Initation à la domination 3eme partie
Récit érotique écrit par Pourtonbien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Initation à la domination 3eme partie
A genou et le visage souillé de semence, Daphnée ne pouvait que réprimer ses haut-le-cœur de dégout. Il était hors de question de montrer à Thierry qu’elle n’aimait pas avaler, car elle lui avait juré obéissance et docilité. Les images pornographiques diffusées sur l’écran l’envahissaient toujours et elle sentait peu à peu le sperme se figer sur son visage, principalement sur son menton et sa joue gauche. Elle avait pu en avaler une bonne partie mais son maître avait été clair : « tu ne nettoie pas ton visage chienne, et tu continu à regarder la télé en apprenant par cœur ce que tu vois ; est-ce clair trainée ? – Oui maître».
Bouillante de désir, le feu en elle et la sensation de frustration à son paroxysme, elle ne comprenait pas pourquoi son maître avait joui et pas elle.
Thierry reprenait son souffle, une bonne fille comme Daphnée devait être modelée comme il se doit. Il la fit se mettre sur le ventre du lit et lui remonta ses fesses le plus haut possible, que la position soit plus avilissante et humiliante ; et surtout pratique, notamment pour la suite.
« La tête en bas et le cul en l’air salope, je vais t’apprendre à bien te comporter devant ton homme ».
Il commença à glisser un doigt dans l’anus bouillant de la jeune fille qui, elle, miaulait comme un petit chaton. Il savait qu’elle n’avait pas joui et comptait bien la dresser tant qu’elle restait frustrée, dans cet état second. Le clip hypnotique était toujours aussi agréable à regarder, les lumières stroboscopiques mêlées aux images dégradantes de filles aux anus dilatés et recouvertes de foutre blanc poursuivaient leurs œuvres hypnotiques, notamment dans le subconscient de la jeune Daphnée. « Suce, avale, obéis » : c’étaient les mots les plus perceptibles pour elle.
Sentant un doigt allant et venant dans ses fesses, elle se raidit quand un second se joignit au premier. Elle fut encore plus surprise quand elle senti une crème être étalée sur son fondement. « Ça va chauffer et dilater ton intimité salope, tu vas me supplier de te la mettre »D’abord froide, la crème se mit progressivement à lui chauffer l’arrière-train, diffusant une chaleur moite grâce à laquelle elle ne sentait même plus les deux doigts qui la fouillaient.
Thierry jouait avec l’anus de la gamine et en profitait allègrement. Un triple dépucelage bouche-con-anus dans le même temps, et elle lui sera entièrement dévouée.
Une dose de clips hypnotique pour imprégner son esprit, un collier et une laisse pour la maintenir fermement, et l’agressivité bestiale d’un homme sûr de lui, étaient le tiercé gagnant pour un bon dressage de débutante.
La fille commençait à gémir de plus en plus, de simples feulements elle se tortillait en haletant comme un petit animal pris au piège. « Tu vas maintenant m’appartenir ma chérie « lui dit Thierry qui rebandait comme un taureau à la vue de la croupe ferme et offerte de cette merdeuse contactée sur internet.
Il présenta son gland à l’entrée de l’anus de la fille, toujours abreuvée d’images pornographiques malsaines, et poussa lentement, mais surement, son membre dans le cul moite de Daphnée.
La douleur la tiraillait car elle sentait bien que quelque chose était entrée en elle, distendant son anus. Mais l’effet chauffant de la crème faisait son œuvre, elle était submergée par une sensation de chaleur, d’écartèlement douloureux, mais surtout ressentait une possession troublante, un sentiment de soumission certain. Passive et soumise, elle écartait ses fesses pour permettre à son maitre de s’enfoncer encore plus loin en elle. Elle senti des larmes couler de ses yeux. « L’humilation d’être possédée surement » se dit-elle. Mais c’était normal, elle appartenait à son maitre, c’était son univers maintenant, Lui et seulement Lui. Elle ne comptait plus, elle pouvait s’abandonner car elle l’aimait.
« Ma belle enculée, ma salope soumise, je t’exige obéissante et ton but dans la vie est de me servir. Tu dois comprendre que si je t’encule, c’est que tu es mienne, ton corps et ton cœur m’appartiennent ». Puis il accéléra le mouvement de va et vient, bien profond dans son cul, il dilatait les fesses de Daphnée et lui claquait les fesses violemment, celles-ci rougissaient et, entendant les cris de douleur et de plaisir de son esclave, il empoignât la laisse et tira fort dessus, obligeant Daphnée à se redresser. La possession était à son comble. D’une main il la fessait et de l’autre il la maîtrisait tout en la sodomisant frénétiquement. Il sentait son plaisir arriver.
« Je vais te féconder au plus profond de toi, tu resteras à moi, dans ta chair, au plus profond de toi ». Daphnée, quant à elle, subissant les coups de boutoir de son maitre et n’en pouvant plus, s’apprêtait à se toucher son minou brûlant. Voyant cela Thierry lui pris ses deux bras qu’il plaqua dans son dos, la maintint dans cette position tout en accélérant le rythme de ses hanches en lui disant « bouge pas salope, laisses moi finir, tu n’es rien ».
Elle sentait que son cul allait éclater mais c’était si bon d’être secouée de la sorte, rageusement, violement, maintenue fermement et bloquée à 4 pattes. Elle sentit les flots de sperme envahir son intestin, chaud, bouillant même, et se répandant à l’intérieur d’elle. Son homme s’était fiché profondément dans son anus et venait de se vider en elle. Se souvenant de ce qu’il lui avait promis pour leur rencontre, elle l’entendait encore dire « tu es née pour me servir, me servir et me vider ».
Bouillante de désir, le feu en elle et la sensation de frustration à son paroxysme, elle ne comprenait pas pourquoi son maître avait joui et pas elle.
Thierry reprenait son souffle, une bonne fille comme Daphnée devait être modelée comme il se doit. Il la fit se mettre sur le ventre du lit et lui remonta ses fesses le plus haut possible, que la position soit plus avilissante et humiliante ; et surtout pratique, notamment pour la suite.
« La tête en bas et le cul en l’air salope, je vais t’apprendre à bien te comporter devant ton homme ».
Il commença à glisser un doigt dans l’anus bouillant de la jeune fille qui, elle, miaulait comme un petit chaton. Il savait qu’elle n’avait pas joui et comptait bien la dresser tant qu’elle restait frustrée, dans cet état second. Le clip hypnotique était toujours aussi agréable à regarder, les lumières stroboscopiques mêlées aux images dégradantes de filles aux anus dilatés et recouvertes de foutre blanc poursuivaient leurs œuvres hypnotiques, notamment dans le subconscient de la jeune Daphnée. « Suce, avale, obéis » : c’étaient les mots les plus perceptibles pour elle.
Sentant un doigt allant et venant dans ses fesses, elle se raidit quand un second se joignit au premier. Elle fut encore plus surprise quand elle senti une crème être étalée sur son fondement. « Ça va chauffer et dilater ton intimité salope, tu vas me supplier de te la mettre »D’abord froide, la crème se mit progressivement à lui chauffer l’arrière-train, diffusant une chaleur moite grâce à laquelle elle ne sentait même plus les deux doigts qui la fouillaient.
Thierry jouait avec l’anus de la gamine et en profitait allègrement. Un triple dépucelage bouche-con-anus dans le même temps, et elle lui sera entièrement dévouée.
Une dose de clips hypnotique pour imprégner son esprit, un collier et une laisse pour la maintenir fermement, et l’agressivité bestiale d’un homme sûr de lui, étaient le tiercé gagnant pour un bon dressage de débutante.
La fille commençait à gémir de plus en plus, de simples feulements elle se tortillait en haletant comme un petit animal pris au piège. « Tu vas maintenant m’appartenir ma chérie « lui dit Thierry qui rebandait comme un taureau à la vue de la croupe ferme et offerte de cette merdeuse contactée sur internet.
Il présenta son gland à l’entrée de l’anus de la fille, toujours abreuvée d’images pornographiques malsaines, et poussa lentement, mais surement, son membre dans le cul moite de Daphnée.
La douleur la tiraillait car elle sentait bien que quelque chose était entrée en elle, distendant son anus. Mais l’effet chauffant de la crème faisait son œuvre, elle était submergée par une sensation de chaleur, d’écartèlement douloureux, mais surtout ressentait une possession troublante, un sentiment de soumission certain. Passive et soumise, elle écartait ses fesses pour permettre à son maitre de s’enfoncer encore plus loin en elle. Elle senti des larmes couler de ses yeux. « L’humilation d’être possédée surement » se dit-elle. Mais c’était normal, elle appartenait à son maitre, c’était son univers maintenant, Lui et seulement Lui. Elle ne comptait plus, elle pouvait s’abandonner car elle l’aimait.
« Ma belle enculée, ma salope soumise, je t’exige obéissante et ton but dans la vie est de me servir. Tu dois comprendre que si je t’encule, c’est que tu es mienne, ton corps et ton cœur m’appartiennent ». Puis il accéléra le mouvement de va et vient, bien profond dans son cul, il dilatait les fesses de Daphnée et lui claquait les fesses violemment, celles-ci rougissaient et, entendant les cris de douleur et de plaisir de son esclave, il empoignât la laisse et tira fort dessus, obligeant Daphnée à se redresser. La possession était à son comble. D’une main il la fessait et de l’autre il la maîtrisait tout en la sodomisant frénétiquement. Il sentait son plaisir arriver.
« Je vais te féconder au plus profond de toi, tu resteras à moi, dans ta chair, au plus profond de toi ». Daphnée, quant à elle, subissant les coups de boutoir de son maitre et n’en pouvant plus, s’apprêtait à se toucher son minou brûlant. Voyant cela Thierry lui pris ses deux bras qu’il plaqua dans son dos, la maintint dans cette position tout en accélérant le rythme de ses hanches en lui disant « bouge pas salope, laisses moi finir, tu n’es rien ».
Elle sentait que son cul allait éclater mais c’était si bon d’être secouée de la sorte, rageusement, violement, maintenue fermement et bloquée à 4 pattes. Elle sentit les flots de sperme envahir son intestin, chaud, bouillant même, et se répandant à l’intérieur d’elle. Son homme s’était fiché profondément dans son anus et venait de se vider en elle. Se souvenant de ce qu’il lui avait promis pour leur rencontre, elle l’entendait encore dire « tu es née pour me servir, me servir et me vider ».
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