initiatié par un travailleur marocain
Récit érotique écrit par Valère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2006 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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initiatié par un travailleur marocain
L’histoire qui suit m’est arrivée, quelques jours après mon 18e anniversaire, au mois d’août de cette année, j’habite à la campagne dans une région rurale dans le sud pour être plus précis, je suis pas homo, pourtant l’histoire qui va suivre a un fort penchant vers l’homosexualité, mais ceci dis après cette aventure singulière je n’ai à l’heure actuelle aucun penchant homo, je suis même vraiment branché nanas.
Bon venons en au fait.
En me baladant pas très loin de chez moi je rencontre Nasser c’est un travailleur Marocain qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi , il vit tout seul environ 8 mois de l’année ici et retrouve sa famille les 4 mois d’hiver, il vit dans une petite baraque perdu dans la campagne, il a à peut prés 60 ans c’est un gars robuste et costaud,
Je lui dis bonjour on se connaît pour se dire simplement bonjour et au revoir,
Mais cette fois il me dit dans un Français approximatif que je ne vais pas retranscrire car ça deviendrai dur pour le lecteur, donc à vous d’imaginer son langage
Je voudrais te montrer quelque chose, nous étions à proximité de sa baraque, en arrivant prés de chez lui à dix mètre environ y avait un chat mort
- ce n’est pas ton chat la pauvre bête, je l’ai trouvé la.
- non le mien est blanc avec des taches noires
et puis on a commencé à parlé il avait fini sa journée, il était tout en sueur, il me propose de boire un coup
je lui dis, c’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois.
- j’ai fini par prendre l’habitude me dit il
- moi je ne pourrais pas être privé de tout
Et puis tout en discutant sans savoir pourquoi je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme comment faisait il, il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu l’aider, je suis un garçon et sans être efféminé j’ai un aspect plutôt gentillet entre guillemets les cheveux longs un visage assez fin, et je me lance
- sans femme ici ce doit être dur, vous devez y penser
- et oui des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul et les femmes ici elles aiment pas les vieux arabes comme moi
- pourtant vous êtes encore drôlement baraqué pour votre age
- A mais y a pas d’problème (en pointant son doigt vers son sexe) y marche toujours très bien ,
- Faudrait en trouver une qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril ,
- Malgré ce que tu dis j’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y pas que les femmes.
La je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin, je bois encore une gorgée tellement j’avais la gorge sèche.
- vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme c’est pareil
- pour moi c’est mieux la femme, mais si y pas de femme on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons y sont un peu comme les femmes ,
c’est fou je commençais à me trouver tout chose, et en plus en le regardant continuer à parler tout en se levant il m’a semblé qu’il bandait, puis il me dis si tu n’est pas pressé je vais prendre une douche parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu ça me fait plaisir de parler avec toi.
- (moi de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque)
- oui je suis pas pressé allez y je vous attend la dehors.
Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train sans m’en rendre compte d’aguicher un gars que je connaissais à peine,
J’entendais l’eau de la douche couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute j’étais excité par cet homme, qu’allait il se passer ?
Puis quelques instants plus tard en me retournant je l’aperçois furtivement il est nu le temps de prendre ces affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son sexe au repos, une grosse bite pendante, j’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant c’est pas possible, à part un cheval je vois pas autre chose.
Le temps d’enfiler son pantalon il fini par arriver torse nu,
Ça fait du bien me dit il
Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué si j’était une femme il m’exciterait, je n’en suis pas une mais la pour la première fois de ma vie je ressens ce qu’une femme pourrait ressentir.
Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux châtains clair je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.
Puis la conversation reprend.
- c’est gentil que tu parles à un vieil arabe, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici
- mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être la, pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus qu’est ce que vous êtes costaud, (je fais le geste)
- j’ai beaucoup de force même encore maintenant à mon age j’ai toujours de la force
- moi j’aime les hommes musclés
il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste,
je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de pas trop insister, mais apparemment son regard sur moi commence à changer, il sourit tout en me montrant ces biceps,
- moi par contre je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille,
- si tu ressembles à une fille tu fais aussi la fille
La un cap est franchi je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.
Je me lance, et lui dis avec un petit sourire
- quelque fois, quand l’homme est comme vous très fort ça m’excite, est ce que je vous fais bander, il ne comprend pas le mot bander, je fais le geste, la il comprend
- Bien sur tu me fais bander, j’aime ton petit corps, toi tu veux que je te montre ma queue
- Oui j’aimerais bien la sucer
Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque, une petite pièce, avec un lit une table, un lavabo.
Une fois dedans je commence à me dandiner à tourner du cul devant lui, il commence tout en me regardant dans les yeux à dégrafer son pantalon, de mon coté je sors ma langue pour lui montrer que je suis impatient de voir sa grosse bite, et d’un seul coup son sexe apparaît pas totalement en érection mais à sa vu je reste sans voix
- ça te plait ma bite
- je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, la mienne est beaucoup plus petite
Il me fais signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque, il me caresse les cheveux et appui légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller, je suis hypnotisé par ce sexe énorme qui est maintenant totalement en érection, je le regarde encore un instant ce sexe prodigieux, lui il sourit en me voyant si impressionné, je commence à l’engouffrer dans ma bouche, et je suce, tout en branlant à deux mains ce gourdin,
- c’est bon suce mon petit, me dit il, après je vais te mettre ça dans ton petit cul tu va jouir, vas y encore, c’est bon ,
- maintenant déshabille toi, enlève ton pantalon, je m’exécute aussitôt
- Laisse moi admirer cette queue encore un instant après tu pourras m’enculer
- Oui je vais te la mettre toute entière tu vas crier de plaisir c’est sur, tout les jeunes garçons que j’ai déjà enculer criaient de joie ,
Il commence à me prendre le cul mettant un peu de salive sur mon anus, et puis son pieux faisait de petits accoues, puis enfin je poussais un cri sa bite était en moi, il disait des truc en arabes, qui devait ressembler à je vais te défoncer mon joli tu vas pas le croire, c’était bon on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’était aux anges et lui aussi.
Voila Nasser m’a fait vivre une sacrée expérience, alors vous mesdames de la campagne si vous croisez un travailleur marocain bien bâti prés de chez vous et que vous avez envie d’une bonne bite bien dure, je crois que vous n’aurez pas trop de peine à convaincre ces gens si esseulé et tellement en manque de sexe pour vous satisfaire.
Valère.
Bon venons en au fait.
En me baladant pas très loin de chez moi je rencontre Nasser c’est un travailleur Marocain qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi , il vit tout seul environ 8 mois de l’année ici et retrouve sa famille les 4 mois d’hiver, il vit dans une petite baraque perdu dans la campagne, il a à peut prés 60 ans c’est un gars robuste et costaud,
Je lui dis bonjour on se connaît pour se dire simplement bonjour et au revoir,
Mais cette fois il me dit dans un Français approximatif que je ne vais pas retranscrire car ça deviendrai dur pour le lecteur, donc à vous d’imaginer son langage
Je voudrais te montrer quelque chose, nous étions à proximité de sa baraque, en arrivant prés de chez lui à dix mètre environ y avait un chat mort
- ce n’est pas ton chat la pauvre bête, je l’ai trouvé la.
- non le mien est blanc avec des taches noires
et puis on a commencé à parlé il avait fini sa journée, il était tout en sueur, il me propose de boire un coup
je lui dis, c’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois.
- j’ai fini par prendre l’habitude me dit il
- moi je ne pourrais pas être privé de tout
Et puis tout en discutant sans savoir pourquoi je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme comment faisait il, il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu l’aider, je suis un garçon et sans être efféminé j’ai un aspect plutôt gentillet entre guillemets les cheveux longs un visage assez fin, et je me lance
- sans femme ici ce doit être dur, vous devez y penser
- et oui des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul et les femmes ici elles aiment pas les vieux arabes comme moi
- pourtant vous êtes encore drôlement baraqué pour votre age
- A mais y a pas d’problème (en pointant son doigt vers son sexe) y marche toujours très bien ,
- Faudrait en trouver une qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril ,
- Malgré ce que tu dis j’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y pas que les femmes.
La je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin, je bois encore une gorgée tellement j’avais la gorge sèche.
- vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme c’est pareil
- pour moi c’est mieux la femme, mais si y pas de femme on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons y sont un peu comme les femmes ,
c’est fou je commençais à me trouver tout chose, et en plus en le regardant continuer à parler tout en se levant il m’a semblé qu’il bandait, puis il me dis si tu n’est pas pressé je vais prendre une douche parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu ça me fait plaisir de parler avec toi.
- (moi de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque)
- oui je suis pas pressé allez y je vous attend la dehors.
Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train sans m’en rendre compte d’aguicher un gars que je connaissais à peine,
J’entendais l’eau de la douche couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute j’étais excité par cet homme, qu’allait il se passer ?
Puis quelques instants plus tard en me retournant je l’aperçois furtivement il est nu le temps de prendre ces affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son sexe au repos, une grosse bite pendante, j’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant c’est pas possible, à part un cheval je vois pas autre chose.
Le temps d’enfiler son pantalon il fini par arriver torse nu,
Ça fait du bien me dit il
Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué si j’était une femme il m’exciterait, je n’en suis pas une mais la pour la première fois de ma vie je ressens ce qu’une femme pourrait ressentir.
Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux châtains clair je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.
Puis la conversation reprend.
- c’est gentil que tu parles à un vieil arabe, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici
- mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être la, pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus qu’est ce que vous êtes costaud, (je fais le geste)
- j’ai beaucoup de force même encore maintenant à mon age j’ai toujours de la force
- moi j’aime les hommes musclés
il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste,
je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de pas trop insister, mais apparemment son regard sur moi commence à changer, il sourit tout en me montrant ces biceps,
- moi par contre je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille,
- si tu ressembles à une fille tu fais aussi la fille
La un cap est franchi je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.
Je me lance, et lui dis avec un petit sourire
- quelque fois, quand l’homme est comme vous très fort ça m’excite, est ce que je vous fais bander, il ne comprend pas le mot bander, je fais le geste, la il comprend
- Bien sur tu me fais bander, j’aime ton petit corps, toi tu veux que je te montre ma queue
- Oui j’aimerais bien la sucer
Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque, une petite pièce, avec un lit une table, un lavabo.
Une fois dedans je commence à me dandiner à tourner du cul devant lui, il commence tout en me regardant dans les yeux à dégrafer son pantalon, de mon coté je sors ma langue pour lui montrer que je suis impatient de voir sa grosse bite, et d’un seul coup son sexe apparaît pas totalement en érection mais à sa vu je reste sans voix
- ça te plait ma bite
- je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, la mienne est beaucoup plus petite
Il me fais signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque, il me caresse les cheveux et appui légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller, je suis hypnotisé par ce sexe énorme qui est maintenant totalement en érection, je le regarde encore un instant ce sexe prodigieux, lui il sourit en me voyant si impressionné, je commence à l’engouffrer dans ma bouche, et je suce, tout en branlant à deux mains ce gourdin,
- c’est bon suce mon petit, me dit il, après je vais te mettre ça dans ton petit cul tu va jouir, vas y encore, c’est bon ,
- maintenant déshabille toi, enlève ton pantalon, je m’exécute aussitôt
- Laisse moi admirer cette queue encore un instant après tu pourras m’enculer
- Oui je vais te la mettre toute entière tu vas crier de plaisir c’est sur, tout les jeunes garçons que j’ai déjà enculer criaient de joie ,
Il commence à me prendre le cul mettant un peu de salive sur mon anus, et puis son pieux faisait de petits accoues, puis enfin je poussais un cri sa bite était en moi, il disait des truc en arabes, qui devait ressembler à je vais te défoncer mon joli tu vas pas le croire, c’était bon on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’était aux anges et lui aussi.
Voila Nasser m’a fait vivre une sacrée expérience, alors vous mesdames de la campagne si vous croisez un travailleur marocain bien bâti prés de chez vous et que vous avez envie d’une bonne bite bien dure, je crois que vous n’aurez pas trop de peine à convaincre ces gens si esseulé et tellement en manque de sexe pour vous satisfaire.
Valère.
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