Initiation à la pluralité
Récit érotique écrit par Nyalis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation à la pluralité
Ce récit fait suite à celui intitulé « initiation à la sodomie » par mon maître et amant.
Un jour, il m’appelle et m’invite à une soirée chez lui, en me disant : je reçois quelques amis. Viens te joindre à nous. Intrigué et curieux, j’accepte l’invitation.
Je me rends chez lui, après le travail, en costume-cravate, le look d’un jeune cadre dynamique.
Plutôt en retard, j’arrive après ses invités. Ah te voilà enfin ! S’exclame-t-il en m’ouvrant la porte. Cinq hommes sont déjà là, en train de siroter un premier verre et grignoter quelques amuse-gueules. Ils ont 50-60 ans et me dévisagent des pieds à la tête, appréciateurs. Mon hôte fait les présentations. Je suis gentiment accueilli par ces messieurs d’âge mûr, qui semblent ravis de ma venue. Ils m’encouragent à tomber la cravate et me mettre à l’aise. Une place m’est faite au milieu du canapé confortable. Un verre m’est proposé. Je me détends petit à petit et me joins à la conversation. Ils plaisantent, parlent de tout et de rien. Ils sont discrets à mon sujet et respectent ma réserve. Malgré la différence de génération et d’âge, j’ai 20 à 30 ans de moins qu’eux, je me sens bien à leur côté. La conversation va bon train. Ils me racontent plus ou moins leur vie, comment ils se sont connus avec mon mentor. Après quelques verres, les plus extravertis me tutoient. J’ai droit à quelques compliments, des regards gourmands, une main ou deux qui se posent furtivement sur ma cuisse pour établir un lien tactile. On me taquine, provoque légèrement. J’apprécie cette ambiance subtilement érotique. Je sens monter l’excitation en moi. La sensation de la verge et des couilles plus lourdes. J’aime plaire, être désirable et désiré. Tous ces hommes ont un point commun : leur attirance pour la gent masculine, de préférence jeune et séduisante. Avec mon allure juvénile qui me fait paraître quelques années de moins, mon physique mince et sportif, j’ai un succès certain auprès de cette petite assemblée. Mon hôte semble content de la tournure de la soirée, fier de leur présenter son jeune amant et de l’effet que j’ai auprès de ses amis. Soudain, il s’adresse à moi à haute voix et me dit : je t’ai acheté un joli string. J’aimerais que tu l’essaies. Bêtement embarrassé, je lui réponds : là, maintenant ? Mais oui ! rétorque-t-il. Ses copains, à peine surpris, m’encouragent à leur tour. Essaies-le, n’aies pas peur. Fais-nous plaisir. On sait ce que c’est un homme en string. On a envie de voir ton corps de sportif et autres réflexions du même genre.
La gorge sèche tout à coup, le cœur battant plus fort, j’hésite entre un refus poli ou partir précipitamment. Le salaud ! c’était donc ça l’idée qu’il avait derrière la tête en m’invitant. M’exhiber à ses amis comme.. comme quoi au fait ? ce que je suis ? un mec qui aime l’excitation et le plaisir de l’exhib. Il le sait et il en joue. Quelques secondes d’hésitation plus tard, j’ai décidé. C’est plus fort que moi. Mes pulsions me poussent à entrer dans le jeu. Après tout, je ne risque rien avec eux.
Je me lève avec leurs encouragements et me dirige vers la chambre où tu trouveras le string sur le lit me dit-il. Le string est en fait un cache-sexe au tissu fin et soyeux. Les mains tremblantes d’excitation, je me déshabille entièrement et revêts le triangle de tissu relié par de fines cordelettes autour de la ceinture et entre les fesses. Dans le miroir, je me vois diablement sexy, pratiquement nu, les fesses à l’air, juste le sexe contenu par le bout de tissu. Sexe qui a pris du volume. La situation m’émoustille sérieusement. Heureusement, le tissu est extensible. Je positionne mon pénis bien soutenu à la verticale dans le cache sexe moulant. Je me regarde une dernière fois dans le miroir, respire à fond et retourne au salon. Je suis reçu par des exclamations d’approbation : ah oui ! superbe ! qu’il est beau ! sexy ! Le cœur battant, le souffle court, je vais au-devant d’eux aussi naturellement que possible. Et je me prends au jeu de l’exhib. Sous leurs yeux écarquillés, vicieux et gourmands, je marche – provocant - fesses cambrées ou bassin projeté vers l’avant, le cache sexe distendu par le pénis en érection totale. J’adore m’exhiber devant des voyeurs vicieux et complices. J’aime provoquer le désir d’un homme, le faire bander. Ce petit jeu coquin dure 2 à 3 minutes. Le jeune homme sérieux, à l’apparence masculine, s’est transformé en un mâle coquin. Je m’approche à portée des mains qui me palpent les fesses et la queue dressée, prête à bondir hors du cache sexe. Enlèves-lui dit mon maître à l’un de ses complices. Deux mains attrapent la cordelette et font glisser le petit bout de tissu. Superbement nu, la queue pointant vers le plafond, je les défie de nouveau. Je m’approche à portée de mains, on m’attire sur le canapé où je m’affale bras et jambes écartées. Ils se resserrent autour de moi, à mes côtés, agenouillés devant, debout derrière moi. Alors commence un moment de folie. On me palpe, pelote, embrasse à pleine bouche, titille les seins, on prend ma queue en bouche, les couilles malaxées par une main douce et ferme. Tous mes sens s’embrasent. Toutes ces mains et bouches en même temps partout sur mon corps, c’est fort, c’est trop. Je gémis, je sens venir un premier orgasme des pointes de seins que j’ai très sensibles. Je crie mon plaisir. L’homme agenouillé me gobe les couilles, un autre penché sur ma queue me fait une pipe royale. Un doigt mouillé s’aventure sous mes fesses et cherche ma rosette. Seul mon maître est en retrait. Il assiste au viol consenti de son disciple. Visiblement, le spectacle l’excite. Il se masturbe. Les vêtements des uns et des autres sont maintenant éparpillés dans la pièce. La partouze entre hommes a commencé. Mais ce soir, c’est moi l’objet du désir. Je suis dominé par ces hommes vicieux, excités par mon corps, ma jeunesse, mon sexe, mon cul. Ils me font mettre à quatre pattes sur le canapé. Une langue s’approprie ma rosette léchée avec gourmandise. Des mains s’emparent de mon sexe bandé, mes couilles rondes. Un sexe force ma bouche. Qu’importe ! je suis tellement excité que je le suce et le lèche tel un animal affamé. Je suis alors « salope » avide de sexe, de jouissance. Un doigt a pénétré mon cul offert et obscène. Il s’extasie : putain qu’il est beau, bien épilé ! une vraie chatte !
Un autre s’approche, prêt au viol de mon intimité, la queue bandée, recouverte de l’indispensable latex. Je réclame le lubrifiant. Un doigt charitable répand abondamment le gel sur ma rosette et à l’intérieur du fourreau. Je suis prêt à la saillie. Terriblement excité. Un sexe mince s’introduit en moi facilement. Un autre sexe est dans ma bouche. Je perds le sens des réalités. Je ne sais plus qui est en moi, ni à qui appartient celui que j’ai en bouche. Je ne pense plus qu’à jouir du moment, des mains qui me pelotent, du goût du sexe dans ma bouche, des sexes qui se succèdent dans mon fourreau dilaté. Totalement offert, je suis un animal sexuel, doté d’une croupe avec un fourreau doux, souple et chaud fait pour recevoir le sexe des mâles amateurs de croupes masculines. Ce soir-là, j’ai découvert la pluralité masculine. L’incroyable plaisir et jouissance d’être offert à plusieurs mâles dévoués à mon plaisir. Les cinq invités m’ont sailli et laissé le cul en feu, comblé. L’homme bi que j’étais est devenu une véritable « salope ». Cette soirée s’est terminée au milieu de la nuit. Des odeurs de sexe, de sueur flottaient dans le salon. Les invités nous ont quittés avec force remerciement s, compliments et promesses de se revoir si l’on voulait. Mon maître m’a avoué les avoir choisis parmi ses connaissances pour leur personnalité vicieuse et active. Il les avait briefés à propos de mon penchant exhibitionniste. Il me dit aussi avoir pris beaucoup de plaisir à me voir délirer dans leurs mains, voir leurs queues aller et venir entre mes fesses épanouies. De cette soirée, j’ai gardé un goût certain pour la pluralité masculine, que j’ai souvent recherchée dans les lieux de rencontre, saunas club, forêts, plages coquines…Mais ceci fera l'objet d'autres récits.
Un jour, il m’appelle et m’invite à une soirée chez lui, en me disant : je reçois quelques amis. Viens te joindre à nous. Intrigué et curieux, j’accepte l’invitation.
Je me rends chez lui, après le travail, en costume-cravate, le look d’un jeune cadre dynamique.
Plutôt en retard, j’arrive après ses invités. Ah te voilà enfin ! S’exclame-t-il en m’ouvrant la porte. Cinq hommes sont déjà là, en train de siroter un premier verre et grignoter quelques amuse-gueules. Ils ont 50-60 ans et me dévisagent des pieds à la tête, appréciateurs. Mon hôte fait les présentations. Je suis gentiment accueilli par ces messieurs d’âge mûr, qui semblent ravis de ma venue. Ils m’encouragent à tomber la cravate et me mettre à l’aise. Une place m’est faite au milieu du canapé confortable. Un verre m’est proposé. Je me détends petit à petit et me joins à la conversation. Ils plaisantent, parlent de tout et de rien. Ils sont discrets à mon sujet et respectent ma réserve. Malgré la différence de génération et d’âge, j’ai 20 à 30 ans de moins qu’eux, je me sens bien à leur côté. La conversation va bon train. Ils me racontent plus ou moins leur vie, comment ils se sont connus avec mon mentor. Après quelques verres, les plus extravertis me tutoient. J’ai droit à quelques compliments, des regards gourmands, une main ou deux qui se posent furtivement sur ma cuisse pour établir un lien tactile. On me taquine, provoque légèrement. J’apprécie cette ambiance subtilement érotique. Je sens monter l’excitation en moi. La sensation de la verge et des couilles plus lourdes. J’aime plaire, être désirable et désiré. Tous ces hommes ont un point commun : leur attirance pour la gent masculine, de préférence jeune et séduisante. Avec mon allure juvénile qui me fait paraître quelques années de moins, mon physique mince et sportif, j’ai un succès certain auprès de cette petite assemblée. Mon hôte semble content de la tournure de la soirée, fier de leur présenter son jeune amant et de l’effet que j’ai auprès de ses amis. Soudain, il s’adresse à moi à haute voix et me dit : je t’ai acheté un joli string. J’aimerais que tu l’essaies. Bêtement embarrassé, je lui réponds : là, maintenant ? Mais oui ! rétorque-t-il. Ses copains, à peine surpris, m’encouragent à leur tour. Essaies-le, n’aies pas peur. Fais-nous plaisir. On sait ce que c’est un homme en string. On a envie de voir ton corps de sportif et autres réflexions du même genre.
La gorge sèche tout à coup, le cœur battant plus fort, j’hésite entre un refus poli ou partir précipitamment. Le salaud ! c’était donc ça l’idée qu’il avait derrière la tête en m’invitant. M’exhiber à ses amis comme.. comme quoi au fait ? ce que je suis ? un mec qui aime l’excitation et le plaisir de l’exhib. Il le sait et il en joue. Quelques secondes d’hésitation plus tard, j’ai décidé. C’est plus fort que moi. Mes pulsions me poussent à entrer dans le jeu. Après tout, je ne risque rien avec eux.
Je me lève avec leurs encouragements et me dirige vers la chambre où tu trouveras le string sur le lit me dit-il. Le string est en fait un cache-sexe au tissu fin et soyeux. Les mains tremblantes d’excitation, je me déshabille entièrement et revêts le triangle de tissu relié par de fines cordelettes autour de la ceinture et entre les fesses. Dans le miroir, je me vois diablement sexy, pratiquement nu, les fesses à l’air, juste le sexe contenu par le bout de tissu. Sexe qui a pris du volume. La situation m’émoustille sérieusement. Heureusement, le tissu est extensible. Je positionne mon pénis bien soutenu à la verticale dans le cache sexe moulant. Je me regarde une dernière fois dans le miroir, respire à fond et retourne au salon. Je suis reçu par des exclamations d’approbation : ah oui ! superbe ! qu’il est beau ! sexy ! Le cœur battant, le souffle court, je vais au-devant d’eux aussi naturellement que possible. Et je me prends au jeu de l’exhib. Sous leurs yeux écarquillés, vicieux et gourmands, je marche – provocant - fesses cambrées ou bassin projeté vers l’avant, le cache sexe distendu par le pénis en érection totale. J’adore m’exhiber devant des voyeurs vicieux et complices. J’aime provoquer le désir d’un homme, le faire bander. Ce petit jeu coquin dure 2 à 3 minutes. Le jeune homme sérieux, à l’apparence masculine, s’est transformé en un mâle coquin. Je m’approche à portée des mains qui me palpent les fesses et la queue dressée, prête à bondir hors du cache sexe. Enlèves-lui dit mon maître à l’un de ses complices. Deux mains attrapent la cordelette et font glisser le petit bout de tissu. Superbement nu, la queue pointant vers le plafond, je les défie de nouveau. Je m’approche à portée de mains, on m’attire sur le canapé où je m’affale bras et jambes écartées. Ils se resserrent autour de moi, à mes côtés, agenouillés devant, debout derrière moi. Alors commence un moment de folie. On me palpe, pelote, embrasse à pleine bouche, titille les seins, on prend ma queue en bouche, les couilles malaxées par une main douce et ferme. Tous mes sens s’embrasent. Toutes ces mains et bouches en même temps partout sur mon corps, c’est fort, c’est trop. Je gémis, je sens venir un premier orgasme des pointes de seins que j’ai très sensibles. Je crie mon plaisir. L’homme agenouillé me gobe les couilles, un autre penché sur ma queue me fait une pipe royale. Un doigt mouillé s’aventure sous mes fesses et cherche ma rosette. Seul mon maître est en retrait. Il assiste au viol consenti de son disciple. Visiblement, le spectacle l’excite. Il se masturbe. Les vêtements des uns et des autres sont maintenant éparpillés dans la pièce. La partouze entre hommes a commencé. Mais ce soir, c’est moi l’objet du désir. Je suis dominé par ces hommes vicieux, excités par mon corps, ma jeunesse, mon sexe, mon cul. Ils me font mettre à quatre pattes sur le canapé. Une langue s’approprie ma rosette léchée avec gourmandise. Des mains s’emparent de mon sexe bandé, mes couilles rondes. Un sexe force ma bouche. Qu’importe ! je suis tellement excité que je le suce et le lèche tel un animal affamé. Je suis alors « salope » avide de sexe, de jouissance. Un doigt a pénétré mon cul offert et obscène. Il s’extasie : putain qu’il est beau, bien épilé ! une vraie chatte !
Un autre s’approche, prêt au viol de mon intimité, la queue bandée, recouverte de l’indispensable latex. Je réclame le lubrifiant. Un doigt charitable répand abondamment le gel sur ma rosette et à l’intérieur du fourreau. Je suis prêt à la saillie. Terriblement excité. Un sexe mince s’introduit en moi facilement. Un autre sexe est dans ma bouche. Je perds le sens des réalités. Je ne sais plus qui est en moi, ni à qui appartient celui que j’ai en bouche. Je ne pense plus qu’à jouir du moment, des mains qui me pelotent, du goût du sexe dans ma bouche, des sexes qui se succèdent dans mon fourreau dilaté. Totalement offert, je suis un animal sexuel, doté d’une croupe avec un fourreau doux, souple et chaud fait pour recevoir le sexe des mâles amateurs de croupes masculines. Ce soir-là, j’ai découvert la pluralité masculine. L’incroyable plaisir et jouissance d’être offert à plusieurs mâles dévoués à mon plaisir. Les cinq invités m’ont sailli et laissé le cul en feu, comblé. L’homme bi que j’étais est devenu une véritable « salope ». Cette soirée s’est terminée au milieu de la nuit. Des odeurs de sexe, de sueur flottaient dans le salon. Les invités nous ont quittés avec force remerciement s, compliments et promesses de se revoir si l’on voulait. Mon maître m’a avoué les avoir choisis parmi ses connaissances pour leur personnalité vicieuse et active. Il les avait briefés à propos de mon penchant exhibitionniste. Il me dit aussi avoir pris beaucoup de plaisir à me voir délirer dans leurs mains, voir leurs queues aller et venir entre mes fesses épanouies. De cette soirée, j’ai gardé un goût certain pour la pluralité masculine, que j’ai souvent recherchée dans les lieux de rencontre, saunas club, forêts, plages coquines…Mais ceci fera l'objet d'autres récits.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sympa et bien racontée . Le désir monte au fil de la lecture
vraiment très excitant ! et pas question de douleur, que du plaisir, sans bla bla, bravo