Incident de marche, en montagne. - histoire érotique

Dans la série "confidences", ma femme m'a confié ceci, il y a quelques années.

C'était l'époque de ses cours, pour changer de métier.
Ce qui n'a rien à voir, avec ce qui va se passer.

Mais elle s'est liée d'amitié avec une fille.
De fil en aiguille, elles deviennent proches, au point que sa copine l'invite pour un Week-end de randonnée, avec des potes et d'autres participants.

"Allez ! Viens ! Tu verras ! C'est un endroit magnifique ! Fais venir ton mec !".
"Non ! C'est pas son truc ! Il viendra pas ! Mais si, il est d'accord, je viens !".

Elle part donc pour deux jours, dans les Alpes de Haute Provence.
Un arrêt est prévu, dans un refuge de haute montagne, pour la nuit.

Sur place, elle comprend que son amie ne connait que le tiers des participants.
La première après-midi se passe sans encombre, et tout le monde est content de se poser au refuge.

Chacun dort comme il peut, sauf l'un d'eux, qui n'a pas fermé l'œil !

Ils reprennent leur randonnée, le chemin est caillouteux.
Et l'accident survient, après seulement 20 mn de marche.
Corinne à la cheville qui vrille sur une pierre !

Tout le monde lui conseille d'arrêter de marcher.
Celui qui n'a pas dormi, se dévoue.

"Bon, ça m'arrange ! Je vais l'aider à rentrer ! J'avoue que je vais en profiter, pour dormir un peu ! Quelqu'un a de la crème anti douleurs ?".
Corinne l'aide à déchausser son pied, et se laisse enduire de crème.
Les autres reprennent leur route, pour 6 bonnes heures, aller retour.
Elle a avalé un comprimé d'ibuprofène avec de l'eau, avant leur départ.

"Quand tu te sens, tu t'accroches à mon dos, ou mon bras comme tu préfères !".
"Merci, monsieur !".

L'homme a bien 25 ans de plus qu'elle, et pas vraiment beau ! Il faut le reconnaitre.
Ca ne l'encourage pas au tutoiement, mais son attention le rend sympathique.

Le retour est plus long que l'aller, forcément.
Il l'aide à s'allonger sur un des trois matelas, posés au sol, qu'il rapproche.
Et se pose à coté d'elle, tout habillé.

Elle se plie en chien de fusil, au bout de quelques minutes.

"J'ai trop froid !".
"Ouais, c'est vrai, je vais chercher des couvertures !".

Il les couvrent, et se colle dans son dos.

"Je peux ? Ca te dérange pas ?".
"Orhhh ! Non, ça me réchauffe ! Merci !".

En peu de temps, elle l'entend ronfler.
La douleur s'estompe enfin.

Elle se tourne sur le dos, et sans le faire exprès, elle touche sa verge, au travers de son pantalon.
Le quinquagénaire bande comme un taureau ! Signe qu'il dort profondément !

Elle ne réagit pas à cela, mais ça germe dans son esprit.
Comme un virus qui se propage.

Elle tente de résister, mais c'est plus fort qu'elle, elle ose lui retoucher la verge, très doucement.
Elle pense: (Putain ! Elle m'excite ! Elle est trop dure ! Elle a l'air d'être bien large, en plus !).

Pour l'instant, l'homme n'a pas de réaction, surtout, depuis qu'il s'est mis sur le dos, lui aussi.
Sa queue est encore plus proéminente.

Ma belle se décide, en pensant qu'elle n'a rien à perdre.
S'il se réveille, il sera surement heureux de la suite !
Un homme ne refuse jamais, ce qu'elle désire lui faire.

Elle fait glisser doucement sa fermeture éclair.
Le gros gland se libère de lui même, en dépassant avec sa bite, presque entièrement de l'ouverture de son caleçon.

Elle glisse sous la couverture, puis le recouvre doucement de sa bouche humide et chaude.
L'homme arrête de ronfler et gémit un peu, puis ronfle à nouveau.

Ma belle commence de longs va et vient.
La verge est souvent prise de spasmes, qui la font se gonfler davantage.
Les ronflements s'arrêtent.

"Orghhhhh ! Qu'est-ce que... Orhhh ! oui, c'est bon ! Continues !".

Corinne se sent libérée, elle peut enfin la saisir à pleine main, pour la sucer plus avidement.

"Orhhh ! Tu me fais du bien ! Si je m'attendais à ça ! Tu me suces comme une reine !".
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Vous aimez ? Mmmmm ! Slllrrrp ! Vous m'en voulez pas de vous avoir réveillé ? Mmmmm !...".

"Orhhhh... non ! C'est trop bon ! Je dormirai après ! Tu veux pas me tutoyer ?".

Il entre dans ce jeu buccal, en posant ses mains sur sa tête.
Il s'enfonce dans sa gorge, avec puissance parfois, en la gardant appuyée sur son gros gland.

Elle respire avec force ensuite, puis reprend sa pipe goulue.

"Putain ! T'as pas de capote ? J'ai envie de te baiser !".
"Non, je pensais pas à ça, en venant ! Sllllrp ! Et vous ?".

Il n'insiste pas avec le tutoiement, tant pis !

"Moi non plus ! Je suis marié, t'as bien vu que j'étais avec ma femme ! Arhhhh !".
"Oui ! Mais, c'est pas mon problème ! Mmmmm ! C'est pas grave pour la capote, ça me plait de vous sucer ! Laissez moi faire ! Mmmmm !...".

"Orhhh ! Je peux me laisser aller jusqu'au bout ? J'dis ça, parce que ma femme n'aimes pas ! Putain, tu suces trop bien !".
"Hummmmm ! Moi j'adore ! Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! Slllrpp ! Lâchez vous, monsieur ! Mmmmmm !...".

"Orgghhhh ! Alors prépares toi, ça monte ! Arhh ! Oui, encore !".

Il a dégagé les couvertures depuis un moment, les deux ont assez chaud à présent.
Il admire ma belle, sur sa bite, plusieurs minutes durant, en sentant monter son plaisir.

Puis, il plante ses doigts dans le matelas, en soulevant son bassin.
Ma femme, reçoit sa première giclée gluante et chaude, en gémissant de bonheur.

Il l'entend déglutir, ça augmente son plaisir éjaculatoire.

"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! J'adore ta bouche ! Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiii ! Avaaaaaaaaaaales !".

Corinne est au bord du vomissement, tant l'afflux est important.
Du sperme s'échappe du bord de ses lèvres, elle s'en veut !

Elle reprend ses avalements, tout en lui pompant la bite.
Les jets se calment et baissent en quantité.

L'homme est détendu, les bras ballants sur ses flancs.

"Orhhhhh ! Putain ! C'était trop bon ! En plus, j'avais pas baisé depuis un moment ! Tu peux pas savoir, comme ça fait du bien !".
"Mmmm ! Sllllrp ! Mmmmmm ! J'ai vu ! Il y en avait vraiment beaucoup ! Il est fort ! En plus ! C'est excitant !".

Il l'admire encore, et constate qu'elle lui lèche le ventre, afin de récupérer ce qu'elle a laissé échapper.

"Hummmm ! Merci ! Ma chérie ! Je me sens mal du coup ! T'as pas joui ! Toi !".
"C'est rien ! Vous m'avez aidé, dans un autre genre, je peux vous faire plaisir, moi aussi ! Je peux encore vous lécher ? Ca me détend !".
"Vas y chérie ! Je demande pas mieux ! On a tout notre temps !".

Elle se résout à stopper son jeu buccal, l'homme s'est à nouveau endormi !
Elle se colle à lui, en remontant les couvertures, pour en faire de même.

Ils s'éveillent ensemble, elle se laisse dorloter.
Il prend soin d'elle, en lui remettant de la crème anti douleurs.

Puis, voyant qu'ils ont encore presque deux heures à tuer.
Il remonte vers sa bouche, en lui caressant la vulve, puis les seins.

"A mon tour, de te donner du plaisir ! Laisses-moi faire !".

Il lui dénude les jambes, sous la couverture, et se glisse entre ses cuisses.
Elle va jouir enfin ! En le pressant contre sa chatte, avec fébrilité.

"Putain ! C'est trop dur ! Putain de sida ! J'ai trop envie de toi ! Tu me rajeunis, ma chérie !".

Elle se tourne pour lui déballer sa verge épaisse, et le suce de nouveau.
Il la pivote au dessus de lui, en 69.

"Orhhhh ! T'es trop belle ! Je réalise pas ce qu'on fait ! J'ai beaucoup de chance ! Orghhhh ! Putain, cette bouche !".

Il en redevient goulu, en lui dévorant la chatte.
Elle se sépare de sa bite, pour râler son nouvel orgasme, puis replonge dessus, davantage excitée.

"Arghhhhh ! Chérie ! Tu vas encore me faire jouiiiiirrrrrr !".

Elle redouble de vigueur.

"Argggggggggghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Orhhhhh ! Avales moi encorrrrrrrrrrrre !...".

Corinne est presque frustrée, qu'il n'éjacule pas aussi abondamment que la première fois.
Mais la force de ses râles, la comblent tout autant.

Il a cessé de lui lécher la vulve, s'abandonnant une dernière fois, à sa langue, et sa gorge humide.

"Orhhhhh ! Putain ! J'oublierai jamais cette journée ! Tu vas hanter mes nuits, ma belle !".
"Mmmmmm ! Slllrp ! Mmmm ! Tant mieux ! Moi aussi, je me suis régalée ! ...Mmmmm !...".

Au retour du reste de l'équipe, ma femme est assise sur un lit, tout a été rangé.
Son pied n'a pas gonflé, grâce à la crème, et l'ibuprofène, elle n'a pas beaucoup mal.
On va l'aider jusqu'aux véhicules.
Puis, son amie la ramènera à la maison.

Heureusement, qu'elles ont pris la route ensemble, avec deux copains, dont l'amant de son amie.

Elle repense au regard complice de son amant d'un jour. en serrant sa femme, contre lui.
Si elle avait su !

Je lui rétorque après son récit, et sa réflexion:

"Il était pas très beau, mais j'en avais trop envie ! Lui, il était trop content, par contre !".
"Tu m'étonnes, cochonne ! Et, c'était pas trop dur, de pas te faire baiser ?".

"Si, un peu, mais j'ai adoré quand même ! Surtout la première fois ! Il a beaucoup joui dans ma bouche ! Hummmmm ! De toute façon, je suis pas certaine qu'il aurait tenu longtemps !".
"Tu te rends comptes, qu'il doit encore penser à toi ! Sans que sa femme s'en aperçoive !".

"Oui, mais c'est pas mon problème ! Les filles se posaient pas de questions, quand elles baisaient avec toi ! Même celles qui disaient que j'étais leur amie !".
"C'est loin tout ça !".