Initiation (2) Le goût du ''Jus d'homme''
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation (2) Le goût du ''Jus d'homme''
Mon initiation débuta le soir de mes 18 ans. Dans ma chambre, mon cousin Alain de dix ans mon aîné me fit voir une revue de femmes à poil et me mit dans la main son gros rat sans patte, comme chantait Colette Renard.
Le sexe était tabou à la maison. Mes parents, pudibonds, ne pouvaient imaginer ce qui se passait de l'autre côté du mur de leur chambre communicante à la mienne. La porte condamnée assurait la tranquillité mais imposait le silence.
Depuis cette nuit, avec Alain nous nous revoyions régulièrement. Notre relation évoluait lentement. Alain prenait son temps pour me faire avancer sur le chemin de la perversion, j'étais timide, je ne disais rien et ne refusais rien. Je restais un gentil garçon face à un homme aussi doux que décidé.
Chaque fois qu'il venait à la maison, j'attendais le moment où il m'inviterait dans son lit. Sans parler, en souriant, il m'invitait en ouvrant la couverture. Je me glissais alors nu sous ses draps.
J'aimais comme il me caressait en douceur, comme il me plaquait avec force contre son corps, je mettais ma tête au creux de son cou, ses mains passaient de mes épaules à mon dos pour descendre à mes fesses. J'aimais comme il me couvrait de baisers, parfois sur les lèvres, souvent sur la poitrine. J'aimais comme il ''me tétais''. Je me laissais faire. Il se frottait à ma hanche et s'excitait sur mon ventre, me titillait le petit trou. Autant j'aimais sentir son gros sexe contre moi ou me labourer le ventre que sa main sur mon cul me gênait mais comme pour le reste je le laissais faire. A chacun de ses passages il allait plus loin dans mon initiation.
Sous ses provocations je devenais un sale petit vicieux, j'en étais arrivé à me branler chaque fois que j'allais aux toilettes, je perçais le fond de mes poches de pantalon pour me toucher à tous moments. Dans mon lit je m'astiquais la colonne et jouissais dans un mouchoir. Par négligence parfois je l'oubliais et ma mère trouvait le matin le tissu souillé à la tête du lit ce qui me valait de sévères remontrances. Elle me parlait de mon ''Jus d'homme'', que c'était mauvais pour la santé... Les balivernes que nous connaissons tous. Non ! Maman ça ne rend pas sourd !
Après quelques mois dans le secret de ma chambre, les bisous de mon cousin se transformèrent en baisers d'amour comme il disait. Récalcitrant au début, j'abandonnais rapidement. La pointe de sa langue se glissait entre mes lèvres, forçait le passage de ma bouche à peine entrouverte et envahissait la place. Je découvris le goût de sa salive. La surprise passée, mes lèvres s'accouplaient aux siennes, ma langue virevoltait autour de la sienne. Ainsi comme pour le reste nous avons pris l'habitude de nous embrasser à pleine bouche, tout en nous caressant.
Pendant des mois on s'est caressé, on s'est embrassé et j'attendais avec impatience qu'il revienne. En un an il a fait de moi un ''petit cochon'', à la barbe de mes parents.
Aujourd'hui au milieu du printemps de mes 18 ans, nous en sommes là. Ce samedi Alain est, à son habitude maintenant, avec nous pour le week-end et lors du déjeuner, mes parents nous annoncent :
— Mon cher Alain, depuis que tu viens à la maison, notre petit John se transforme. Vraiment tu as une influence très positive sur lui et nous en somme contents. Cet été nous partons 15 jours en Bretagne. John souhaiterait que tu nous accompagnes et ça nous ferait grand plaisir que tu sois des nôtres. Bien sûr tout dépend de tes obligations professionnelles et de tes projets, peut-être veux-tu redescendre à Montpellier dans ta famille.
— Votre invitation est vraiment très gentille. Non je n'ai pas d'obligation et ça me ferait grand plaisir de vous accompagner. J'appelle tout de suite mes parents pour voir ce qu'ils en pensent.
Après une brève communication, on voit mon cousin revenir le sourire aux lèvres
— Bon il n'y a aucun problème et je viendrai avec vous avant de descendre dans le sud.
— Parfait Alain, si ça te va nous retiendrons une chambre pour vous deux, tu as l'habitude de partager la chambre de John, nous ne pensons pas que ça vous gênera ?
— Non pas du tout, bien sûr ça sera parfait ainsi.
— Et bien d'accord ainsi, on s'occupe de tout. Terminons le déjeuner et filons nous promener avant de vous abandonner, ce soir nous nous sommes invités.
…............................
En soirée après le dîner, les parents partis, Alain m'entraîne dans ma chambre.
— Alors Johnny, j'ai sur toi une influence positive, je fais de toi... un gentil jeune homme ! En parlant avec ma mère elle m'a dit aussi qu'après cinq ans d'absence elle serait contente de te revoir.
Sur ce, il me pousse sur son lit, tout habillés. Allongé sur le dos, lui sur le côté, penché sur moi, nous bavardons. Il me regarde intensément. Il est tout de suite entreprenant, son bras autour de mes épaules, collé à moi, je sens déjà sa verge en érection contre ma hanche.
Le coquin met son genoux entre les miens, sa cuisse se fait lourde et amorce sur mon entrejambe un mouvement qui me met le feu au ventre. En même temps qu'il m'embrasse du bout des lèvres il sort ma chemise du pantalon et sa main se faufile sur ma peau jusqu'à ma poitrine. Sous ma chemise ses doigts trouvent un téton puis l'autre, le roulent, me font mal. Sous la douleur, instinctivement mes épaules se resserrent, ma poitrine se cambre, mon visage se crispe. Il s'en amuse, me sourit, je suis en son pouvoir. Je ne vois que ses yeux, son nez sur le mien. Je me laisse embrasser. Sa langue me pénètre tout de suite profondément, tournicote, puis se retire et à mon tour je la suis jusque dans sa bouche. nos lèvres se soudent en un long baiser.
Alors sa main quitte ma poitrine et s'active à ma ceinture. A peine défaite, la braguette ouverte, elle glisse dans mon boxer, patine deux, trois fois sur mon sexe en érection, mon gland est décalotté. Depuis ses premières caresses, il y a un an, ma bistouquette est devenue une queue d'une quinzaine de centimètres, très réactive, mais rien à voir avec la banane macho de mon cousin. Sans abaisser ma culotte, il plonge jusqu'à mes testicules, les malaxe durant cinq bonnes minutes tandis que ma verge est sans cesse lutiner par son poignet. Mon fessier est alors pris de spasmes ce qui engage Alain à me quitter et se lèves :
— Dis donc, mon cochon t'es sacrément excité... T'es devenu une vraie chaudasse !
Et dans le mouvement, il se fout à poil. Son corps est musclé et totalement imberbe, depuis qu'il a décidé de s'épiler, son sexe glabre est d'autant plus impressionnant. Debout devant moi, je fais focus sur sa verge en érection. Il n'a plus besoin de me guider, je m'assieds au bord du lit hypnotisé par le membre. Ma main n'en fait pas le tour et les deux n'en couvrent pas la hauteur. Les veines saillantes et l'urètre épaisse comme mon pouce sillonnent tout le tronc. Les deux beaux œufs sont plus gros que mon poing et le gland en forme de fraise déborde largement du tronc. Je le caresse un peu, joue deux trois fois avec le prépuce qui au final forme une collerette à la base. Il est si gros, si luisant que je ne peux m'empêcher de lui donner une léchouille.
— Déshabille-toi ! M'ordonne-t-il tout en me souriant
La couverture retirée, lui allongé sur le dos, il m'attend à son habitude. Je me couche sur lui et automatiquement ses bras et ses jambes m'enserrent, me tiennent comme les tentacules d'une pieuvre, nos corps ondulent tout de suite l'un sur l'autre comme pour mieux s'épouser. Ma tête se cale au creux de son épaule. Il m'embrasse tendrement dans le cou, son bassin s'anime comme lors d'un coït. Il me fait aller d'avant en arrière, nos ventres et nos sexes se polissent. Ma bite se redresse, prend du volume mais rien en comparaison de son pieux qui me laboure le ventre. Le jeu dure un moment jusqu'à ce qu'il décide de faire un pas de plus dans mon éducation :
— On va s'embrasser autrement tu vas voir comme c'est bon.
Il fait un tête à queue, m'amène face à lui sur le côté. Je ne vois que son ventre lisse, son sexe en érection et la fourche de ses cuisses épilées. Je suis surpris par la fraîcheur et la senteur de sa peau.
— Maintenant mon p'tit Johnny, tu fais exactement ce que je te fais. Oublie les interdits, ces tabous ridicules, libère-toi, fais-toi plaisir et fais-moi plaisir !
Tel qu'il est couché, un genou relevé au ciel et l'autre sous ma tête, je vois à la jonction de ses fesses, son petit trou pour la première fois sans un poil, sombre et strié. Sa verge avec le périnée bien visible semble y prendre racine. Si proche, si nue, elle est encore plus impressionnante, si épaisse que ma bouche me semble petite, si longue que les couilles posées sur mon sternum le gland arrive à mes yeux. Je la masse doucement et la décalotte en répétant les gestes de mon cousin.
Allongés l'un face à l'autre, il ouvre le compas de mes cuisses, me tient fermement par une fesse un doigt sur l'anus et me masturbe lentement. Je reste encore un petit puceau, le prépuce accroché à la pointe du gland, tiré au maximum, me fait encore mal, malgré tout je l'accompagne d'un mouvement de bassin. Maintenant il me lèche le frein puis de la pointe de la langue taquine le méat... Je ne me décide pas à lui rendre la pareille. Face à ma réticence Alain m'ordonne :
— LÈCHE-MOI ! Fais comme moi !... Allez, vas-y !
Il accompagne son ordre d'une claque violente sur ma fesse et d'un mouvement de bassin qui projette son gland sur mes lèvres. J'hésite, j'entrouvre la bouche, la pointe de ma langue titille le frein, timidement elle s'allonge et s'étale sur tout le gland rouge et luisant. C'est vrai la peau est douce, agréable, fraîche, je commence à lécher timidement le fruit :
— OUI ! C'est bien, ce qui m'encourage et me libère de mes aprioris pour le lécher vraiment. Oui Johnny comme ça. Humm c'est bon !
Il a maintenant gobé toute la pointe et la suce comme un sucre d'orge. Alors, j'ouvre la bouche, sa main accompagne ma tête quand la pointe de son sexe passe entre mes lèvres, peu à peu le gland s'enfonce, se fait une place, la moitié du fruit est en bouche et j'ai envie d'aller plus loin.
Je reprends la manipulation du tronc. Ma bouche s'ouvre plus grande, avale entièrement le fruit, mes dents à la base sur le prépuce. J'en est plein la gueule, je lèche le frein, suce le gland et en même temps, d'une main je branle le manche et de l'autre masse les deux fruits :
— Oh Ouiiii ! Johnny suce bien... Putain que c'est bon.
Je fais alors tout pareil que lui. Presque tout...
Lui, tout en me tripotant mes olives, m'avale la tige. Je sens ses lèvres contre mon pubis, mon gland au fond de sa gorge. Ses lèvres glissent sur la peau en va-t-vient en produisant un bruit de gorge sourd:
— Grrr... Grrr... Grrr.
C'est sa main plantée dans ma fesse qui me fait aller à présent d'avant en arrière... Je sens rapidement cette jouissance qui vient du fond de mes tripes. Je ne me retiens plus, je m'abandonne. La bouche gourmande accélère ses mouvements et je lui crache trois, quatre fois ma semence, il presse la tige, me suce goulument, m'aspire, jusqu'à me vider complètement. Je respire bruyamment, ne dis pas un mot.
Le fruit que j'ai abandonné un instant se presse à mes lèvres, je le reprends, le suce doucement. Avec prudence Alain m'encourage en accentuant mon massage de petits balancements. J'astique le manche, mon pouce sur l'urètre, les autres doigts sur le tronc. Je sens un drôle de goût sur la langue, la bite se contracte dans ma main. Je relève la tête, une goutte claire, épaisse, perle à la sortie du méat, je lèche, c'est le goût que j'ai en bouche, une nouvelle perle sort :
— Alain... Tu jouis ?
— Non ! Non pas encore mais c'est bon… Continue !
Je reprends la masturbation, d'autres gouttes sortent, je lèche... Le goût ? acre, salé, je ne sais pas dire. La bite se contracte, se raidit, mon cousin gémit, murmure :
— Mmmm... Mmmm ! Ouiiii...Continue, comme ça, c'est bon... Oh putain je jouis !... Au moment où j'arrête il gueule : NON N’ARRÊTE PAS !
De rage, il maintient ma tête face à son sexe qui tressaute. Tout est hors contrôle, devant mes yeux un geyser fuse. Une giclée épaisse, blanchâtre explose du méat et me frappe la joue et les lèvres. Le jet est puissant, je ne peux pas me reculer, la bite se contracte à nouveau, se redresse violemment, l'urètre grossit et expulse à nouveau une salve, le jet part maintenant dans mes cheveux et descend sur mon front, puis une troisième jaillit et s'étale sur l'oreiller. Le sperme continue de couler par saccade, Je le reçois sur la poitrine, j'en ai partout. Avec un certain dégoût je passe ma langue sur mes lèvres pleine de foutre et étale d'un doigt le jus de ma joue et du front. Et lui s'impose
— LÈCHE-MOI, crie-t-il et dans un soupir il ajoute... Salope !
— C'est dégueu...
Mais l'ordre claque, à l'exemple de sa main sur ma fesse. Sa tendresse naturelle s'envole. Il grogne « Salope, suce ! » D'un coup de bassin il me plante son fruit couvert de sperme. Je le reçois et là, l’invraisemblablement répond à sa violence, comme une ''Salope'', à deux mains je masse la tige sur toute la longueur. Un peu de son ''jus d'homme'' coule encore. Je le garde en bouche, je découvre alors vraiment le goût : unique, indescriptible, âcre, salé. Je ne l'aime pas vraiment mais je ne le rejette pas non plus, ce n'est pas aussi dégueu que ça... Et je fais un pas de plus sur le chemin de ma dépravation. Je sais déjà que je devrai m'y habituer. La verge perd de sa superbe, fléchit, devient un gros boudin blanc à la pointe luisante de ma salive.
Alain me tient toujours la fesse, étale son sperme sur mon ventre, ma cuisse. Deux doigts glissent dans le vallon se fixent sur le petit trou.
— Que fais-tu ?
— Une petite caresse, tu n'aimes pas ?… Sans réponse de ma part il ajoute : OK ! Tu ne dis pas non, on découvrira plus tard de nouveaux jeux. Il se fait tard, viens, on va se doucher, je vais te laver, tu est couvert de sperme, t'en as plein les cheveux, sur le front, la joue, dans le cou... Petit cochon !
Pour la première fois on se retrouve sous la douche, jusqu'à maintenant la présence de mes parents nous interdisait ce plaisir. Debout et enlacés, la différence de nos statures est flagrante, il me sert contre lui, je me sens petit, fragile, fébrile. Il s'agrippe à mes fesses, les écarte, un doigt marque le sillon sans descendre trop bas. Je sens sa verge se réveiller sur mon ventre quand la mienne est prise entre ses cuisses. On reste ainsi un moment à se câliner l'un contre l'autre jusqu'à ce qu'il décide de me savonner. L'eau a déjà enlevé les traces de jouissance. Ses mains glissent sur mon corps, s'attardent sur mon sexe, le caressent, le réveillent, reviennent à mes fesses, un doigt se pose sur mon petit trou. J'ai un petit mouvement d'agacement, alors il me lâche puis se lave. Il me regarde fixement et sans gêne il se doigte un moment, les jambes légèrement arquées..
— Ben dis donc tu te laves bien, lui dis-je en rigolant.
— Humm, c'est si bon, tu découvriras plus tard pour l'instant au lit !
Heureusement on se couche vite, j'entends mes parents rentrer, dix minutes plus tôt ils nous trouvaient nus sous la douche !!!
Le sexe était tabou à la maison. Mes parents, pudibonds, ne pouvaient imaginer ce qui se passait de l'autre côté du mur de leur chambre communicante à la mienne. La porte condamnée assurait la tranquillité mais imposait le silence.
Depuis cette nuit, avec Alain nous nous revoyions régulièrement. Notre relation évoluait lentement. Alain prenait son temps pour me faire avancer sur le chemin de la perversion, j'étais timide, je ne disais rien et ne refusais rien. Je restais un gentil garçon face à un homme aussi doux que décidé.
Chaque fois qu'il venait à la maison, j'attendais le moment où il m'inviterait dans son lit. Sans parler, en souriant, il m'invitait en ouvrant la couverture. Je me glissais alors nu sous ses draps.
J'aimais comme il me caressait en douceur, comme il me plaquait avec force contre son corps, je mettais ma tête au creux de son cou, ses mains passaient de mes épaules à mon dos pour descendre à mes fesses. J'aimais comme il me couvrait de baisers, parfois sur les lèvres, souvent sur la poitrine. J'aimais comme il ''me tétais''. Je me laissais faire. Il se frottait à ma hanche et s'excitait sur mon ventre, me titillait le petit trou. Autant j'aimais sentir son gros sexe contre moi ou me labourer le ventre que sa main sur mon cul me gênait mais comme pour le reste je le laissais faire. A chacun de ses passages il allait plus loin dans mon initiation.
Sous ses provocations je devenais un sale petit vicieux, j'en étais arrivé à me branler chaque fois que j'allais aux toilettes, je perçais le fond de mes poches de pantalon pour me toucher à tous moments. Dans mon lit je m'astiquais la colonne et jouissais dans un mouchoir. Par négligence parfois je l'oubliais et ma mère trouvait le matin le tissu souillé à la tête du lit ce qui me valait de sévères remontrances. Elle me parlait de mon ''Jus d'homme'', que c'était mauvais pour la santé... Les balivernes que nous connaissons tous. Non ! Maman ça ne rend pas sourd !
Après quelques mois dans le secret de ma chambre, les bisous de mon cousin se transformèrent en baisers d'amour comme il disait. Récalcitrant au début, j'abandonnais rapidement. La pointe de sa langue se glissait entre mes lèvres, forçait le passage de ma bouche à peine entrouverte et envahissait la place. Je découvris le goût de sa salive. La surprise passée, mes lèvres s'accouplaient aux siennes, ma langue virevoltait autour de la sienne. Ainsi comme pour le reste nous avons pris l'habitude de nous embrasser à pleine bouche, tout en nous caressant.
Pendant des mois on s'est caressé, on s'est embrassé et j'attendais avec impatience qu'il revienne. En un an il a fait de moi un ''petit cochon'', à la barbe de mes parents.
Aujourd'hui au milieu du printemps de mes 18 ans, nous en sommes là. Ce samedi Alain est, à son habitude maintenant, avec nous pour le week-end et lors du déjeuner, mes parents nous annoncent :
— Mon cher Alain, depuis que tu viens à la maison, notre petit John se transforme. Vraiment tu as une influence très positive sur lui et nous en somme contents. Cet été nous partons 15 jours en Bretagne. John souhaiterait que tu nous accompagnes et ça nous ferait grand plaisir que tu sois des nôtres. Bien sûr tout dépend de tes obligations professionnelles et de tes projets, peut-être veux-tu redescendre à Montpellier dans ta famille.
— Votre invitation est vraiment très gentille. Non je n'ai pas d'obligation et ça me ferait grand plaisir de vous accompagner. J'appelle tout de suite mes parents pour voir ce qu'ils en pensent.
Après une brève communication, on voit mon cousin revenir le sourire aux lèvres
— Bon il n'y a aucun problème et je viendrai avec vous avant de descendre dans le sud.
— Parfait Alain, si ça te va nous retiendrons une chambre pour vous deux, tu as l'habitude de partager la chambre de John, nous ne pensons pas que ça vous gênera ?
— Non pas du tout, bien sûr ça sera parfait ainsi.
— Et bien d'accord ainsi, on s'occupe de tout. Terminons le déjeuner et filons nous promener avant de vous abandonner, ce soir nous nous sommes invités.
…............................
En soirée après le dîner, les parents partis, Alain m'entraîne dans ma chambre.
— Alors Johnny, j'ai sur toi une influence positive, je fais de toi... un gentil jeune homme ! En parlant avec ma mère elle m'a dit aussi qu'après cinq ans d'absence elle serait contente de te revoir.
Sur ce, il me pousse sur son lit, tout habillés. Allongé sur le dos, lui sur le côté, penché sur moi, nous bavardons. Il me regarde intensément. Il est tout de suite entreprenant, son bras autour de mes épaules, collé à moi, je sens déjà sa verge en érection contre ma hanche.
Le coquin met son genoux entre les miens, sa cuisse se fait lourde et amorce sur mon entrejambe un mouvement qui me met le feu au ventre. En même temps qu'il m'embrasse du bout des lèvres il sort ma chemise du pantalon et sa main se faufile sur ma peau jusqu'à ma poitrine. Sous ma chemise ses doigts trouvent un téton puis l'autre, le roulent, me font mal. Sous la douleur, instinctivement mes épaules se resserrent, ma poitrine se cambre, mon visage se crispe. Il s'en amuse, me sourit, je suis en son pouvoir. Je ne vois que ses yeux, son nez sur le mien. Je me laisse embrasser. Sa langue me pénètre tout de suite profondément, tournicote, puis se retire et à mon tour je la suis jusque dans sa bouche. nos lèvres se soudent en un long baiser.
Alors sa main quitte ma poitrine et s'active à ma ceinture. A peine défaite, la braguette ouverte, elle glisse dans mon boxer, patine deux, trois fois sur mon sexe en érection, mon gland est décalotté. Depuis ses premières caresses, il y a un an, ma bistouquette est devenue une queue d'une quinzaine de centimètres, très réactive, mais rien à voir avec la banane macho de mon cousin. Sans abaisser ma culotte, il plonge jusqu'à mes testicules, les malaxe durant cinq bonnes minutes tandis que ma verge est sans cesse lutiner par son poignet. Mon fessier est alors pris de spasmes ce qui engage Alain à me quitter et se lèves :
— Dis donc, mon cochon t'es sacrément excité... T'es devenu une vraie chaudasse !
Et dans le mouvement, il se fout à poil. Son corps est musclé et totalement imberbe, depuis qu'il a décidé de s'épiler, son sexe glabre est d'autant plus impressionnant. Debout devant moi, je fais focus sur sa verge en érection. Il n'a plus besoin de me guider, je m'assieds au bord du lit hypnotisé par le membre. Ma main n'en fait pas le tour et les deux n'en couvrent pas la hauteur. Les veines saillantes et l'urètre épaisse comme mon pouce sillonnent tout le tronc. Les deux beaux œufs sont plus gros que mon poing et le gland en forme de fraise déborde largement du tronc. Je le caresse un peu, joue deux trois fois avec le prépuce qui au final forme une collerette à la base. Il est si gros, si luisant que je ne peux m'empêcher de lui donner une léchouille.
— Déshabille-toi ! M'ordonne-t-il tout en me souriant
La couverture retirée, lui allongé sur le dos, il m'attend à son habitude. Je me couche sur lui et automatiquement ses bras et ses jambes m'enserrent, me tiennent comme les tentacules d'une pieuvre, nos corps ondulent tout de suite l'un sur l'autre comme pour mieux s'épouser. Ma tête se cale au creux de son épaule. Il m'embrasse tendrement dans le cou, son bassin s'anime comme lors d'un coït. Il me fait aller d'avant en arrière, nos ventres et nos sexes se polissent. Ma bite se redresse, prend du volume mais rien en comparaison de son pieux qui me laboure le ventre. Le jeu dure un moment jusqu'à ce qu'il décide de faire un pas de plus dans mon éducation :
— On va s'embrasser autrement tu vas voir comme c'est bon.
Il fait un tête à queue, m'amène face à lui sur le côté. Je ne vois que son ventre lisse, son sexe en érection et la fourche de ses cuisses épilées. Je suis surpris par la fraîcheur et la senteur de sa peau.
— Maintenant mon p'tit Johnny, tu fais exactement ce que je te fais. Oublie les interdits, ces tabous ridicules, libère-toi, fais-toi plaisir et fais-moi plaisir !
Tel qu'il est couché, un genou relevé au ciel et l'autre sous ma tête, je vois à la jonction de ses fesses, son petit trou pour la première fois sans un poil, sombre et strié. Sa verge avec le périnée bien visible semble y prendre racine. Si proche, si nue, elle est encore plus impressionnante, si épaisse que ma bouche me semble petite, si longue que les couilles posées sur mon sternum le gland arrive à mes yeux. Je la masse doucement et la décalotte en répétant les gestes de mon cousin.
Allongés l'un face à l'autre, il ouvre le compas de mes cuisses, me tient fermement par une fesse un doigt sur l'anus et me masturbe lentement. Je reste encore un petit puceau, le prépuce accroché à la pointe du gland, tiré au maximum, me fait encore mal, malgré tout je l'accompagne d'un mouvement de bassin. Maintenant il me lèche le frein puis de la pointe de la langue taquine le méat... Je ne me décide pas à lui rendre la pareille. Face à ma réticence Alain m'ordonne :
— LÈCHE-MOI ! Fais comme moi !... Allez, vas-y !
Il accompagne son ordre d'une claque violente sur ma fesse et d'un mouvement de bassin qui projette son gland sur mes lèvres. J'hésite, j'entrouvre la bouche, la pointe de ma langue titille le frein, timidement elle s'allonge et s'étale sur tout le gland rouge et luisant. C'est vrai la peau est douce, agréable, fraîche, je commence à lécher timidement le fruit :
— OUI ! C'est bien, ce qui m'encourage et me libère de mes aprioris pour le lécher vraiment. Oui Johnny comme ça. Humm c'est bon !
Il a maintenant gobé toute la pointe et la suce comme un sucre d'orge. Alors, j'ouvre la bouche, sa main accompagne ma tête quand la pointe de son sexe passe entre mes lèvres, peu à peu le gland s'enfonce, se fait une place, la moitié du fruit est en bouche et j'ai envie d'aller plus loin.
Je reprends la manipulation du tronc. Ma bouche s'ouvre plus grande, avale entièrement le fruit, mes dents à la base sur le prépuce. J'en est plein la gueule, je lèche le frein, suce le gland et en même temps, d'une main je branle le manche et de l'autre masse les deux fruits :
— Oh Ouiiii ! Johnny suce bien... Putain que c'est bon.
Je fais alors tout pareil que lui. Presque tout...
Lui, tout en me tripotant mes olives, m'avale la tige. Je sens ses lèvres contre mon pubis, mon gland au fond de sa gorge. Ses lèvres glissent sur la peau en va-t-vient en produisant un bruit de gorge sourd:
— Grrr... Grrr... Grrr.
C'est sa main plantée dans ma fesse qui me fait aller à présent d'avant en arrière... Je sens rapidement cette jouissance qui vient du fond de mes tripes. Je ne me retiens plus, je m'abandonne. La bouche gourmande accélère ses mouvements et je lui crache trois, quatre fois ma semence, il presse la tige, me suce goulument, m'aspire, jusqu'à me vider complètement. Je respire bruyamment, ne dis pas un mot.
Le fruit que j'ai abandonné un instant se presse à mes lèvres, je le reprends, le suce doucement. Avec prudence Alain m'encourage en accentuant mon massage de petits balancements. J'astique le manche, mon pouce sur l'urètre, les autres doigts sur le tronc. Je sens un drôle de goût sur la langue, la bite se contracte dans ma main. Je relève la tête, une goutte claire, épaisse, perle à la sortie du méat, je lèche, c'est le goût que j'ai en bouche, une nouvelle perle sort :
— Alain... Tu jouis ?
— Non ! Non pas encore mais c'est bon… Continue !
Je reprends la masturbation, d'autres gouttes sortent, je lèche... Le goût ? acre, salé, je ne sais pas dire. La bite se contracte, se raidit, mon cousin gémit, murmure :
— Mmmm... Mmmm ! Ouiiii...Continue, comme ça, c'est bon... Oh putain je jouis !... Au moment où j'arrête il gueule : NON N’ARRÊTE PAS !
De rage, il maintient ma tête face à son sexe qui tressaute. Tout est hors contrôle, devant mes yeux un geyser fuse. Une giclée épaisse, blanchâtre explose du méat et me frappe la joue et les lèvres. Le jet est puissant, je ne peux pas me reculer, la bite se contracte à nouveau, se redresse violemment, l'urètre grossit et expulse à nouveau une salve, le jet part maintenant dans mes cheveux et descend sur mon front, puis une troisième jaillit et s'étale sur l'oreiller. Le sperme continue de couler par saccade, Je le reçois sur la poitrine, j'en ai partout. Avec un certain dégoût je passe ma langue sur mes lèvres pleine de foutre et étale d'un doigt le jus de ma joue et du front. Et lui s'impose
— LÈCHE-MOI, crie-t-il et dans un soupir il ajoute... Salope !
— C'est dégueu...
Mais l'ordre claque, à l'exemple de sa main sur ma fesse. Sa tendresse naturelle s'envole. Il grogne « Salope, suce ! » D'un coup de bassin il me plante son fruit couvert de sperme. Je le reçois et là, l’invraisemblablement répond à sa violence, comme une ''Salope'', à deux mains je masse la tige sur toute la longueur. Un peu de son ''jus d'homme'' coule encore. Je le garde en bouche, je découvre alors vraiment le goût : unique, indescriptible, âcre, salé. Je ne l'aime pas vraiment mais je ne le rejette pas non plus, ce n'est pas aussi dégueu que ça... Et je fais un pas de plus sur le chemin de ma dépravation. Je sais déjà que je devrai m'y habituer. La verge perd de sa superbe, fléchit, devient un gros boudin blanc à la pointe luisante de ma salive.
Alain me tient toujours la fesse, étale son sperme sur mon ventre, ma cuisse. Deux doigts glissent dans le vallon se fixent sur le petit trou.
— Que fais-tu ?
— Une petite caresse, tu n'aimes pas ?… Sans réponse de ma part il ajoute : OK ! Tu ne dis pas non, on découvrira plus tard de nouveaux jeux. Il se fait tard, viens, on va se doucher, je vais te laver, tu est couvert de sperme, t'en as plein les cheveux, sur le front, la joue, dans le cou... Petit cochon !
Pour la première fois on se retrouve sous la douche, jusqu'à maintenant la présence de mes parents nous interdisait ce plaisir. Debout et enlacés, la différence de nos statures est flagrante, il me sert contre lui, je me sens petit, fragile, fébrile. Il s'agrippe à mes fesses, les écarte, un doigt marque le sillon sans descendre trop bas. Je sens sa verge se réveiller sur mon ventre quand la mienne est prise entre ses cuisses. On reste ainsi un moment à se câliner l'un contre l'autre jusqu'à ce qu'il décide de me savonner. L'eau a déjà enlevé les traces de jouissance. Ses mains glissent sur mon corps, s'attardent sur mon sexe, le caressent, le réveillent, reviennent à mes fesses, un doigt se pose sur mon petit trou. J'ai un petit mouvement d'agacement, alors il me lâche puis se lave. Il me regarde fixement et sans gêne il se doigte un moment, les jambes légèrement arquées..
— Ben dis donc tu te laves bien, lui dis-je en rigolant.
— Humm, c'est si bon, tu découvriras plus tard pour l'instant au lit !
Heureusement on se couche vite, j'entends mes parents rentrer, dix minutes plus tôt ils nous trouvaient nus sous la douche !!!
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Texte très excitant , je passe à la suite
Une étape importante!
MERCI @Caro 16
Ce sont bientôt les vacances. Tu n'auras pas beaucoup à attendre pour retrouver ces deux coquins dans le même lit.
Ce sont bientôt les vacances. Tu n'auras pas beaucoup à attendre pour retrouver ces deux coquins dans le même lit.
Un très beau récit bien écrit. J'attends la suite avec impatience.
Vivement les vacances en Bretagne.
Félicitations.
Roger
Vivement les vacances en Bretagne.
Félicitations.
Roger
MERCI @Portdebrest pour ton appréciation et tes encouragements
Le temps des vacances approche, Alain y retrouvera le petit Johnny.
Le temps des vacances approche, Alain y retrouvera le petit Johnny.
@Equidam je te remercie
Voilà un ventre glabre et un engin au gland bien dégagé tout pareil à celui de mon cousin
Retrouve moi vite.
Voilà un ventre glabre et un engin au gland bien dégagé tout pareil à celui de mon cousin
Retrouve moi vite.
Un beau récit bien écrit. Vivement la suite.
Ton récit m'a beaucoup excité, j'espère que le mien te plaira.
bisous coquins
bisous coquins
Bravo !!! Très beau récit, Une suite s'impose puisque ce sont bientôt les vacances... Et surement la découverte du plaisir total. Bises
Magnifique écriture, beaucoup de sensualité, un plaisir de te lire.
Vivement la suite !
Bravo
M@ximus
Vivement la suite !
Bravo
M@ximus