir. Ce mec me rend vraiment salope. J'adore ses deux doigts en train de dilater mon cul. J'ai une boule chaude de plaisir dans le bas ventre. Il retire sa queue. Je couine pendant qu'il me doigte. Je suis à quatre pattes en train de couiner comme une chienne en me faisant doigter le cul par un étalon inconnu. C'est tellement excitant.
« Mais t'aimes ça ma petite chienne. Vu comme t'es serré Cyril, ton mec ne doit pas te monter souvent. Tu me fais mouiller quand tu couines comme une petite chienne ».
L'entendre me parler ainsi m'excite encore plus. Il accélère le mouvement de ses doigts dans mon cul et en couinant plus fort, je jouis à quatre pattes. J'ai l'impression de ne pas arrêter de jouir. Le mec est surpris mais ça l'excite encore plus. Il récupère les dernières gouttes de sperme coulant de ma queue et les porte à ma bouche. Je lèche avec gourmandise. Puis, il prend une capote dans le distributeur, l'enfile sur sa grosse queue d'étalon et pointe son gland sur mon trou dilaté. Je ne sais pas comment je vais pouvoir prendre un tel engin. Le con qui me sert de mec n'est pas aussi bien monté. Le beau mâle commence à me monter. Bien qu'excité, il reste gentleman car il s'arrête quand je me crispe de douleur. Le plaisir domine rapidement. Il accélère ses coups de reins. Je rebande vite. Je commence à gémir et ma queue à mouiller. J'ai déjà joui comme jamais et voilà que j'en redemande. Et même que je pourrai jouir à nouveau. Il appuie sur mes reins pour que je me cambre encore plus. Ses mains serrent fort mes hanches. Il accélère, ses coups de reins sont amples et rapides. Je l'entends râler de plaisir. Toujours aussi viril, la voix grave. Je tourne la tête pour le voir. Ses abdos sont contractés, ses pecs poilus transpirent. Il s'approche de mon visage et crache dans ma bouche. Ca m'excite. Je suis à quatre pattes en train de me faire enculer par un étalon de quarante ans et j'aime ça. Je couine comme une vraie salope.
« T'aimes ma queue. Rien à voir avec le baltringue. T'as un bon cul de chienne bien serré. Ca se voit que l'autre ne sait pas te baiser. C'est un crime avec une petite salope comme toi. Tu fais monter le jus avec ton cul. C'est bon de te monter. T'aimes ça, hein ! Une bonne petite chienne, bien soumise ». Il accélère encore. Ses couilles cognent contre les miennes. Mes fesses claquent sous ses coups de reins puissants. J'adore comment ce mec est en train de me baiser comme une salope. Il me fait découvrir d'autres sensations. Je touche ma queue, elle mouille abondamment. Difficile de rester en équilibre à quatre pattes quand on se fait enculer par un tel mâle. Je couine de plaisir, en oubliant toute la backroom.
« Couine ma petite chienne. Allez jouis en te faisant enculer par ma queue. Montre à ton mâle que t'aimes sa queue et qu'elle te fait jouir. Je veux te voir cracher ton jus comme une salope bien soumise ».
Ces mots et ses ordres m'excitent tellement que je jouis à nouveau en couinant de plaisir. Il se retire et je ressens un manque dans mon cul, c'est tellement bon de se faire enculer par un tel mâle.
Il retire sa capote et bifle mon visage avec sa queue. Il se branle et son gland frôle mes lèvres. Je lèche sa mouille amer et salé. Je mate ses pecs et son visage cripsé de plaisir. Son bras musclé et velu s'agite plus rapidement. Dans un cri viril et grave, il jouit sur mon visage. Sons sperme sur mes lèvres, mon nez et coule de mon menton. Je lèche mes lèvres.
J'entends quelqu'un dans la backroom « Comment elle s'est fait baiser la salope, elle a dû se faire démonter ». C'est un électrochoc. Je sors de ma torpeur et je culpabilise. Je m'essuie le visage. Matthias s'approche de moi : « Dommage que tu sois avec ce baltringue, me dit-il.
- Tu ne le connais même pas.
- C'est vrai mais ça se voit qu'il ne te baise pas comme ça. J'aurai pu te rendre heureux ».
Je panique complètement. Je me rhabille et quitte la boîte comme une furie en oubliant de récupérer ma veste. Je suis déboussolé. J'ai trompé Stephan mais, surtout, Matthias m'a donné un plaisir que je n'ai jamais eu avec Stephan et m'a fait découvrir une autre facette de ma sexualité. J'ai aimé me faire enculer par ce mâle viril et audacieux.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est un peu perturbant, je suis vaguement dans la mm situation, en couple au ralenti, avec un autre garçon qui m'incite à aller voir ailleurs (potentiellement avec lui, je me dis de + en +), sauf que moins de différence d'âge et que je ne pense pas qu'il soit jamais plus que moi entré dans une backroom. Et sans dire que cette lecture est décisive (celle d'une fiction ne peut pas avoir tant d'effet, sinon celle d'un polar pousserait à réaliser une fugitive envie de meurtre), je me dis qu'elle a poussé d'un cran le besoin de changer des trucs. Donc, oui, perturbant.
Sinon, bonne écriture avec le mix ortho-grammaire bieeen meilleur que pour trop d'autres, ça soigne les rétines, merci pour ça
Sinon, bonne écriture avec le mix ortho-grammaire bieeen meilleur que pour trop d'autres, ça soigne les rétines, merci pour ça
Super bandant et tellement vrai! ( Akileditu)
merci a toi superbe histoire jai kiff ca ma foutu la trique toute l histoire espere la suite a bientot
Y a une suite de prévue ? Nan parce que ce récit est génial !
vivement la suite
Merci pour ce récit kiffant. Comme quoi il est bon de changer de rôle
pour découvrir d'autres sensations.
Ma queue déforme mon pantalon de toile.
Dommage que tu ne sois pas là.
pour découvrir d'autres sensations.
Ma queue déforme mon pantalon de toile.
Dommage que tu ne sois pas là.
Un pur kiff
Tu m'as fait bander tout du long.
J'aurai aimé être à ta place
Tu m'as fait bander tout du long.
J'aurai aimé être à ta place
Salut j'aime bien ton histoire. Vivement la suite...