Initiation - histoire érotique

Lorsque j'avais une dizaine d'années, avec mon voisin Kajic, âgé de quelques années de plus que moi jouons souvent ensemble.
Nous parlions souvent ensemble ; Un jour, il m’a demandé si je savais comment faisaient les lions avec leurs lionnes. Étonné par sa question, je lui ai répondu : « Non !»
Il m’a expliqué que le lion se mettait sur le dos de la lionne qui était allongée. Et qu’il mettait son zizi entre les cuisses de la lionne et qu’il aimait beaucoup ça.
- Ah bon, et la lionne ne dit rien ?
- Non , elle aime aussi que le lion monte sur elle.
- Comment fait-il ?
- Des fois ton zizi devient dur et bien le lion quand son zizi est dur, il monte sur la lionne.
- Ah bon !
- Tu as déjà caressé ton zizi quand il est dur ?
- Oui quelques fois.
- Tu aimes te caresser.
- Oui, j’aime bien.
Nous avons continué à bavarder tranquillement le reste de l’après-midi.
Nous avons continué à jouer le reste de l’après-midi, mais j’ai remarqué qu’il avait une bosse dans son short.

Le lendemain, je suis allé le revoir, j’aimais bien sa compagnie.
-Bonjour Jean
-Bonjour Kajic
-Tu aimes les bandes dessinées de cow-boys
-Oui je les regarde
-Tu me suis dans ma cave, j’en ai beaucoup à te montrer.
Nous sommes descendus à la cave, effectivement, il en avait beaucoup.
-Tu te souviens de notre conversation d’hier.
-Oui, sur les zizis durs.
-Le mien est tout dur, tu veux le voir ?
-Oui, je n’ai jamais vu d’autres zizis que celui de mon frère.
-Vous jouez à vous le montrer ?
-Oui bien sûr.
-Regarde le mien.
-Oh, il est gros et il a des poils.
-Tu peux le toucher, mais montre-moi le tien.
-D’accord.
- Alors fais comme moi, enlève ton short.
J’avais déjà été nu devant mon frère et mes sœurs, mais jamais devant des étrangers de la famille.
-Je peux le toucher, et toi toucher ma quéquette.
Nous nous sommes caressés nos quéquettes.
- On devrait se caresser le zizi ensemble, tu veux bien ?
- Si tu veux
- Demain, on pourrait le faire dans le grenier de la remise. Il y a du foin, on sera bien.
- D’accord, tu me montreras.
- Ne met pas de slip, ce sera plus pratique.
Le lendemain, je lui ai rendu visite.
- Bonjour Kajic, on joue ensemble.
- Bonjour Jean, tu as fait ce que je t’avais demandé, tu ne portes pas de slip.
- Oui comme tu me l’as dit.
- Tu aimes avoir ta zigounette libre sous ton short, moi en été je ne mets pas de slip.
- Oui, je sens l’air qui entre dans mon short.
- Bien, on va discrètement monter dans le grenier de la remise.
Kajic a vérifié que ses parents étaient occupés, m’a fait entrer dans la remise. Il est monté à l’échelle et a ouvert la trappe d’accès au grenier. Je l’ai suivi et une fois tous les deux dans le grenier, il a refermé la trappe.
- Bon nous allons être tranquille ici, le foin ne sert que pour l’hiver.
Nous nous sommes installés confortablement dans le foin.
Kajic a ôté son short et l’a installé sur son siège improvisé pour s'asseoir dessus. Sa bite était déjà toute raide. Il a enroulé ses doigts autour et a commencé à faire coulisser sa main de bas en haut sur son bâton.
Je le regardais avec étonnement. Je me touchais de temps en temps bien sûr, mais jamais comme il le faisait. Quelques fois son gland luisant sortait du fourreau de son prépuce. Avec mon frère plus jeune, on touchait nos quéquettes raides, mais jamais de cette façon.
- Tu aimes voir mon zizi tout dur, tu devrais faire pareil que moi.
- Je n’ai jamais vu une bite comme la tienne, aussi grosse avec des poils.
- Quand tu auras mon âge toi aussi tu en auras.
- Ton gland humide me fait de l’effet.
Je me suis levé et j’ai baissé mon short. Je me suis assis dessus les jambes serrées.
- N’aie pas honte, j’avais aussi un petit zizi à ton âge, écarte tes cuisses.
Avec un peu de rouge aux joues, je me suis exécuté, mon escargot était tout recroquevillé.
- Touche-toi un peu pour le faire devenir raide, la vue de mon sexe ne te plait pas ?
- Si, mais c’est la première fois que je montre mon zizi.
Il a tendu sa main libre pour toucher ma quéquette. C’était agréable de sentir une autre main me toucher.
- Alors tu aimes ?
- Oui, je commence à raidir.
- Alors fais comme moi.
J’ai enserré mon bâton avec ma main. Et j’ai recopié le mouvement qu'il faisait sur sa tige.
Je voyais son gland rose humide sortir de sa gaine, mes yeux étaient rivés dessus.
Nous nous sommes caressés longtemps ensemble.
Je prenais du plaisir à me caresser en le regardant.
Après de longues minutes, Kajic a poussé un petit cri et un liquide épais est sorti de son petit trou où le pipi sort normalement.
Je regardais avec stupeur.
- Ne t’inquiète pas, quand tu seras plus grand, ce sera pareil pour toi. Et tu aimeras beaucoup. Tu veux que je te caresse avec ma main ?
- Je ne sais pas ?
Il a tendu sa main et a pris ma bite dans ses doigts, elle est devenue un peu plus raide sous ses doigts. Il m’a branlé quelques minutes.
Si tu veux, on recommencera demain.
Oh oui, ça me fait beaucoup de choses agréables.
Le lendemain
Je retrouve Kajic chez lui.
Nous restons quelques minutes à parler devant chez lui.
Et il me demande si ça me dirait de faire une petite promenade dans la forêt pas très loin du village.
- Je connais un endroit dans les taillis où personne ne viendra nous déranger.
Nous sommes partis vers la forêt, il avait pris la précaution de préparer un petit sac avec une vieille couverture et une gourde d’eau.
Après deux ou trois kilomètres, nous nous sommes enfoncés dans les fourrés. Un petit bosquet bien touffu se trouvait là. Après avoir pénétré à l’intérieur non sans mal, un petit espace dégagé est apparu. Kajic a étendu la couverture.
- Nous serons mieux là, chez moi, c’était trop risqué.
- Oui tu as raison, j’avais un peu peur que tes parents viennent dans la remise.
- Moi aussi. Mettons-nous à l’aise.
Il se déshabilla complètement.
- Nous n’avons rien à craindre personne nous verra et nous n’avons pas besoin de nous rhabiller rapidement.
Je fis comme lui. Nu comme un ver.
- Tu aimes être nu dans la nature, c’est agréable non !
- Oui, ça fait un peu drôle.
- Nous sommes des hommes sauvages maintenant.
Il se plaqua dans mon dos et prit ma petite verge dans ses mains. Je sentais la sienne grossir entre mes fesses.
- Tu aimes que je te caresse.
- Oui j’aime tes mains sur mon kiki.
- Alors chacun va caresser celle de l’autre, tu veux bien ?
- D’accord mais je ne sais trop y faire.
- Tu apprendras vite.
Nous sommes allongés tête-bêche sur la couverture. J’avais sa bite au niveau de ma tête. Je l’ai prise en main et je l’ai sentie battre en creux de ma main. J’ai fait coulisser son prépuce sur toute la longueur et découvert entièrement son gland humide. Il faisait de même avec ma petite zézette.
Je l’ai branlé longuement. J’avais du plaisir à sentir battre sa queue et de la voir se gonfler de plaisir.
Après quelques minutes, j’ai senti des bisous sur mon gland.
- Tu aimes, j’avais envie de l’embrasser.
- Oui c’est doux, continue.
- Tu peux faire comme-moi si tu veux ?
- On verra.
Son gland humide ressemblait tellement à une sucette que j’ai posé mes lèvres dessus. Le goût de son sexe n’était pas si désagréable. Je me suis enhardi à lui donner plein de bisous.
- Oh oui, continue c’est bon ce que tu me fais.
Soudain, j’ai senti autour de mon gland une douce caresse humide et chaude. Kajic me suçait le gland.
Il s’est arrêté quelques secondes.
- Tu aimes petit.
- Oh oui c’est doux.
Il a repris sa caresse. Son gland devenait de plus en plus humide et l’odeur qui s’en dégageait m'enivrait. À mon tour, j'ai mis son gland dans ma bouche et j’ai commencé à le téter.
Nous sommes restés de longues minutes à nous branler et sucer.
- Tu devrais arrêter, si tu ne veux pas avoir ma sauce dans la bouche.
Je l’ai branlé jusqu’au jus, tandis qu’il me suçait de plus belle. Son jus est sorti tel un volcan qui crache sa lave. J’en avais plein la main.
-Petit salaud, tu m’as vidé. Tu me branle comme un chef. Je ne peux te rendre le même plaisir, tu es encore un peu jeune pour gicler.
- J’ai pris beaucoup de plaisir que tu me suces ma quéquette.
- Tu en as plein les doigts, tu vois à quoi peut servir la gourde.
Je me suis rincé les doigts et je suis allongé à côté de lui. Il m’a caressé tendrement.
- Tu sais, j’ai déjà goûté mon jus. Ce n’est pas désagréable.
- Ah oui.
- Malheureusement je n’ai pu goûter que le mien. Je voudrais bien comparer un jour.
- Tu aimerais que je goûte le tien.
- Oh oui, mais si seulement tu n’es pas dégoûté par son aspect gluant.
- On verra, un jour peut-être.
Il était temps de rentrer chez soi.
Nous nous sommes promis de nous revoir le plus souvent possible.
Plusieurs fois, nous sommes retournés dans notre endroit secret.
Puis un jour, je me suis agenouillé à ses pieds, j’ai baissé son short et j’ai téter sa bite jusqu’au jus. Il m’a déchargé son jus chaud au fond de la gorge. Loin d’être écœuré, consciencieusement je lui ai nettoyé tout le nectar qu’il avait sur sa queue avec ma langue.
- Il m’a remercié en me branlant ma petite queue avec ses lèvres de longues minutes. Bien sûr à mon âge aucune semence n’a pu sortir.
Quelques jours plus tard nous nous sommes retrouvés.
- Je t’avais dit comment les lions font avec leurs lionnes.
- Oui je me rappelle.
- Je voudrais faire comme le lion. Je ne ferais pas mal.
- Si tu veux.
Il m’allongea sur le ventre et il est venu mettre sa bite entre mes fesses. Longtemps il s’est caressé dans la raie de mes fesses. Je n’étais pas insensible à sentir sa queue palpiter dans ma raie.
- Ma lionne tu aimes ça hein !!!
- Oui j’aime ta grosse queue sur mon cul.
- Alors je vais remplir ta raie.
Et il éjacula dans ma raie toute sa semence.
Depuis ce jour, il trouvait toujours un moyen pour m’attirer chez lui pour frotter sa bite dans ma raie.
Nous ne sommes jamais allés plus loin.
Mes tendances bi viennent sûrement de ma jeunesse.