Inexpérimenté mais viril
Récit érotique écrit par Cathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Inexpérimenté mais viril
Ce récit est une fiction contrairement à mes autres récits. Je l'ai écrit pour remercier de sa gentillesse un de mes admirateurs de HDS. Madek ce récit est pour toi.
Madek, le fils de mon amie est chez moi je ne sais pour quelle raison. Il a fallu que ce matin-là j'aille assez tôt, chercher quelque chose dans la chambre de notre fils absent, et qu'en passant devant celle de Madek, j'entende quelque chose pour que se déclenche ce qui va suivre. Je m'arrêtai et cela recommença. C'était comme des halètements. Je me penchai pour regarder par le trou de la serrure. Il était assis sur son lit, draps et couvertures rejetés, en train de lire. Mais si une main tenait le livre, l'autre était occupée à branler son sexe. Un membre comme jamais je n'en avais vu, même dans les films pornos que Jean et moi regardions. Un sexe énorme, long, épais ; et ce gland qui m'apparaissait à chaque coup de poignet. Je restai rivé à mon observatoire. Instinctivement, j'ai serré mes cuisses car je me sentais mouiller. Quand je vis jaillir ses jets qui s'étalèrent sur son ventre et sa poitrine, je me sentis toute chose. Je descendis sur la pointe des pieds.
Le lendemain matin, je préparais le petit déjeuner de Madek, mais avant de monter, j'enlevai ma robe de chambre habituelle, et je passai un peignoir léger, assez court et surtout très décolleté. Je fis en sorte que l'échancrure laisse apercevoir mes seins volumineux, lourds mais encore fermes. Je décidai d'entrer sans frapper, je feignais la surprise sans pour autant rebrousser chemin. J'approchai en souriant. Il était pétrifié. Il lui fallut quelques secondes pour tenter maladroitement de cacher son sexe avec la revue qu'il tenait en main. Je lui ai dit d'un air câlin :
- Il ne faut pas avoir honte. A ton âge, c'est normal.
En même temps, je m'asseyais sur le bord de son lit. Je me penchai alors pour déposer le plateau sur le chevet, faisant en sorte que mes seins ne puissent échapper à son regard. Je lui tendis sa tasse en disant :
- Bois pendant qu'il est chaud.
Je profitais qu'il ait les mains occupées pour retirer la revue et faire semblant de m'y intéresser. Mais ma préoccupation c'était son sexe. Il avait perdu de sa rigidité. Il reposait sur son ventre, mais sa taille était encore impressionnante. L'extrémité dépassait son nombril. Je posai la main dessus tout en faisant semblant de lire, mais en appuyant mon index à l'endroit du prépuce. Je dis :
- Il ne faut pas avoir honte. Il est beau.
Déjà je le sentais se raidir. En le regardant dans les yeux, je lui demandai :
- Tu aimes être caressé?
Et en même temps mes doigts avaient serré sa hampe. Doucement, j'étais en train de décalotter. Je pouvais sentir chaque pulsation qui faisait durcir et gonfler son membre. De ma main libre, je lui pris la tasse des mains et la reposais dans le plateau. Puis, prenant sa main, j'attirai celle-ci sur mes seins et je lui dis tendrement :
- Caresse-moi aussi.
Je tirais alors sur le bout de ma ceinture, mon peignoir s'ouvrit et il put voir que j'étais nue. Sa bite était dressée, raide, grosse. Ah quel gland ! Rose, violacé, prêt à exploser. Quelle différence avec celui de Jean. J'étais bien loin de pouvoir entourer sa tige, mais je serrais et je me mis à amorcer les va-et-vient. En me penchant, je plaquais mes lèvres sur les siennes. Je m'aperçus tout de suite qu'il n'était pas expert. Sa façon maladroite de peloter mes seins, et le baiser qu'il me rendait: il était presque novice. Je me mis debout près du lit et je guidai sa main entre mes cuisses. J'étais ruisselante de mouille. Je me penchai sur sa bite, et je commençai à parcourir plusieurs fois sa hampe sur toute sa longueur avant d'engloutir son gland. Déjà une perle translucide pointait de son méat. Là encore il n'était pas question de faire comme avec mon mari, de resserrer mes lèvres à la base de sa tige en ayant complètement son sexe dans la bouche. J'essayai d'en prendre le plus possible, mais à peine en avais-je absorbé la moitié que la grosseur me distendait les lèvres, je le sentis encore grossir ; le désir de le sentir me remplir la chatte fut le plus fort. J'en avais trop envie, je ne pouvais plus attendre. Je me redressais, mes genoux à l'extérieur des siens. Je passai une main entre mes cuisses, et je guidai moi-même son gland à l'entrée de ma chatte, et lentement je me laissai descendre. Ah quelle sensation ! Jamais je n'avais rien ressenti de semblable et cela ne faisait que s'amplifier au fur et à mesure que la pénétration devenait plus profonde. Je pensais que cela n'en finirait jamais, mais il y eut ce contact au fond de mon vagin., la pression s'intensifia jusqu'au moment où mes fesses vinrent s'appuyer sur ses cuisses et ses testicules. J'avais l'impression que le plaisir se répandait dans tout mon corps, comme une boule brûlante prenant naissance dans mon bas-ventre et se propageant jusqu'au bout de mes seins et même dans mes cheveux. Il avait pris mes seins à pleines mains et les pressait. D'un mouvement brusque, il se retira de moi avant que je puisse réagir. J'ai vu jaillir ses éjaculations qui sont retombées sur son torse et sur son ventre. Je luis pris les lèvres et, passant ma main entre nos corps, j'étalais sa jouissance sur mes seins, mon ventre, mon pubis ; je restai un moment allongée sur lui, nos corps collés l'un à l'autre par son foutre. Je lui dis à l'oreille :
- Jure-moi que ce sera notre secret. Jure-moi que tu n'en parleras pas.
Il me jura en me serrant fort contre lui. Déjà je pouvais sentir sa bite s'appuyer au creux de mon ventre, il commençait à rebander. En me levant, je le pris par la main comme si j'avais peur de le perdre, mais je désirais tellement jouir de ce membre qui me fascinait, surtout après l'avant goût que je venais de connaître, je voulais le sentir bouger en moi longuement, mais aussi pouvoir sentir ses jets puissants et abondants se répandre en moi. On fit un rapide passage à la salle de bains, car l'on collait littéralement, mais très vite je l'attirai dans ma chambre. Me laissant tomber en arrière sur le lit, je lui tendis les bras, toute ouverte, jambes écartées, relevant mes genoux. Ah ! Voir son membre si imposant s'approcher de ma fente, s'appuyer, puis le sentir se frayer son passage, en repoussant les parois de ma vulve. Mais il poussa d'un seul coup, et vint cogner au fond de moi. Je poussais un cri. Il me donna des poussées puissantes. Les orgasmes se succédaient en s'intensifiant. Ses giclées se mirent à jaillir dans mon vagin. Ma jouissance fut si forte que je perdis presque connaissance. J'eus pendant quelques instants un voile devant les yeux. Quand je revins à la réalité, il s'était retiré de moi et sa verge était appuyée contre mon pubis et mon ventre ; je le caressais doucement. Il se pencha vers moi et m'embrassa. J'enroulais ma langue autour de la sienne en le serrant très fort entre mes bras, je lui ai fait renouveler son serment :
- Tu vas voir, je vais t'apprendre à faire l'amour, tu sauras donner du plaisir à une femme.
Mais il fallait que j'aille faire un brin de toilette car je sentais couler le sperme le long de mes cuisses. En revenant, je le trouvai allongé sur le lit, je rampais sur lui et je me plaçais en position de soixante-neuf. Ma bouche s'empara de sa bite au repos. J'en profitais pour en prendre le maximum ; j'avais placé ma chatte sur son visage. Il ne savait pas trouver les points sensibles, mais j'étais heureuse. Je sentais sa bite se redressait sous mes coups de langue, je me promettais de lui apprendre à me lécher. Encore une fois je ne pouvais attendre plus longtemps, j'avais tellement envie qu'il me prenne en levrette. Ça toujours été ma position préférée. Je me mis en position à même la moquette. Il s'est agenouillé entre mes jambes. Cette fois je le sentis glisser très lentement jusqu'aux tréfonds de mon vagin. Ah, c'était divin cette sensation de pénétration totale. Ses mains étreignaient mes hanches avec force, tirant ma croupe vers lui en même temps qu'il s'enfonçait d'un coup de rein puissant. A chaque pénétration, j'étais traversée par des ondes de jouissance. Lorsque son gland venait presser mon utérus, je croyais défaillir. J'avais des orgasmes puissants, mais il faisait des progrès, il savait alterner les va-et-vient, sachant ralentir quand mes feulements se faisaient trop aigus. En poussant un grognement, il se mit à me remplir de ses éjaculations brûlantes. Il s'affaissa sur mon dos et l'on resta ainsi un moment avant que sa bite ne glisse d'elle-même hors de ma chatte. Nous étions tous deux anéantis par le plaisir et la jouissance. C'est à ce moment-là qu'il me parla de lui. J'appris ainsi que ses études l'occupaient énormément et qu'il ne sortait pas beaucoup. Il n'avait pas eu beaucoup de contacts avec les filles. Il m'avoua avoir plusieurs fois été avec des prostituées, mais il me disait :
- Ce n'est pas pareil, elles te font décharger en vitesse et puis c'est tout ; et en plus avec le préservatif c'est pas facile. Avec toi c'est bon, tu es bonne. J'aime quand tu le prends dans ta bouche.
Tout en parlant, je l'avais amené dans la salle de bains, je me tenais sur le bidet, me lavant l'entrecuisse qui en avait sacrement besoin. Lorsque je relevais la tête, il était devant moi, tenant son sexe à nouveau en érection près de mes lèvres. Il me dit en passant une main dans mes cheveux :
- Suce moi encore, j'en ai envie.
Je me mis à le pomper, assise sur le rebord du bidet. Je serrais le bas de sa tige d'une main, et de l'autre je lui caressais ses testicules. Il avançait toujours plus son bassin pour que je le prenne plus profondément, mais déjà son gland était au fond de ma gorge. Il me tenait la tête à deux mains. C'est alors que j'ai eu le désir de le faire jouir dans ma bouche, de lui montrer que j'aimais vraiment sa grosse queue qui savait si bien me faire jouir. A l'intensité des pulsions qui agitaient sa bite, et à sa respiration saccadée, je sus qu'il allait très vite éjaculer. J'accentuais mes succions, en creusant les joues, j'avalais son sperme. J'étreignis ses fesses d'une main, tandis que l'autre se mettait à le branler de plus en plus vite, tout en gardant son gland entre les lèvres. Il se mit à déverser ses flots de jouissance dans ma gorge. Pour la première fois de ma vie, j'avalais du sperme épais et chaud, mais je n'allais pas assez vite. Il m'en coulait sur le menton. Je manquai de m'étrangler tant il jaillissait en abondance. Je parvins toutefois à le boire presque totalement. Je ne lâchais son sexe qu'après l'avoir léché longuement. Il me releva et nos lèvres se soudèrent pour un long baiser où il put retrouver le goût de sa jouissance sur ma langue. Je m’aperçus qu'il était presque midi. Je lui dis :
- Maintenant, il faut redevenir sages
Il m'aida à rattraper le temps perdu à préparer le repas, faire les lits, etc. Il essaya de me culbuter dessus, mais j'arrivai à le raisonner en lui disant :
- Sois gentil, je te promets, on le refera demain. Je serai toute à toi, je viendrai te chercher quand mon mari sera parti. Mais surtout ce soir, sois naturel, comme si rien n'était.
L'après-midi, j'avais rendez-vous chez le coiffeur. Il partit se promener en ville. Jean était à la maison quand Madek revint. Tout se passa bien. Pourtant il m'était impossible de le regarder comme avant. Alors que nous étions à table, par moments j'aurais voulu pouvoir dire à mon mari :
- Chéri, j'ai connu des moments merveilleux, je t'aime mais j'ai envie que Madek me fasse l'amour, qu'il puisse me voir et m'entendre gémir et jouir en ayant Jean près de moi.
Enfin on alla se coucher. Jean me dit alors :
- Tu sais, il devrait y avoir sous peu une réunion au siège à Paris. Je saurai certainement demain la date exacte, mais d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne tardera pas.
Mon esprit était ailleurs. Quand Jean commença à se blottir contre moi, je lui dis :
- Pas ce soir, j'ai mal à la tête.
Il n'insista pas et je me trouvai dispensée ce soir-là du devoir conjugal. J'avais eu mon compte dans la matinée, et je savais que demain matin je serais encore gâtée. Le lendemain, à peine Jean était-il dans la rue que Madek entrait dans la chambre. Son sexe pointait contre son ventre au travers de son pyjama et le désir m'emporta à nouveau. Je me laissai glisser à ses pieds, faisant glisser son pantalon. L'objet de mes désirs m'apparut tel que je l'aimais, en pleine érection. Je le pressais contre mon visage, en tirant sa gaine très fort vers la base, décalottant son gland. Je commençais ma fellation, mais je m'arrêtai à temps. Je m’assis sur le rebord du fauteuil, mes jambes écartées toutes grades et j'ouvrais ma chatte à deux mains du bout des doigts. Je lui indiquai mon bouton en lui disant :
- Fais tourner ta langue autour.
Il trouva tout de suite. Quand il releva son visage vers moi, il était luisant de mouille. Je relevais mes genoux en appuyant mes talons sur le bord du sommier, bras tendus vers lui. Il passa ses bras sous mes cuisses, me relevant les jambes à la verticale. Il me fit l'amour plusieurs fois. Peu avant midi, j'étais en train de m'habiller lorsque le téléphone sonna. C'était Jean, qui m'expliqua qu'il partait avec ses collèges de bureau dans l'après-midi pour l'aéroport. Quand je dis cela à Madek, il me dit tout de suite :
- Alors, on va pouvoir passer la nuit ensemble ?
Comme il était heureux. Quand Jean fut parti, Madek me demanda de regarder une vidéo porno. A l'écran, les scènes d'accouplements se succédaient. Il prit ma main et la posa sur la bosse qu'il avait entre les jambes. Je le palpais au travers du tissu. Il était en pleine érection. Il engagea une main sous ma robe. J'essayais de le retenir, mais sa main avait déjà atteint ma chair dénudée au-dessus de l'ourlet de mes bas. Il appuyait ses doigts à l'entrée de ma chatte, mais ma culotte le gênait. Alors, j'ouvris sa braguette, car j'avais envie de sentir se bite dure et vivante, chaude, de la serrer entre mes doigts. A ce moment, on voyait la femme à l'écran, resserrer ses seins sur la bite de son partenaire et celui-ci de la faire coulisser. Madek me dit :
- J'aimerais faire comme ça, moi aussi.
Je lui promis en ajoutant :
- Tu es long, j'arriverai à lécher ton gland en même temps.
Il était toujours gêné pour me caresser, il dit :
- Retire ta culotte.
J'étais trop excitée pour refuser, je fis glisser celle-ci, il se baissa pour le ramasser et me dit :
- Je le garde, ce sera un souvenir de toi.
Il m'embrassa et nos caresses reprirent. Je coulais littéralement. C'est à ce moment-là que l'on assista à une scène de sodomie, où la femme, après avoir semblé redouter cette pénétration se mit à jouir follement. Tout doucement, Madek me dit :
- On le fera aussi, j'ai envie de faire jouir comme elle, regarde comme elle aime ça.
Je lui répondis :
- Non, Madek, je n'aime pas ça, même avec mon mari je ne la fais pas. Et puis, tu es trop gros, tu me ferais mal.
Mais il insistait toujours. Je finis par lui dire :
- On verra.
Persuadée qu'au dernier moment j'arriverais à éviter cela. Je ne lui avais pas menti. Une seule fois, Jean avait voulu me prendre par-derrière. Cela ne m'avait procuré aucun plaisir, et je n'avais plus voulu renouveler l'expérience. Avant la fin du film, Madek était parvenu à me faire pencher sur sa bite, et je l'avais sucée un peu. On décida d'aller dans sa chambre pour plus de confort, j'allais me dévêtir et passer une nuisette transparente que Jean m'avait offerte. En revenant dans sa chambre, il m'attendait, nu, la bite dressée. Il m'attira contre lui en relevant mon fin vêtement. Ah, que c'était excitant de sentir sa queue s'incruster au creux de mon ventre. Après m'avoir embrassée, il me dit :
- Viens, assieds-toi dans le fauteuil. Je veux te faire jouir.
Dès que je fus installée, il s'agenouilla entre mes jambes et il remonta mes jambes qu'il appuya sur les accoudoirs, comme il avait vu dans le film, et il se mit à me manger. A un moment, il prit mes mains en les posant sur ma fente, il me dit :
- Ouvre-toi, j'ai envie de te faire jouir dans ma bouche, comme tu as fait avec moi.
J'écartais mes grosses lèvres. Il aspirait mon clitoris qui, sous la succion, s'allongeait comme une petite bite. Puis, sa langue rentra profondément dans mon vagin. J'avais poussé mes fesses en avant vers sa bouche et celle-ci était tout à fait sur le bord. Je sentais ma mouille couler dans ma raie culière. C'est alors que je perçus ses doigts caressant mon œillet. Peu à peu, la pression s'affirma et le bout d'un doigt me pénétra l'anus. Petit à petit, j'eus un doigt tout entier dans mes fesses. Je me sentais écartée, mon sphincter se prêtait à son jeu. Quand il enleva ses doigts, sa bouche les remplaça. Il se mit à titiller ma rosette, me faisant une inoubliable feuille de rose. Déjà je savais que je subirais la pénétration de sa grosse bite dans mon cul. Mais j'étais prête à avoir mal, à présent je le désirais, j'étais heureuse : j'allais être la première qu'il allait sodomiser, et moi j'allais lui offrir le pucelage de mon anus. Je me mis en position de levrette. Ce ne fut pas si facile. Plusieurs fois son gland glissa vers le bas, se retrouvait dans ma chatte ou vers le haut. Plusieurs fois je dus me retourner et le sucer pour lui redonner la rigidité indispensable. Je pris alors les oreillers, les glissais sous mon ventre et, prenant appui avec mon front sur la moquette, je m'écartais moi-même les fesses. Je poussai un cri quand son gland s'engouffra. Je crus être déchirée. Mais ça allait mieux, cela s'estompait, mon anus s'habituait à la dilatation. Pourtant, je dus me mordre les lèvres alors que, lentement, son énorme queue s'enfonçait dans mes reins. Je ressentais comme une brûlure dans mon conduit anal, les larmes embuaient mes yeux. Heureusement, il resta ainsi immobile et peu à peu, la douleur diminua pour faire place à une étrange sensation. Il était penché sur mon dos, il m'embrassait les cheveux, le cou, les épaules et ses mains empoissonnaient mes seins gonflés aux bouts durcis et douloureux. J'avais du mal à réaliser que j'avais son énorme membre totalement enfoncé dans mon cul. Il porta une main sur mon pubis, puis à l'entrée de ma vulve, et deux doigts se mirent à tourner sur mon bouton d'amour. Ce fut le déclic, mon corps entier fut envahi par une onde de bien-être. Je fus submergée comme par une vague qui balaye tout sur son passage. Jamais je n'avais ressenti pareille chose. Je me mis à bouger la première, je ne pouvais me contenir. Nos corps se heurtaient avec des claquements secs, son bas ventre venait frapper mes fesses avec vigueur. Je ne me souviens pas du reste, car à ce moment, je perdis conscience quelques secondes. Quelle nuit d'amour nous avons passé. Plusieurs fois je m'endormis en ayant toujours son sexe en moi. Nous restions emboîtés l'un dans l'autre, nos jambes entrelacées. Le matin, j'allai tout de suite faire ma toilette. Mes cuisses et mes fesses étaient recouvertes de foutre séché. Je dus d'ailleurs laver les draps tout tachés d'auréoles révélatrices, mais avant je lui avais apporté le petit déjeuner que l'on prit en amoureux. Avant que je ne m'habille, il avait voulu me faire l'amour entre mes seins. En poussant, il parvenait à me faire prendre son gland en bouche. Je le fis éjaculer dans cette position. Quand il juta, je reçus son sperme sur le visage, mais aussi dans la bouche. J'attirai sa bite et m'en frottais le visage, étalant son foutre. Puis il alla dans sa chambre. Je m'étais mise à faire la vaisselle. Je perçus sa présence derrière moi. Il vint se plaquer contre moi. J'étais toujours en peignoir. Tout en me disant :
- Ne bouge pas,
Il passa ses mains en relevant mon vêtement sur le haut de mon dos. J'avais les mains dans mes gants en caoutchouc, tenant une tasse. Il caressait mes seins d'une main, et de l'autre il se mit à caresser mon ventre, mon pubis. Enfin ses doigts ouvrirent ma fente. J'écartais mes jambes en grand et je poussai ma croupe en arrière. Il s'assit par terre entre mes jambes, et ses lèvres se mirent à parcourir mes fesses, mon entrecuisse. Il me faisait minette. Comme il excitait bien mon clitoris. Il se releva, refit quelques allers et retours avec son gland sur ma fente, et d'un seul coup, il me pénétra à fond. Je m'agrippais aux robinets, alors qu'il faisait coulisser sa bite dans mon vagin. Son gland prit appui sur mon petit trou. Mon sphincter céda à son pieu d'amour. J'avais replié mes bras sur le bord de l'évier, et la tête posée sur mes avant-bras, ses mains étreignirent mes hanches très fortement. Je n'en pouvais plus. On aurait dit que la jouissance allait me sortir par la bouche, tellement j'avais des orgasmes intenses. J'avais la bouche grande ouverte, mais aucun son ne sortait. Il se vida dans mes entrailles en criant. Il se retira vite et me dit :
- Suce-moi.
Que m'importe qu'il vienne de sortir de mon anus. Je vénérais ce membre. Ah, si Jean pouvait me procurer cette jouissance…
Madek, le fils de mon amie est chez moi je ne sais pour quelle raison. Il a fallu que ce matin-là j'aille assez tôt, chercher quelque chose dans la chambre de notre fils absent, et qu'en passant devant celle de Madek, j'entende quelque chose pour que se déclenche ce qui va suivre. Je m'arrêtai et cela recommença. C'était comme des halètements. Je me penchai pour regarder par le trou de la serrure. Il était assis sur son lit, draps et couvertures rejetés, en train de lire. Mais si une main tenait le livre, l'autre était occupée à branler son sexe. Un membre comme jamais je n'en avais vu, même dans les films pornos que Jean et moi regardions. Un sexe énorme, long, épais ; et ce gland qui m'apparaissait à chaque coup de poignet. Je restai rivé à mon observatoire. Instinctivement, j'ai serré mes cuisses car je me sentais mouiller. Quand je vis jaillir ses jets qui s'étalèrent sur son ventre et sa poitrine, je me sentis toute chose. Je descendis sur la pointe des pieds.
Le lendemain matin, je préparais le petit déjeuner de Madek, mais avant de monter, j'enlevai ma robe de chambre habituelle, et je passai un peignoir léger, assez court et surtout très décolleté. Je fis en sorte que l'échancrure laisse apercevoir mes seins volumineux, lourds mais encore fermes. Je décidai d'entrer sans frapper, je feignais la surprise sans pour autant rebrousser chemin. J'approchai en souriant. Il était pétrifié. Il lui fallut quelques secondes pour tenter maladroitement de cacher son sexe avec la revue qu'il tenait en main. Je lui ai dit d'un air câlin :
- Il ne faut pas avoir honte. A ton âge, c'est normal.
En même temps, je m'asseyais sur le bord de son lit. Je me penchai alors pour déposer le plateau sur le chevet, faisant en sorte que mes seins ne puissent échapper à son regard. Je lui tendis sa tasse en disant :
- Bois pendant qu'il est chaud.
Je profitais qu'il ait les mains occupées pour retirer la revue et faire semblant de m'y intéresser. Mais ma préoccupation c'était son sexe. Il avait perdu de sa rigidité. Il reposait sur son ventre, mais sa taille était encore impressionnante. L'extrémité dépassait son nombril. Je posai la main dessus tout en faisant semblant de lire, mais en appuyant mon index à l'endroit du prépuce. Je dis :
- Il ne faut pas avoir honte. Il est beau.
Déjà je le sentais se raidir. En le regardant dans les yeux, je lui demandai :
- Tu aimes être caressé?
Et en même temps mes doigts avaient serré sa hampe. Doucement, j'étais en train de décalotter. Je pouvais sentir chaque pulsation qui faisait durcir et gonfler son membre. De ma main libre, je lui pris la tasse des mains et la reposais dans le plateau. Puis, prenant sa main, j'attirai celle-ci sur mes seins et je lui dis tendrement :
- Caresse-moi aussi.
Je tirais alors sur le bout de ma ceinture, mon peignoir s'ouvrit et il put voir que j'étais nue. Sa bite était dressée, raide, grosse. Ah quel gland ! Rose, violacé, prêt à exploser. Quelle différence avec celui de Jean. J'étais bien loin de pouvoir entourer sa tige, mais je serrais et je me mis à amorcer les va-et-vient. En me penchant, je plaquais mes lèvres sur les siennes. Je m'aperçus tout de suite qu'il n'était pas expert. Sa façon maladroite de peloter mes seins, et le baiser qu'il me rendait: il était presque novice. Je me mis debout près du lit et je guidai sa main entre mes cuisses. J'étais ruisselante de mouille. Je me penchai sur sa bite, et je commençai à parcourir plusieurs fois sa hampe sur toute sa longueur avant d'engloutir son gland. Déjà une perle translucide pointait de son méat. Là encore il n'était pas question de faire comme avec mon mari, de resserrer mes lèvres à la base de sa tige en ayant complètement son sexe dans la bouche. J'essayai d'en prendre le plus possible, mais à peine en avais-je absorbé la moitié que la grosseur me distendait les lèvres, je le sentis encore grossir ; le désir de le sentir me remplir la chatte fut le plus fort. J'en avais trop envie, je ne pouvais plus attendre. Je me redressais, mes genoux à l'extérieur des siens. Je passai une main entre mes cuisses, et je guidai moi-même son gland à l'entrée de ma chatte, et lentement je me laissai descendre. Ah quelle sensation ! Jamais je n'avais rien ressenti de semblable et cela ne faisait que s'amplifier au fur et à mesure que la pénétration devenait plus profonde. Je pensais que cela n'en finirait jamais, mais il y eut ce contact au fond de mon vagin., la pression s'intensifia jusqu'au moment où mes fesses vinrent s'appuyer sur ses cuisses et ses testicules. J'avais l'impression que le plaisir se répandait dans tout mon corps, comme une boule brûlante prenant naissance dans mon bas-ventre et se propageant jusqu'au bout de mes seins et même dans mes cheveux. Il avait pris mes seins à pleines mains et les pressait. D'un mouvement brusque, il se retira de moi avant que je puisse réagir. J'ai vu jaillir ses éjaculations qui sont retombées sur son torse et sur son ventre. Je luis pris les lèvres et, passant ma main entre nos corps, j'étalais sa jouissance sur mes seins, mon ventre, mon pubis ; je restai un moment allongée sur lui, nos corps collés l'un à l'autre par son foutre. Je lui dis à l'oreille :
- Jure-moi que ce sera notre secret. Jure-moi que tu n'en parleras pas.
Il me jura en me serrant fort contre lui. Déjà je pouvais sentir sa bite s'appuyer au creux de mon ventre, il commençait à rebander. En me levant, je le pris par la main comme si j'avais peur de le perdre, mais je désirais tellement jouir de ce membre qui me fascinait, surtout après l'avant goût que je venais de connaître, je voulais le sentir bouger en moi longuement, mais aussi pouvoir sentir ses jets puissants et abondants se répandre en moi. On fit un rapide passage à la salle de bains, car l'on collait littéralement, mais très vite je l'attirai dans ma chambre. Me laissant tomber en arrière sur le lit, je lui tendis les bras, toute ouverte, jambes écartées, relevant mes genoux. Ah ! Voir son membre si imposant s'approcher de ma fente, s'appuyer, puis le sentir se frayer son passage, en repoussant les parois de ma vulve. Mais il poussa d'un seul coup, et vint cogner au fond de moi. Je poussais un cri. Il me donna des poussées puissantes. Les orgasmes se succédaient en s'intensifiant. Ses giclées se mirent à jaillir dans mon vagin. Ma jouissance fut si forte que je perdis presque connaissance. J'eus pendant quelques instants un voile devant les yeux. Quand je revins à la réalité, il s'était retiré de moi et sa verge était appuyée contre mon pubis et mon ventre ; je le caressais doucement. Il se pencha vers moi et m'embrassa. J'enroulais ma langue autour de la sienne en le serrant très fort entre mes bras, je lui ai fait renouveler son serment :
- Tu vas voir, je vais t'apprendre à faire l'amour, tu sauras donner du plaisir à une femme.
Mais il fallait que j'aille faire un brin de toilette car je sentais couler le sperme le long de mes cuisses. En revenant, je le trouvai allongé sur le lit, je rampais sur lui et je me plaçais en position de soixante-neuf. Ma bouche s'empara de sa bite au repos. J'en profitais pour en prendre le maximum ; j'avais placé ma chatte sur son visage. Il ne savait pas trouver les points sensibles, mais j'étais heureuse. Je sentais sa bite se redressait sous mes coups de langue, je me promettais de lui apprendre à me lécher. Encore une fois je ne pouvais attendre plus longtemps, j'avais tellement envie qu'il me prenne en levrette. Ça toujours été ma position préférée. Je me mis en position à même la moquette. Il s'est agenouillé entre mes jambes. Cette fois je le sentis glisser très lentement jusqu'aux tréfonds de mon vagin. Ah, c'était divin cette sensation de pénétration totale. Ses mains étreignaient mes hanches avec force, tirant ma croupe vers lui en même temps qu'il s'enfonçait d'un coup de rein puissant. A chaque pénétration, j'étais traversée par des ondes de jouissance. Lorsque son gland venait presser mon utérus, je croyais défaillir. J'avais des orgasmes puissants, mais il faisait des progrès, il savait alterner les va-et-vient, sachant ralentir quand mes feulements se faisaient trop aigus. En poussant un grognement, il se mit à me remplir de ses éjaculations brûlantes. Il s'affaissa sur mon dos et l'on resta ainsi un moment avant que sa bite ne glisse d'elle-même hors de ma chatte. Nous étions tous deux anéantis par le plaisir et la jouissance. C'est à ce moment-là qu'il me parla de lui. J'appris ainsi que ses études l'occupaient énormément et qu'il ne sortait pas beaucoup. Il n'avait pas eu beaucoup de contacts avec les filles. Il m'avoua avoir plusieurs fois été avec des prostituées, mais il me disait :
- Ce n'est pas pareil, elles te font décharger en vitesse et puis c'est tout ; et en plus avec le préservatif c'est pas facile. Avec toi c'est bon, tu es bonne. J'aime quand tu le prends dans ta bouche.
Tout en parlant, je l'avais amené dans la salle de bains, je me tenais sur le bidet, me lavant l'entrecuisse qui en avait sacrement besoin. Lorsque je relevais la tête, il était devant moi, tenant son sexe à nouveau en érection près de mes lèvres. Il me dit en passant une main dans mes cheveux :
- Suce moi encore, j'en ai envie.
Je me mis à le pomper, assise sur le rebord du bidet. Je serrais le bas de sa tige d'une main, et de l'autre je lui caressais ses testicules. Il avançait toujours plus son bassin pour que je le prenne plus profondément, mais déjà son gland était au fond de ma gorge. Il me tenait la tête à deux mains. C'est alors que j'ai eu le désir de le faire jouir dans ma bouche, de lui montrer que j'aimais vraiment sa grosse queue qui savait si bien me faire jouir. A l'intensité des pulsions qui agitaient sa bite, et à sa respiration saccadée, je sus qu'il allait très vite éjaculer. J'accentuais mes succions, en creusant les joues, j'avalais son sperme. J'étreignis ses fesses d'une main, tandis que l'autre se mettait à le branler de plus en plus vite, tout en gardant son gland entre les lèvres. Il se mit à déverser ses flots de jouissance dans ma gorge. Pour la première fois de ma vie, j'avalais du sperme épais et chaud, mais je n'allais pas assez vite. Il m'en coulait sur le menton. Je manquai de m'étrangler tant il jaillissait en abondance. Je parvins toutefois à le boire presque totalement. Je ne lâchais son sexe qu'après l'avoir léché longuement. Il me releva et nos lèvres se soudèrent pour un long baiser où il put retrouver le goût de sa jouissance sur ma langue. Je m’aperçus qu'il était presque midi. Je lui dis :
- Maintenant, il faut redevenir sages
Il m'aida à rattraper le temps perdu à préparer le repas, faire les lits, etc. Il essaya de me culbuter dessus, mais j'arrivai à le raisonner en lui disant :
- Sois gentil, je te promets, on le refera demain. Je serai toute à toi, je viendrai te chercher quand mon mari sera parti. Mais surtout ce soir, sois naturel, comme si rien n'était.
L'après-midi, j'avais rendez-vous chez le coiffeur. Il partit se promener en ville. Jean était à la maison quand Madek revint. Tout se passa bien. Pourtant il m'était impossible de le regarder comme avant. Alors que nous étions à table, par moments j'aurais voulu pouvoir dire à mon mari :
- Chéri, j'ai connu des moments merveilleux, je t'aime mais j'ai envie que Madek me fasse l'amour, qu'il puisse me voir et m'entendre gémir et jouir en ayant Jean près de moi.
Enfin on alla se coucher. Jean me dit alors :
- Tu sais, il devrait y avoir sous peu une réunion au siège à Paris. Je saurai certainement demain la date exacte, mais d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne tardera pas.
Mon esprit était ailleurs. Quand Jean commença à se blottir contre moi, je lui dis :
- Pas ce soir, j'ai mal à la tête.
Il n'insista pas et je me trouvai dispensée ce soir-là du devoir conjugal. J'avais eu mon compte dans la matinée, et je savais que demain matin je serais encore gâtée. Le lendemain, à peine Jean était-il dans la rue que Madek entrait dans la chambre. Son sexe pointait contre son ventre au travers de son pyjama et le désir m'emporta à nouveau. Je me laissai glisser à ses pieds, faisant glisser son pantalon. L'objet de mes désirs m'apparut tel que je l'aimais, en pleine érection. Je le pressais contre mon visage, en tirant sa gaine très fort vers la base, décalottant son gland. Je commençais ma fellation, mais je m'arrêtai à temps. Je m’assis sur le rebord du fauteuil, mes jambes écartées toutes grades et j'ouvrais ma chatte à deux mains du bout des doigts. Je lui indiquai mon bouton en lui disant :
- Fais tourner ta langue autour.
Il trouva tout de suite. Quand il releva son visage vers moi, il était luisant de mouille. Je relevais mes genoux en appuyant mes talons sur le bord du sommier, bras tendus vers lui. Il passa ses bras sous mes cuisses, me relevant les jambes à la verticale. Il me fit l'amour plusieurs fois. Peu avant midi, j'étais en train de m'habiller lorsque le téléphone sonna. C'était Jean, qui m'expliqua qu'il partait avec ses collèges de bureau dans l'après-midi pour l'aéroport. Quand je dis cela à Madek, il me dit tout de suite :
- Alors, on va pouvoir passer la nuit ensemble ?
Comme il était heureux. Quand Jean fut parti, Madek me demanda de regarder une vidéo porno. A l'écran, les scènes d'accouplements se succédaient. Il prit ma main et la posa sur la bosse qu'il avait entre les jambes. Je le palpais au travers du tissu. Il était en pleine érection. Il engagea une main sous ma robe. J'essayais de le retenir, mais sa main avait déjà atteint ma chair dénudée au-dessus de l'ourlet de mes bas. Il appuyait ses doigts à l'entrée de ma chatte, mais ma culotte le gênait. Alors, j'ouvris sa braguette, car j'avais envie de sentir se bite dure et vivante, chaude, de la serrer entre mes doigts. A ce moment, on voyait la femme à l'écran, resserrer ses seins sur la bite de son partenaire et celui-ci de la faire coulisser. Madek me dit :
- J'aimerais faire comme ça, moi aussi.
Je lui promis en ajoutant :
- Tu es long, j'arriverai à lécher ton gland en même temps.
Il était toujours gêné pour me caresser, il dit :
- Retire ta culotte.
J'étais trop excitée pour refuser, je fis glisser celle-ci, il se baissa pour le ramasser et me dit :
- Je le garde, ce sera un souvenir de toi.
Il m'embrassa et nos caresses reprirent. Je coulais littéralement. C'est à ce moment-là que l'on assista à une scène de sodomie, où la femme, après avoir semblé redouter cette pénétration se mit à jouir follement. Tout doucement, Madek me dit :
- On le fera aussi, j'ai envie de faire jouir comme elle, regarde comme elle aime ça.
Je lui répondis :
- Non, Madek, je n'aime pas ça, même avec mon mari je ne la fais pas. Et puis, tu es trop gros, tu me ferais mal.
Mais il insistait toujours. Je finis par lui dire :
- On verra.
Persuadée qu'au dernier moment j'arriverais à éviter cela. Je ne lui avais pas menti. Une seule fois, Jean avait voulu me prendre par-derrière. Cela ne m'avait procuré aucun plaisir, et je n'avais plus voulu renouveler l'expérience. Avant la fin du film, Madek était parvenu à me faire pencher sur sa bite, et je l'avais sucée un peu. On décida d'aller dans sa chambre pour plus de confort, j'allais me dévêtir et passer une nuisette transparente que Jean m'avait offerte. En revenant dans sa chambre, il m'attendait, nu, la bite dressée. Il m'attira contre lui en relevant mon fin vêtement. Ah, que c'était excitant de sentir sa queue s'incruster au creux de mon ventre. Après m'avoir embrassée, il me dit :
- Viens, assieds-toi dans le fauteuil. Je veux te faire jouir.
Dès que je fus installée, il s'agenouilla entre mes jambes et il remonta mes jambes qu'il appuya sur les accoudoirs, comme il avait vu dans le film, et il se mit à me manger. A un moment, il prit mes mains en les posant sur ma fente, il me dit :
- Ouvre-toi, j'ai envie de te faire jouir dans ma bouche, comme tu as fait avec moi.
J'écartais mes grosses lèvres. Il aspirait mon clitoris qui, sous la succion, s'allongeait comme une petite bite. Puis, sa langue rentra profondément dans mon vagin. J'avais poussé mes fesses en avant vers sa bouche et celle-ci était tout à fait sur le bord. Je sentais ma mouille couler dans ma raie culière. C'est alors que je perçus ses doigts caressant mon œillet. Peu à peu, la pression s'affirma et le bout d'un doigt me pénétra l'anus. Petit à petit, j'eus un doigt tout entier dans mes fesses. Je me sentais écartée, mon sphincter se prêtait à son jeu. Quand il enleva ses doigts, sa bouche les remplaça. Il se mit à titiller ma rosette, me faisant une inoubliable feuille de rose. Déjà je savais que je subirais la pénétration de sa grosse bite dans mon cul. Mais j'étais prête à avoir mal, à présent je le désirais, j'étais heureuse : j'allais être la première qu'il allait sodomiser, et moi j'allais lui offrir le pucelage de mon anus. Je me mis en position de levrette. Ce ne fut pas si facile. Plusieurs fois son gland glissa vers le bas, se retrouvait dans ma chatte ou vers le haut. Plusieurs fois je dus me retourner et le sucer pour lui redonner la rigidité indispensable. Je pris alors les oreillers, les glissais sous mon ventre et, prenant appui avec mon front sur la moquette, je m'écartais moi-même les fesses. Je poussai un cri quand son gland s'engouffra. Je crus être déchirée. Mais ça allait mieux, cela s'estompait, mon anus s'habituait à la dilatation. Pourtant, je dus me mordre les lèvres alors que, lentement, son énorme queue s'enfonçait dans mes reins. Je ressentais comme une brûlure dans mon conduit anal, les larmes embuaient mes yeux. Heureusement, il resta ainsi immobile et peu à peu, la douleur diminua pour faire place à une étrange sensation. Il était penché sur mon dos, il m'embrassait les cheveux, le cou, les épaules et ses mains empoissonnaient mes seins gonflés aux bouts durcis et douloureux. J'avais du mal à réaliser que j'avais son énorme membre totalement enfoncé dans mon cul. Il porta une main sur mon pubis, puis à l'entrée de ma vulve, et deux doigts se mirent à tourner sur mon bouton d'amour. Ce fut le déclic, mon corps entier fut envahi par une onde de bien-être. Je fus submergée comme par une vague qui balaye tout sur son passage. Jamais je n'avais ressenti pareille chose. Je me mis à bouger la première, je ne pouvais me contenir. Nos corps se heurtaient avec des claquements secs, son bas ventre venait frapper mes fesses avec vigueur. Je ne me souviens pas du reste, car à ce moment, je perdis conscience quelques secondes. Quelle nuit d'amour nous avons passé. Plusieurs fois je m'endormis en ayant toujours son sexe en moi. Nous restions emboîtés l'un dans l'autre, nos jambes entrelacées. Le matin, j'allai tout de suite faire ma toilette. Mes cuisses et mes fesses étaient recouvertes de foutre séché. Je dus d'ailleurs laver les draps tout tachés d'auréoles révélatrices, mais avant je lui avais apporté le petit déjeuner que l'on prit en amoureux. Avant que je ne m'habille, il avait voulu me faire l'amour entre mes seins. En poussant, il parvenait à me faire prendre son gland en bouche. Je le fis éjaculer dans cette position. Quand il juta, je reçus son sperme sur le visage, mais aussi dans la bouche. J'attirai sa bite et m'en frottais le visage, étalant son foutre. Puis il alla dans sa chambre. Je m'étais mise à faire la vaisselle. Je perçus sa présence derrière moi. Il vint se plaquer contre moi. J'étais toujours en peignoir. Tout en me disant :
- Ne bouge pas,
Il passa ses mains en relevant mon vêtement sur le haut de mon dos. J'avais les mains dans mes gants en caoutchouc, tenant une tasse. Il caressait mes seins d'une main, et de l'autre il se mit à caresser mon ventre, mon pubis. Enfin ses doigts ouvrirent ma fente. J'écartais mes jambes en grand et je poussai ma croupe en arrière. Il s'assit par terre entre mes jambes, et ses lèvres se mirent à parcourir mes fesses, mon entrecuisse. Il me faisait minette. Comme il excitait bien mon clitoris. Il se releva, refit quelques allers et retours avec son gland sur ma fente, et d'un seul coup, il me pénétra à fond. Je m'agrippais aux robinets, alors qu'il faisait coulisser sa bite dans mon vagin. Son gland prit appui sur mon petit trou. Mon sphincter céda à son pieu d'amour. J'avais replié mes bras sur le bord de l'évier, et la tête posée sur mes avant-bras, ses mains étreignirent mes hanches très fortement. Je n'en pouvais plus. On aurait dit que la jouissance allait me sortir par la bouche, tellement j'avais des orgasmes intenses. J'avais la bouche grande ouverte, mais aucun son ne sortait. Il se vida dans mes entrailles en criant. Il se retira vite et me dit :
- Suce-moi.
Que m'importe qu'il vienne de sortir de mon anus. Je vénérais ce membre. Ah, si Jean pouvait me procurer cette jouissance…
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