initiation avec un vieux monsieur
Récit érotique écrit par Nyalis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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initiation avec un vieux monsieur
J'avais 17 ans et j'étais lycéen à Nantes quand j'ai vécu cette première aventure, qui m'a marqué et dont je garde un souvenir précis.
Un bel après-midi de mai, je décide d'aller me promener au jardin des plantes, grand de 7 hectares au milieu de la ville.
Après avoir déambulé dans les allées, me vient une impérieuse envie d'uriner.
Comme cela existait à l'époque, il y avait une vespasienne pour que les messieurs puissent se soulager.
Un modèle avec les parois en zinc et sans séparations. A peine étais-je positionné pour me soulager, qu'un vieux monsieur vînt se poster à côté de moi. Un peu surpris qu'il ne reste pas à distance, car nous étions seuls, je tournai la tête pour voir son visage.
Souriant, il me salua et me dit quelque chose comme ça fait du bien de se soulager. Il avait l'air d'un vieux sympa, pas vicieux, plutôt bon chic bon genre.
Ma vessie étant bien pleine je ne pouvais interrompre ma miction.
Du coin de l'œil, je m'aperçus qu'il me regardait pisser, en souriant toujours. Quand je le regardai de nouveau, il me dit que j'avais un beau sexe. Mon cœur se mit à battre plus fort dans ma poitrine. Quand j'eus fini d'uriner, j'étais comme tétanisé, surpris de son audace et sans-gêne.
Le vieux monsieur souriait toujours, son regard fixant mon sexe. Dans ma main, je le sentis s'alourdir et grossir. Ce voyeurisme subi et inattendu m'excitait terriblement. Les pulsions étaient si fortes qu'en quelques secondes j'eus une formidable érection, le sexe tendu vers le ciel, le gland gorgé de sang.
C'est à ce moment-là qu'un autre homme entra dans la pissotière. Mon voyeur rangea rapidement son organe et s'en alla. Très fébrile d'être surpris dans cette posture indécente, je m'efforce en me contorsionnant de remballer tant bien que mal mon pénis devenu bien trop volumineux pour le slip. Et honteux d'avoir été surpris, je m'éloigne rapidement de l'endroit de mon délit.
Un peu plus loin, le vieux monsieur m'aperçoit et vient à ma rencontre. Quel dommage que nous ayons été dérangés me dit-il.
Sous le coup de l'émotion d'avoir été surpris dans la pissotière, je n'avais qu'une envie, c'était de quitter le jardin des plantes, de m'éloigner.
J'habite à deux pas du jardin. Voulez vous venir boire un chocolat ou un thé pour vous remettre de vos émotions proposa-t-il ?
J'hésitai un peu, mais la curiosité l'emporta. Et ce vieil homme qui ne me rebutait pas, m'inspirait confiance. Je le suivis donc jusqu'à son appartement, dans un immeuble cossu. Son appartement était à l'image de l'immeuble. Bourgeois, confortable, richement meublé, haut de plafond.
Avez-vous envie d'une boisson ? Chocolat, thé, café ? J'optai pour le thé.Il prépara une théière d'un excellent thé, servi avec de savoureux biscuits. Assoiffé, je bus trop rapidement le thé chaud et je le regrettai aussitôt car il faisait chaud dans son salon exposé plein sud.
Je me mis à suer à grosses gouttes et me sentir mal à l'aise dans mes habits. Il s'en aperçut et s'excusa de n'avoir pas proposé une boisson fraîche. Voulez-vous vous rafraîchir avec une douche tiède ? Je mettrai vos vêtements humides à sécher.
J'acceptai sans hésitation. Il m'accompagna à la salle de bain, me montra comment utiliser la douche et me remit une grande serviette de coton épais. Quand vous serez dans la douche caché par le rideau je viendrai prendre vos vêtements.
Je me demandais s'il allait profiter de la situation pour me mater. Son tact me rassura. Quand je sortis de la douche, le corps rafraîchi, il n'était pas dans la salle de bain. Il m'attendait tranquillement dans le salon, sirotant son thé.
Vous sentez-vous vous mieux maintenant ? Voulez-vous une boisson fraîche ? Installez-vous sur le canapé. Il était aux petits soins pour que je me sente bien.
Assis en face de moi dans un fauteuil, il reprit la conversation, me questionnant à propos de mes études et de ma vie en général. Vêtu de la serviette ceinte autour de mes hanches, j'étais torse nu.
Changeant le thème de la discussion, il me complimenta à propos de mon physique.
J'aimerais vous photographier si cela ne vous dérange pas, pour avoir un souvenir de notre rencontre. J'hésitai et j'acceptai. À l'époque, sans internet ni réseaux sociaux, on ne craignait pas de voir sa photo diffusée à tort et à travers.
Il me photographia debout, de face et de dos. Puis, il me dit de m'allonger sur le canapé, de prendre une pose alanguie. J'avais toujours la serviette autour des reins.
Il me dit alors qu'il aimerait me photographier sans la serviette si je voulais bien.
À l'entendre dire ces mots, mon cœur s'emballa dans ma poitrine. C'était la première fois que je m'exposais nu devant un homme qui le désirait.
J'hésitai quelques secondes. Puis, sans mot dire, je me levai et, le souffle court, je laissai tomber la serviette sur le sol. Le simple fait d'être nu devant lui me faisait bander sans autre stimulation.
En un instant, mon pénis se dressait fièrement.
Surpris, il en oublia un moment de photographier. Puis, il me fit varier les poses. Allongé, assis, accroupi. Toutes étaient érotiques, suggestives. C'était incroyable l'effet que me faisait cette exhibition consentie. Je n'étais plus moi-même, mais un jeune mâle en rut.
Après plusieurs prises, il posa l'appareil et me remercia chaleureusement d'avoir bien voulu me laisser photographier.
Il vint s'asseoir à côté de moi, toujours nu. Je ne pensais pas à couvrir ma nudité. Il me complimenta de nouveau à propos de mon physique qu'il compara flatteusement aux statues de l'antiquité à l'exception notable de mon sexe qui est plus volumineux dit-il en riant.
C'est alors qu'il posa sa main sur ma cuisse. Ce contact me fit frémir. J'aurais dû la repousser avec tact et prendre congé en le remerciant pour éviter tout contact charnel avec ce vieil homme. Cependant, je ne bougeais pas. Je ne le craignais pas. La sensation inédite de sa main sur ma peau me troublait fortement.
Constatant que je ne réagissais pas, il commença à me caresser la cuisse. Sa main était douce, légère. Puis il caressa le ventre, le torse.
Aimes-tu mes caresses demanda-t-il ? Je murmurai un oui timide. Ses doigts titillèrent mes tétons ce qui me fit tressaillir et durcir les pointes. Ils sont sensibles dit-il, en souriant.
Je découvrais cette caresse et les stimuli qu'elle avait sur mon sexe qui durcit encore.
Le vieux monsieur se pencha vers mon torse en me disant "n'aies pas peur". Sa bouche s'empara du téton le plus proche pendant que sa main s'emparait de mon pénis au summum de l'érection.
Je crois me souvenir qu'à ce moment-là, j'ai gémi et fermé les yeux. Je m'abandonnais aux sensations nouvelles que me procurait sa langue sur mon téton et la douce caresse de sa main sur mon pénis. J'étais totalement consentant. Je m'offrais sans retenue.
Ensuite, il vint s'agenouiller face à moi et m'attira vers lui pour positionner mes fesses au bord du canapé.
Il se pencha sur moi, posa sa bouche sur mon gland hyper gonflé. C'était doux, chaud, humide. Je découvrais les sensations de ma première fellation.
Il alternait les petits coups de langue sur mon pénis et mon gland dans sa bouche en alternant avec un léchage des testicules.
J'étais dans un état second, dans une bulle de plaisir insensé. Le vieil homme me révélait ma sensualité débridée, des sensations insoupçonnées jusqu'alors.
Peu m'importait la grande différence d'âge. Avec lui, je découvrais le plaisir qu'un homme pouvait me donner. C'est à partir de ce jour-là que je suis devenu bi et plutôt passif. J'ai profité de mon pouvoir de séduction sur des hommes qui aiment les hommes, souvent en offrant mon corps à leurs regards, leurs mains, leurs bouches et leurs sexes.
Au bout d'un long moment de cette douce torture presque insoutenable, j'étais au bord de l'explosion. Je ne voulais pas que ça cesse. C'est alors qu'il me dit, tourne toi et mets à quatre pattes. Soumis à ses désirs, je me retrouvais les fesses tournées vers lui, à hauteur de son visage.
Dans cette position, couilles et cul exposés, je me sentis encore plus indécent, carrément obscène. Il me caressa les fesses, un doigt effleura l'anus, sa main saisit mes testicules et les malaxa délicatement.
Soudain, des deux mains il saisit mon postérieur et ô surprise sa bouche se colla à l'anus. Sa langue agile entreprit de lécher comme si elle voulait s'insinuer entre les plis serrés. Surpris, je découvris les sensations jouissives de cet acte dont j'ignorais alors le nom et les appellations coquines.
Cela dura quelques minutes qui restent gravées dans ma mémoire, jusqu'au moment où il décida de l'épilogue. Il me demanda de reprendre la position assise et alanguie dans le canapé. D'une main il s'empara de mon pénis au paroxysme de l'érection ; de l'autre, il caressait mon anus mouillé de sa salive. Je sentis un doigt qui le titillait en exerçant une pression.
Je crois qu'à ce moment-là, mes gémissements étaient devenus des cris de jouissance. Il emboucha de nouveau mon gland et c'est alors que j'eus un orgasme fulgurant en me vidant dans sa bouche.
Quand j'ai repris mes esprits, il me regardait en souriant. Du sperme coulait à la commissure des lèvres qu'il essuya avec soin.
Je ne sais plus trop ce qu'il me dit alors, mais c'était des mots gentils. Sous le coup de l'émotion, partagé entre l'extase et un vague remords de m'être laissé aller à cette relation qui me semblait sordide, je bafouillai un remerciement pour son accueil et le plaisir extraordinaire qu'il m'avait donné.
Je garde de lui le souvenir d'un homme respectueux et gentil. En aucun cas, il n'abusa de moi. J'étais totalement consentant, intrigué et curieux de laisser libre cours à mon impérieuse sensualité en sa compagnie. Il me donna son numéro de téléphone si je souhaitais le revoir.
Les circonstances de la vie ont fait de cette première expérience homosexuelle la seule rencontre avec ce vieux monsieur qui ne fût pas le dernier auquel je me suis offert.
Un bel après-midi de mai, je décide d'aller me promener au jardin des plantes, grand de 7 hectares au milieu de la ville.
Après avoir déambulé dans les allées, me vient une impérieuse envie d'uriner.
Comme cela existait à l'époque, il y avait une vespasienne pour que les messieurs puissent se soulager.
Un modèle avec les parois en zinc et sans séparations. A peine étais-je positionné pour me soulager, qu'un vieux monsieur vînt se poster à côté de moi. Un peu surpris qu'il ne reste pas à distance, car nous étions seuls, je tournai la tête pour voir son visage.
Souriant, il me salua et me dit quelque chose comme ça fait du bien de se soulager. Il avait l'air d'un vieux sympa, pas vicieux, plutôt bon chic bon genre.
Ma vessie étant bien pleine je ne pouvais interrompre ma miction.
Du coin de l'œil, je m'aperçus qu'il me regardait pisser, en souriant toujours. Quand je le regardai de nouveau, il me dit que j'avais un beau sexe. Mon cœur se mit à battre plus fort dans ma poitrine. Quand j'eus fini d'uriner, j'étais comme tétanisé, surpris de son audace et sans-gêne.
Le vieux monsieur souriait toujours, son regard fixant mon sexe. Dans ma main, je le sentis s'alourdir et grossir. Ce voyeurisme subi et inattendu m'excitait terriblement. Les pulsions étaient si fortes qu'en quelques secondes j'eus une formidable érection, le sexe tendu vers le ciel, le gland gorgé de sang.
C'est à ce moment-là qu'un autre homme entra dans la pissotière. Mon voyeur rangea rapidement son organe et s'en alla. Très fébrile d'être surpris dans cette posture indécente, je m'efforce en me contorsionnant de remballer tant bien que mal mon pénis devenu bien trop volumineux pour le slip. Et honteux d'avoir été surpris, je m'éloigne rapidement de l'endroit de mon délit.
Un peu plus loin, le vieux monsieur m'aperçoit et vient à ma rencontre. Quel dommage que nous ayons été dérangés me dit-il.
Sous le coup de l'émotion d'avoir été surpris dans la pissotière, je n'avais qu'une envie, c'était de quitter le jardin des plantes, de m'éloigner.
J'habite à deux pas du jardin. Voulez vous venir boire un chocolat ou un thé pour vous remettre de vos émotions proposa-t-il ?
J'hésitai un peu, mais la curiosité l'emporta. Et ce vieil homme qui ne me rebutait pas, m'inspirait confiance. Je le suivis donc jusqu'à son appartement, dans un immeuble cossu. Son appartement était à l'image de l'immeuble. Bourgeois, confortable, richement meublé, haut de plafond.
Avez-vous envie d'une boisson ? Chocolat, thé, café ? J'optai pour le thé.Il prépara une théière d'un excellent thé, servi avec de savoureux biscuits. Assoiffé, je bus trop rapidement le thé chaud et je le regrettai aussitôt car il faisait chaud dans son salon exposé plein sud.
Je me mis à suer à grosses gouttes et me sentir mal à l'aise dans mes habits. Il s'en aperçut et s'excusa de n'avoir pas proposé une boisson fraîche. Voulez-vous vous rafraîchir avec une douche tiède ? Je mettrai vos vêtements humides à sécher.
J'acceptai sans hésitation. Il m'accompagna à la salle de bain, me montra comment utiliser la douche et me remit une grande serviette de coton épais. Quand vous serez dans la douche caché par le rideau je viendrai prendre vos vêtements.
Je me demandais s'il allait profiter de la situation pour me mater. Son tact me rassura. Quand je sortis de la douche, le corps rafraîchi, il n'était pas dans la salle de bain. Il m'attendait tranquillement dans le salon, sirotant son thé.
Vous sentez-vous vous mieux maintenant ? Voulez-vous une boisson fraîche ? Installez-vous sur le canapé. Il était aux petits soins pour que je me sente bien.
Assis en face de moi dans un fauteuil, il reprit la conversation, me questionnant à propos de mes études et de ma vie en général. Vêtu de la serviette ceinte autour de mes hanches, j'étais torse nu.
Changeant le thème de la discussion, il me complimenta à propos de mon physique.
J'aimerais vous photographier si cela ne vous dérange pas, pour avoir un souvenir de notre rencontre. J'hésitai et j'acceptai. À l'époque, sans internet ni réseaux sociaux, on ne craignait pas de voir sa photo diffusée à tort et à travers.
Il me photographia debout, de face et de dos. Puis, il me dit de m'allonger sur le canapé, de prendre une pose alanguie. J'avais toujours la serviette autour des reins.
Il me dit alors qu'il aimerait me photographier sans la serviette si je voulais bien.
À l'entendre dire ces mots, mon cœur s'emballa dans ma poitrine. C'était la première fois que je m'exposais nu devant un homme qui le désirait.
J'hésitai quelques secondes. Puis, sans mot dire, je me levai et, le souffle court, je laissai tomber la serviette sur le sol. Le simple fait d'être nu devant lui me faisait bander sans autre stimulation.
En un instant, mon pénis se dressait fièrement.
Surpris, il en oublia un moment de photographier. Puis, il me fit varier les poses. Allongé, assis, accroupi. Toutes étaient érotiques, suggestives. C'était incroyable l'effet que me faisait cette exhibition consentie. Je n'étais plus moi-même, mais un jeune mâle en rut.
Après plusieurs prises, il posa l'appareil et me remercia chaleureusement d'avoir bien voulu me laisser photographier.
Il vint s'asseoir à côté de moi, toujours nu. Je ne pensais pas à couvrir ma nudité. Il me complimenta de nouveau à propos de mon physique qu'il compara flatteusement aux statues de l'antiquité à l'exception notable de mon sexe qui est plus volumineux dit-il en riant.
C'est alors qu'il posa sa main sur ma cuisse. Ce contact me fit frémir. J'aurais dû la repousser avec tact et prendre congé en le remerciant pour éviter tout contact charnel avec ce vieil homme. Cependant, je ne bougeais pas. Je ne le craignais pas. La sensation inédite de sa main sur ma peau me troublait fortement.
Constatant que je ne réagissais pas, il commença à me caresser la cuisse. Sa main était douce, légère. Puis il caressa le ventre, le torse.
Aimes-tu mes caresses demanda-t-il ? Je murmurai un oui timide. Ses doigts titillèrent mes tétons ce qui me fit tressaillir et durcir les pointes. Ils sont sensibles dit-il, en souriant.
Je découvrais cette caresse et les stimuli qu'elle avait sur mon sexe qui durcit encore.
Le vieux monsieur se pencha vers mon torse en me disant "n'aies pas peur". Sa bouche s'empara du téton le plus proche pendant que sa main s'emparait de mon pénis au summum de l'érection.
Je crois me souvenir qu'à ce moment-là, j'ai gémi et fermé les yeux. Je m'abandonnais aux sensations nouvelles que me procurait sa langue sur mon téton et la douce caresse de sa main sur mon pénis. J'étais totalement consentant. Je m'offrais sans retenue.
Ensuite, il vint s'agenouiller face à moi et m'attira vers lui pour positionner mes fesses au bord du canapé.
Il se pencha sur moi, posa sa bouche sur mon gland hyper gonflé. C'était doux, chaud, humide. Je découvrais les sensations de ma première fellation.
Il alternait les petits coups de langue sur mon pénis et mon gland dans sa bouche en alternant avec un léchage des testicules.
J'étais dans un état second, dans une bulle de plaisir insensé. Le vieil homme me révélait ma sensualité débridée, des sensations insoupçonnées jusqu'alors.
Peu m'importait la grande différence d'âge. Avec lui, je découvrais le plaisir qu'un homme pouvait me donner. C'est à partir de ce jour-là que je suis devenu bi et plutôt passif. J'ai profité de mon pouvoir de séduction sur des hommes qui aiment les hommes, souvent en offrant mon corps à leurs regards, leurs mains, leurs bouches et leurs sexes.
Au bout d'un long moment de cette douce torture presque insoutenable, j'étais au bord de l'explosion. Je ne voulais pas que ça cesse. C'est alors qu'il me dit, tourne toi et mets à quatre pattes. Soumis à ses désirs, je me retrouvais les fesses tournées vers lui, à hauteur de son visage.
Dans cette position, couilles et cul exposés, je me sentis encore plus indécent, carrément obscène. Il me caressa les fesses, un doigt effleura l'anus, sa main saisit mes testicules et les malaxa délicatement.
Soudain, des deux mains il saisit mon postérieur et ô surprise sa bouche se colla à l'anus. Sa langue agile entreprit de lécher comme si elle voulait s'insinuer entre les plis serrés. Surpris, je découvris les sensations jouissives de cet acte dont j'ignorais alors le nom et les appellations coquines.
Cela dura quelques minutes qui restent gravées dans ma mémoire, jusqu'au moment où il décida de l'épilogue. Il me demanda de reprendre la position assise et alanguie dans le canapé. D'une main il s'empara de mon pénis au paroxysme de l'érection ; de l'autre, il caressait mon anus mouillé de sa salive. Je sentis un doigt qui le titillait en exerçant une pression.
Je crois qu'à ce moment-là, mes gémissements étaient devenus des cris de jouissance. Il emboucha de nouveau mon gland et c'est alors que j'eus un orgasme fulgurant en me vidant dans sa bouche.
Quand j'ai repris mes esprits, il me regardait en souriant. Du sperme coulait à la commissure des lèvres qu'il essuya avec soin.
Je ne sais plus trop ce qu'il me dit alors, mais c'était des mots gentils. Sous le coup de l'émotion, partagé entre l'extase et un vague remords de m'être laissé aller à cette relation qui me semblait sordide, je bafouillai un remerciement pour son accueil et le plaisir extraordinaire qu'il m'avait donné.
Je garde de lui le souvenir d'un homme respectueux et gentil. En aucun cas, il n'abusa de moi. J'étais totalement consentant, intrigué et curieux de laisser libre cours à mon impérieuse sensualité en sa compagnie. Il me donna son numéro de téléphone si je souhaitais le revoir.
Les circonstances de la vie ont fait de cette première expérience homosexuelle la seule rencontre avec ce vieux monsieur qui ne fût pas le dernier auquel je me suis offert.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
que souvenirs en lisant cette histoire j'ai connu la même chose avec un monsieur âgé a 15 ans première branlette quelle découverte il m'a branlé et sucé pendant 2 ans avant que l'on déménage je l'ai pleuré j'y pense encore aujourd'hui bien que je suis marié jamais l'on m'a branlé et sucé comme lui
Cette histoire est tellement délicieuse à lire...pour ne rien cacher je ne l'ai lue que d'une seule main ...j'aimerais tant être ces deux personnes, vous et lui, afin de découvrir ce plaisir dont j'ai envie depuis si longtemps...merci infiniment
Je comprends votre réaction et je souscris totalement à la mise en accusation des vrais pédophiles notoires qui ont abusé d'enfants et d'adolescents, en ayant autorité sur eux ( prêtres, chefs scouts, enseignants, personnalités,etc....). Ce n'était pas le cas de ce vieil homme qui m'a traité avec respect et tact. Dans ma mémoire il a tout mon respect.
Consentant si vous le dites mais vous etiez mineur et le vieux bourgeois 1 pedophile notoire.