INITIATION À LA SODOMIE – Éloge de la candeur (06)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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INITIATION À LA SODOMIE – Éloge de la candeur (06)
INITIATION À LA SODOMIE – Éloge de la candeur (06)
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie.
Vers onze heures du matin, Sandy s'éveille lentement, étirant ses membres endoloris, conséquence logique des ébats impétueux auxquels elle s'est livrée la veille. Elle regarde son amant avec curiosité et une certaine tendresse. Incroyable que cet homme qui a dépassé l'âge de la cinquantaine puisse l’avoir entraîné dans une telle débauche. Elle ne regrette pas l'initiation invraisemblable qu'il s’est complu à lui faire subir en si peu de temps, appréciant ce qu'elle a failli ne jamais connaître. Ses sens étant à présent parfaitement assouvis, elle juge bien différemment tout ce qui touche à la sexualité.
Reconnaissante, elle se penche sur le pénis tout recroquevillé de Paul qui dort encore paisiblement, puis, elle le prend dans sa bouche comme elle l'a fait la veille à son réveil. La verge grossit rapidement entre les lèvres pulpeuses, aussi, elle suce le membre, jusqu'à ce qu'il tressaute dans le fond de sa gorge, laissant gicler au fond de son palais le sperme qu'elle avale maintenant avec une certaine perversion. Paul qui est bel et bien réveillé à présent remercie sa compagne pour la « gâterie » qu'elle vient de lui administrer. Ils s'embrassent tendrement pendant de longues minutes. Ensuite, Sandy s'allongeant près de son compagnon, entame la conversation.
- Tu sais mon chéri, je ne te remercierais jamais assez, pour tout ce que tu me fais connaitre depuis quelques jours. Jamais, je n'aurais pu imaginer que de telles choses existaient et surtout le plaisir très réel que l'on pouvait en retirer. Hier soir, bien que vous m'ayez affreusement épouvanté, je m'étais résignée à ce que vous me sodomisiez, toi et Jacques.
Paul proteste de ce qu'il ne veut en aucun cas la forcer à subir une sodomie, qu'elle ne consentirait pas d'elle-même. Lui et ses amis sont certainement des jouisseurs et des pervers, mais ce ne sont pas des violeurs. Alors Sandy reprend.
- Après tout ce que vous avez fait devant moi, j'avoue que j'en avais même très envie, bien que je sois morte d'inquiétude, à l'idée d'être endommagé dans mon petit endroit, quoique je voudrais bien connaître ces sensations qui apparemment ont fait jouir intensément Corinne et Maud. Oh ! Mon Dieu, dans quelle situation dépravée je me trouve maintenant, je n'en reviens pas de ce que tu arrives à me faire accepter et souhaiter.
Paul regarde avec attention la jeune femme qui découvre sa sensualité à la fois voluptueuse et perverse, certainement latente chez elle depuis très longtemps. Il saute sur l'occasion, lui confiant que si elle consent à se faire dépuceler son anus, il faudra qu'elle accepte par avance d'aller jusqu'au bout, car lorsqu'il l'aura initiée à la sodomie avec toutes les précautions d'usage cela va de soi, il faudra qu'elle offre son cul à la grosse bite de son ami Jacques, sera-t-elle d'accord ? Sandy reste un moment sans voix, car elle est affolée par les propos obscènes qu'elle vient d'entendre, puis, se lovant contre son amant, elle lui souffle, étonnée de sa hardiesse et de la crudité de ses propos.
- Je suis d'accord mon chéri. Je t'offre la virginité de mon derrière. Tu peux en faire ce que tu voudras. Même si je te crie d'arrêter n'en tiens pas compte. Prends mon cul mon chéri, j'ai tellement envie de sentir ta verge forcer la porte de mon anus. Oh ! Mon Dieu. Et puis, je veux que la grosse queue de Jacques s'enfonce dans ma croupe. Je suis folle, je dis n'importe quoi, mais j'ai tellement envie de vos bites dans mes deux endroits. Mon chéri, je t'assure, vous pourrez me prendre tous les deux comme vous l'avez fait à Maud. Je t'en supplie ! Accepte. Violez-moi tous les deux. Regarde comme je jouis. Vois ma moule, je n'en peux plus de me masturber. Oh !... Mhmmmmmmmmmm...... Ouiiiii.... Aaaaarrrrrrrrrr......
Sandy est complètement déchaînée, elle a retiré le drap, découvrant sa nudité, alors que ses deux mains sont enfouies dans son vagin, se triturant violemment ses chairs, subissant la surexcitation des paroles qu'elle vient de prononcer, ce qui a déclenché sa crise hystérique. À ce moment, la soubrette frappe à la porte et entre, apportant les plateaux du petit-déjeuner. Elle regarde avec un grand sourire Sandy qui s'astique la moule, le visage complètement défait par la volupté qu'elle ressent. Elle l'embrasse avec affection, lui caressant au passage les seins, ce qui fait frémir la belle nymphomane, puis elle applique un baiser sur les lèvres de Paul qui tout en lui caressant ses fesses, lui demande d'apporter un certain matériel afin d'initier sa compagne à la sodomisation.
En même temps, il sollicite son assistance pour qu'elle leur apporte sa collaboration à la préparation de l’acte sodomite. Maud sourit, puis glissant une main sous le drap, elle tâte l'entrecuisse de Sandy qui laisse s'écouler une abondante liqueur. Alors, enfonçant ses doigts dans la grotte si gentiment offerte, elle la masturbe un petit moment tout en lui introduisant un doigt dans sa pastille anale pour vérifier si elle en a vraiment envie. Sandy râle de plaisir, tendant son derrière au doigt qui ramone son goulet étroit avec vigueur.
Lorsque la soubrette revient au bout d'une demi-heure, elle apporte de la pommade lubrifiante et un onguent dilatateur à la xylocaïne, elle apporte aussi une boîte, où plusieurs olisbos de formes différentes, dont un gonflable et un autre équipé d'un harnais sont disposés. Elle remarque que Paul chevauche Sandy, allongée sur le dos, dans la position du soixante-neuf en léchant son vagin tout en continuant à préparer le conduit rectal de son amie, faisant des allées et venues avec son majeur, dans le petit anneau de Vénus encore contracté, mais qui s'ouvre peu à peu. Maud entreprend aussitôt d'introduire avec ses doigts les deux onguents pour préparer l'anus à la pénétration de l’organe masculin. Pour cela, elle glisse un, puis deux, enfin trois doigts dans le rectum contracté de la jeune femme.
Celle-ci gémit sous la légère douleur qu'elle ressent, angoissée par ce qu'elle devine, mais excitée aussi par l'attente de l'intromission dans son derrière de la verge de son partenaire. La gamine qui s'est déshabillée prestement a pris la place de Paul sur Sandy. Pendant qu'elle prépare avec délicatesse le cul vierge, elle applique sa vulve sur la bouche de Sandy qui ne peut faire autrement que de darder sa langue dans les chairs du tendre et jeune vagin. Maud fait signe discrètement à Paul de se préparer.
Celui-ci voit le cul encore vierge de sa disciple s'ouvrir péniblement sous les doigts de la soubrette, aussi, lorsqu'elle lui indique qu'il est temps, il approche son gland de la pastille qu'il va déflorer. Pour éviter que Sandy ne se rétracte, il pousse résolument son pénis dans le trou écartelé que la jeune soubrette maintient avec ses doigts. L'enculée néophyte pousse un hurlement lorsque la pénétration brutale de ce serpent lui brûle son fondement. Elle a l'impression qu'une tige chauffée au rouge plonge au cœur de ses entrailles. Elle suffoque tellement la douleur est inhumaine, des grosses larmes jaillissent de ses yeux, elle se lamente en pleurant.
- Oh ! Mon Dieu, c'est atroce. Retire-toi Paul, je t'en prie. C'est insupportable. Ça me brûle. Oh ! J'ai mal, c'est affreux. Je vais mourir, je suis transpercé, c'est abominable. Oh ! Maman que j'ai mal. Non ! Oh ! Non ! Je n'en peux plus. C'est effroyable. Je vais mourir ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......
Paul reste immobile, attendant patiemment que la douleur s'estompe pendant que Maud essaie de détourner l'attention de Sandy en lui dévorant sa chatte. Peu à peu le conduit anal se décontracte. Sandy sent le membre qui palpite doucement contre ses parois enflammées. Elle commence à s'habituer à cette intromission qui lui paraît ignoble. Malgré tout, elle inonde de ses abondantes sécrétions le palais de la petite servante qui la broute délicieusement. Elle se surprend à avancer son bassin à la rencontre de l'engin fiché entre ses fesses. Paul la sentant enfin prête, commence à faire glisser son membre très doucement dans le fourreau étroit qui l'accueille volontairement. Elle gémit, ne sachant plus discerner la douleur de la sensation délectable que les terminaisons nerveuses de son conduit reçoivent de la verge qui se déplace avec délicatesse. Des spasmes voluptueux la saisissent lorsqu'elle ressent un premier orgasme très différent de ceux que son vagin lui procure.
- Oh ! Mon Dieu ! Paul ! Je jouis ! Je jouis !.. C'est incroyable, continue mon chéri. Oh ! Oui, encore, encore, encore. Va-y, viens dans moi mon amour. Oh ! Comme c'est bon. Allez ! Ahhhhrrrrrrrrrrr...... Salaud, tu me transperces. Mais Continue ! Oui ! Encoreeeeeeeee…
Paul, devant la disponibilité de sa maîtresse, en a profité pour pilonner sauvagement la croupe qu'il vient de déflorer, lui arrachant ainsi les vociférations triviales qu'elle vient de proférer. Il pistonne et pourfend avec joie ce cul qu'il convoite depuis le début de leur aventure, ne lui laissant aucun répit. Les orgasmes de Sandy sont de plus en plus violents, étant donné qu’elle projette à présent ses fesses au-devant de la queue qui la ravage avec tant de bonheur. Dans quelle fange, elle se vautre songe-t-elle, et si sa mère la voyait. Elle est bouleversée par l'horreur qu'elle se fait de son indignité et de son avilissement, mais elle délire dans une euphorique lubricité, savourant avec allégresse les envies de viol et de sodomisation qu'elle gardait tout au fond d'elle-même.
Tout est contradictoire chez elle en ce moment, aussi lorsque Paul projette son foutre au fond de ses entrailles, elle l'embrasse et le serre contre elle, heureuse d'avoir pu lui offrir son orifice anal jusqu'ici inexploré. Les deux amants restent tendrement enlacés, alors que Paul, maintient toujours son pieu, fiché au fond du cul qu’il vient de déflorer. La semi-érection du membre est retenue par l'anneau du sphincter qui l’enserre étroitement. Il prend patience, attendant que sa verge soit de nouveau en érection, car il veut que pour la première fois, le cratère reste le plus longtemps ouvert pour qu'il se prête à d'autres intromissions ultérieures.
A suivre…
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie.
Vers onze heures du matin, Sandy s'éveille lentement, étirant ses membres endoloris, conséquence logique des ébats impétueux auxquels elle s'est livrée la veille. Elle regarde son amant avec curiosité et une certaine tendresse. Incroyable que cet homme qui a dépassé l'âge de la cinquantaine puisse l’avoir entraîné dans une telle débauche. Elle ne regrette pas l'initiation invraisemblable qu'il s’est complu à lui faire subir en si peu de temps, appréciant ce qu'elle a failli ne jamais connaître. Ses sens étant à présent parfaitement assouvis, elle juge bien différemment tout ce qui touche à la sexualité.
Reconnaissante, elle se penche sur le pénis tout recroquevillé de Paul qui dort encore paisiblement, puis, elle le prend dans sa bouche comme elle l'a fait la veille à son réveil. La verge grossit rapidement entre les lèvres pulpeuses, aussi, elle suce le membre, jusqu'à ce qu'il tressaute dans le fond de sa gorge, laissant gicler au fond de son palais le sperme qu'elle avale maintenant avec une certaine perversion. Paul qui est bel et bien réveillé à présent remercie sa compagne pour la « gâterie » qu'elle vient de lui administrer. Ils s'embrassent tendrement pendant de longues minutes. Ensuite, Sandy s'allongeant près de son compagnon, entame la conversation.
- Tu sais mon chéri, je ne te remercierais jamais assez, pour tout ce que tu me fais connaitre depuis quelques jours. Jamais, je n'aurais pu imaginer que de telles choses existaient et surtout le plaisir très réel que l'on pouvait en retirer. Hier soir, bien que vous m'ayez affreusement épouvanté, je m'étais résignée à ce que vous me sodomisiez, toi et Jacques.
Paul proteste de ce qu'il ne veut en aucun cas la forcer à subir une sodomie, qu'elle ne consentirait pas d'elle-même. Lui et ses amis sont certainement des jouisseurs et des pervers, mais ce ne sont pas des violeurs. Alors Sandy reprend.
- Après tout ce que vous avez fait devant moi, j'avoue que j'en avais même très envie, bien que je sois morte d'inquiétude, à l'idée d'être endommagé dans mon petit endroit, quoique je voudrais bien connaître ces sensations qui apparemment ont fait jouir intensément Corinne et Maud. Oh ! Mon Dieu, dans quelle situation dépravée je me trouve maintenant, je n'en reviens pas de ce que tu arrives à me faire accepter et souhaiter.
Paul regarde avec attention la jeune femme qui découvre sa sensualité à la fois voluptueuse et perverse, certainement latente chez elle depuis très longtemps. Il saute sur l'occasion, lui confiant que si elle consent à se faire dépuceler son anus, il faudra qu'elle accepte par avance d'aller jusqu'au bout, car lorsqu'il l'aura initiée à la sodomie avec toutes les précautions d'usage cela va de soi, il faudra qu'elle offre son cul à la grosse bite de son ami Jacques, sera-t-elle d'accord ? Sandy reste un moment sans voix, car elle est affolée par les propos obscènes qu'elle vient d'entendre, puis, se lovant contre son amant, elle lui souffle, étonnée de sa hardiesse et de la crudité de ses propos.
- Je suis d'accord mon chéri. Je t'offre la virginité de mon derrière. Tu peux en faire ce que tu voudras. Même si je te crie d'arrêter n'en tiens pas compte. Prends mon cul mon chéri, j'ai tellement envie de sentir ta verge forcer la porte de mon anus. Oh ! Mon Dieu. Et puis, je veux que la grosse queue de Jacques s'enfonce dans ma croupe. Je suis folle, je dis n'importe quoi, mais j'ai tellement envie de vos bites dans mes deux endroits. Mon chéri, je t'assure, vous pourrez me prendre tous les deux comme vous l'avez fait à Maud. Je t'en supplie ! Accepte. Violez-moi tous les deux. Regarde comme je jouis. Vois ma moule, je n'en peux plus de me masturber. Oh !... Mhmmmmmmmmmm...... Ouiiiii.... Aaaaarrrrrrrrrr......
Sandy est complètement déchaînée, elle a retiré le drap, découvrant sa nudité, alors que ses deux mains sont enfouies dans son vagin, se triturant violemment ses chairs, subissant la surexcitation des paroles qu'elle vient de prononcer, ce qui a déclenché sa crise hystérique. À ce moment, la soubrette frappe à la porte et entre, apportant les plateaux du petit-déjeuner. Elle regarde avec un grand sourire Sandy qui s'astique la moule, le visage complètement défait par la volupté qu'elle ressent. Elle l'embrasse avec affection, lui caressant au passage les seins, ce qui fait frémir la belle nymphomane, puis elle applique un baiser sur les lèvres de Paul qui tout en lui caressant ses fesses, lui demande d'apporter un certain matériel afin d'initier sa compagne à la sodomisation.
En même temps, il sollicite son assistance pour qu'elle leur apporte sa collaboration à la préparation de l’acte sodomite. Maud sourit, puis glissant une main sous le drap, elle tâte l'entrecuisse de Sandy qui laisse s'écouler une abondante liqueur. Alors, enfonçant ses doigts dans la grotte si gentiment offerte, elle la masturbe un petit moment tout en lui introduisant un doigt dans sa pastille anale pour vérifier si elle en a vraiment envie. Sandy râle de plaisir, tendant son derrière au doigt qui ramone son goulet étroit avec vigueur.
Lorsque la soubrette revient au bout d'une demi-heure, elle apporte de la pommade lubrifiante et un onguent dilatateur à la xylocaïne, elle apporte aussi une boîte, où plusieurs olisbos de formes différentes, dont un gonflable et un autre équipé d'un harnais sont disposés. Elle remarque que Paul chevauche Sandy, allongée sur le dos, dans la position du soixante-neuf en léchant son vagin tout en continuant à préparer le conduit rectal de son amie, faisant des allées et venues avec son majeur, dans le petit anneau de Vénus encore contracté, mais qui s'ouvre peu à peu. Maud entreprend aussitôt d'introduire avec ses doigts les deux onguents pour préparer l'anus à la pénétration de l’organe masculin. Pour cela, elle glisse un, puis deux, enfin trois doigts dans le rectum contracté de la jeune femme.
Celle-ci gémit sous la légère douleur qu'elle ressent, angoissée par ce qu'elle devine, mais excitée aussi par l'attente de l'intromission dans son derrière de la verge de son partenaire. La gamine qui s'est déshabillée prestement a pris la place de Paul sur Sandy. Pendant qu'elle prépare avec délicatesse le cul vierge, elle applique sa vulve sur la bouche de Sandy qui ne peut faire autrement que de darder sa langue dans les chairs du tendre et jeune vagin. Maud fait signe discrètement à Paul de se préparer.
Celui-ci voit le cul encore vierge de sa disciple s'ouvrir péniblement sous les doigts de la soubrette, aussi, lorsqu'elle lui indique qu'il est temps, il approche son gland de la pastille qu'il va déflorer. Pour éviter que Sandy ne se rétracte, il pousse résolument son pénis dans le trou écartelé que la jeune soubrette maintient avec ses doigts. L'enculée néophyte pousse un hurlement lorsque la pénétration brutale de ce serpent lui brûle son fondement. Elle a l'impression qu'une tige chauffée au rouge plonge au cœur de ses entrailles. Elle suffoque tellement la douleur est inhumaine, des grosses larmes jaillissent de ses yeux, elle se lamente en pleurant.
- Oh ! Mon Dieu, c'est atroce. Retire-toi Paul, je t'en prie. C'est insupportable. Ça me brûle. Oh ! J'ai mal, c'est affreux. Je vais mourir, je suis transpercé, c'est abominable. Oh ! Maman que j'ai mal. Non ! Oh ! Non ! Je n'en peux plus. C'est effroyable. Je vais mourir ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......
Paul reste immobile, attendant patiemment que la douleur s'estompe pendant que Maud essaie de détourner l'attention de Sandy en lui dévorant sa chatte. Peu à peu le conduit anal se décontracte. Sandy sent le membre qui palpite doucement contre ses parois enflammées. Elle commence à s'habituer à cette intromission qui lui paraît ignoble. Malgré tout, elle inonde de ses abondantes sécrétions le palais de la petite servante qui la broute délicieusement. Elle se surprend à avancer son bassin à la rencontre de l'engin fiché entre ses fesses. Paul la sentant enfin prête, commence à faire glisser son membre très doucement dans le fourreau étroit qui l'accueille volontairement. Elle gémit, ne sachant plus discerner la douleur de la sensation délectable que les terminaisons nerveuses de son conduit reçoivent de la verge qui se déplace avec délicatesse. Des spasmes voluptueux la saisissent lorsqu'elle ressent un premier orgasme très différent de ceux que son vagin lui procure.
- Oh ! Mon Dieu ! Paul ! Je jouis ! Je jouis !.. C'est incroyable, continue mon chéri. Oh ! Oui, encore, encore, encore. Va-y, viens dans moi mon amour. Oh ! Comme c'est bon. Allez ! Ahhhhrrrrrrrrrrr...... Salaud, tu me transperces. Mais Continue ! Oui ! Encoreeeeeeeee…
Paul, devant la disponibilité de sa maîtresse, en a profité pour pilonner sauvagement la croupe qu'il vient de déflorer, lui arrachant ainsi les vociférations triviales qu'elle vient de proférer. Il pistonne et pourfend avec joie ce cul qu'il convoite depuis le début de leur aventure, ne lui laissant aucun répit. Les orgasmes de Sandy sont de plus en plus violents, étant donné qu’elle projette à présent ses fesses au-devant de la queue qui la ravage avec tant de bonheur. Dans quelle fange, elle se vautre songe-t-elle, et si sa mère la voyait. Elle est bouleversée par l'horreur qu'elle se fait de son indignité et de son avilissement, mais elle délire dans une euphorique lubricité, savourant avec allégresse les envies de viol et de sodomisation qu'elle gardait tout au fond d'elle-même.
Tout est contradictoire chez elle en ce moment, aussi lorsque Paul projette son foutre au fond de ses entrailles, elle l'embrasse et le serre contre elle, heureuse d'avoir pu lui offrir son orifice anal jusqu'ici inexploré. Les deux amants restent tendrement enlacés, alors que Paul, maintient toujours son pieu, fiché au fond du cul qu’il vient de déflorer. La semi-érection du membre est retenue par l'anneau du sphincter qui l’enserre étroitement. Il prend patience, attendant que sa verge soit de nouveau en érection, car il veut que pour la première fois, le cratère reste le plus longtemps ouvert pour qu'il se prête à d'autres intromissions ultérieures.
A suivre…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super
Merci Florence. J'apprécie d'autant plus que je connais ton aversion profonde pour cet acte qui peut rebuter bien des femmes, si les partenaires ne sont pas en symbiose. Tous les hommes, heureusement ne sont pas des soudards.
Pourtant pas fana de sodomie, mais quel érotisme si bien écrit et décrit!!!!!
Ah, vieux loup ! Quel plaisir de te lire encore et encore !
Didier
Didier
Vieulou, quelle délicatesse dans l'approche, cela donnerait envie !
Je suis tjrs bluffé par votre magnifique écriture sans vulgarité ...
félicitations
B.
félicitations
B.