Initiation au triolisme
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Initiation au triolisme
Karen et moi étions mariés depuis 1 an. Elle était au courant que j’aurais aimé la voir baiser avec un autre homme mais était réticente à cette idée. Malgré tout, je trouvais qu’elle s’excitait fortement lorsque je lui en parlais pendant nos "sexo-apéritifs“ et lors de nos rapports qui s’en suivaient. Dans ces moments ou je lui parlais d’un deuxième gars qui serait là pour "profiter" de cette excitation, elle devenait rapidement une véritable salope. De mon côté, j’étais chauffeur routier France-Europe et lors de missions express le patron me mettais en double équipage avec un autre chauffeur, un jeune de 25 ans, Roland. Lorsque, la mission était terminée, je l’invitais à la maison pour l’habituel "repas de fin de semaine" sans prévenir Karen. Karen, pour ces soirées, habituellement, s’habillait spécialement sexy: pas de soutien gorge sous le chemisier casi transparent et très décolleté, mini jupette sans culotte, voire même bas et porte jarretelles. Je comprenais qu’automatiquement Roland ne pouvait que tomber amoureux de ma femme et qu’elle s’habituerait facilement aux regards de mon ami pourtant pas très discrets. Ce qui faisait qu’elle s’habituait aux regards intéressés de mon copain. Alors qu’un soir j’essayais de "transformer" l’éventuel deuxième mâle par Roland je lui retrouvais une excitation toute aussi grandissante, puisqu’elle en était arrivée à prononcer son prénom pendant une supposée pénétration. Je l’avais regardée, interrogatif, et l’avait embrassée, ne lui laissant aucune chance de réagir à une telle réaction, encourageante pour mon fantasme. Je mettais donc en place l’idée de passer 8 jours de congés tous les trois, dans sa maison de campagne. Surtout qu’il habitait une vieille ferme à côté d’un bois ou il était possible de se baigner dans une retenue d’eau de l’ex cultivateur. Je savais que Karen était toujours adepte du Topless lorsque nous allions à la mer et surtout que Karen ne me cachait nullement l’excitation que lui apportait le Topless et les regards des hommes pour sa poitrine très généreuse (105 C) ainsi que l’auréole sur sa culotte due à son excitation. Bien sûr, Roland fut enchanté de cette idée d’autant plus qu’il était très au courant des habitudes Topless de Karen. Le soir même, Karen avait voulu se baigner dans le petit lac. C’est ainsi que Roland, pour la première fois, pouvait admirer ma femme en nu intégral. Effectivement, comme elle nous savait seuls tous les trois et habituée des oeillades de mon copain sur ses nichons, elle avait osé essayer le nu intégral. Ce n’était pas pour nous déplaire ni à Roland ni à moi. Ce n’est que le lendemain matin que tout a commencé. Déjà, la veille, dans la chambre, elle m’a avoué que la vision d’un Roland en érection, le tableau l’avait d’abord amusé, puis ses oeillades insistantes l’avaient excitée surtout connaissant mon fantasme et comprenant que ces huit jours était prévus pour cela. Je voulais la voir se faire baiser par mon copain. L’insistance des oeillades de Roland lui faisait penser que même Roland connaissait mon désir de voir se réaliser mon fantasme et que tout était prévu pour sa réalisation. Sans rien lui cacher, j’avouais que j’avait tout manigancé, sans toutefois en parler à mon copain. J’ai commencé dès le matin, lorsque Karen s’est faite bronzer, nue, sur le gazon.
«- Je pense qu’il vaudrait mieux qu’on te passe de l’huile de bronzage, tu pourrais facilement attrapé un sérieux coup de soleil avec ta peau blanche.»
Bien sûr elle n’a pas été ni étonnée ni offusquée lorsque je proposais à Roland de "l’aider" à se passer cette huile alors que je commençais tout juste d’entamer mon petit déjeuner. C’est donc, confortablement installé sur la terrasse que j’ai vu mon copain s’installer à côté de ma femme pour lui passer de l’huile. Elle était allongée sur le ventre, entièrement nue; les jambes légèrement entrouvertes la tête tournée vers moi, étudiant mes réactions. Pudiquement il a commencé par le dos. Il y passait de l’huile autant qu’il prenait un malin plaisir à la masser. Le cou, les épaules le dos les flancs tout en lui frôlant les seins et en arrivait aux fesses. Karen m’a regardé, regard moqueur et interrogatif, vais-je le laisser lui caresser, masser les fesses entre cuisses compris. Je lui ai répondu avec le même sourire moqueur de l’homme consentant à la vision des caresses ralenties et insistantes aux endroits délicats comme l’entre cuisses et l’intérieur des fesses, avec une attention toute particulières pour l’intérieur des fesses. Karen le laissait faire, amusée, visiblement très complice et consentante. Elle a même esquissé un beau sourire et m’a lancé un regard très complice. Je ne pouvais que constater une belle érection de Rolland qui accroupi à côté de Karen ne prenait aucune précaution pour cacher le gland qui sortait du maillot. Karen n’avait qu’à tourner la tête vers lui pour se retrouver à quelques centimètres d’une pipe possible. J’étais sûr qu’elle avait compris ce que je voyais. C’est à ce moment que Roland m’a regardé d’un regard étrange. Il venait de constater que Karen, excitée, mouillait et ne pouvait plus nous le cacher.
«- Oui, là il te faut insister car c’est un endroit très sensible aux coup de soleil.»
Comprenant que je lui donnais l’autorisation, Roland remit de l’huile et insista particulièrement sur l’entre cuisse ainsi que l’entre fesses. Karen a réagit tout de même avec une petite grimace : -ne vas trop loin tout de même- Alors qu’en même temps, je pensais: Attends qu’il t’en passe devant. Petit à petit, Roland a terminé le "Dos" alors il a, naturellement (mais très intéressé)demandé à Karen de se tourner et de se coucher sur le dos. D’un regard suppliant et me demandant de prendre le relais, Karen s’est redressée et s’est couchée sur le dos. Elle continuait de me regarder avec insistance mais je restais imperturbable en regardant Roland ravi de la chance qui s’offrait à lui et le corp de Karen qui s’offrait à ses caresses. Maintenant si elle tournait la tête elle savait se retrouver face à la bite de son masseur en pleine érection à moitié sortie du maillot. Mais Roland avait posé la serviette dessus pour cacher ce qui se voyait sans doute possible. Me quittant des yeux elle s’obligeait a regarder les nuages. Et lorsque Roland mit la crème sur son ventre elle ne put s’empêcher de tourner la tête vers Roland. Elle resta ainsi quelques secondes, essayant de s’assurer de ce qu’elle voyait. Elle retourna la tête vers moi et après un regard affolé, elle s’est visiblement résigné: j’avais gagné. Elle était prise au piège, connaissant mon fantasme et comprenant l’envie non dissimulée de son masseur elle ne pouvait plus reculer. Elle se verrait obligée de le gratifier au minimum d’une petite masturbation sinon d’une pipe. Mais son regard avait changé, elle s’était résignée: Elle ferait quelque chose. Roland, de son côté, trop content de l’aubaine commençait les massages du ventre et remontait calmement autour des nichons durcis par l’excitation, les tétons dressés sans vergogne, puis mit de l’huile dans ses mains et les a posé sur les deux seins. Roland caressait maintenant les deux gros nichons de ma femme sans aucune réaction de celle ci. Je crois même qu’il était plus excité que moi. Moi, si je voyais une partie de mon fantasme se réaliser, lui, réalisais certes mon fantasme mais se retrouvait avec les seins de mon épouse dans ses mains et ce n’était pas fini. Karen, excitée mais voulant minimiser cette excitation avait fermé les yeux. J’en profitais pour faire signe à Roland d’essayer de lui voler un baiser. Surpris par cette autorisation, il s’est penché et a posé ses lèvres sur la bouche fermée de Karen sans en attendre une réponse avec la langue. Elle a ouvert les yeux, lui a souris et l’a laissé renouveler ce baiser volé pour un baiser un peu plus long, langue comprise. Roland, devant une telle acceptation, en a profité pour descendre sa main et huiler le contour de foufoune en rajoutant de l’huile pour finir de caresser les grandes lèvres et même titiller le clito qui s’était exhibé sans pudeur à l’approche des doigts fouilleur. Maintenant le baiser n’était plus volé mais devenait amoureux. Celui-ci terminé, ils m’ont regardés pour surveiller ma réaction. Je leur ai souris et dit:
«-Ca devait arriver, et ça continuera.
Karen, étonnée, m’a répondu
- Là, tu es content, tu y es arrivé, c’est ça que tu voulais. Il me faut reconnaitre que c’était très agréable, et Roland est un bon masseur. Il n’a qu’à continuer. De toute façon ce sont des endroits tellement sensibles aux coups de soleil.
Et Roland de rajouter.
- Oui, mais c’était trop tentant je n’ai pas pu me retenir. Et il faut reconnaitre que Karen a un corp si parfait qu’il est impossible de résister à quelques débordements.
- Merci pour le compliment. Bon, continu, au point ou on en est maintenant il n’y a qu’à finir de le huiler ce corp parfait.»
C’est là que la suite de mon fantasme m’a surpris. Karen a tourné la tête sachant très bien ce qu’elle allait y trouver.
« - oui, hé bien à moi aussi il m’est difficile de me retenir. De toute façon vous le voulez depuis le départ, alors!»
Elle s’est placée sur le côté et prenant la queue à pleine main et a entamé une petite masturbation. Mais visiblement elle avait l’intention d’aller plus loin. Deux ou trois coups de langue et elle a ouvert la bouche elle a avancé la tête et l’a faite entrer jusqu’au fond de sa gorge avec un gémissement de satisfaction.
Voilà, elle lui faisait une bonne "royale" comme je les appelais. Je pouvais enfin me régaler en regardant mon épouse faire une pipe à mon ami. Regarder sa queue entrer profondément, ressortir toute luisante et replonger dans le gouffre à plaisir. A fin de ne pas baiser avec ses flirts dans son adolescence, elle préférait leur faire une ou deux pipes pour les calmer. Et des flirts elle en a eu. Surnommée -bouche pleine- elle était réputée pour ses pipes. Elle aimait en faire, et ses petits copains aimaient en parler s’attirant la jalousie des filles qui n’étaient pas aussi instruite qu’elle sur cette pratique. Maintenant c’était au tour de Roland de fermer les yeux. Sa main avait trouvé le clito et le titillait énergiquement. J’entendais les "glouglou" de la pipe qui entrait sortait de sa bouche, ses gémissements de satisfaction et ceux de Roland qui n’en revenait pas de sentir sa queue se faire sucer. Combien de fois c’était il masturbé en fantasmant sur une telle possibilité. Et là, maintenant il se faisait vraiment sucer par cette femme dont il était tombé amoureux. Elle le suçait devant son mari qui appréciait le tableau. Dans le camion, il lui en parlait des "royales" que lui faisait sa femme, et là, maintenant il avait sa queue dans la bouche de cette salope à qui il avait caressé les deux gros nichons, à qui il avait branlé le clito, caressé les fesses, huilé le petit fripé, senti sa chatte couler d’excitation, embrassé goulument. Et après la baiserait il ? , pour le moment c’était bien parti, mais quand ? Après la pipe ? Lui laisserait elle assez de force? Ce soir après manger? Passera t’il la nuit avec elle? Ou sera t’il invité pour une double pénétration? Son mari lui en avait parlé, c’était son fantasme: la prendre des deux côtés. A ses dires elle aimait aussi la sodomie. De toute façon, huit jours, elle serait là encore 7 jours. La baiserait il tous les jours? Peut être même pourrait il l’enculer? Peut être même devant son mari ? Ca y est, il lâche la purée, elle ne le fait même pas sortir pour qu’il inonde cette magnifique poitrine. Elle le laisse jouir dans sa bouche. Il l’entend gémir, elle avale, c’est la première fois qu’il jouit dans la bouche d’une femme. Mon dieu que c’est bon de se lâcher ainsi, au chaud. Voilà, il a fini, elle le fait ressortir, elle le regarde, elle lui souri:
« - Ca t’a plu ? Je te l’avais dit, elle suce à la perfection et en plus elle avale, elle aime ça, elle prend ça comme apéritif. Elle me purge comme ça tous les vendredi soir. Ce soir c’est toi qui en profite. Mais cette nuit tu pourras l’entendre, je sens que ça va être très chaud.
- Pourquoi, il pourrait venir avec nous. Je crois que je pourrais tenir le coup. Surtout que maintenant je sens bien qu’il me faudra bien deux belles bites pour me satisfaire. C’est ta faute, c’est toi qui m’y pousse. Depuis le temps que tu m’en parles de le faire à trois, des deux côtés, et bien ce sera ce soir. Tu voulais me voir baisée par un autre gars, alors pourquoi pas ce soir. Rien ne nous empêche de peaufiner ça jusqu’à dimanche. Et après, amant pour amant, pourquoi ne le prendrai-je pas comme amant j’ai déjà bien commencé. Tu a vu la pipe que je lui ai faite, comme tu les aimes, la royale. Ce soir je suis votre pute, je serais votre vide couille. Tu n’as rien à dire. Depuis le temps que tu le demandes, aujourd’hui c’est d’accord, je suis d’accord! Vous pourrez me baiser toute la nuit, et un magnifique final pour vous deux. A force d’y penser, maintenant j’en ai vraiment envie. Allez en rentre, on mange et surtout pas de télé, on baise, ce soir, c’est moi la télé et il n’y aura pas de carré blanc. »
Mais la nuit, c’est une autre histoire.
«- Je pense qu’il vaudrait mieux qu’on te passe de l’huile de bronzage, tu pourrais facilement attrapé un sérieux coup de soleil avec ta peau blanche.»
Bien sûr elle n’a pas été ni étonnée ni offusquée lorsque je proposais à Roland de "l’aider" à se passer cette huile alors que je commençais tout juste d’entamer mon petit déjeuner. C’est donc, confortablement installé sur la terrasse que j’ai vu mon copain s’installer à côté de ma femme pour lui passer de l’huile. Elle était allongée sur le ventre, entièrement nue; les jambes légèrement entrouvertes la tête tournée vers moi, étudiant mes réactions. Pudiquement il a commencé par le dos. Il y passait de l’huile autant qu’il prenait un malin plaisir à la masser. Le cou, les épaules le dos les flancs tout en lui frôlant les seins et en arrivait aux fesses. Karen m’a regardé, regard moqueur et interrogatif, vais-je le laisser lui caresser, masser les fesses entre cuisses compris. Je lui ai répondu avec le même sourire moqueur de l’homme consentant à la vision des caresses ralenties et insistantes aux endroits délicats comme l’entre cuisses et l’intérieur des fesses, avec une attention toute particulières pour l’intérieur des fesses. Karen le laissait faire, amusée, visiblement très complice et consentante. Elle a même esquissé un beau sourire et m’a lancé un regard très complice. Je ne pouvais que constater une belle érection de Rolland qui accroupi à côté de Karen ne prenait aucune précaution pour cacher le gland qui sortait du maillot. Karen n’avait qu’à tourner la tête vers lui pour se retrouver à quelques centimètres d’une pipe possible. J’étais sûr qu’elle avait compris ce que je voyais. C’est à ce moment que Roland m’a regardé d’un regard étrange. Il venait de constater que Karen, excitée, mouillait et ne pouvait plus nous le cacher.
«- Oui, là il te faut insister car c’est un endroit très sensible aux coup de soleil.»
Comprenant que je lui donnais l’autorisation, Roland remit de l’huile et insista particulièrement sur l’entre cuisse ainsi que l’entre fesses. Karen a réagit tout de même avec une petite grimace : -ne vas trop loin tout de même- Alors qu’en même temps, je pensais: Attends qu’il t’en passe devant. Petit à petit, Roland a terminé le "Dos" alors il a, naturellement (mais très intéressé)demandé à Karen de se tourner et de se coucher sur le dos. D’un regard suppliant et me demandant de prendre le relais, Karen s’est redressée et s’est couchée sur le dos. Elle continuait de me regarder avec insistance mais je restais imperturbable en regardant Roland ravi de la chance qui s’offrait à lui et le corp de Karen qui s’offrait à ses caresses. Maintenant si elle tournait la tête elle savait se retrouver face à la bite de son masseur en pleine érection à moitié sortie du maillot. Mais Roland avait posé la serviette dessus pour cacher ce qui se voyait sans doute possible. Me quittant des yeux elle s’obligeait a regarder les nuages. Et lorsque Roland mit la crème sur son ventre elle ne put s’empêcher de tourner la tête vers Roland. Elle resta ainsi quelques secondes, essayant de s’assurer de ce qu’elle voyait. Elle retourna la tête vers moi et après un regard affolé, elle s’est visiblement résigné: j’avais gagné. Elle était prise au piège, connaissant mon fantasme et comprenant l’envie non dissimulée de son masseur elle ne pouvait plus reculer. Elle se verrait obligée de le gratifier au minimum d’une petite masturbation sinon d’une pipe. Mais son regard avait changé, elle s’était résignée: Elle ferait quelque chose. Roland, de son côté, trop content de l’aubaine commençait les massages du ventre et remontait calmement autour des nichons durcis par l’excitation, les tétons dressés sans vergogne, puis mit de l’huile dans ses mains et les a posé sur les deux seins. Roland caressait maintenant les deux gros nichons de ma femme sans aucune réaction de celle ci. Je crois même qu’il était plus excité que moi. Moi, si je voyais une partie de mon fantasme se réaliser, lui, réalisais certes mon fantasme mais se retrouvait avec les seins de mon épouse dans ses mains et ce n’était pas fini. Karen, excitée mais voulant minimiser cette excitation avait fermé les yeux. J’en profitais pour faire signe à Roland d’essayer de lui voler un baiser. Surpris par cette autorisation, il s’est penché et a posé ses lèvres sur la bouche fermée de Karen sans en attendre une réponse avec la langue. Elle a ouvert les yeux, lui a souris et l’a laissé renouveler ce baiser volé pour un baiser un peu plus long, langue comprise. Roland, devant une telle acceptation, en a profité pour descendre sa main et huiler le contour de foufoune en rajoutant de l’huile pour finir de caresser les grandes lèvres et même titiller le clito qui s’était exhibé sans pudeur à l’approche des doigts fouilleur. Maintenant le baiser n’était plus volé mais devenait amoureux. Celui-ci terminé, ils m’ont regardés pour surveiller ma réaction. Je leur ai souris et dit:
«-Ca devait arriver, et ça continuera.
Karen, étonnée, m’a répondu
- Là, tu es content, tu y es arrivé, c’est ça que tu voulais. Il me faut reconnaitre que c’était très agréable, et Roland est un bon masseur. Il n’a qu’à continuer. De toute façon ce sont des endroits tellement sensibles aux coups de soleil.
Et Roland de rajouter.
- Oui, mais c’était trop tentant je n’ai pas pu me retenir. Et il faut reconnaitre que Karen a un corp si parfait qu’il est impossible de résister à quelques débordements.
- Merci pour le compliment. Bon, continu, au point ou on en est maintenant il n’y a qu’à finir de le huiler ce corp parfait.»
C’est là que la suite de mon fantasme m’a surpris. Karen a tourné la tête sachant très bien ce qu’elle allait y trouver.
« - oui, hé bien à moi aussi il m’est difficile de me retenir. De toute façon vous le voulez depuis le départ, alors!»
Elle s’est placée sur le côté et prenant la queue à pleine main et a entamé une petite masturbation. Mais visiblement elle avait l’intention d’aller plus loin. Deux ou trois coups de langue et elle a ouvert la bouche elle a avancé la tête et l’a faite entrer jusqu’au fond de sa gorge avec un gémissement de satisfaction.
Voilà, elle lui faisait une bonne "royale" comme je les appelais. Je pouvais enfin me régaler en regardant mon épouse faire une pipe à mon ami. Regarder sa queue entrer profondément, ressortir toute luisante et replonger dans le gouffre à plaisir. A fin de ne pas baiser avec ses flirts dans son adolescence, elle préférait leur faire une ou deux pipes pour les calmer. Et des flirts elle en a eu. Surnommée -bouche pleine- elle était réputée pour ses pipes. Elle aimait en faire, et ses petits copains aimaient en parler s’attirant la jalousie des filles qui n’étaient pas aussi instruite qu’elle sur cette pratique. Maintenant c’était au tour de Roland de fermer les yeux. Sa main avait trouvé le clito et le titillait énergiquement. J’entendais les "glouglou" de la pipe qui entrait sortait de sa bouche, ses gémissements de satisfaction et ceux de Roland qui n’en revenait pas de sentir sa queue se faire sucer. Combien de fois c’était il masturbé en fantasmant sur une telle possibilité. Et là, maintenant il se faisait vraiment sucer par cette femme dont il était tombé amoureux. Elle le suçait devant son mari qui appréciait le tableau. Dans le camion, il lui en parlait des "royales" que lui faisait sa femme, et là, maintenant il avait sa queue dans la bouche de cette salope à qui il avait caressé les deux gros nichons, à qui il avait branlé le clito, caressé les fesses, huilé le petit fripé, senti sa chatte couler d’excitation, embrassé goulument. Et après la baiserait il ? , pour le moment c’était bien parti, mais quand ? Après la pipe ? Lui laisserait elle assez de force? Ce soir après manger? Passera t’il la nuit avec elle? Ou sera t’il invité pour une double pénétration? Son mari lui en avait parlé, c’était son fantasme: la prendre des deux côtés. A ses dires elle aimait aussi la sodomie. De toute façon, huit jours, elle serait là encore 7 jours. La baiserait il tous les jours? Peut être même pourrait il l’enculer? Peut être même devant son mari ? Ca y est, il lâche la purée, elle ne le fait même pas sortir pour qu’il inonde cette magnifique poitrine. Elle le laisse jouir dans sa bouche. Il l’entend gémir, elle avale, c’est la première fois qu’il jouit dans la bouche d’une femme. Mon dieu que c’est bon de se lâcher ainsi, au chaud. Voilà, il a fini, elle le fait ressortir, elle le regarde, elle lui souri:
« - Ca t’a plu ? Je te l’avais dit, elle suce à la perfection et en plus elle avale, elle aime ça, elle prend ça comme apéritif. Elle me purge comme ça tous les vendredi soir. Ce soir c’est toi qui en profite. Mais cette nuit tu pourras l’entendre, je sens que ça va être très chaud.
- Pourquoi, il pourrait venir avec nous. Je crois que je pourrais tenir le coup. Surtout que maintenant je sens bien qu’il me faudra bien deux belles bites pour me satisfaire. C’est ta faute, c’est toi qui m’y pousse. Depuis le temps que tu m’en parles de le faire à trois, des deux côtés, et bien ce sera ce soir. Tu voulais me voir baisée par un autre gars, alors pourquoi pas ce soir. Rien ne nous empêche de peaufiner ça jusqu’à dimanche. Et après, amant pour amant, pourquoi ne le prendrai-je pas comme amant j’ai déjà bien commencé. Tu a vu la pipe que je lui ai faite, comme tu les aimes, la royale. Ce soir je suis votre pute, je serais votre vide couille. Tu n’as rien à dire. Depuis le temps que tu le demandes, aujourd’hui c’est d’accord, je suis d’accord! Vous pourrez me baiser toute la nuit, et un magnifique final pour vous deux. A force d’y penser, maintenant j’en ai vraiment envie. Allez en rentre, on mange et surtout pas de télé, on baise, ce soir, c’est moi la télé et il n’y aura pas de carré blanc. »
Mais la nuit, c’est une autre histoire.
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Merci j'ai bien aimé votre histoire bien écrite