Inattendu
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Inattendu
Ce que je vais vous faire vivre remonte à peu d'années. Avant de vous décrire la situation de ce récit, je me présente.
A l'époque j'avais cinquante cinq ans, marié à Anne-Marie deux an plus jeune que moi, que j'adore. Malheureusement pas très portée sur le sexe, elle participe très gentiment à son devoir conjugal, mais n'aime pas trop les fantaisies et autres techniques. Nous avons eu deux beaux enfants : une fille et un garçon (Anne-Adélaïde et Pierre-Edouard) et qui sont encore chez nous, étudiants tous les deux avec de très brillantes études : HEC et Centrale. Ma femme et moi sommes des cadres supérieurs avec de nombreuses responsabilités. Coralie-Garance avec son amour sans limite a complètement confiance en moi. De mon côté, cela est un peu différent, je l'aime et l'adore, mais . .
il faut le dire je me suis marié pour ne pas choque la bonne société de mes parents. J'avais eu toujours envie de fonder une vraie famille, aussi depuis la fon de mon adolescence j'avais des attirances pour la gente masculine; selon les moments d'assez jeunes et à d'autre à des hommes plus âgés que moi.. Pendant les trois premières années de mon mariage je suis resté assez "sage". Puis rapidement ma carrière professionnelle m'a fait voyager en France, en Europe ou d'autres parties du monde très agréables. Et c'est lors de mes déplacements pour mes conférences ou signatures de contrat, loin du foyer, progressivement mes envies antérieures revenaient.
Parfois ce fut de très bons moments partagés soient comme moi avec des hommes mariés (et père) en manque et voulant se défouler loin de notre couple; ou de rencontres avec de jeunes cadres, je me permettais certaines de ces rencontres dans les hôtels où je résidais.
De retour au foyer il ne m'était pas toujours facile de concilier cette double vie, je ne voulais pas tout gâcher par mes envies insoupçonnées par les miens. Un jour en début d'après-midi au bureau alors que je n'avais pas ce jour là de rendez-vous et d'importants dossiers à traiter, une idée, mais surtout une envie me vient à l'esprit d'aller dans un sauna connu à Paris.
Arrivé sur les lieux de ce bel établissement, après le guichet d'accueil je m'aperçu dans le vestiaire qu'il n'y avait pas trop de monde. Pas trop grave, l'essentiel est de trouver quelqu'un pour passer un agréable moment et à d'autres voir ce qui se passe dans les recoins, les couloirs ou même les exhibes en action dans leurs cabines ouvertes.
Dans l'espace des douches, rien ne m'attire, je me dirige ensuite en sauna empruntant un couloir où seulement des hommes se croisent pour rentrer dans le sauna. Sur les différents niveaux en bois trois hommes y sont assis avec leur serviette autour de la taille. Je balaie des yeux cet environnement essayant de capter un regard, mais tout le monde reste neutre. Je décide plutôt d'aller au hammam. Je préfère ce lieu embrumé dans lequel les rapprochements et les attouchements plus faciles et excitants. Pour rejoindre ce lieu de détente-vapeur, je dois comme les fois précédentes parcourir un cheminement de couloirs où se situent les cabines. Sur le chemin, des cabines sont fermées, d'autres ouvertes, ce qui me fait ralentir pour observer les corps allongés. Puis au bout de ce couloir un virage avec une cabine d'angle. Et quelques hommes s'avancent pour former un petit attroupement et s'arrêtent pour observer. Je m'approche pour ne pas déranger les observateurs et voyeurs. Il y a encore assez de place pour une vue sur les jeunes qui ont pris possession de cette cabine. Il y a un jeune d'une bonne vingtaine d'année qui a pris appui sur la banquette-lit.
Il me semble assez grand malgré sa posture, un mètre quatre-vingts avec un corps assez fin, malgré des courbes bien dessinées par sa musculature parfaite. Il est assez clair de peau, ce qui le fait bien se détacher cette ambiance clair-obscur. Il présente ses fesses à son partenaire d'une bonne cinquantaine d'année.
Lui est plus trapu avec une jolie chevelure grisonnante argentée. Il se retour ne furtivement il est que très légèrement poilu avec un filet sur le torse, mais a son pubis sans poil laissant découvrir un sexe déjà bien bandé aux proportions assez envieuses. Il se baisse, se met à croupi, et écarte les petites fesses de jeune. Les deux lobes écartées, nous apercevons son petit trop avec une rosette bien plissée. L'homme approche sa tête et lui lèche l'orifice avec ardeur. Des coups de langues rapides et rapprochés s'activent sur cette rosette. Parfois il s'arrête pour contempler celle-ci qui a l'air de palpiter et légèrement de se déplisser. Après avoir admiré, il recommence son anulingus avec précision et minutie ce qui fait réagir le jeune par un long gémissement. En voyant cette scène, certains hommes ont pris leur queue en main pour se l'astiquer et d'autres essaient de toucher la queue de leur voisin. Certains compliments sont faits sur l'attitude du jeune et la beauté de son cul.
L'homme arrête de lécher pour cracher sur ses doigts et enfonce progressivement deux doigts dans cette rosette qui s'est déplissée sous les savants coups de langue. Maintenant se sont des va-et-vient des deux doigts qui agitent le frêle corps du jeune. Maintenant il pousse des soupirs, des gémissements. L'homme en profite pour entrer un troisième doigt. Sous l'assaut de cet annulaire, le jeune lance un Oui, oui oui, je suis prêt. L'homme se redresse avec une érection magistrale. Puis il claque avec sa main gauche les fesses du jeune une bonne dizaine de fois. Pourquoi ? je ne sais pas peut-être connaît-il les désirs de cet éphèbe.
Avec sa peau blanche nous distinguons les fesses rougies par les claques. L'ambiance s'échauffe dans le groupe des voyeurs. Un effectue une fellation à son voisin, pendant que l'autre en masturbe carrément un autre. Pour mon compte, j'ai une trique qui me force à me caresser en me délectant de cette séance imprévue. L'homme dépose quelques gouttes de gel dans le l'orifice qui va se transformer en tunnel pour y loger son sexe complètement développé. Je ne sais pas qu'elle va être la réaction du jeune lorsque de chibre va le pénétrer; tout dépend de la technique de l'homme, car faire rentrer un tel membre de pus de vingt deux centimètres, mais surtout, et c'est là plus de cinq de diamètre. C'est vraiment impressionnant mais super excitant.
Les mains alentours s'agitent et les regards se rivent sur le corps du jeune. L'homme tient sa barre fixe de sa main droite pour bien la positionner face à la rosette demandeuse. Une fois son gland coincé dans la raie culiaire, prend le jeune par la taille et donne un léger coup de reins, ce qui doit ouvrir la rosette. Le diamètre est tellement exceptionnel, même avec cette rosette demandeuse, le jeune doit sentit ce forage avec quelques douleurs. Le jeune pousse un Aïe !, Aïe !, doucement ! doucement !
L'homme s'arrête puis prend appui et enfonce par de petits coups de reins courts et successifs pour pénètre le jeune. Les centimètres disparaissent progressivement dans le jeune tunnel. Au moment où l'homme a donné le coup de reins une certaine rumeur s'est fait entendre dans le groupe. "Ill résiste bien le jeune pour prendre une telle chose". Un autre répond, XXxx, n'a pas toujours quelqu'un pour se soulager et entrer sa bite de cirque. Le jeune à l'air d'aimer le salaud - Il va en avoir de la queue, XXxx est long à venir. Puis les coups de reins deviennent plus amples mais surtout nettement plus forts. Le jeune a le rythme respiratoire plus rapide. Oui, Oui, Oui je la sens, je la sens.
L'homme accélère. A sa place j'aurai déjà joui, et autour de moi des soupirs de jouissance et d'éjaculations se font entendre, ils n'ont pas pu résister à cette scène très intense et excitante pas comme celui qui baise ce jeune depuis plus de dix minutes. Ces deux acteurs sont l'un et l'autre très endurants chacun dans son rôle.
Parfois le jeune relève la tête pour pousser des Ah ! Ah! Je te sens bien, tu cognes bien ! c'est bon ! Après ses quelques onomatopées, les longues jambes du jeune se mettent à trembler, trembler rapidement, et sans se toucher le jeune est pris d'un très fort orgasme en hurlant : "je je je joooouis, je jouiiiiiis" en éjaculant sur le sol d'un long filet ininterrompu de sa semence suprême. A ce moment et en entendant tous ces mots, l'homme alors se déchaîne en bourrant au maximum le jeune cul, puis pousse un Oouuii Oouuii d'extase. Que c'est beau de voir deux hommes, ces deux corps se donner du plaisir. L'homme doucement décule son partenaire. Il sort du tunnel son épaisse queue encore bandée. L'homme prend sa serviette pour se ceindre de celle-ci et sans un mot sort de la cabine en se frayant un chemin parmi nous, vicieux observateurs. Le jeune se redresse pour faire la même chose et se retourne. Oh ! Oh ! mais ! mais ! je rêve, j'hallucine. . . j'ai le cœur qui me fait presque tourner de l'œil. Que dois-je faire ? ? Le jeune qui se tourne est mon fils Pierre-Edouard. Il ne m'a pas vu. Il se dirige vers les douches, ce qui me laisse le temps d'un peu réfléchir. Car alors là je ne me suis jamais douté de cette sexualité pour mon fils. Jamais aucun soupçon. Avec ses vingt-quatre ans il a amené à la maison ou à la campagne que des copains ou quelques copines, mais rien ne paraissait. Je ne peux pas rester sur une telle interrogation, bien que cela soit sa vie privée, je vous l'accorde. Lui non plus ne sais pas que je trompe Coralie-Garance ma femme - sa mère. Que faire ? ? Que dire ? ? Il ne sais pas ma bisexualité. Je ne voudrais surtout pas que sa vie future lui soit dictée et presque gâchée comme le fut la-mienne, malgré tout l'amour pour ma famille.
Je décide de me diriger vers la sortie, bien que je n'aie pas encore pu avoir un orgasme éjaculatoire. Je marche le long des couloirs à la lumière tamisée la tête un peu embrumée et floue. Les cabines durant mon parcours défilent et une est ouverte avec Pierre-Edouard allongé la serviette dévoilant une grande partie de son corps. Je tremble, je ne suis plus même, pas d'avoir un fils éventuellement homosexuel, mais d'avoir assisté à ses ébats. Et plutôt pour éviter tout quiproquo à la maison, inconsciemment j'entre dans sa cabine. Je ne sais pas s'il m'a reconnu et je m'assois sur la banquette. Doucement je pose ma main sur son mollet. Il sursaute évidemment inconsciemment je tourne la tète vers lui. Il me lance – "Qu'est-ce tu fous là ? Tu m'espionnes ?" je lui réponds – "Non, non, mais j'ai pu admirer tout ce que tu te faisais mettre tout à l'heure." "Oh tu as vu" Je n'avais toujours pas enlevé ma main de son mollet, et commence à le caresser involontairement en remontant sur sa cuisse. Lui de son côté agilement casse mon dos. Je me lève et ferme la porte. "Tu sais, je comprends tout à fait, je ne le savais pas, mais je ne t'empêcherai pas de t'épanouir et surtout que tu vives comme il te plaît. Je ne veux pas que ce soit comme avec Papy et Mamy pour moi. Nous verrons pour en parler à maman. Sur ce il s'assoit me prend par l'épaule et vient m'embrasser comme un fils. "merci papa, merci papa – tu es donc malheureux ?"Je le regarde et m'avance pour l'embrasser mais d'une façon différente, c'est-à-dire à peine bouche en se roulant un vrai et profond patin, nos langues se mélangeant. Ma main a encore remonté en haut de sa cuisse et je sens sa verge grossir. Je le lance, "tu m'as impressionné par ta disposition avec l'homme de tout à l'heure. C'est mon prof à Centrale en sociologue, je le vois depuis deux lorsqu'il monte à Paris."Nous discutons un bon moment avec confiance, il a appris ma bisexualité et mes faux pas avec sa mère. Lui n'a personne seulement quelques rencontres; Et pour lui, pas de rôle très défini. Il bande comme un cerf mais avec un membre cette fois-ci correspondant aux normes d'un grand nombre de français. Je lui fais encore allusion à son maître de conférence hyper bien monté et qu'il avait sans difficulté su accepter; J'ai su que c'est ce prof qui l'a formaté à accepter ses dimensions exceptionnelles. Je le regarde, en lui lançant "la tienne me suffira amplement'.
Je monte sur la couche à côté de lui; Il me caresse gentiment, je lui tends un tube de gel et me positionne à quatre pattes. Il se lève pour se mettre derrière moi et m'enduis de ce gel en ma masse délicatement avec son doigt. Je n'avais ressenti un tel plaisir. Il entre tout son majeur en tournant doucement pour ouvris mon trou. Je prends du plaisir, mais oh surprise ce doigt si agile est venu toucher par courts instants ma prostate. Ce geste me fait gémir et pousser de petits cris d'une caresse inconnue. Toujours le doigt en action, il se met progressivement en position pour orienter son sexe vers mon intimité. Il positionne sa verge décalottée de son long prépuce et commence à pousser. Je ne sais plus où j'en suis. Je ferme les yeux le plaisir est intense de se faire pénétrer avec autant d'attention.
Le petit cochon, il sait faire plaisir avec délicatesse. Il pousse et commence un va et-vient assez soutenu. Il me demande de me pencher un peu plus en avant. "Papa, çà va t'exciter ta prostate, tu va greuler comme jamais, laisse toi faire" Ses coups sont rapides mais pas trop forts, mais à chaque butée certains sensations commencent à m'envahir; De l'électricité dans les pieds puis monte dans me jambes pour arriver dans le corps qui se met à trembler avec certaines consultons. L'effet gagne le haut du corps, puis la tête où tout résonne avec son gland qui bute contre ma prostate. La sensation indescriptible et irréelle; je ne me sens plus et tout mon corps tremble et je me mets à mugir, c'est bon, c'est bon oui oui oui que fais-tu que fais-tu c'est inincroycroyaabble. Je me mets à hurler à crier et je répands tout mon foutre épais sur le matelas pendant que Pierre-Edouard m'éjacule et m'inonde l'intérieur de mon intimité qui n'arrive pas à tout absorbé de ses cinq giclées et se mélangent à ma substance sur le matelas.
Je suis épuisé. Il vient tendrement me prendre dans ses bras; merci, merci, papa; je suis heureux que mon fils puisse relèvement s'épanouir. Maintenant depuis dix huit mois, ilt vis avec un splendide et intelligent compagnon de cinq ans son aîné Ils sont heureux. C'est l'essentiel. Ils ne seront pas obligés de se cacher.
A l'époque j'avais cinquante cinq ans, marié à Anne-Marie deux an plus jeune que moi, que j'adore. Malheureusement pas très portée sur le sexe, elle participe très gentiment à son devoir conjugal, mais n'aime pas trop les fantaisies et autres techniques. Nous avons eu deux beaux enfants : une fille et un garçon (Anne-Adélaïde et Pierre-Edouard) et qui sont encore chez nous, étudiants tous les deux avec de très brillantes études : HEC et Centrale. Ma femme et moi sommes des cadres supérieurs avec de nombreuses responsabilités. Coralie-Garance avec son amour sans limite a complètement confiance en moi. De mon côté, cela est un peu différent, je l'aime et l'adore, mais . .
il faut le dire je me suis marié pour ne pas choque la bonne société de mes parents. J'avais eu toujours envie de fonder une vraie famille, aussi depuis la fon de mon adolescence j'avais des attirances pour la gente masculine; selon les moments d'assez jeunes et à d'autre à des hommes plus âgés que moi.. Pendant les trois premières années de mon mariage je suis resté assez "sage". Puis rapidement ma carrière professionnelle m'a fait voyager en France, en Europe ou d'autres parties du monde très agréables. Et c'est lors de mes déplacements pour mes conférences ou signatures de contrat, loin du foyer, progressivement mes envies antérieures revenaient.
Parfois ce fut de très bons moments partagés soient comme moi avec des hommes mariés (et père) en manque et voulant se défouler loin de notre couple; ou de rencontres avec de jeunes cadres, je me permettais certaines de ces rencontres dans les hôtels où je résidais.
De retour au foyer il ne m'était pas toujours facile de concilier cette double vie, je ne voulais pas tout gâcher par mes envies insoupçonnées par les miens. Un jour en début d'après-midi au bureau alors que je n'avais pas ce jour là de rendez-vous et d'importants dossiers à traiter, une idée, mais surtout une envie me vient à l'esprit d'aller dans un sauna connu à Paris.
Arrivé sur les lieux de ce bel établissement, après le guichet d'accueil je m'aperçu dans le vestiaire qu'il n'y avait pas trop de monde. Pas trop grave, l'essentiel est de trouver quelqu'un pour passer un agréable moment et à d'autres voir ce qui se passe dans les recoins, les couloirs ou même les exhibes en action dans leurs cabines ouvertes.
Dans l'espace des douches, rien ne m'attire, je me dirige ensuite en sauna empruntant un couloir où seulement des hommes se croisent pour rentrer dans le sauna. Sur les différents niveaux en bois trois hommes y sont assis avec leur serviette autour de la taille. Je balaie des yeux cet environnement essayant de capter un regard, mais tout le monde reste neutre. Je décide plutôt d'aller au hammam. Je préfère ce lieu embrumé dans lequel les rapprochements et les attouchements plus faciles et excitants. Pour rejoindre ce lieu de détente-vapeur, je dois comme les fois précédentes parcourir un cheminement de couloirs où se situent les cabines. Sur le chemin, des cabines sont fermées, d'autres ouvertes, ce qui me fait ralentir pour observer les corps allongés. Puis au bout de ce couloir un virage avec une cabine d'angle. Et quelques hommes s'avancent pour former un petit attroupement et s'arrêtent pour observer. Je m'approche pour ne pas déranger les observateurs et voyeurs. Il y a encore assez de place pour une vue sur les jeunes qui ont pris possession de cette cabine. Il y a un jeune d'une bonne vingtaine d'année qui a pris appui sur la banquette-lit.
Il me semble assez grand malgré sa posture, un mètre quatre-vingts avec un corps assez fin, malgré des courbes bien dessinées par sa musculature parfaite. Il est assez clair de peau, ce qui le fait bien se détacher cette ambiance clair-obscur. Il présente ses fesses à son partenaire d'une bonne cinquantaine d'année.
Lui est plus trapu avec une jolie chevelure grisonnante argentée. Il se retour ne furtivement il est que très légèrement poilu avec un filet sur le torse, mais a son pubis sans poil laissant découvrir un sexe déjà bien bandé aux proportions assez envieuses. Il se baisse, se met à croupi, et écarte les petites fesses de jeune. Les deux lobes écartées, nous apercevons son petit trop avec une rosette bien plissée. L'homme approche sa tête et lui lèche l'orifice avec ardeur. Des coups de langues rapides et rapprochés s'activent sur cette rosette. Parfois il s'arrête pour contempler celle-ci qui a l'air de palpiter et légèrement de se déplisser. Après avoir admiré, il recommence son anulingus avec précision et minutie ce qui fait réagir le jeune par un long gémissement. En voyant cette scène, certains hommes ont pris leur queue en main pour se l'astiquer et d'autres essaient de toucher la queue de leur voisin. Certains compliments sont faits sur l'attitude du jeune et la beauté de son cul.
L'homme arrête de lécher pour cracher sur ses doigts et enfonce progressivement deux doigts dans cette rosette qui s'est déplissée sous les savants coups de langue. Maintenant se sont des va-et-vient des deux doigts qui agitent le frêle corps du jeune. Maintenant il pousse des soupirs, des gémissements. L'homme en profite pour entrer un troisième doigt. Sous l'assaut de cet annulaire, le jeune lance un Oui, oui oui, je suis prêt. L'homme se redresse avec une érection magistrale. Puis il claque avec sa main gauche les fesses du jeune une bonne dizaine de fois. Pourquoi ? je ne sais pas peut-être connaît-il les désirs de cet éphèbe.
Avec sa peau blanche nous distinguons les fesses rougies par les claques. L'ambiance s'échauffe dans le groupe des voyeurs. Un effectue une fellation à son voisin, pendant que l'autre en masturbe carrément un autre. Pour mon compte, j'ai une trique qui me force à me caresser en me délectant de cette séance imprévue. L'homme dépose quelques gouttes de gel dans le l'orifice qui va se transformer en tunnel pour y loger son sexe complètement développé. Je ne sais pas qu'elle va être la réaction du jeune lorsque de chibre va le pénétrer; tout dépend de la technique de l'homme, car faire rentrer un tel membre de pus de vingt deux centimètres, mais surtout, et c'est là plus de cinq de diamètre. C'est vraiment impressionnant mais super excitant.
Les mains alentours s'agitent et les regards se rivent sur le corps du jeune. L'homme tient sa barre fixe de sa main droite pour bien la positionner face à la rosette demandeuse. Une fois son gland coincé dans la raie culiaire, prend le jeune par la taille et donne un léger coup de reins, ce qui doit ouvrir la rosette. Le diamètre est tellement exceptionnel, même avec cette rosette demandeuse, le jeune doit sentit ce forage avec quelques douleurs. Le jeune pousse un Aïe !, Aïe !, doucement ! doucement !
L'homme s'arrête puis prend appui et enfonce par de petits coups de reins courts et successifs pour pénètre le jeune. Les centimètres disparaissent progressivement dans le jeune tunnel. Au moment où l'homme a donné le coup de reins une certaine rumeur s'est fait entendre dans le groupe. "Ill résiste bien le jeune pour prendre une telle chose". Un autre répond, XXxx, n'a pas toujours quelqu'un pour se soulager et entrer sa bite de cirque. Le jeune à l'air d'aimer le salaud - Il va en avoir de la queue, XXxx est long à venir. Puis les coups de reins deviennent plus amples mais surtout nettement plus forts. Le jeune a le rythme respiratoire plus rapide. Oui, Oui, Oui je la sens, je la sens.
L'homme accélère. A sa place j'aurai déjà joui, et autour de moi des soupirs de jouissance et d'éjaculations se font entendre, ils n'ont pas pu résister à cette scène très intense et excitante pas comme celui qui baise ce jeune depuis plus de dix minutes. Ces deux acteurs sont l'un et l'autre très endurants chacun dans son rôle.
Parfois le jeune relève la tête pour pousser des Ah ! Ah! Je te sens bien, tu cognes bien ! c'est bon ! Après ses quelques onomatopées, les longues jambes du jeune se mettent à trembler, trembler rapidement, et sans se toucher le jeune est pris d'un très fort orgasme en hurlant : "je je je joooouis, je jouiiiiiis" en éjaculant sur le sol d'un long filet ininterrompu de sa semence suprême. A ce moment et en entendant tous ces mots, l'homme alors se déchaîne en bourrant au maximum le jeune cul, puis pousse un Oouuii Oouuii d'extase. Que c'est beau de voir deux hommes, ces deux corps se donner du plaisir. L'homme doucement décule son partenaire. Il sort du tunnel son épaisse queue encore bandée. L'homme prend sa serviette pour se ceindre de celle-ci et sans un mot sort de la cabine en se frayant un chemin parmi nous, vicieux observateurs. Le jeune se redresse pour faire la même chose et se retourne. Oh ! Oh ! mais ! mais ! je rêve, j'hallucine. . . j'ai le cœur qui me fait presque tourner de l'œil. Que dois-je faire ? ? Le jeune qui se tourne est mon fils Pierre-Edouard. Il ne m'a pas vu. Il se dirige vers les douches, ce qui me laisse le temps d'un peu réfléchir. Car alors là je ne me suis jamais douté de cette sexualité pour mon fils. Jamais aucun soupçon. Avec ses vingt-quatre ans il a amené à la maison ou à la campagne que des copains ou quelques copines, mais rien ne paraissait. Je ne peux pas rester sur une telle interrogation, bien que cela soit sa vie privée, je vous l'accorde. Lui non plus ne sais pas que je trompe Coralie-Garance ma femme - sa mère. Que faire ? ? Que dire ? ? Il ne sais pas ma bisexualité. Je ne voudrais surtout pas que sa vie future lui soit dictée et presque gâchée comme le fut la-mienne, malgré tout l'amour pour ma famille.
Je décide de me diriger vers la sortie, bien que je n'aie pas encore pu avoir un orgasme éjaculatoire. Je marche le long des couloirs à la lumière tamisée la tête un peu embrumée et floue. Les cabines durant mon parcours défilent et une est ouverte avec Pierre-Edouard allongé la serviette dévoilant une grande partie de son corps. Je tremble, je ne suis plus même, pas d'avoir un fils éventuellement homosexuel, mais d'avoir assisté à ses ébats. Et plutôt pour éviter tout quiproquo à la maison, inconsciemment j'entre dans sa cabine. Je ne sais pas s'il m'a reconnu et je m'assois sur la banquette. Doucement je pose ma main sur son mollet. Il sursaute évidemment inconsciemment je tourne la tète vers lui. Il me lance – "Qu'est-ce tu fous là ? Tu m'espionnes ?" je lui réponds – "Non, non, mais j'ai pu admirer tout ce que tu te faisais mettre tout à l'heure." "Oh tu as vu" Je n'avais toujours pas enlevé ma main de son mollet, et commence à le caresser involontairement en remontant sur sa cuisse. Lui de son côté agilement casse mon dos. Je me lève et ferme la porte. "Tu sais, je comprends tout à fait, je ne le savais pas, mais je ne t'empêcherai pas de t'épanouir et surtout que tu vives comme il te plaît. Je ne veux pas que ce soit comme avec Papy et Mamy pour moi. Nous verrons pour en parler à maman. Sur ce il s'assoit me prend par l'épaule et vient m'embrasser comme un fils. "merci papa, merci papa – tu es donc malheureux ?"Je le regarde et m'avance pour l'embrasser mais d'une façon différente, c'est-à-dire à peine bouche en se roulant un vrai et profond patin, nos langues se mélangeant. Ma main a encore remonté en haut de sa cuisse et je sens sa verge grossir. Je le lance, "tu m'as impressionné par ta disposition avec l'homme de tout à l'heure. C'est mon prof à Centrale en sociologue, je le vois depuis deux lorsqu'il monte à Paris."Nous discutons un bon moment avec confiance, il a appris ma bisexualité et mes faux pas avec sa mère. Lui n'a personne seulement quelques rencontres; Et pour lui, pas de rôle très défini. Il bande comme un cerf mais avec un membre cette fois-ci correspondant aux normes d'un grand nombre de français. Je lui fais encore allusion à son maître de conférence hyper bien monté et qu'il avait sans difficulté su accepter; J'ai su que c'est ce prof qui l'a formaté à accepter ses dimensions exceptionnelles. Je le regarde, en lui lançant "la tienne me suffira amplement'.
Je monte sur la couche à côté de lui; Il me caresse gentiment, je lui tends un tube de gel et me positionne à quatre pattes. Il se lève pour se mettre derrière moi et m'enduis de ce gel en ma masse délicatement avec son doigt. Je n'avais ressenti un tel plaisir. Il entre tout son majeur en tournant doucement pour ouvris mon trou. Je prends du plaisir, mais oh surprise ce doigt si agile est venu toucher par courts instants ma prostate. Ce geste me fait gémir et pousser de petits cris d'une caresse inconnue. Toujours le doigt en action, il se met progressivement en position pour orienter son sexe vers mon intimité. Il positionne sa verge décalottée de son long prépuce et commence à pousser. Je ne sais plus où j'en suis. Je ferme les yeux le plaisir est intense de se faire pénétrer avec autant d'attention.
Le petit cochon, il sait faire plaisir avec délicatesse. Il pousse et commence un va et-vient assez soutenu. Il me demande de me pencher un peu plus en avant. "Papa, çà va t'exciter ta prostate, tu va greuler comme jamais, laisse toi faire" Ses coups sont rapides mais pas trop forts, mais à chaque butée certains sensations commencent à m'envahir; De l'électricité dans les pieds puis monte dans me jambes pour arriver dans le corps qui se met à trembler avec certaines consultons. L'effet gagne le haut du corps, puis la tête où tout résonne avec son gland qui bute contre ma prostate. La sensation indescriptible et irréelle; je ne me sens plus et tout mon corps tremble et je me mets à mugir, c'est bon, c'est bon oui oui oui que fais-tu que fais-tu c'est inincroycroyaabble. Je me mets à hurler à crier et je répands tout mon foutre épais sur le matelas pendant que Pierre-Edouard m'éjacule et m'inonde l'intérieur de mon intimité qui n'arrive pas à tout absorbé de ses cinq giclées et se mélangent à ma substance sur le matelas.
Je suis épuisé. Il vient tendrement me prendre dans ses bras; merci, merci, papa; je suis heureux que mon fils puisse relèvement s'épanouir. Maintenant depuis dix huit mois, ilt vis avec un splendide et intelligent compagnon de cinq ans son aîné Ils sont heureux. C'est l'essentiel. Ils ne seront pas obligés de se cacher.
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