Incestus autem Invictus 5 - La natation, l’innée et l’alchimie : - histoire érotique

Ce récit se passe avant ce fameux été où mon frère a cessé d’exister pour moi. Pourquoi intervient il maintenant ? Car au retour des vacances, seul dans ma chambre, c’est le genre d’histoire qui ressurgit dans mon esprit. Comme si mon inconscient essayait de me faire passer un message. Ce pourrait il que mon frère ne soit pas qu’un con ?…
Certes j’expliquais que je suis loin d’être aussi sportif que mon frère, toutefois je pratique un seul sport mais à fond : la natation. Je me sens vraiment bien dans l’eau… Je suis en club depuis une dizaine d’année. En voyant mon corps on croirait pas je sais… Je fais encore tout minet, tout sec, alors que mes potes du club avec qui je pratique depuis 10 ans ce sont développés à une vitesse impressionnante…
Même si la natation est loin d’être un sport où les muscles gonflent énormément, le corps d’un nageur est vraiment parfaitement proportionné. Enfin quand on voit mes potes en tout cas… Voir des dos taillés en V trois soirs par semaine c’est juste un délice…
D’ailleurs avec le temps, ça devient de plus en plus dur de pratiquer sereinement la natation. Etant jeune je n’avais aucun complexe, aucune gène. Mais les années passant, j’arrive à un point où mon regard se fait plus insistant sur la musculature de mes amis, mes yeux s’attardent sur les slips de plus en plus fournis. Je suis débordant d’imagination au moment d’arriver dans les douches… Je me déteste d’être comme ça… Avoir ses pensées incontrôlables menant à des érections incontrôlés… C’est l’angoisse à chaque entrainement… Savoir si je vais résister ou pas… Arriver à me cacher, ou non….
Jusqu’à maintenant j’ai jamais eu de problème, au moindre faux pas je glisse sous une douche d’eau froide et ça me calme. Une fois sur deux je tombe malade, mais je préfère ça au jugement des autres mecs de l’équipe. On est vraiment soudé, on se connait quasiment tous depuis dix ans. Tellement soudé qu’au fur et à mesure nos jeux changent, nos pensées évoluent. Les douches sont un lieu de moins en moins calme… J’ai bien remarqué les mains baladeuses avec comme justification des « c’est bon c’est pour rigoler etc » … Non c’est pas pour rire ! Si je vous avouais tous ce que j’ai en tête je vous assure que vous ne prendriez plus ça à la légère ! De plus en plus souvent nos entrainements finissent tard, nous sommes les derniers dans la piscine, les derniers à devoirs ranger, se laver et partir… Du coup se sachant seuls, les mecs se lâchent et ont instaurés les douches complètement à poils.
« Ba ouais, chez toi tu t’amuses à te laver en slip ? Ba ici ça devrait être pareil. Les douches ne sont pas mixte alors y’a pas de risque ! et puis y’a que nous »
Moi et ma pudeur légendaire, la première fois j’ai cru que j’allais en mourir… Je me suis lavé dos aux autres, collé contre ma douche. Les autres avaient l’air de bien s’amuser, moi je me savonnais rapidement prétextant de devoir rentrer rapidement ce soir. Mon frère venant me chercher en voiture je ne voulais pas le faire patienter trop longtemps. Impossible de lui cacher quoi que ce soit à celui là… A peine en voiture…
« Qu’est ce qui se passe Axel ?? qu’est ce qui ne va pas ?
- Je sais pas… je… non c’est débile oublie…
-Si si dit moi, tu peux tout me dire. Si tu veux que je sois là pour toi, tu devrais tout pouvoir me dire.
-Quand tu fais de la natation, seul ou avec ton club. Tu te douches comment ?
-Avec de l’eau et du savon.
-… »
Ce con a un humour de merde, mais il ne peut s’empêcher de me faire rire un peu plus chaque jour. Il sait comme me détendre c’est très agréable…
« - Non mais… c’est collectif ? cabine unique ? en maillot ?
-Ba le plus souvent c’est du collectif. Et y’a pas de règle. Ceux qui veulent se foutre à poil le font, les autres non.
-Et toi tu choisi quoi ?
-Ba le plus souvent en maillot. Disons que les rares fois où j’ai fais une douche intégrale, mes mensurations suscitent beaucoup de curiosité, de questions, de remarques, de jalousie. Et le problème c’est que plus on s’intéresse à ma queue, qu’on me complimente, qu’on flatte mon égao, ou que je vois des mecs qui commencent à complexer, bah ça à l’air de plaire à ma queue et je suis incapable de m’empêcher de gonfler… C’est trop gênant du coup je me rince toujours en maillot et me lave après à la maison. Mais pourquoi tu penses à ça ? Ca ne se passe pas bien dans les douches ?
-Si si ça va ne t’inquiète pas. C’est juste que les mecs ont pris la décision qu’on se mette toujours à poil dans les douches…
-Quoi ??? personne ne doit prendre la décision pour toi frangin ! Je vais aller leur parler, les uns après les autres puis au coach !
-Non fait pas ça !! voila pourquoi je voulais pas t’en parler ! Ne te mêle pas de ça ! Y’a rien de grave c’est juste moi qui suis hyper pudique… Et j’ai l’oeil baladeur, ça m’énerve ! »
Je sens vraiment que je l’ai énervé. Son cou et son visage deviennent rouges écarlates, sa respiration s’accélère, je vois sous torse se bomber, je le sens près à quitter la voiture pour aller tous les démolir… Mais je sais comment il fonctionne à présent, je passe ma petite main dans sa nuque et je gratte lentement en remontant dans ses cheveux pour masser, ça l’apaise presque instantanément.
« -Tu me promets de rien faire de stupide ?
-Rien n’est stupide quand il s’agit de protéger mon pti frère. Tu me promets de décider par toi même, sans influence, de quelle manière tu souhaites te laver ? C’est maintenant que tu forges ton caractère. SI ce sont tes vrais potes, ils comprendront. Pour ce qui est des yeux baladeurs. Tu n’as pas à t’en vouloir. C’est l’âge, ce sont les hormones ! C’est naturel, de regarder ce genre de chose. Ca attire l’oeil car c’est tabou. Qu’on a pas l’habitude d’en voir, qu’on se demande toujours comment c’est ailleurs. Tu n’es pas bizarre. Ca fait pas de toi un mec qui aime les hommes. Moi même je mate sans me gêner. Je cherche toujours quelqu’un de plus pourvu que moi… Et c’est pas prêt d’arriver je pense… »
Je le deteste ce vantard ! Il peut pas se taire plutôt que de me faire imaginer des choses que je ne peux m’empêcher de concevoir une fois seul dans ma chambre les yeux fermés à chercher le sommeil. Je n’ai jamais eu à compter les moutons pour m’endormir, j’ai toujours préféré compter le nombre de centimètre….
« -Et si tu crois que je t’ai jamais surpris à mater les seins de ma copine.
-Hein quoi ?? mais…. non j’oserai pas…
-C’est pas le fait d’oser, c’est naturel c’est tout c’est pour ça que je t’en ai jamais voulu »
Si seulement tu connaissais les vraies raisons pour mater ses seins… Depuis que j’ai découvert ce qu’est la branlette espagnole je suis incapable de ne pas imaginer que vous faites ça tout le temps, et des que je vois ses seins, je pense à toi t’immisçant entre eux deux…. Je rougis de mes pensées et la fin du trajet se passe calmement.
A l'entraînement suivant, le stres fut moins présent, j'avais la force de Romain en moi. Je saurai dire non quand il le faudra ! Et à l'arrivée dans les douches, alors que tous mes potes étaient surexcités de finir rapidement leur entraînement pour se faire plaisir aux douches, je n'ai pas enlevé mon slip de bain. Chacun y est aller de sa remarque :
« -Allez Axel ! fait pas ton pudique !
-Joue le jeu, fait pas ton rabat-joie !
-On sait que tu as pas la plus grosse queue on s’en fou !
-Tfaçon chez lui c’est pas la queue qu’on matte, c’est son boule tout rond.
-Putain ouais c’est sur nous gâche pas le plaisir mec ! »
Mais je tiens bon, je les adore mais quand ils sont comme ça ils me gavent. Seul Fred ne participe pas aux moqueries. Il est pourtant à poil et merveilleusement bien foutu, mais ça n’a pas l’air de l’intéresser de se moquer de moi, je lui en suis reconnaissant. Quand ils ont tous commencé à se toucher et se faire du bien, ils m’ont enfin oublié. J’étais content et une fois rhabillé je remercie Fred. Difficile de ne pas se retourner sur lui. Fred a le physique d’un quaterback américain. Le genre de blanc grand, large d’épaule, et des muscles charnus et développés. Pas les muscles de salle de sport assez striés et secs. Non des bons gros muscles charnus. (je pense que je pourrai faire une thèse sur le sujet !).
« -De rien Axel. Tu fais ce que tu veux de ton corps tu sais. Moi je suis plutôt pour que tu évites de trop t’exhiber »
Il voit mon air interrogatif. Je suis vraiment aussi dégueulasse que ça ? Voyant que je ne comprend pas son sous-entendu, il rigole, me fait un mini clin d’oeil et part, me laissant comme un ado naïf à encore chercher ce qui ne va pas chez moi…
Je n’ai réellement compris de quoi il voulait parler qu’à l’entrainement suivant. Entrainement qui ne sait pas super bien passé. Les mecs ont voulu me faire payer le fait de ne pas avoir jouer le jeu du coup j’ai souvent finis coulé, ralenti etc… Et c’est toujours la même chose, c’est le moins bon de la séance qui se tape tout le matériel à ranger. Ligne d’eau, palmes, planches etc… Autant dire que ça m’arrive rarement normalement. Je m’y attelle seul, pas doué comme d’habitude je manque de tomber dans l’eau, mais vivement rattraper par Fred, je deviens rouge écarlate de honte :
« -Tu vas me prendre pour un débile sans équilibre…
-Pas du tout, on se connait depuis longtemps. T’es juste un très bon nageur qui du coup n’a jamais eu le plaisir d’enrouler les lignes d’eau. Un petit coup de main ?
-Merci… »
Non mais j’ai vraiment l’impression de me retrouver avec le jumeau de mon grand frère, aussi attentionné et protecteur, alors que la plupart du temps il m’ignore ou pire il me zappe quand je commence à lui parler… On a pas finit de tout rembobiner qu’au loin, on entend les râles de plaisir de l’équipe qui finissent de se faire du bien dans les douches.
« -Désolé jtempêche un peu d’aller te faire plaisir avec les autres.
-Ca fait parfois du bien de garder ce genre de chose pour soit. Ils sont cool et excitant mais quand on regarde bien ça me met mal à l’aise de voir des gens mal à l’aise, ça coupe tout…
-En gros t’essaye de me comprendre, que je suis à l’origine de ton impuissance ? »
Il doit vraiment me trouver degueulasse c’est fou ça… Ok je suis mince mais quand même y’a pire ! Il rigole encore.
« -Tu comprends vraiment rien, putain tu nages vites mais dans ta tête ça patauge ! »
Il me pousse dans l’eau et fait une bombe juste à côté de moi puis commence à se chamailler avec moi en plein milieu de la piscine complètement vide. Ils ont même commencé à éteindre les lumières. Je finis bloqué contre lui sur un rebord de piscine. Nos souffles sont courts, son torse se bombe à chaque profonde inspiration et ses pecs entre en contact avec moi. Je bégaye et lui indique qu’on devrait peut-être aller aux douches. La logique voudrait qu’il s’éloigne mais il choisit la douche juste à côté de la mienne et comme je me met toujours près d’un mur, il m’est difficile de me déplacer plus loin sans que Fred ne m’en veuille.
« -Ca me dérange pas que tu restes en slip, mais je peux l’enlever ? Pour le coup je fais des économies et je me lave qu’ici alors j’aimerai me laver correctement… Mais si ça te dérange trop t’inquiète je survivrais.
-Non non fait comme tu veux, je veux juste être sur que tu ne m’en veuilles pas…
-T’en vouloir de quoi Axel.
-Si j’ai les yeux qui se baladent…. »
Mais pourquoi je lui dis ça ! Mon cerveau ne fonctionne vraiment pas comme les autres ! mon frère m’explique que c’est une réaction naturelle et moi j’en parle comme si c’était anormale pour moi… Décidément ce soir je le fais beaucoup rire ou sourire :
« -Ne te prend pas la tête Axel, y’a pas de mal. Et de mon côté tu sais le sport c’est pas que pour les compétitions c’est pour le plaisir d’avoir un corps qui plait aux autres. C’est plutôt flatteur. »
Il est dans mon angle mort mais je vois bien qu’il se baisse pour retirer son slip. J’attend tout de même qu’il se savonne les cheveux et ferme les yeux, pour faire un quart de tour avec ma tête et le regarder. C’est la première fois qu’il se met aussi près de moi, et que je vois tout en détail. Que je peux compter son nombre d’abdo, de grain de beauté, de veines saillantes au niveau des bras. Et apprécier la taille de sa queue… Elle me fait rougir… C’est quelque chose qui me fascine quand une queue au repos parrait aussi lourde… c’est très prometteurs… Faut absolument que je me calme, il va bientôt avoir finit son shampoing !
“-Tu sais pourquoi hier les mecs ton charrié sur le fait que c'était pas ta queue qu'ils regardaient ?
-elle est pas super grande ?
-Non c’est parce qu’ils s’intéressent à ça…
-De quoi ça ? »
Il jette son regard sur mes fesses rebondies.
«- Je suis sur que tu ne te souviens même pas de ce que tu as fais la seule fois où tu as accepté de te mettre à poil.
-Allez va sy raconte. Pour qui est ce que je suis encore passé…
-Tu t’es mis dos, à tout les autres, et tu t’es lavé les cheveux avec ton gel douche. Je sais pas ce que tu utilises mais c’est bien crémeux et ça mousse pas beaucoup.
-Et ?
-Tu m’autorises à te faire une démonstration ?
-Si y’a rien de dangereux oui… »
Fred rigole encore une fois « tu as vraiment peur de tout ! Alors regarde cambre toi légèrement en bombant les fesses en arrière » Je sens ses mains se poser sur mes hanches pour m’aider à tenir la position. Puis je sens un liquide froid couler du haut de ma colonne vertébrale, descendant lentement. Il vide presque tout mon gel douche, je ne vois pas où il veut en venir. « t’inquiète pas, Axel, je te montre juste » Puis attrape l’élastique de mon maillot et descend lentement pour faire sortir mes beaux lobes. Je n’ose rien dire rien faire, et d’un coup je sens le gel douche couler lentement de ma colonne jusque dans ma raie toute douce, et disparaitre en son coeur. Il rajoute quelques trainées de gel douche sur mes fesses et me demande de regarder. Je me retourne, et d’un coup je comprend mieux ce qu’ils voulaient dire… Ca donne l’impression que je me suis fais éjaculer sur le dos et les fesses. Quand Fred voit à mon visage que je commence à comprendre, il se marre :

«-Comment peux tu imposer ça, à une bande de mecs en ruts, qui pour la plupart n’ont pas de petites copines, pour certains ne savent même pas ce qu’est une chatte, et pour d’autre découvre tout juste le plaisir de se branler à plusieurs… Si tu savais tout ce qu’ils ont raconté sur toi après… Tu les fais fantasmer grave Axel… »
Il me dit ça en me regardant dans les yeux et relâchant lentement son emprise sur mes hanches. Apparement le fantasme est contagieux car sans regarder, je devine que son sexe change d’aspect et commence à se tendre…
«-J’ai su leur faire comprendre qu’ils ne faillaient pas t’embêter avec ça. Mais c’est difficile. Ils se sont tous mis à comparer leurs fesses et pas un seul ne t’arrive à la cheville… Prend conscience de tes atouts sinon tu vas au devant de gros problème. On va pas gacher ça ? »
Il récupère du bout des doigts du gel douche sur mon dos, raclant jusqu’à la naissance de ma raie, puis l’étale sur ses beaux pecs, il recommence sans aller plus loin pour l’étaler sur ses abdo, il réitère une dernière fois l’opération, cherchant mon regard, en quête d’une quelconque réaction… Je suis tétanisé, je sens que je durcis alors que mon maillot se trouve à mes chevilles. à chaque passage de ses doigts je me cambre un peu plus. J’ai même failli finir par gémir. J’ai préféré mettre en marche la douche pour avaler de l’eau et assourdir les potentiels bruits qui auraient pu sortir de ma bouche.
«-Axel, sais tu ce qu’est l’innée ? -… »
Je sais très bien ce que c’est mais incapable de lui parler :
«- C’est quelque chose qui ne s’apprend pas, un automatisme, quelque chose de naturel pour quelqu’un, comme si on était né pour ça. Crois moi, il y a quelque chose d’innée en toi »
Je me demande si j’ai vraiment envie de le savoir….
«- Ton réflexe de te cambrer n’est pas donner à tout le monde. Apprend à modérer l’innée qui est en toi. Car un jour tu tombera peut être sur quelqu’un de moins compréhensif que moi.
-Tu me fais peur Fred, à dire des trucs comme ça. J’ai rien demandé.
-Je t’informe juste, je pense vraiment que tu es né pour ça, et ta naïveté est d’autant plus excitante, que tes réflexes vont peu à peu se pervertir. Tu n’y pourra rien, c’est l’innée qui est en toi. »
Je me retourne enfin, essayant de me noyer sous la douche. Je vois Fred fasse à moi, la queue complètement tendue, au maximum. Une queue qui me parait énorme pour son âge et ses mensurations… Je le trouve magnifique et sa manière virile de tenir sa queue à une main gonflant son biceps, et de l’autre soupeser ses énormes couilles me rendent complètement fou. Plus rien ne peut cacher mon érection :
«- Fred… je…j… qu’on soit clair… je…. »
Je n’arrive pas à sortir ma putain de phrase !!
«- Je n’attend rien de toi, Axel. Tu me plait ainsi. J’ai juste besoin de te demander ton autorisation ?
-Pour ?
-M’autorise tu à me branler face à toi, avec toi, grâce à toi. Parfois malheureusement je ne vaux pas bien que le reste de l’équipe. Je te promet de ne pas te toucher, juste t’admirer me fera un bien fou.
-J’accepte, si tu gardes en toi les pensées qui te traversent.
-Peur d’être choqué ? »
Bien sur que non ! peur que ça me plaise !
«- Oui peur d’être choqué…
-Premier plan branle entre pote ?
-Deuxième…
-Ah intéressant… Et c’était ?
-Des potes, tu connais pas »
Je le vois commencer lentement à décalotter sa queue. Il prend tellement son temps, que c’est un supplice de regarder. Voir son gland rose, dur et brillant sortir lentement. Régulièrement je le regarde dans les yeux et je vois à quel point ça à l’air de lui faire du bien… J’ai préféré lui mentir sur cette histoire de plan branle, j’ai beaucoup profité mais toujours seul, c’est la première fois que j’ai le plaisir de voir un mec se faire du bien avec sa main. J’ai encore énormément de mal à me comprendre. En quoi une colonne de chair aussi large, peut autant m’attirer. Jusqu’à maintenant je me suis jamais poser la question, mais aujourd’hui j’ai envie de parcourir des sites internet afin de découvrir toutes les spécificités donc les mecs peuvent être pourvu.
« -Alors ? »
Me dit il en claquant plusieurs fois son gland dans la paume de sa deuxième main.
« -Est ce que tu penses que plus une queue est imposante et plus le plaisir est démultiplié ?
-Personne ne sait, car chacun est unique et ne possède que sa queue. La seule chose à retenir pour que ça soit explosif, c’est l’alchimie entre les personnes… Plus tu es en phase avec l’autre plus le plaisir s’en ressentira. Donne moi ta main.
-C’est pas sérieux Fred…
-Chuuuut »
Il pose son doigt sur mes lèvres pour me faire taire. Il ne connait pas mon point faible il vient pourtant de l’activer. Son doigt sur ma bouche a passé quelques minutes à soupeser ses énormes boules. Certes il devrait sentir la javel et pourtant non. Un doux parfum de queue virile s’emparent de mes narines. Je lui tend ma main sans pouvoir me contrôler. Je le regarde impuissant quand il pose ma main à la base de sa queue. Il ne reste pas longtemps face à moi, il vient se mettre à ma droite pour que je sois plus à l’aise.
«- Referme tes doigts dessus Axel, sent sa puissance. Ressens tu plus de plaisir que tout à l’heure quand j’étais face à toi.
-Oui…
-Pourtant tu ne te touches pas ??
-Non tu as raison !
-C’est l’alchimie. Ta main sur ma queue me fait tellement de bien, qu’à toi aussi ça en procure. »
Il commence à râler comme un jeune mâle en rute. Le reste de la conversation s’effectue près de mon oreille :
«- Glisse ta main jusqu’au bout. Tu sens tout le chemin que tu dois parcourir pour atteindre mon gland. ça fait un petit moment que j’ai compris que j’avais la plus grosse queue du groupe. Je suis content de te le faire partager »
Son sexe m’hypnotise, je fais tout ce qu’il me demande, l’entendre gémir et voir qu’il apprécie me fait plaisir et du bien.
«- Maintenant referme ta main et lentement tire sur ma teub, tu sens comme elle reste dure. Mon gland commence à sortir. J’ai pas honte de le dire c’est un gland vierge de toute bouche ou de toute chatte. Mais quand il effleurera n’importe quelles lèvres je peux t’assurer qu’il ne pourra plus s’empêcher d’y retourner. »
Qu’est ce qu’il m’excite quand il me parle… Je me rend compte que je suis de plus en plus verbale. Mon excitation est importante, mais je m’aperçois que lorsqu’on exprime verbalement avec des termes érotiques, pornographiques ou sexuellement assez crus et vulgaires, mon excitation est à son paroxysme.
«- Imagine qu’à la place de ta main un jour, il y aurai la chair toute serrée et humide d’une chatte appartenant à une femme gueulant en se massant les seins. Tu te vois lui écarter les lèvres pour mieux la pénétrer »

Je pense qu’il a compris que j’aimais qu’il me parle car plus il rentrait dans des détails et plus je le branlais rapidement. Je suis aller si vite que je l’ai entendu crier, j’ai cru lui avoir fait mal, j’ai lâcher d’un coup sa queue, qui s’est mit à convulser et lâcher au sol d’énormes jets de sperme épais comme mon gel douche. Il se tenait au mur tellement les décharges étaient puissantes et l’épuisaient… Quand à moi j’ai ressenti ce qu’était l’alchimie… Je ne me suis pas branlé, je ne me suis pas touché et pourtant j’ai ressenti bien plus de plaisir que dans certaines de mes branles en solo…
Ayant un peu de mal à assumer, alors que Fred finit par s’assoir dans les douches pour se remettre de ses émotions. Je remonte mon maillot et part me changer. Il était incapable d’aligner trois mots. Il fait le fier avec sa grosse queue, mais il est encore immature pour savoir s’en servir et ne pas cracher rapidement.
Putain mon frère !!! il m’attend dans la voiture !! Fait chier il va me détester là ! En arrivant dans la voiture, l’esprit toujours embrumé, je me suis vraiment sentir pervers quand une fois assis à côté de lui, j’avais l’impression de sentir une bonne odeur de queue… Je suis incapable de me contrôler… Je reprend mes esprits, et m’excuse sur tout le trajet… Je pense qu’il a compris car le visage fermé et vénère la seule chose qu’il m’a demandé fut :
«- Je m’excuse Axel… C’est de ma faute… je me suis peut-être mal exprimé la dernière fois. Tu n’aurai pas du faire ça… Tu dois donner du sens à ce que tu fais, si tu souhaites qu’on te respecte pour qui tu es et non pour ce que tu peux être.
-Je t’assure que c’est pas ce que tu crois. J’ai beaucoup appris.
-Curieux de savoir comment ils t’ont manipuler pour arriver à leurs fins.
-D’abord c’est pas ils c’est un seul ! Et ce ne fut pas le cas. Grâce à lui, je sais ce qu’est l’innée et l’alchimie. Et je pense que c’est une force pour commencer dans la vie.
-Une seule personne ? fait en sorte que je ne découvre jamais son nom… »
Faut qu’il arrête de prendre ses poudres de protéine et ses vitamines spéciales musclors, ça le rend con et étroit… Toujours est il, qu’il ne m’a pas adressé la parole pendant plusieurs semaine…
En repensant à cette histoire j’ai l’impression qu’on inverse les rôles par rapport à ces vacances d’été… A l’époque c’était moi le pervers à être allé trop loin, et c’est lui qui m’en avait voulu en me faisant la gueule…

@@@ POURQUOI UNE TELLE RÉACTION DE LA PART DE ROMAIN :
Depuis les vacances d’été… c’est tellement difficile de le voir m’ignorer… Ça me rappelle les années où c’était mis à la natation… A l’époque j’avais eu la même réaction que lui… J’avais tenté de l’oublier. Je ne supportais plus de le voir tous les jours… Je ne tiens pas à contrôler sa vie, mais juste le voir régulièrement. Mais il découche chez des amis, ne mange pas en même temps que le reste de la famille car ses horaires de sports sont incompatibles avec les miens…
La natation… Pourquoi a t’il fallut qu’il choisisse le sport qui m’énerve au plus au point ? Les raisons ? Car c’est le seul sport où je ne vais pas pouvoir l’accompagner et partager des choses avec lui… (mon maillot de bain ne tiendra jamais une heure à ses côtés). Que naturellement il va découvrir le corps de ses amis se modifier, ça va surement lui plaire… Non faut qu’il arrête. Je compte bien lui en parler la prochaine fois que je le ramène de la natation. Mais impossible de lui en parler… Il m’a tellement énervé avec cette histoire de douche à poil. Putain mais si je chope le connard qui a eu l’idée il finit 20 000 lieux sous les mers. Il résistera jamais…. J’en suis sur…
Jamais je n’aurai du l’initier à la natation… C’était le seul moyen de m’approcher de lui de manière la plus légère possible… Impossible de lui avouer ce qui se passaient dans nos douches communes… Je ne ferais que le pousser dans la mauvaise direction… A mon époque, j’étais devenu un mythe. Je me souviendrais toujours de notre première fois à poil. Pour pimenter les choses, il y avait un gage pour la plus petite queue et une récompense pour la plus grosse… Toute l’équipe de natation était rassemblée en cercle autour de moi debout regardant ma bonne grosse teub déjà bien développée, et Jean à genoux devant moi les deux mains sur ma queue entrain de me branler. Il n’a eu le droit d’arrêter de me branler que lorsque tout le monde a joui sur lui… Il fut incapable de me faire jouir, j’ai ramassé du sperme que j’ai trouvé dans son cou, je m’en suis servi comme lubrifiant et je me suis branlé faisant monter la pression. A l’époque j’étais soft et je découvrais les plaisirs de la queue, j’ai visé son torse et le sol. Aujourd’hui je choisirai bien d’autres cibles….
Malheureusement, après avoir poireauté 30 minutes dans la voiture, j’ai compris que le pire était entrain de se produire. Je n’arrive plus à me voiler la face, ce que je ressens ? ce n’est pas du dégout, c’est de la jalousie pure. Quelqu’un est entrain de toucher mon frère, ou le draguer ou même pire… Mon frère se laisse surement faire, il profite du moment… Qui sait ? Il apprend peut-être ce que c’est d’appartenir à quelqu’un ? Ca me rend malade d’imaginer ce qu’il y a la bas. Si j’y vais je pense que je démolis le mec, et mon frère m’en voudra à mort et ne me pardonnera jamais…
Mon iPhone, j’ouvre un tchat avec de bonnes pucelles qui se caressent les lèvres de leurs petites chattes en direct. Et je commence à me branler pour ne plus penser à lui. Le moment que je préfère ? Quand je retourne la caméra pour leur montrer l’épaisseur de ma teub. Rien de plus agréable d’entendre une fille jouir rien qu’en la regardant. Rien de plus excitant qu’une fille qui vous envoie son adresse. Rien de mieux pour mon ego déjà surdimenssionné qu’une fille qui coupe directement la caméra de peur que je débarque chez elle et que je la défonce avec ma teub. Impossible de jouir maintenant, je vois sa petite tête arriver. Je range vite fait le matos encore dur. Je sers au max ma ceinture. Me faire mal à la queue, surement le seul moyen de ne penser à rien. Une castration provisoire nécessaire pour me calmer, car son visage d’ange entrant dans la voiture apparait rempli de toute sa culpabilité… Je lui en veux sans lui en vouloir. Il est grand majeur et vacciné. Il fait ce qu’il veut. Il aura les expériences qu’il souhaite.
Ah frangin… si j’avais fais autrement… tu serai à moi à l’heure qu’il est.@@@