Infidélités sur Lit douillet - Manon D. (2)
Récit érotique écrit par FreeSnap_Dan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Infidélités sur Lit douillet - Manon D. (2)
Salut à tous, c'est Dan, je suis toujours en compagnie de la splendide Manon dont j'ai malencontreusement souillé la moquette dans l'épisode précédent.
Elle était tout contre moi, son corps chaud et tremblant et sa main toujours autour de ma queue. Ses lèvres se posaient sur mes épaules et mon cou. De mon côté j'avais glissé ma main sous les dentelles de son soutif et je malaxais ses seins un a uns. Je les prenait dans mes mains et murmurait à son oreille des compliments osés sur ses courbes et son caractère. Je m'amusais à la faire couiner en pinçant ses tétons et en mordillant ses lobes. Mais ma queue revenue à son état animal m'appelait à moins de douceur. Manon était trop jolie, trop mimi, je voulais la dominer, la souiller encore. Je me mis à défaire son jean et ses mains me guidèrent le long de sa ceinture, mais au lieu de faire attention à sa gestuelle je brisais le rythme en la repoussant sur son lit. Je la surpris en la retournant pour l'allonger sur le ventre et tirait son jean, faisant dépasser ses jambes en dehors du lit tandis que ce dernier glissait le long de ses cuisses, dévoilant une jolie culotte noire couvrant a peine les fesses proéminentes de la bonnasse. Tandis qu'elle se débattait je m'empressais d'embrasser son cul à pleine bouche et de le claquer bruyamment du plat de la main. Dans un râle rauque je tirais sa culotte toute humide à ses genoux, dévoilant son petit cul bombé, tout blanc et son abricot gonflé, fente humide et pulpeuse. J'y glissai mon doigt, m'imaginant déjà le léchant, gobant ses lèvres en glissant ma langue aussi loin que possible et titillant l'orée de son vagin. Mais je ne pouvais pas attendre, je devais la baiser, maintenant !
Je frottais nos sexes, l'agrippais par les hanches, mes paumes bloquées à la naissance de ses fesses et je m'insérais, d'un coup, violemment. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été sautée et elle laissa échapper un cri. Elle avait les mains acrochées à ses doudous, la tête enfoncée dans un oreiller et ses jambes prisonnières du jean encore au niveau de ses genoux. Des odeurs de lessive et de parfums se mélangeaient à celle de la transpiration et de la mouille. Des photos d'elle et de son copain trônaient et tout ce décor m'excitait au plus haut point : je m'entrepris de la ramoner sans pitié, son vagin m'absorbait tandis que j'enchainais les coups de reins. Mon bassin claquait contre son cul rougi qui ondulait et je lui assénait de belles fessées tandis qu'elle gémissait de plus belle et couvrait ses cris dans les draps. La vue de la belle Manon, soumise à toutes mes envies m'enivrait, je pris ses cheveux à pleine mains, la tirant en arrière, elle exultait. Je la baisait ainsi quelques minutes, raidissant mes muscles dans l'effort, mes mains passant de son ventre plat à ses seins et à son cou. Je commençais à ralentir en donnant des acoups plus amples et plus profonds tout en serrant son corps redressé contre moi. J'embrassais ses épaules dénudées.
D'un commun accord nous changeâmes de position, elle m'allongea sur son lit douillet, et entama un rodéo sexuel, dégrafant au passage son soutif. Ses seins enfin libérés étaient magnifiques, deux petits tétons marrons, pointant au centre d'une poignée de chaire tendre et ferme. Elle sautillait sur ma queue, ses yeux bleus brillant d'excitation me rappelant sa beauté. Que j'aimais ses cheveux ébouriffés et son visage suintant, je l'embrassais à nouveau, passionnément, sans penser au futur. Mes mains glissaient de ses hanches à ses seins, agrippaient ses fesses et ses cheveux ou son cou quand elle se cambrait . Et nous baisions amoureusement, sauvagement, en nous relayant en missionnaire ou en amazones, nus et libres. Elle jouit, je jouis, et nous nous endormîmes dans des draps souillés, sa tête sur mon épaule et ses cheveux collés contre ma peau.
Le lendemain elle s'était réveillée avant moi, elle s'était habillée avant que j'ai pu la mater une dernière fois... Et je repris mes affaires un peu honteux, rapidement, pour honorer notre accord de la veille et je m'en fus, sale et vidé, après l'avoir serré contre moi une dernière fois. Le vendredi on ne la croisa pas dans les amphis, et le weekend se passa calmement, tout le monde récupérait des excès du jeudi soir. Mais le dimanche soir, pareille à un messi de bon augure, une notification attira mon regard : un Snap Rouge en provenance de Manon.
Elle était tout contre moi, son corps chaud et tremblant et sa main toujours autour de ma queue. Ses lèvres se posaient sur mes épaules et mon cou. De mon côté j'avais glissé ma main sous les dentelles de son soutif et je malaxais ses seins un a uns. Je les prenait dans mes mains et murmurait à son oreille des compliments osés sur ses courbes et son caractère. Je m'amusais à la faire couiner en pinçant ses tétons et en mordillant ses lobes. Mais ma queue revenue à son état animal m'appelait à moins de douceur. Manon était trop jolie, trop mimi, je voulais la dominer, la souiller encore. Je me mis à défaire son jean et ses mains me guidèrent le long de sa ceinture, mais au lieu de faire attention à sa gestuelle je brisais le rythme en la repoussant sur son lit. Je la surpris en la retournant pour l'allonger sur le ventre et tirait son jean, faisant dépasser ses jambes en dehors du lit tandis que ce dernier glissait le long de ses cuisses, dévoilant une jolie culotte noire couvrant a peine les fesses proéminentes de la bonnasse. Tandis qu'elle se débattait je m'empressais d'embrasser son cul à pleine bouche et de le claquer bruyamment du plat de la main. Dans un râle rauque je tirais sa culotte toute humide à ses genoux, dévoilant son petit cul bombé, tout blanc et son abricot gonflé, fente humide et pulpeuse. J'y glissai mon doigt, m'imaginant déjà le léchant, gobant ses lèvres en glissant ma langue aussi loin que possible et titillant l'orée de son vagin. Mais je ne pouvais pas attendre, je devais la baiser, maintenant !
Je frottais nos sexes, l'agrippais par les hanches, mes paumes bloquées à la naissance de ses fesses et je m'insérais, d'un coup, violemment. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été sautée et elle laissa échapper un cri. Elle avait les mains acrochées à ses doudous, la tête enfoncée dans un oreiller et ses jambes prisonnières du jean encore au niveau de ses genoux. Des odeurs de lessive et de parfums se mélangeaient à celle de la transpiration et de la mouille. Des photos d'elle et de son copain trônaient et tout ce décor m'excitait au plus haut point : je m'entrepris de la ramoner sans pitié, son vagin m'absorbait tandis que j'enchainais les coups de reins. Mon bassin claquait contre son cul rougi qui ondulait et je lui assénait de belles fessées tandis qu'elle gémissait de plus belle et couvrait ses cris dans les draps. La vue de la belle Manon, soumise à toutes mes envies m'enivrait, je pris ses cheveux à pleine mains, la tirant en arrière, elle exultait. Je la baisait ainsi quelques minutes, raidissant mes muscles dans l'effort, mes mains passant de son ventre plat à ses seins et à son cou. Je commençais à ralentir en donnant des acoups plus amples et plus profonds tout en serrant son corps redressé contre moi. J'embrassais ses épaules dénudées.
D'un commun accord nous changeâmes de position, elle m'allongea sur son lit douillet, et entama un rodéo sexuel, dégrafant au passage son soutif. Ses seins enfin libérés étaient magnifiques, deux petits tétons marrons, pointant au centre d'une poignée de chaire tendre et ferme. Elle sautillait sur ma queue, ses yeux bleus brillant d'excitation me rappelant sa beauté. Que j'aimais ses cheveux ébouriffés et son visage suintant, je l'embrassais à nouveau, passionnément, sans penser au futur. Mes mains glissaient de ses hanches à ses seins, agrippaient ses fesses et ses cheveux ou son cou quand elle se cambrait . Et nous baisions amoureusement, sauvagement, en nous relayant en missionnaire ou en amazones, nus et libres. Elle jouit, je jouis, et nous nous endormîmes dans des draps souillés, sa tête sur mon épaule et ses cheveux collés contre ma peau.
Le lendemain elle s'était réveillée avant moi, elle s'était habillée avant que j'ai pu la mater une dernière fois... Et je repris mes affaires un peu honteux, rapidement, pour honorer notre accord de la veille et je m'en fus, sale et vidé, après l'avoir serré contre moi une dernière fois. Le vendredi on ne la croisa pas dans les amphis, et le weekend se passa calmement, tout le monde récupérait des excès du jeudi soir. Mais le dimanche soir, pareille à un messi de bon augure, une notification attira mon regard : un Snap Rouge en provenance de Manon.
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