Initiation chap 3 - Dormir à deux

- Par l'auteur HDS John62 -
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Initiation chap 3 - Dormir à deux Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation chap 3 - Dormir à deux
Chapitre 3 - Dormir à deux.

Durant l'année passée, mon cousin m'a fait perdre toute pudeur et m'a habitué à le sucer jusqu'à m'abreuver de son ''Jus d'homme''. Ainsi, en partant en vacances, je suis un gentil garçon dans le printemps de ses 18 ans face à un homme, de dix ans mon aîné, aussi doux que décidé à faire de moi sa chose.

La route jusqu'à Trébeurden nécessite la journée et nous arrivons en fin d'après-midi à l'hôtel. Il est situé à l'écart du village au fond d'une voie sans issue, un petit chemin côtier conduit au-delà vers d'autres criques et plages éloignées. C'est un beau bâtiment breton construit de garnit devant une pelouse qui donne directement sur la plage ; il y a deux étages et des chambres en rez-de-chaussée pour lesquelles, des buissons d'hortensias bleus forment des espaces privatifs.
L'hôtelier nous accueille et nous présente les deux chambres retenues, les deux à grand lit avec douche, l'une au rez-de-chaussée avec jardin, l'autre à l'étage avec balcon :
Voilà messieurs-dames, cela vous convient-il ?
- Oui mais nous aurions préféré celle de l'étage avec des lits jumeaux, précise mon père.
- Ah ! Je regrette en cette saison nous n'en avons plus, répond l'hôtelier
- Ce n'est pas grave les garçons ? Me demande ma mère, vous vous en arrangerez ?
- Oui, oui pas de problème ! Que répond mon cousin avec désinvolture
- C'est parfait les enfants… Installez-vous et je vous propose de nous retrouver dans une heure pour faire un tour avant de dîner.

Nous montons dans notre chambre, la porte fermée, valises posées, on reconnaît les lieux, je suis attiré par le balcon qui donne sur la mer, Alain par la salle de bains. On se retrouve devant un grand miroir, au pied du lit, satisfait de la visite, il me prend par l'épaule et m'embrasse du bout des lèvres.
- Alors mon p'tit Johnny que penses-tu de l'installation ?
- Sympa ! La plage est magnifique.
- Ouais ! Pas de vis à vis et la douche permet de s'y mettre à deux et... j'aime beaucoup l'emplacement de ce miroir, on se retrouve à quatre dans le lit, dit-il en pouffant de rire. Pour l'instant John, à la douche et le premier se fait tailler une pipe par l'autre.

Le coquin réagit bien plus vite que moi et alors que j'ouvre encore mon short, il file dans la salle de bains en exultant de joie.
- T'as perdu mon bonhomme. Allez, viens me rejoindre !

Je le retrouve à la douche sous des ''Aah ! Aah !'' de satisfaction. Comme lui je profite de l'eau fraîche bienfaitrice, je m'étire, la tête en arrière je reçois l'eau en pleine figure, mais Alain ne tarde pas du doigt à me rappeler mon devoir. Alors sous l'eau diluvienne, je m'accroupis devant lui, une main sur l'arrière de sa cuisse, l'autre soupesant ses testicules, ma langue relève la pointe de sa verge et mes lèvres glisse sur le fruit en le décalottant. Je suce l'énorme fraise et manipule la ''banane macho'' encore un peu molle. Depuis deux mois ma bouche s'est habituée à la taille du bazar. Sous ses directives j'ai appris à le sucer, l'exciter de ma langue ou de mes dents. Entre mes jeux de mains et de langue, la verge se redresse et devient un braquemart bien dur.

- Ça suffit ! Viens sur le lit, on sera mieux

Enveloppés de draps de bains nous retournons dans la chambre. Il me pousse en travers du lit king-size et sans préliminaires monte à quatre pattes sur moi, en 69. A ce moment, je nous vois tous les deux dans le miroir, au dessus de ma tête blonde, son derrière glabre, son œillet, ses couilles et sa queue qui pointe sur mon menton, l'image reçue est d'une indécence crue.
La surprise passée, je trouve le sexe sur mes lèvres, l'excitation reprend le dessus et ma langue pointe le méat qui dépasse du prépuce. Alors Alain satisfait de ce signe, pousse encore le bouchon plus loin en passant mes jambes sous ses aisselles et plaçant ses mains sur mes fesses. Je me sens honteux, je grogne un « Alaiiiinnn ! » plaintif mais rien n'y fait. D'un coup de langue sur la partie la plus secrète de mon anatomie il me fait comprendre qu'il fera ce qu'il voudra, avant d'avaler ma queue à moitié réveillée pour la sucer avec gourmandise sur toute sa longueur. Je suis médusé par son audace jusqu'au moment où sa verge s'impose entre mes lèvres. Je suçote la pointe, l'image du miroir m'échappe lorsque son bassin bascule et que son membre me pénètre imposant. Je le repousse avant qu'il ne me fasse vomir, puis par de petits mouvements il s'agite dans ma bouche.

Lui me suce les couilles à grand bruit, les avale ensemble, je sens la bave couler sur le périnée jusqu'au petit trou et sans gêne d'un doigt il me caresse la rondelle en cercles concentriques. Ma timidité est bousculée, mon corps s'enflamme et délibérément sa bouche se pose là où elle ne devrait pas. Il m'embrasse, me lèche, sa langue se fixe sur l'anus comme pour le pénétrer.
- NON !!! Alain. Nooon, c'est sale!!!
- Tu m'énerves ! Crie-t-il et se lève fâché en maugréant. Habille-toi jeune puceau, on verra ça tout à l'heure ! pour l'instant filons retrouver tes parents qui nous attendent.

Vite fait, nous retrouvons les parents à la réception. La petite balade sur la plage nous permet d'assister à un superbe coucher de soleil et d'admirer le bâtiment où nous sommes. De retour sur la terrasse, le repas nous est servi face à la mer. Parmi une vingtaine de tables, une très bien arrangée avec fleurs et bougeoirs nous attend. Les serveurs en gilet et tablier blanc sont élégants et discrets, on entend un léger brouhaha, le bruit des couverts,... La lumière des bougies, la qualité du service et des plats, forment une ambiance d'exception. On bavarde beaucoup, on rit encore plus, les vacances s'annoncent merveilleuses. Le voyage a été long et fatiguant et mon père souhaite se reposer. Nous nous séparons chacun rejoignant sa chambre.

Dès que notre porte est refermée, Alain me donne une tape sur les fesses et m'ordonne :
- Déshabille-toi ! et va te laver correctement. Retour sous la douche.
Il me rejoint, on se savonne chacun de son côté, en regardant l'autre faire. Je me lave de partout, le torse, le ventre, l'entrejambe mais au moment de sortir il me retient :
- Reste ici mon chéri !

Il se plaque contre mon dos, m'enlace de ses deux bras, son menton contre ma tempe, « Tu sais que t'es mignon, me dit-il en me caressant la poitrine puis ajoute en prenant mon sexe, tu deviens un homme avec une belle petite bite mais tu as encore beaucoup à apprendre » et là je sens sa queue s'appuyer sur mes lombaires. Il me tient serré contre lui, son bassin s'anime, son pénis descend jusqu'à mes fesses et remonte au creux de mes reins,
- Tu sens comme tu m’excites... Laisse-moi te laver.

La savonnette glisse rapidement sur ma poitrine jusqu'à l'aine, passe sous mes couilles et s'enfonce dans mon fondement. Il joue un moment avant de me quitter pour me reprendre par derrière, à nouveau le savon glisse dans le vallon de mes fesses, s'enfonce entre mes jambes jusqu'à me toucher les couilles, le va et vient s'accentue puis le savon descend le long de mes cuisses et tombe au sol. Les mains reviennent comme une mâchoire pour me saisir par devant et derrière et se rejoindre entre mes jambes. Un doigt de chaque main me touche l'œillet, s'enfonce dans le creux. Stupéfait, je grogne en serrant les fesses ce qui n'a pour résultat que de sentir une phalange forcer le passage, elle m'a déjà pénétré quand je crie :
- NOONNN !

Comme s'il s'était brûlé, le doigt s'échappe expulsé par ma contraction. Et l'homme reprend la savonnette en s'écartant de moi.
- Tiens, lave-toi... comme moi. Et là je le vois, genoux fléchis, se savonner l'entrejambe et deux doigts s'enfoncer, revenir et replonger aussi loin que possible entre ses fesses. Tu vois comme ça !

Je suis vaincu, en le regardant j'écarte les cuisses et me caresse la rondelle avant de la transpercer. A ma surprise, mon doigt s'enfonce facilement, ce n'est pas désagréable et même plus... Alors sans retenue je me savonne d'une main et me doigte de l'autre.
- Ouaiiis John ! Voilà comment tu dois te laver... Et tandis que je continue à me foutre le doigt dans le cul il ajoute , tu vois comme c'est agréable... Petit coquin, apprend à te faire plaisir, oublie les préjugés. Il faudra aussi prendre l'habitude de faire des lavements, pour toi et les autres tu dois avoir une hygiène irréprochable. Et tandis qu'il coupe l'eau, il me prend par la main, allons nous coucher pour le moment.

Dans la pénombre de la chambre il fait chaud, il file ouvrir la porte fenêtre qui donne sur le balcon, immédiatement une fraîcheur circule quand je tire le drap au pied du lit et me couche. Il revient vers moi, son corps svelte se découpe dans la luminosité de la lune. Il s'allonge sur le dos près de moi, me prend la main, épaule contre épaule, on reste un moment sans parler et sans bouger, profitant de la fraîcheur de la nuit sur nos corps encore humides, on écoute le bruit des vagues. D'une caresse de l'orteil sur mon pied, Alain exprime son impatience, il se tourne vers moi appuyé sur un coude et me regarde. Il sourit, me caresse la poitrine avec infiniment de douceur, son doigt dessine des arabesques. Je le laisse faire, respire fort, alors il me fait tourner sur le côté face à lui. Il m'embrasse du bout des lèvres, sa main continue à me frôler le bras, puis se pose sur ma taille, d'une caresse il souligne la rondeur de ma fesse en murmurant « J'aime tes formes, ta peau douce, t'as un beau p'tit cul » Ses doigts descendent au creux de mes fesses, forcent le passage.

Je ne réagis pas quand il touche mon intimité. Satisfait de mon obéissance, il se rapproche de moi, ses doigts me caressent librement la rondelle, l'un d'eux s'enfonce dans la chair intime, veut me pénétrer mais sentant que je me contracte, il abandonne la place et chuchote « T'inquiète pas mon chéri, on va prendre notre temps ».

Je pense être tranquille, c'est mal le connaître. Il m'enserre d'un bras, simule un accouplement contre mon ventre, sa main revient sur mes fesses, retrouve sa place dans le vallon, son doigt bien placé profite de mon balancement pour m'exciter par tâtonnements. Alors je m'offre à ses caprices, creuse les reins, il stimule l'endroit et revient avec des doigts mouillés, l'excitation, la salive et la pression du doigt font qu'il me pénètre sans résistance dans un long soupir. Alain, victorieux me sert contre lui, m'écoute reprendre mon souffle avant de murmurer :
- Détends-toi ! Tu vas voir comme c'est bon.

Après un moment, le doigt bouge un peu, doucement, puis s'active enfin assuré de la place, il sort complètement et replonge :
- Ça va ?
- ... Ça brûle un peu.
- Je continue ?
- ... Si tu veux.

Et là tout change, le vainqueur me renverse sur le dos, se met entre mes cuisses et relève mes jambes jusqu'à mettre mes genoux écartés sur la poitrine, mon bassin se décolle complètement du lit. Il n'a d'yeux que pour mes fesses, il se plie en deux pour m'embrasser le fion, le taquiner de la langue avant de le lécher sur toute la longueur, puis il se redresse laissant filer sa bave sur mon petit trou. Je retiens ma jambe quand il me lâche pour me masser avant d'y planter un doigt.

Contrairement à avant, je ne réagis pas, je ferme les yeux, cramponne ma jambe. Avec beaucoup de douceur Alain me doigte... longtemps, s'attarde dans le rectum avant de bouger lentement et de plus en plus vite, il sort et revient, il force le passage, mon anneau cède sous la pression. Inquiet je regarde Alain qui me sourit satisfait, maître du jeu.
- Je viens de te mettre deux doigts !

Il masse la périphérie, je me décontracte, il va plus loin qu'avant jusqu'à toucher un point sensible, ma respiration s'accélère à nouveau.
- Relaxe-toi mon chéri, tu vas voir comme c'est bon !

Pendant un moment ses doigts massent doucement mon point sensible. Alain m'observe, ma respiration s'accélère, je découvre des sensations nouvelles, j'ai le souffle court, ce n'est pas possible je vais jouir... Et là, le saligaud accélère ses vibrations, je gémis, je ne peux plus rien contrôler et sans avoir vraiment la trique, j'explose hors d'haleine tandis qu'il continue à me doigter de plus belle. Putain, mon sperme coule sans arrêt sans qu'il y ait de vrais éjaculations, j'en ai partout. Enfin il me lâche, le temps de reprendre mon souffle il est revenu à mon côté et me prend dans ses bras, je sens ses doigts mouillés sur mon épaule.
- Ça va ?... Il m'observe sourire aux lèvres, je suis essoufflé, mon visage exprime mon plaisir. Tu vois comme c'était bon ! Tu viens de découvrir une nouvelle forme de jouissance comme une fille, t'as joui du cul... et de la queue ! Il me caresse, étale ma semence du ventre à la poitrine. Après de tendres bisous, le calme revenu alors il ajoute, tu me fais une petite gâterie maintenant ? tout en me poussant vers le bas du lit.

Je me place entre ses jambes face à son sexe couché sur son ventre glabre. D'une lichette je parcours les quelques vingt centimètres des bourses à la pointe, sur la crête de l'urètre. Ça suffit à réveiller le morceau, à faire saillir les veines et élever le gland au dessus du nombril. Mes lèvres glissent sur la pointe, le gland occupe presque toute ma bouche, depuis quelques temps j'arrive même à avaler une petite partie de la hampe. Tout de suite je suce le gros bonbon, en lui grattouillant les couilles, je titille le méat, lèche le frein et l'excite comme il aime.
Il ne tarde pas à gémir alors mes lèvres joue de la flûte traversière sur sa queue en glissant sur le canal gonflé de désir. La verge se redresse encore à 45°, devient un vrai gourdin, plus épais, plus long et plus dur. Je connais bien ses réactions, je suis devenu en deux mois ''Une bonne suceuse'' comme il dit, je sais comment faire durer le plaisir, retarder la jouissance.

Je reviens sur le gland, le mordille, l'aspire ; seulement alors mes mains entrent en jeu, prennent les couilles séparément, les massent, on croirait deux énormes quetsches. Ma bave dégouline sur le tronc quand enfin je commence à le branler. Je ne cesse de donner des coups de langue, de sucer le morceau, je sens le membre se contracter. J'accélère le massage, quand il gicle, les premiers jets tombent sur la poitrine et c'est seulement quand le sperme s'écoule par à coups que je tète le gland pour avaler son ''Jus d'homme''. La verge perd de sa vigueur, j'étale le sperme de mes deux mains sur son torse musclé, je me sens alors petit garçon face à l'homme mature qui m'attire à lui
- Viens contre moi !

Je m'allonge à son côté, mes fesses au creux de son ventre. Il me prend dans ses bras, une main sur ma poitrine, l'autre en passant au creux de la taille sur mon ventre. Je sens sa respiration dans mon cou. Dans un souffle il me demande « Ça va ? », j'opine de la tête, heureux du moment passé.

On est au calme, le bruit de la mer s'est éloigné, je me sens bien. Sa main me cajole gentiment le sexe qui ne réagit plus, l'autre me caresse la poitrine, masse mon sein puis me pince le téton qui pointe... ses doigts le roulent, le tirent jusqu'à me faire miauler « Tu me fais mal ! ». Alors il se penche sur moi, sa bouche remplace ses doigts. Il me suce le téton, y plante les dents, le tire. A nouveau je gémis, de douleur ou de plaisir?... Mon visage se crispe, je me mords la lèvre inférieure pour ne pas crier. Je découvre une drôle de sensation, un mélange de douleur et de plaisir, je repousse encore mes limites.

Alain me couvre de tendres baisers et se cale contre mes fesses en murmurant « Bonne nuit, ma p'tite chatte ».

Les avis des lecteurs

Oui @olga le jeune homme avait des dispositions

John fait des progrès rapides!

Histoire Erotique
très jolie histoire, merci pour le partage !



Texte coquin : Initiation chap 3 - Dormir à deux
Histoire sexe : Une rose rouge
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