Improbable trahison ... - Dialogues interdits -
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Improbable trahison ... - Dialogues interdits -
« Dialogues Interdits » : seule série littéraire d’histoires sulfureuses… uniquement constituées de dialogues. Au-delà de cette lecture, pour en savoir beaucoup plus sur mon univers, RDV sur mon site :
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Improbable trahison
— J’aurais jamais dû participer à ce projet de body-painting.
— Quoi, la peinture t’a donné des irritations ?
— Bien pire encore : plusieurs personnes m’ont reconnue.
— Je croyais que t’avais demandé à conserver l’anonymat.
— Pour des photos de nu et par rapport au métier que je fais, valait mieux !
— L’artiste a pas respecté ton souhait ?
— Bien sûr que si. Il a changé le prénom, et j’ai le visage apparent sur aucun cliché.
— Eh ben alors ?
— Alors y a un truc auquel j’avais pas songé : il a peint qu’une partie du corps, et m’a prise dans toutes les positions. Enfin, je veux dire m’a photographiée en un tas de postures.
— Quelles zones étaient peintes ?
— Le motif couvrait les épaules, la nuque et une partie du dos.
— C’est pas vrai ! Y a des mecs qu’ont reconnu ton cul ?
— …Je dirais même plus : vu toutes les soirées masquées qui se sont finies en partouzes, y a bien plus de mecs dans mon existence qui ont vu mon cul que mon visage. Sans rire, les photos auraient laissé le cul non apparent et le visage visible j’aurais eu moins d’ennuis.
— Quels ennuis ?
— Le photographe a reçu des messages de mes conquêtes. Voulant me revoir. Bah oui, je suis une fille qui donne pas son numéro… ou bien un faux.
— C’était des soirées anonymes. Les mecs qui t’ont fourrée te connaissaient pas. Malgré le buzz des photos sur les réseaux sociaux, ils savent pas plus qu’avant qui t’es. Ils ont juste un pseudo. Et toujours pas de visage !
— Le problème, c’est que même papa m’a reconnue.
— Hein !?
— Eh, rassure-toi ! C’est à cause de mon grain de beauté en bas de la fesse droite, et un autre un peu plus haut. Pauvre de moi… signe distinctif de naissance.
— Il a quand même bonne mémoire…
— Mes parents sont égalitaires, du temps où fallait me donner le bain c’était une fois l’un une fois l’autre. Puis en grandissant toute façon j’ai jamais été bien pudique à la maison.
— Tout de même, se faire trahir par son propre corps, quelle tristesse… et quelle époque ! On peut plus avoir confiance en personne, pas même envers son propre derrière !
–––––––––––––––––––––––-
Jamais nue ou toujours nue
— Je me demande comment ça se fait que je sois jamais vraiment parvenu… à te déshabiller entièrement.
— Tu rigoles ? J’adore quand tu me déshabilles. D’ailleurs ça t’arrive souvent non ? Et t’aimes tout me retirer. Jusqu’à mon nœud dans les cheveux, mes bagues, mes boucles d’oreille !
— Tu aimes ?
— J’aime encore plus que ça peut arriver n’importe quand. Je cuisine, tu arrives lentement derrière moi, tu me retires un vêtement, puis un autre, sans rien dire… et deux minutes plus tard je suis nue, toi tu restes habillé, et la soirée se poursuit ainsi. Sans même forcément qu’il y ait de sexe ! J’adore.
— Mais j’ai quand même l’impression que tu es jamais réellement totalement nue. Comme si je parvenais jamais complètement à mes fins !
— Comment ça ? Mes piercings ? Mon bronzage, mes tatouages ?
— Peut-être… et puis aussi, toi ! Que tu sois à moi, sans plus la moindre carapace… En toute ta fragilité ! Même à poil quelque part t’as l’air habillée. Ne serait-ce que vêtue de ta forte personnalité.
— Ooooh t’es trop gentil. Mais tu sais, pour que je sois sans plus aucune défense, réelle, fragile, toute à toi, c’est tout à fait possible.
— Ah, comment ?
— Il suffit de me faire jouir. T’avais pas remarqué ?
…
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Improbable trahison
— J’aurais jamais dû participer à ce projet de body-painting.
— Quoi, la peinture t’a donné des irritations ?
— Bien pire encore : plusieurs personnes m’ont reconnue.
— Je croyais que t’avais demandé à conserver l’anonymat.
— Pour des photos de nu et par rapport au métier que je fais, valait mieux !
— L’artiste a pas respecté ton souhait ?
— Bien sûr que si. Il a changé le prénom, et j’ai le visage apparent sur aucun cliché.
— Eh ben alors ?
— Alors y a un truc auquel j’avais pas songé : il a peint qu’une partie du corps, et m’a prise dans toutes les positions. Enfin, je veux dire m’a photographiée en un tas de postures.
— Quelles zones étaient peintes ?
— Le motif couvrait les épaules, la nuque et une partie du dos.
— C’est pas vrai ! Y a des mecs qu’ont reconnu ton cul ?
— …Je dirais même plus : vu toutes les soirées masquées qui se sont finies en partouzes, y a bien plus de mecs dans mon existence qui ont vu mon cul que mon visage. Sans rire, les photos auraient laissé le cul non apparent et le visage visible j’aurais eu moins d’ennuis.
— Quels ennuis ?
— Le photographe a reçu des messages de mes conquêtes. Voulant me revoir. Bah oui, je suis une fille qui donne pas son numéro… ou bien un faux.
— C’était des soirées anonymes. Les mecs qui t’ont fourrée te connaissaient pas. Malgré le buzz des photos sur les réseaux sociaux, ils savent pas plus qu’avant qui t’es. Ils ont juste un pseudo. Et toujours pas de visage !
— Le problème, c’est que même papa m’a reconnue.
— Hein !?
— Eh, rassure-toi ! C’est à cause de mon grain de beauté en bas de la fesse droite, et un autre un peu plus haut. Pauvre de moi… signe distinctif de naissance.
— Il a quand même bonne mémoire…
— Mes parents sont égalitaires, du temps où fallait me donner le bain c’était une fois l’un une fois l’autre. Puis en grandissant toute façon j’ai jamais été bien pudique à la maison.
— Tout de même, se faire trahir par son propre corps, quelle tristesse… et quelle époque ! On peut plus avoir confiance en personne, pas même envers son propre derrière !
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Jamais nue ou toujours nue
— Je me demande comment ça se fait que je sois jamais vraiment parvenu… à te déshabiller entièrement.
— Tu rigoles ? J’adore quand tu me déshabilles. D’ailleurs ça t’arrive souvent non ? Et t’aimes tout me retirer. Jusqu’à mon nœud dans les cheveux, mes bagues, mes boucles d’oreille !
— Tu aimes ?
— J’aime encore plus que ça peut arriver n’importe quand. Je cuisine, tu arrives lentement derrière moi, tu me retires un vêtement, puis un autre, sans rien dire… et deux minutes plus tard je suis nue, toi tu restes habillé, et la soirée se poursuit ainsi. Sans même forcément qu’il y ait de sexe ! J’adore.
— Mais j’ai quand même l’impression que tu es jamais réellement totalement nue. Comme si je parvenais jamais complètement à mes fins !
— Comment ça ? Mes piercings ? Mon bronzage, mes tatouages ?
— Peut-être… et puis aussi, toi ! Que tu sois à moi, sans plus la moindre carapace… En toute ta fragilité ! Même à poil quelque part t’as l’air habillée. Ne serait-ce que vêtue de ta forte personnalité.
— Ooooh t’es trop gentil. Mais tu sais, pour que je sois sans plus aucune défense, réelle, fragile, toute à toi, c’est tout à fait possible.
— Ah, comment ?
— Il suffit de me faire jouir. T’avais pas remarqué ?
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