Impromptue 2
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Impromptue 2
Exhibitionniste, y a des gens qui me disent telle. Le suis-je réellement ?
C'est pas que j'aime montrer mon cul, non. Ce que j'aime, c'est que les gens autour de moi soient intéressés. Regardeurs. Regardeurs de moi.
Et je puis vous dire que c'est bien le cas. Mateurs même dirais-je. Les filles, à détailler ma robe, mes godasses, le soutif ou la brassière qu'elles essayent de deviner, ma culotte même. Les gars, plus prosaïques, me déshabillant de leur regard inquisiteur, s'interrogeant sur ma touffe, sa couleur, sa taille, son existence même et les plis de mes chairs hors l'abricot sous le gonflé de mon pubis charnu.
Moi, je peux vous dire que tout ça, j'aime assez. Surtout les mecs. Leurs regards sur le tendu de ma robe au niveau des nibars disent explicites leurs pensées. Les gars, c'est pas compliqué, pensent qu'à ça. Et pour vous dire, c'est pas pour me déplaire. Ça me fait chaud au ventre ce truc-là. Chaud entre les cuisses sans parler de la mouille qui me vient chaque fois qu'un mec me mate concupiscent.
C'est-y-pas un mot explicite, ça, concupiscent ?
Enfin, moi je crois. Le vocabulaire, c'est pas compliqué, ça dit très exactement ce qu'on pense.
Moi je vogue. Les voiles gonflées de vent d'autant. Ma caravelle file son ère. Et j'ai le cul qui baigne...
Le mec, le pirate, qui me course me fait monter la mouille jusqu'au gosier, c'est vous dire si ça chaloupe sérieux entre mes cuisses au fond de mes entrailles.
Ce midi on est, ma copine et moi, au resto. Face à face, à une petite table de deux, au milieu de la salle.
Des mecs, y en a un quartet juste à côté à nous bader de leurs yeux brillants. Nous on applique le principe de précaution, on commence à les chauffer et on verra après si ça nous dit de poursuivre. Il n'y a rien de plus idiot que de laisser filer un bon coup ... alors nous, enfin moi, j'amorce abondamment, je ferre systématiquement tout ce qui mort et je ne rejette jamais rien à la mer, il est trop petit ou autre considération écolo ou règlementaire.
Ma copine cambre ses fesses très en arrière sur la chaise. Sa robe serrée à la taille s'évase en amphore et lui fait un cul largement ouvert irrésistible, comme invite au viol. Lors qu'elle serre les cuisses, prude.
Moi je m'occupe de mes cheveux. Longuement. Je les ai défaits. Bras en l'air, tête en arrière, mes mains s'activent à nouer un ruban. Mon buste est gonflé de mes poumons et porte mes seins en avant. Je cherche une mèche rebelle loin derrière faisant saillir les tétons sur le coton clair de mon top. Je tourne un peu droite gauche pour libérer les coques blondes sur ma nuque, et ce faisant présente les deux gonflés qui font poire, sculptant le devant du tee-shirt léger.
Les gars sont chauds bouillants.
L'un passe sa main sur le jean pour libérer, d'un geste preste et élégant, une bite manifestement coincée par l'étoffe dure du denim.
Un autre chausse ses lunettes de myope pour mieux voir ce qu'il y a à regarder.
Le troisième a gardé sa fourchette à la main, une bouchée de nourriture devant sa bouche bée, bavant tel Pavlov devant le derrière d'Emilia, son assistante à l'université de Saint-Petersbourg. Emilia, cette chienne qui ne portait jamais de dessous...
Ce que fit le quatrième n'est pas dit dans la chanson. Sauf qu'il se leva, vint à nous et ... c'était gagné.
Ma copine, je sais pas, mais moi j'avais déjà lâché une bonne dose incontinente de mouille acqueuse dans mon gousset et regardais le gars, non pas dans les yeux relevant la tête, mais bien droit sur sa braguette pour m'assurer de la nature exacte de son intérêt, de l'intérêt qu'il nous manifestait.
Quand il s'est penché en avant pour nous parler, j'ai vu sa bite se dérouler, forcer les contingences du boxer et venir raide en étendard gonfler le zip distendu. J'avais envie d'y porter la main mais je me suis retenue.
J'ai bondi de ma chaise et ai filé à l'escalier conduisant à l'étage, marqué toilettes, et il m'a suivie, calmement. Dominant.
Tout le resto a compris que j'allais me le faire. Et c'est ce que j'ai fait. Non pas dans les chiottes mais dans une sorte d'antichambre grand siècle velours rouge et dorures et lavabo de faillence empire. Sur un canapé Récamier. Moi le nez sur l'accoudoir entre mes deux mains crispées, lui à genoux derrière, me besognant rapidement.
On est redescendus ensemble, lui me tenant par la taille, moi gueule ravie de la gonzesse qui a pris son pied, infiniment reconnaissante au mec, l'hombre, de m'avoir apporté douce félicité.
Toujours, il faut faire montre de satisfaction. C'est ça qui les motive, les mecs. Bien plus que leur propre tristesse d'après coït.
Ma copine était contente pour moi mais quand même un peu frustrée... J'ai dit au gars, va il te reste bien un peu quelque chose ?
Ils sont montés à leur tour et je suis restée seule à la table, bien longtemps. Dans le resto, tout le monde retenait son souffle et personne ne montait pisser pour ne pas déranger.
Pourtant l'affaire s'éternisait et tout un chacun s'inquiètait, aurait-il fait un malaise, un AVC ? N'avait-ce pas été trop demander ? Ces deux filles poussaient le bouchon vraiment trop loin. Non ?
Et les hommes, quelques minutes auparavant jaloux et envieux, étaient maintenant tous en compassion, n'a pas pu tenir la distance, s'est exténué ... le pôvre. Notre ami notre frère.
Et les femmes, quelques minutes auparavant outrées mais néanmoins en désir en empathie, étaient maintenant toutes compatissantes, non pas à l'endroit de leurs congénères mais bien plutôt de l'hombre tant pressuré qu'il n'en pouvait probablement plus.
C'est elle qui est apparu en premier au balcon. On comprenait à ses traits tirés que l'affaire avait été laborieuse.
Le mec derrière avait le style Il était une fois dans l'Ouest, fatigué, harmonica lancinant, enfin grands espaces brûlés de soleil orgasme lent à venir mais chaud de poussière et de silence déchiré du cri Bagdad café de la fille dans l'immensité déserte.
La salle s'est retenue d'applaudir et moi je comprenais. Tout. J'en avais les fonts trempés en décontraction apaisée. Moi j'étais bien.
Une fille de la table de gauche me faisait regards d'amitié en matant les petits seins qui sculptaient mon devant de coton clair. Elle pensait probablement que ce serait bon de sucer mes douces protubérances molles dardées de tétons gros et durs.
Cette fille me plaisait bien, cheveux courts casque noir de brune au teint hâlé sportif et silhouette fine et musclée. Je lui ai souri, on s'est souri. On s'est compris, les gars c'était pas pour nous ce soir, plus. Nous on allait juste rester ensemble. Ce soir.
C'est pas que j'aime montrer mon cul, non. Ce que j'aime, c'est que les gens autour de moi soient intéressés. Regardeurs. Regardeurs de moi.
Et je puis vous dire que c'est bien le cas. Mateurs même dirais-je. Les filles, à détailler ma robe, mes godasses, le soutif ou la brassière qu'elles essayent de deviner, ma culotte même. Les gars, plus prosaïques, me déshabillant de leur regard inquisiteur, s'interrogeant sur ma touffe, sa couleur, sa taille, son existence même et les plis de mes chairs hors l'abricot sous le gonflé de mon pubis charnu.
Moi, je peux vous dire que tout ça, j'aime assez. Surtout les mecs. Leurs regards sur le tendu de ma robe au niveau des nibars disent explicites leurs pensées. Les gars, c'est pas compliqué, pensent qu'à ça. Et pour vous dire, c'est pas pour me déplaire. Ça me fait chaud au ventre ce truc-là. Chaud entre les cuisses sans parler de la mouille qui me vient chaque fois qu'un mec me mate concupiscent.
C'est-y-pas un mot explicite, ça, concupiscent ?
Enfin, moi je crois. Le vocabulaire, c'est pas compliqué, ça dit très exactement ce qu'on pense.
Moi je vogue. Les voiles gonflées de vent d'autant. Ma caravelle file son ère. Et j'ai le cul qui baigne...
Le mec, le pirate, qui me course me fait monter la mouille jusqu'au gosier, c'est vous dire si ça chaloupe sérieux entre mes cuisses au fond de mes entrailles.
Ce midi on est, ma copine et moi, au resto. Face à face, à une petite table de deux, au milieu de la salle.
Des mecs, y en a un quartet juste à côté à nous bader de leurs yeux brillants. Nous on applique le principe de précaution, on commence à les chauffer et on verra après si ça nous dit de poursuivre. Il n'y a rien de plus idiot que de laisser filer un bon coup ... alors nous, enfin moi, j'amorce abondamment, je ferre systématiquement tout ce qui mort et je ne rejette jamais rien à la mer, il est trop petit ou autre considération écolo ou règlementaire.
Ma copine cambre ses fesses très en arrière sur la chaise. Sa robe serrée à la taille s'évase en amphore et lui fait un cul largement ouvert irrésistible, comme invite au viol. Lors qu'elle serre les cuisses, prude.
Moi je m'occupe de mes cheveux. Longuement. Je les ai défaits. Bras en l'air, tête en arrière, mes mains s'activent à nouer un ruban. Mon buste est gonflé de mes poumons et porte mes seins en avant. Je cherche une mèche rebelle loin derrière faisant saillir les tétons sur le coton clair de mon top. Je tourne un peu droite gauche pour libérer les coques blondes sur ma nuque, et ce faisant présente les deux gonflés qui font poire, sculptant le devant du tee-shirt léger.
Les gars sont chauds bouillants.
L'un passe sa main sur le jean pour libérer, d'un geste preste et élégant, une bite manifestement coincée par l'étoffe dure du denim.
Un autre chausse ses lunettes de myope pour mieux voir ce qu'il y a à regarder.
Le troisième a gardé sa fourchette à la main, une bouchée de nourriture devant sa bouche bée, bavant tel Pavlov devant le derrière d'Emilia, son assistante à l'université de Saint-Petersbourg. Emilia, cette chienne qui ne portait jamais de dessous...
Ce que fit le quatrième n'est pas dit dans la chanson. Sauf qu'il se leva, vint à nous et ... c'était gagné.
Ma copine, je sais pas, mais moi j'avais déjà lâché une bonne dose incontinente de mouille acqueuse dans mon gousset et regardais le gars, non pas dans les yeux relevant la tête, mais bien droit sur sa braguette pour m'assurer de la nature exacte de son intérêt, de l'intérêt qu'il nous manifestait.
Quand il s'est penché en avant pour nous parler, j'ai vu sa bite se dérouler, forcer les contingences du boxer et venir raide en étendard gonfler le zip distendu. J'avais envie d'y porter la main mais je me suis retenue.
J'ai bondi de ma chaise et ai filé à l'escalier conduisant à l'étage, marqué toilettes, et il m'a suivie, calmement. Dominant.
Tout le resto a compris que j'allais me le faire. Et c'est ce que j'ai fait. Non pas dans les chiottes mais dans une sorte d'antichambre grand siècle velours rouge et dorures et lavabo de faillence empire. Sur un canapé Récamier. Moi le nez sur l'accoudoir entre mes deux mains crispées, lui à genoux derrière, me besognant rapidement.
On est redescendus ensemble, lui me tenant par la taille, moi gueule ravie de la gonzesse qui a pris son pied, infiniment reconnaissante au mec, l'hombre, de m'avoir apporté douce félicité.
Toujours, il faut faire montre de satisfaction. C'est ça qui les motive, les mecs. Bien plus que leur propre tristesse d'après coït.
Ma copine était contente pour moi mais quand même un peu frustrée... J'ai dit au gars, va il te reste bien un peu quelque chose ?
Ils sont montés à leur tour et je suis restée seule à la table, bien longtemps. Dans le resto, tout le monde retenait son souffle et personne ne montait pisser pour ne pas déranger.
Pourtant l'affaire s'éternisait et tout un chacun s'inquiètait, aurait-il fait un malaise, un AVC ? N'avait-ce pas été trop demander ? Ces deux filles poussaient le bouchon vraiment trop loin. Non ?
Et les hommes, quelques minutes auparavant jaloux et envieux, étaient maintenant tous en compassion, n'a pas pu tenir la distance, s'est exténué ... le pôvre. Notre ami notre frère.
Et les femmes, quelques minutes auparavant outrées mais néanmoins en désir en empathie, étaient maintenant toutes compatissantes, non pas à l'endroit de leurs congénères mais bien plutôt de l'hombre tant pressuré qu'il n'en pouvait probablement plus.
C'est elle qui est apparu en premier au balcon. On comprenait à ses traits tirés que l'affaire avait été laborieuse.
Le mec derrière avait le style Il était une fois dans l'Ouest, fatigué, harmonica lancinant, enfin grands espaces brûlés de soleil orgasme lent à venir mais chaud de poussière et de silence déchiré du cri Bagdad café de la fille dans l'immensité déserte.
La salle s'est retenue d'applaudir et moi je comprenais. Tout. J'en avais les fonts trempés en décontraction apaisée. Moi j'étais bien.
Une fille de la table de gauche me faisait regards d'amitié en matant les petits seins qui sculptaient mon devant de coton clair. Elle pensait probablement que ce serait bon de sucer mes douces protubérances molles dardées de tétons gros et durs.
Cette fille me plaisait bien, cheveux courts casque noir de brune au teint hâlé sportif et silhouette fine et musclée. Je lui ai souri, on s'est souri. On s'est compris, les gars c'était pas pour nous ce soir, plus. Nous on allait juste rester ensemble. Ce soir.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jpj un de tes meilleurs textes à mon goût d'autant qu'étant bi, comme tu le sais j'espère qu'il y aura une suite avec la fille aux cheveux courts, (j'adore les coupes à la garçonne chez une fille).
Vite à ton clavier.....
Vite à ton clavier.....