Initiation au sauna épisode 1
Récit érotique écrit par Orlane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2003 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation au sauna épisode 1
Je n'y comprenais rien, ou plutôt, je ne voulais pas me l'avouer, je voulais faire l'amour avec un homme.
Je ne l'avais jamais fait et pourtant je sentais mon anus qui battait la chamade. Il se contractait, il s'humidifiait dans l'attente d'une intrusion. Mon bas-ventre me faisait mal, mon sexe était en érection totale. C'était clair, j'avais envie d'un mec. J'étais prêt à tout, le désir était trop fort, trop impérieux. Je suis sorti. Depuis longtemps, l'idée d'aller au sauna m'attirait. J'avais lu dans des revues de sexe des récits de types se faisant sodomiser. À chaque fois, je constatais que ces lectures me procuraient un sentiment indicible, j'étais tout chose, pantelant. Je tentais d'imaginer ce que pouvait être le sexe d'un homme en soi ou à sucer. Puis, je me suis acheté mon premier gode. Je me suis dépucelé le cul avec. C'était bon.
Ensuite, j'ai essayé les poppers. J'aimais bien, je reniflais fort, tout en me pénétrant avec le gode. L'effet était immédiat, à quatre pattes, la tête dans l'oreiller, les yeux fermés, je ressentais une grande bouffée de chaleur qui irradiait tout mon corps, avec une espèce de flash au niveau des yeux, dans le cerveau. Il y avait une espèce de noir total mais avec aussi des myriades de lumières qui éclataient dans le fond des yeux. C'était bon. Une poussée et le gode lubrifié franchissait le sphincter. J'adorais quand je le sentais passer l'obstacle, que, d'un coup, il s'ouvrait de nouveaux horizons. L'impression était sublime. Me sauter aussi. C'était trop bon. Je constatais que mon cul était manifestement érogène. Mais je voulais un vrai sexe, chaud, vivant, actif dans mon cul. J'ai enfin osé.
À l'époque, à la fin des années 70, Je suis allé au Continental près de l'Opéra. J'avais le ventre noué en rentrant. J'avais l'impression d'être rouge de honte. J'ai payé, pris la serviette et la clé de mon casier. Je me suis mis nu, attachant maladroitement la courte serviette autour de mes reins. Et je me suis lancé à la découverte de l'établissement. Il se déclinait sur plusieurs étages. Il y avait des couloirs sombres avec des cabines ouvertes pour certaines. À l'intérieur, un type attendait un amant éventuel, d'autres étaient occupées avec des couples qui se caressaient à la vue de tous. Enfin, des cabines étaient fermées. De celles-ci, on entendait des gémissements et des halètements de plaisir accompagnés de bruits sourds et rythmés. Manifestement, des mecs s'enculaient à l'intérieur. Cette manifestation sonore provoqua en moi une érection vivace. L'endroit me plaisait. Je savais que j'allais me trouver dans cet antre un ou plusieurs amants. J'étais bien décidé à me faire sodomiser et si possible plusieurs fois. Enfin, j'en avais le désir ce qui ne voulait pas dire que j'allais réussir à aller jusqu'au bout. Toutefois, ce jour-là, j'étais vraiment très motivé pour faire - enfin - l'amour avec un ou plusieurs hommes.
L'idée de me faire enculer par plusieurs partenaires me séduisait totalement. En découvrant au fur et à mesure les installations, l'excitation montait inexorablement en moi, je sentais les palpitations de l'anus qui devenaient de plus en plus impérieuses. Je découvrais le sauna où je restais quelques minutes. Ce n'était pas trop mon truc. Ou plutôt, je pressentais d'autres lieux de plaisir. Ce fut le tour du hammam. Tout de suite, je sus que c'était mon endroit préféré. Avec cette vapeur qui envahissait la pièce au point qu'on ne voyait pratiquement pas les occupants. Il fallait s'approcher pour voir un visage, une silhouette. La chaleur humide saisissait tout le corps. C'était éminemment sensuel comme impression. Je remarquais des types en train de se caresser et de se sucer. Je m'installais sur une des banquettes de faïence blanche. Nu, le corps semi allongé, les cuisses ouvertes, offert aux regards. Je n'attendis pas longtemps. Un homme d'une quarantaine d'année se présenta devant moi. Je lui souris. Il posa sa main sur ma poitrine, à plat. Il caressa successivement mes deux seins. Sa main descendit, glissa sur le ventre humide. Tout en enserrant d'une caresse enveloppante mon sexe, il se pencha pour m'embrasser à pleine bouche. Je répondis à son baiser, mon premier baiser d'homme. Son autre main était partie en exploration sous mes fesses. Il titilla doucement l'oeillet avant d'enfoncer un doigts et plus deux dans l'anus humidifié par la vapeur. Je le laissais faire. Mieux, je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin possible. Je me contractais pour mieux l'enserrer en moi. C'était nouveau et surtout très excitant. Je me faisais branler la queue et le cul simultanément et j'avais surtout conscience que ma pose était obscène. Je bandais comme pas un. Il s'agenouilla et pris ma queue dans sa bouche. Ma première pipe. Et toujours, il me pénétrait avec deux puis trois doigts. Je n'ai pas pu me retenir, j'ai joui à longs traits. Le quadragénaire a tout avalé. Nous nous sommes embrassés. Le goût de mon propre sperme dans sa bouche eut pour effet immédiat de me faire rebander. L'homme me proposa d'aller ailleurs, dans la salle vidéo qui servait de lieu d'orgie. On s'installa dans le fond sur une banquette, dans une semi obscurité. La vidéo qui tournait - où un type enculait un jeune mec - me permit de voir que nous n'étions pas tout seul. Mais je fus surpris de constater que cela ne me dérangeait pas.
Baiser devant d'autres types ne me faisait pas peur, bien au contraire. Je me suis assis sur lui, sur ses cuisses, son sexe se glissant entre mes fesses. Nous nous sommes embrassés langoureusement. Ses mains, ses doigts partaient à la découverte de mon corps. Ma bite était devenue dure comme de l'acier sur son ventre. Je sentais sa chaleur. Il mordilla la pointe de mes seins. Je n'en pouvais plus de désir, c'était trop bon. Tout se passait merveilleusement bien, sans fausse note. Je découvrais, enfin, le plaisir de l'étreinte avec un homme. Je soulevais mes fesses. L'homme comprit le message. Empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou. Son gland s'enfonça doucement. Je contrôlais la pénétration. Il buta conte le sphincter. J'arrêtais la progression pour reprendre ma respiration. Je contractais le conduit anal en rythme pour mieux le détendre. Le gland progressa, il passa l'obstacle du sphincter, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de moi. Pour la première fois, j'avais un sexe d'homme dans mon cul, ses couilles plaquées contre loeillet. On s'embrassa à nouveau, longuement tandis que je montais et je redescendais sur sa tige. Le baiser, la pénétration, et les caresses sur tout mon corps me firent défaillir. Je perdais pied, j'étais pantelant de plaisir. Ma jouissance montait progressivement. Elle irradiait tout le corps, le cul, le ventre. C'était incroyable et diablement bon. Avec l'homme, on éjacula ensemble. Je sentis dans mon cul, un puissant jet de foutre. On resta quelques minutes ainsi, lui encore en moi. Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la marque de la queue du type qui venait de m'enculer. J'aimais cette sensation, d'avoir le cul ouvert aux yeux de tous. Je me découvrais exhibitionniste. Quelques heures plus tôt, jamais je n'aurais soupçonné faire l'amour ainsi, quasiment en public. L'homme se dégagea. Il m'embrassa d'un léger baiser sur la bouche tout en me donnant une légère tape sur les fesses.
- J'aime ton petit cul, me dit-il. On se voit tout à l'heure ? Tu est novice, non ? J'ai l'impression que c'était la première fois avec un homme, je me trompe ?
D'un geste, je lui ai fait signe que non.
- J'ai le sentiment que tu as l'intention de te faire prendre plusieurs fois, n'est-ce pas ?
J'acquiesçais.
- Tu as raison, à ton âge, il faut en profiter. Et puis, ces petites fesses sont faites pour être découvertes.
Je découvrais pour mon plus grand plaisir que c'était facile de se faire sauter dans un sauna comme le Continental. Assurément, tous ceux qui venaient dans l'établissement avaient bien l'intention d'avoir des relations sexuelles avec un partenaire, voire plusieurs. Cela me convenait parfaitement. Et j'avais bien l'intention d'en profiter. J'étais là, à Paris, pour quinze jours pour suivre une session de formation. J'envisageais sérieusement de venir tous les soirs. En attendant, j'avais besoin de me reposer. Je me suis installé dans une cabine qui ressemblait à celle d'un sous-marin ou à ces espèces de cellules japonaises construites en raison du manque de place pour les habitations. Enfin, c'est ce que j'imaginais. Elle était toute blanche, plutôt étroite et très peu haute. On ne pouvait pas tenir debout et il fallait entrer accroupi. J'ai laissé la porte ouverte. Je me suis allongé sur le ventre, les cuisses écartées, pour laisser apparaître mon trou distendu. Pour montrer que j'étais offert.
Plusieurs fois, j'ai senti que des types regardaient. Mais ils n'insistaient pas. Je commençais à être déçu quand j'ai senti une présence. Un homme venait me rejoindre. Je plongeais mon visage dans mes bras repliés. Offert. Dans le petit espace, l'inconnu me rejoignit. Il me caressa la nuque ce qui eut le don de me faire frissonner. Il fit de même avec sa bouche tout en me caressant les fesses. Je découvrais que j'étais sensible des fesses, les caresses me procuraient un plaisir indéniable. Il me glissa un doigt dans le cul. Satisfait par le trou dilaté, il se positionna sur moi, pesant de tout son poids. Son sexe s'enfila sans problème dans l'anus lubrifié par le foutre du quadra. J'appréciais aussi cette position où j'étais abandonné à son étreinte. Il me pilonna avec vigueur. Je gémissais de plaisir. Il se souleva, les bras et jambes tendus. La pénétration fut différente. Il me souleva pour que je me mette à quatre pattes, en levrette. Il me chevaucha, ses cuisses entourant mes fesses, ma croupe. La pénétration était profonde, puissante. Je râlais de plaisir.
Un autre homme, attiré par mes gémissements, nous avait rejoint. Il s'était glissé devant moi, m'offrant son sexe. Je le pris en bouche, le suçant au rythme des coups de butoir de l'autre inconnu qui me défonçait littéralement. J'étais aux anges. Les deux types éjaculèrent en même temps, comme s'il s'était donné le mot. Les deux jets de sperme dans ma bouche et mon cul me tétanisèrent littéralement. Un orgasme d'une sauvagerie intense me fit perdre toute notion du temps. Je ne bougeais plus, le cul toujours plus ouvert, évasé par les deux queues qui m'avaient pénétré. Les deux inconnus m'abandonnèrent. Épuisé, je fermais la porte de la cabine afin de me reposer. Je comptais bien ne pas m'arrêter en si bon chemin. Plus tard, j'ai découvert, la backroom était petite, avec des matelas posés à même le sol. J'étais à l'entrée, tentant de regarder à l'intérieur et hésitant à entrer. Le type était derrière moi. Je l'ai senti se rapprocher, j'ai fait glisser ma serviette, la plaçant autour de mon cou, lui offrant mon cul nu. Il a compris, il a mis sa queue entre mes fesses, la faisant coulisser. Il a pointé son gland sur l'oeillet humidifié par le désir. Le gland s'est légèrement introduit. Il a apprécié. Il a continué sa pression très lentement comme pour mieux apprécier la découverte de mon cul. Le sexe a glissé millimètre par millimètre, m'enculant totalement, son ventre contre mes fesses, ses couilles plaquées contre l'anus. C'était bon et totalement excitant, J'étais là debout, le sexe dur et érigé, en train de regarder l'entrée de la backroom et je me faisais enculer avec des gens debout autour de moi.
Nous sommes restés là quelques minutes, lui complètement en moi et moi me sentant comme une chienne en chaleur. Je me suis contracté, bougeant doucement mon cul, pour mieux ressentir la pénétration et lui donner envie de me fourrer totalement avec fougue. Il m'a poussé légèrement me faisant comprendre d'avancer. Nous sommes rentrés dans la pièce obscure, lui toujours en moi. J'étais aux anges. Je me sentais obscène totalement, le cul dilaté totalement par une bite sublime, en train de marcher à petit pas pour ne pas déculer. Il m'a dirigé vers le fond de la pièce plutôt qu'un matelas. Il s'est plaqué contre un mur et là il a commencé à me limer sérieusement, avec vigueur. Ses mains parcouraient mon torse, ses doigts titillaient mes seins, enserraient ma verge, flattaient mes couilles.
Des types nous regardaient. L'un est venu se placer devant moi. Il a placé sa bite contre la mienne et m'a embrassé. J'ai répondu à son baiser. Il s'est accroupi et a pris mon sexe dans sa bouche. C'était délicieux comme impression. J'ai éjaculé en même temps que lui. Le type qui me suçait a tout avalé. Comme l'autre se dégageait, il m'a entraîné sur un des matelas où il y avait un autre homme. Sans trop avoir le temps de tout comprendre, je me suis retrouvé sur lui en 69, les fesses offertes. L'autre est entré en moi sans coup férir. Mon cul devait être un vrai boulevard avec le sperme qui poissait mon cul. Il me sodomisa divinement. Sa queue était longue et épaisse. Et surtout, il allait au plus profond, alternant pénétration lente et rapide. Il m'amena à l'ultime jouissance. Tout mon corps tressauta, tellement c'était puissant. Cette fois-ci, j'ai déclaré forfait.
Je suis retourné aux vestiaires pour me rhabiller et retourner à l'hôtel. Je me suis couché sans prendre de douche. Pour conserver bien en mémoire mon cul ouvert et les odeurs des enculades. Le lendemain, comme les autres jours, je suis retourné à nouveau au sauna.
Durant quinze jours, j'en ai profité avant de retourner dans ma province. Mon cul a eu du succès pour mon plus grand plaisir. Mais ceci, c'est une autre histoire.
Je ne l'avais jamais fait et pourtant je sentais mon anus qui battait la chamade. Il se contractait, il s'humidifiait dans l'attente d'une intrusion. Mon bas-ventre me faisait mal, mon sexe était en érection totale. C'était clair, j'avais envie d'un mec. J'étais prêt à tout, le désir était trop fort, trop impérieux. Je suis sorti. Depuis longtemps, l'idée d'aller au sauna m'attirait. J'avais lu dans des revues de sexe des récits de types se faisant sodomiser. À chaque fois, je constatais que ces lectures me procuraient un sentiment indicible, j'étais tout chose, pantelant. Je tentais d'imaginer ce que pouvait être le sexe d'un homme en soi ou à sucer. Puis, je me suis acheté mon premier gode. Je me suis dépucelé le cul avec. C'était bon.
Ensuite, j'ai essayé les poppers. J'aimais bien, je reniflais fort, tout en me pénétrant avec le gode. L'effet était immédiat, à quatre pattes, la tête dans l'oreiller, les yeux fermés, je ressentais une grande bouffée de chaleur qui irradiait tout mon corps, avec une espèce de flash au niveau des yeux, dans le cerveau. Il y avait une espèce de noir total mais avec aussi des myriades de lumières qui éclataient dans le fond des yeux. C'était bon. Une poussée et le gode lubrifié franchissait le sphincter. J'adorais quand je le sentais passer l'obstacle, que, d'un coup, il s'ouvrait de nouveaux horizons. L'impression était sublime. Me sauter aussi. C'était trop bon. Je constatais que mon cul était manifestement érogène. Mais je voulais un vrai sexe, chaud, vivant, actif dans mon cul. J'ai enfin osé.
À l'époque, à la fin des années 70, Je suis allé au Continental près de l'Opéra. J'avais le ventre noué en rentrant. J'avais l'impression d'être rouge de honte. J'ai payé, pris la serviette et la clé de mon casier. Je me suis mis nu, attachant maladroitement la courte serviette autour de mes reins. Et je me suis lancé à la découverte de l'établissement. Il se déclinait sur plusieurs étages. Il y avait des couloirs sombres avec des cabines ouvertes pour certaines. À l'intérieur, un type attendait un amant éventuel, d'autres étaient occupées avec des couples qui se caressaient à la vue de tous. Enfin, des cabines étaient fermées. De celles-ci, on entendait des gémissements et des halètements de plaisir accompagnés de bruits sourds et rythmés. Manifestement, des mecs s'enculaient à l'intérieur. Cette manifestation sonore provoqua en moi une érection vivace. L'endroit me plaisait. Je savais que j'allais me trouver dans cet antre un ou plusieurs amants. J'étais bien décidé à me faire sodomiser et si possible plusieurs fois. Enfin, j'en avais le désir ce qui ne voulait pas dire que j'allais réussir à aller jusqu'au bout. Toutefois, ce jour-là, j'étais vraiment très motivé pour faire - enfin - l'amour avec un ou plusieurs hommes.
L'idée de me faire enculer par plusieurs partenaires me séduisait totalement. En découvrant au fur et à mesure les installations, l'excitation montait inexorablement en moi, je sentais les palpitations de l'anus qui devenaient de plus en plus impérieuses. Je découvrais le sauna où je restais quelques minutes. Ce n'était pas trop mon truc. Ou plutôt, je pressentais d'autres lieux de plaisir. Ce fut le tour du hammam. Tout de suite, je sus que c'était mon endroit préféré. Avec cette vapeur qui envahissait la pièce au point qu'on ne voyait pratiquement pas les occupants. Il fallait s'approcher pour voir un visage, une silhouette. La chaleur humide saisissait tout le corps. C'était éminemment sensuel comme impression. Je remarquais des types en train de se caresser et de se sucer. Je m'installais sur une des banquettes de faïence blanche. Nu, le corps semi allongé, les cuisses ouvertes, offert aux regards. Je n'attendis pas longtemps. Un homme d'une quarantaine d'année se présenta devant moi. Je lui souris. Il posa sa main sur ma poitrine, à plat. Il caressa successivement mes deux seins. Sa main descendit, glissa sur le ventre humide. Tout en enserrant d'une caresse enveloppante mon sexe, il se pencha pour m'embrasser à pleine bouche. Je répondis à son baiser, mon premier baiser d'homme. Son autre main était partie en exploration sous mes fesses. Il titilla doucement l'oeillet avant d'enfoncer un doigts et plus deux dans l'anus humidifié par la vapeur. Je le laissais faire. Mieux, je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin possible. Je me contractais pour mieux l'enserrer en moi. C'était nouveau et surtout très excitant. Je me faisais branler la queue et le cul simultanément et j'avais surtout conscience que ma pose était obscène. Je bandais comme pas un. Il s'agenouilla et pris ma queue dans sa bouche. Ma première pipe. Et toujours, il me pénétrait avec deux puis trois doigts. Je n'ai pas pu me retenir, j'ai joui à longs traits. Le quadragénaire a tout avalé. Nous nous sommes embrassés. Le goût de mon propre sperme dans sa bouche eut pour effet immédiat de me faire rebander. L'homme me proposa d'aller ailleurs, dans la salle vidéo qui servait de lieu d'orgie. On s'installa dans le fond sur une banquette, dans une semi obscurité. La vidéo qui tournait - où un type enculait un jeune mec - me permit de voir que nous n'étions pas tout seul. Mais je fus surpris de constater que cela ne me dérangeait pas.
Baiser devant d'autres types ne me faisait pas peur, bien au contraire. Je me suis assis sur lui, sur ses cuisses, son sexe se glissant entre mes fesses. Nous nous sommes embrassés langoureusement. Ses mains, ses doigts partaient à la découverte de mon corps. Ma bite était devenue dure comme de l'acier sur son ventre. Je sentais sa chaleur. Il mordilla la pointe de mes seins. Je n'en pouvais plus de désir, c'était trop bon. Tout se passait merveilleusement bien, sans fausse note. Je découvrais, enfin, le plaisir de l'étreinte avec un homme. Je soulevais mes fesses. L'homme comprit le message. Empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou. Son gland s'enfonça doucement. Je contrôlais la pénétration. Il buta conte le sphincter. J'arrêtais la progression pour reprendre ma respiration. Je contractais le conduit anal en rythme pour mieux le détendre. Le gland progressa, il passa l'obstacle du sphincter, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de moi. Pour la première fois, j'avais un sexe d'homme dans mon cul, ses couilles plaquées contre loeillet. On s'embrassa à nouveau, longuement tandis que je montais et je redescendais sur sa tige. Le baiser, la pénétration, et les caresses sur tout mon corps me firent défaillir. Je perdais pied, j'étais pantelant de plaisir. Ma jouissance montait progressivement. Elle irradiait tout le corps, le cul, le ventre. C'était incroyable et diablement bon. Avec l'homme, on éjacula ensemble. Je sentis dans mon cul, un puissant jet de foutre. On resta quelques minutes ainsi, lui encore en moi. Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la marque de la queue du type qui venait de m'enculer. J'aimais cette sensation, d'avoir le cul ouvert aux yeux de tous. Je me découvrais exhibitionniste. Quelques heures plus tôt, jamais je n'aurais soupçonné faire l'amour ainsi, quasiment en public. L'homme se dégagea. Il m'embrassa d'un léger baiser sur la bouche tout en me donnant une légère tape sur les fesses.
- J'aime ton petit cul, me dit-il. On se voit tout à l'heure ? Tu est novice, non ? J'ai l'impression que c'était la première fois avec un homme, je me trompe ?
D'un geste, je lui ai fait signe que non.
- J'ai le sentiment que tu as l'intention de te faire prendre plusieurs fois, n'est-ce pas ?
J'acquiesçais.
- Tu as raison, à ton âge, il faut en profiter. Et puis, ces petites fesses sont faites pour être découvertes.
Je découvrais pour mon plus grand plaisir que c'était facile de se faire sauter dans un sauna comme le Continental. Assurément, tous ceux qui venaient dans l'établissement avaient bien l'intention d'avoir des relations sexuelles avec un partenaire, voire plusieurs. Cela me convenait parfaitement. Et j'avais bien l'intention d'en profiter. J'étais là, à Paris, pour quinze jours pour suivre une session de formation. J'envisageais sérieusement de venir tous les soirs. En attendant, j'avais besoin de me reposer. Je me suis installé dans une cabine qui ressemblait à celle d'un sous-marin ou à ces espèces de cellules japonaises construites en raison du manque de place pour les habitations. Enfin, c'est ce que j'imaginais. Elle était toute blanche, plutôt étroite et très peu haute. On ne pouvait pas tenir debout et il fallait entrer accroupi. J'ai laissé la porte ouverte. Je me suis allongé sur le ventre, les cuisses écartées, pour laisser apparaître mon trou distendu. Pour montrer que j'étais offert.
Plusieurs fois, j'ai senti que des types regardaient. Mais ils n'insistaient pas. Je commençais à être déçu quand j'ai senti une présence. Un homme venait me rejoindre. Je plongeais mon visage dans mes bras repliés. Offert. Dans le petit espace, l'inconnu me rejoignit. Il me caressa la nuque ce qui eut le don de me faire frissonner. Il fit de même avec sa bouche tout en me caressant les fesses. Je découvrais que j'étais sensible des fesses, les caresses me procuraient un plaisir indéniable. Il me glissa un doigt dans le cul. Satisfait par le trou dilaté, il se positionna sur moi, pesant de tout son poids. Son sexe s'enfila sans problème dans l'anus lubrifié par le foutre du quadra. J'appréciais aussi cette position où j'étais abandonné à son étreinte. Il me pilonna avec vigueur. Je gémissais de plaisir. Il se souleva, les bras et jambes tendus. La pénétration fut différente. Il me souleva pour que je me mette à quatre pattes, en levrette. Il me chevaucha, ses cuisses entourant mes fesses, ma croupe. La pénétration était profonde, puissante. Je râlais de plaisir.
Un autre homme, attiré par mes gémissements, nous avait rejoint. Il s'était glissé devant moi, m'offrant son sexe. Je le pris en bouche, le suçant au rythme des coups de butoir de l'autre inconnu qui me défonçait littéralement. J'étais aux anges. Les deux types éjaculèrent en même temps, comme s'il s'était donné le mot. Les deux jets de sperme dans ma bouche et mon cul me tétanisèrent littéralement. Un orgasme d'une sauvagerie intense me fit perdre toute notion du temps. Je ne bougeais plus, le cul toujours plus ouvert, évasé par les deux queues qui m'avaient pénétré. Les deux inconnus m'abandonnèrent. Épuisé, je fermais la porte de la cabine afin de me reposer. Je comptais bien ne pas m'arrêter en si bon chemin. Plus tard, j'ai découvert, la backroom était petite, avec des matelas posés à même le sol. J'étais à l'entrée, tentant de regarder à l'intérieur et hésitant à entrer. Le type était derrière moi. Je l'ai senti se rapprocher, j'ai fait glisser ma serviette, la plaçant autour de mon cou, lui offrant mon cul nu. Il a compris, il a mis sa queue entre mes fesses, la faisant coulisser. Il a pointé son gland sur l'oeillet humidifié par le désir. Le gland s'est légèrement introduit. Il a apprécié. Il a continué sa pression très lentement comme pour mieux apprécier la découverte de mon cul. Le sexe a glissé millimètre par millimètre, m'enculant totalement, son ventre contre mes fesses, ses couilles plaquées contre l'anus. C'était bon et totalement excitant, J'étais là debout, le sexe dur et érigé, en train de regarder l'entrée de la backroom et je me faisais enculer avec des gens debout autour de moi.
Nous sommes restés là quelques minutes, lui complètement en moi et moi me sentant comme une chienne en chaleur. Je me suis contracté, bougeant doucement mon cul, pour mieux ressentir la pénétration et lui donner envie de me fourrer totalement avec fougue. Il m'a poussé légèrement me faisant comprendre d'avancer. Nous sommes rentrés dans la pièce obscure, lui toujours en moi. J'étais aux anges. Je me sentais obscène totalement, le cul dilaté totalement par une bite sublime, en train de marcher à petit pas pour ne pas déculer. Il m'a dirigé vers le fond de la pièce plutôt qu'un matelas. Il s'est plaqué contre un mur et là il a commencé à me limer sérieusement, avec vigueur. Ses mains parcouraient mon torse, ses doigts titillaient mes seins, enserraient ma verge, flattaient mes couilles.
Des types nous regardaient. L'un est venu se placer devant moi. Il a placé sa bite contre la mienne et m'a embrassé. J'ai répondu à son baiser. Il s'est accroupi et a pris mon sexe dans sa bouche. C'était délicieux comme impression. J'ai éjaculé en même temps que lui. Le type qui me suçait a tout avalé. Comme l'autre se dégageait, il m'a entraîné sur un des matelas où il y avait un autre homme. Sans trop avoir le temps de tout comprendre, je me suis retrouvé sur lui en 69, les fesses offertes. L'autre est entré en moi sans coup férir. Mon cul devait être un vrai boulevard avec le sperme qui poissait mon cul. Il me sodomisa divinement. Sa queue était longue et épaisse. Et surtout, il allait au plus profond, alternant pénétration lente et rapide. Il m'amena à l'ultime jouissance. Tout mon corps tressauta, tellement c'était puissant. Cette fois-ci, j'ai déclaré forfait.
Je suis retourné aux vestiaires pour me rhabiller et retourner à l'hôtel. Je me suis couché sans prendre de douche. Pour conserver bien en mémoire mon cul ouvert et les odeurs des enculades. Le lendemain, comme les autres jours, je suis retourné à nouveau au sauna.
Durant quinze jours, j'en ai profité avant de retourner dans ma province. Mon cul a eu du succès pour mon plus grand plaisir. Mais ceci, c'est une autre histoire.
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