Initiation chap 4 - Perdre sa virginité
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation chap 4 - Perdre sa virginité
Chapitre 4 - Perdre sa virginité
Depuis une semaine en vacances, avec mes parents et mon cousin nous avons pris nos habitudes. Dès le matin petit déjeuner, plage, jeux et baignade, après le farniente de la sieste ce sont promenades, crêperies et boutiques du village et après le dîner, balade digestive jusqu'au port... Bref le rythme des vacances familiales
Depuis notre première nuit à deux, depuis la nuit où mon cousin a commencé à me doigter, nous avons pris nos habitudes. Dès la porte de notre chambre fermée, l'ange qui fait l'admiration de mes parents devient mon démon. Privé de tendresse durant le jour, on se cajole le soir. Ma tête sur son épaule, je retrouve l'odeur un peu soufrée de sa transpiration qui éveille mon désir. Alain, de dix ans mon aîné, me fait sentir son excitation, sa domination, il m'embrasse dans le cou, me mord doucement et m'arrache mon polo par dessus ma tête :
- Allez Johnny, à la douche.
J'ai pris l'habitude de passer aux toilettes avant. Je le retrouve debout sous l'eau, les mains sur sa tête renversée en arrière, il se lisse les cheveux. Je le regarde comme une statue antique, ses aisselles lisses comme le reste de son corps, sa verge épaisse au repos sur ses testicules. J'arrive sur lui sans qu'il s'en rende compte jusqu'à le toucher et embrasser son dessous de bras.
- Te voilà, petit coquin ! Tu es propre ? Ses bras tombent sur ma taille, me colle à son ventre et me forcent à me cambrer.
- Oui, presque, que je réponds alors que ma main se porte à mes fesses.
- Laisse-moi vérifier.
Je garde mon équilibre appuyé contre lui quand d'une main il relève mon genou à la poitrine et de l'autre me caresse les fesses avant qu'un doigt ne glisse sur la raie et me touche sans gêne l'endroit le mieux caché de mon anatomie. Par ma volonté ou son action, mes reins se creusent, mon derrière se relève, je sens l'eau couler sur mon intimité étirée. Je n'ose le dire, même pas le penser mais j'aime comme ses doigts fouillent mes chairs intimes.
A ce moment, Alain me soulève par les deux jambes. Par instinct je relève mes genoux jusqu'à le tenir par la taille et m'assure en le prenant au cou, comme un enfant tenu sur la poitrine de son père. Sous l'eau ruisselant sur nos corps, j'ai sa bouche sur mon cou et à mon oreille, il murmure « Tu es mignon comme ça... Tu me sens ? »
Oui je sens ses mains qui me tiennent fermement les cuisses et maintenant entre mes fesses distendues son... Ce n'est pas possible, si gros, son gland sur mon cul !... Instinctivement je me redresse et me détache du glaive, sous les rires moqueurs de celui qui me porte.
D'un bisou, gentiment il me dépose sur un pied en retenant comme avant l'autre genou. Sa main libre est au creux de mes fesses, deux doigts me transpercent l'anneau et s'incrustent profondément. Après deux, trois aller-retours, satisfait de l'examen, il coupe l'eau et me tend un drap de bain. « Allons nous coucher ! »
La lune éclaire la chambre d'une douce lumière, avec le carrelage anthracite on ne voit que le lit au drap blanc et le miroir. Il fait chaud, je plonge sur le matelas, encore humide de la douche, tandis qu'Alain part sur le balcon, il revient presque immédiatement en m'appelant à voix basse « Viens, viens ». Dés que je suis à son côté il me prend par les épaules et me pousse dehors.
J'entends tout de suite clairement nos voisins. Ils parlent peu et s'expriment par onomatopées sans laisser de doute sur ce qui se passe. Un monsieur et une dame se câlinent, les réticences de l'une sont vite abandonnées face à l'insistance de l'autre. Ainsi les « Oh ! Non » font place aux « Ah ! Oui »… Les silences laissent les imaginations vagabonder, et tout semble aller de concert lorsqu'on entend des grognements et des bruits de gorge.
Alain m'a pris contre lui, un bras sur mon épaule, l'autre à ma taille, je sens ses couilles glabres sur mes fesses et son sexe bandé jusqu'au milieu de mon dos. Tout de suite il me pelote sans vergogne et me triture les mamelons jusqu'à me faire geindre. « Chuuutt ! » me murmure-t-il à l'oreille. Les gémissements de jouissance du monsieur sont un ton plus fort aux miens.
A nouveau on entend un duel de oui et de non et en prêtant l'oreille, un murmure étouffé:
« Si... appuie-toi à la rambarde... t'inquiète, il fait nuit, personne ne nous voit.
« Nooooon.
« Chuuut ! Écarte tes cuisses... Oui comme ça...
Alain s'arrête de m'astiquer le manche et comme moi il prête l'oreille, on entend un souffle de forge qui nous fait pouffer de rire. Personne ne vous voit mais on vous entend et c'est bandant ces gazouillis, ces gémissements
« Oh non chéri... Pas là, gémit-telle
« Laisse-moi faire...
Un instant on n'entend que le bruit de la mer... Puis une faible cri plaintif suivi de petits claquements rythmés par des « Ui, ui » étouffés. On a presque l'impression d'entendre un chuintement significatif mais n'est-ce pas l'imaginaire ? Les coquins donne libre cours à leurs envies, juste séparés de nous d'un muret et de plantations.
Je dois dire que les entendre faire l'amour et sentir Alain me lacérer le dos, me troublent. Mes deux mains partent en arrière pour saisir les fesses de celui qui me lutine. Il me murmure alors « Viens... Entrons ! » Le désir l'emporte sur la curiosité.
La luminosité de la lune fait qu'on se croirait en plein jour. Alain se jette sur le lit et me tire par la main à son côté. C'est tout de suite des embrassades et une roulade qui l'amène sur moi, tel un sphinx en appui sur ses coudes et ses genoux entre mes jambes. Il pèse sur mon pubis et le voyou s'amuse à pointer son sexe contre mes fesses. A plusieurs reprises je le sens appuyé contre mon périnée. Il m'observe d'un drôle d'air.
- Je te sens tout chose mon p'tit Johnny, ce sont les voisins qui t'ont mis dans cet état ?...
- Tu sais bien... Pas que ça !
- Hummm, tu aimes comme je te tripote...
Il m'écrase un peu plus, son sexe se fait plus pressant, ses mains plus fougueuses. Je m'abandonne, mes cuisses s'ouvrent comme un livre, mes lèvres s'écartent sous la pression de sa langue. On s'embrasse longuement, sa verge force sans détour maintenant mes fesses.
Sans me quitter, Alain roule sur le côté jusqu'à me placer sur lui, je m'abandonne, la tête au creux de son épaule. Ses mains courent de chaque côté de ma nuque à mes fesses, ouvrent mon cul à son sexe qui se plante contre mon intimité. La douceur du contact sur ma rondelle me surprend, me ravit. Le gland force la porte et deux doigts s'y ajoutent, tiraillent mes chairs, me quittent, passent de mon fondement à sa bouche pour revenir avant d'aller dans ma bouche pour replonger dans mes entrailles. Les deux voyous s'enfoncent jusqu'au point sensible, ils l'excitent, me mettent le feu au ventre, s'ils continuent je ne vais pas tarder à jouir.
Mais mon cousin contrôle parfaitement la situation. Il me repousse d'un bisou, me renverse, il fait un tête à queue et me chevauche. J'ai ses couilles sur mes lèvres et vois sa queue noueuse s'élever comme une colonne le long de son ventre. Sans perdre de temps, il passe mes jambes sous ses bras. Je me retrouve les quatre fers en l'air, dans la pire des positions, la plus indécente et pourtant je ne réagis pas, même quand je sens sa bouche au creux de mes fesses et sa langue au centre de mon intimité. Deux doigts me pénètrent, puis un autre force l'anneau. Pour la première fois trois doigts me façonnent, se font une place dans mes chairs. Ils sont à l'étroit et comme avant ils se mettent à masser la prostate. Depuis qu'il me doigte Alain se fait un malin plaisir à me faire jouir de la sorte. « T'es une vaginale, mon chéri » me dit-il en riant, il va et vient, reste longtemps le plus profond possible
- T'aimes ça comme je te lime, tu t'ouvres sacrément.
Sans quitter la main de mon fondement, il fait une pirouette et s'allonge à mon côté, en m'obligeant à garder un genou sur ma poitrine. Il s'amuse à me voir les yeux dans le vague, le souffle court.
- Ça va mon chéri ?
- ... C'est bon ! J'aime comme tu fais.
- Et comme ça, petit coquin, tu aimes ?
Son autre bras passe dans mon dos et m'oblige à bomber le torse, il m'embrasse sauvagement la poitrine, réveille un téton, l'aspire et le mord doucement puis plus fort. Tel un pantin, bras allongés, je laisse libre cours à ses exactions. J'ai l'impression qu'il tente de me planter quatre doigts mais se retient. Je me sens presque frustré quand sa main quitte mes fesses et étale ma mouille sur mon ventre. Sa bouche revient sur mes lèvres et me susurre :
- Mets-toi en levrette ! Et laisse-moi faire
Dès que j'ai pris la position, je sens sa main sur mes reins et je vois mon cousin dans le miroir à genoux, se couvrir la queue de salive bien correctement, je la sens mouillée à présent aller et venir sur la raie de mon cul. Il est couché à moitié sur moi, deux doigts mouillés me masse l'oignon et même si je partage son désir, je crains l'assaut final. Je me concentre la tête dans l'oreiller, je sens le gland sur ma chair vierge, ses mains me tenir fermement. Je me cambre mieux, il pousse son mandrin en continu dans mes fesses, ma respiration se bloque, l'anus résiste. Il lâche la pression, me tartine à nouveau l’œillet de salive et marmonne :
- Chéri, fais comme aux toilettes, pousse ! Ton cul va s'ouvrir et tu vas voir ça va passer tout seul.
Affolé, je fais comme demandé, je sens mes chairs se distendre, le gland s'affine et se fait une place, l'anus résiste encore. Alain relâche la pression sans quitter la place, je pousse encore plus, il revient et là.... D'un coup de reins violent, le gland s'enfonce brutalement, traverse l'irréparable, mes chairs cèdent et se contractent trop tard sur le prépuce. Il est en moi, plus gros que les trois doigts qui m'ont façonné, il m'a surement déchiré, mon cri résonne dans la nuit :
- Aaaahaaaïïïïïïïïeeee !... ma respiration se bloque, puis je miaule dans un sanglot, j'ai mal !
- Chuuut, tu vas réveiller tout le monde, décontracte-toi mon chéri, fait comme pour m'expulser.
Je ressens une déchirure, une brûlure, j'essaie de me calmer, de respirer profondément, incapable de pousser comme il me le dit. Lui reste immobile en moi, il me caresse, écarte et rapproche mes fesses, en une sorte de massage, la brûlure devient qu'une gêne... ma respiration reprend profondément, j'entends à nouveau le bruit des vagues, mon sphincter se décontracte, lui le sent et me demande doucement :
- Ça va Johnny ?
- Oui... Attends encore un peu.
Vainqueur il attendra tout le temps nécessaire pour savourer sa victoire. Je commence à bouger, à m'empaler sur ce pieu qui m'a déchiré. Alain me guide à deux mains, son bassin va imperceptiblement d'avant en arrière, le gland progresse régulièrement, mes chairs s'ouvrent, je ne ressens plus de déchirement mais un envahissement pas vraiment douloureux. Le pieu qui me défonce semble interminable jusqu'à ce que je sente le ventre de mon cousin contre mes fesses. Il me murmure :
- Johnny !… Tu n'es plus vierge !
- Va doucement... Tu es si gros, si long.
- Oui, On a le temps.
- Bouge doucement… Oui continue comme ça.
Le coquin du ''comme ça'' il passe à un mouvement beaucoup plus ample mais revient à chaque fois jusqu'à avoir son ventre sur mes fesses. Mon ventre se décontracte, il me laboure sans résistance, en moins de cinq minutes il s'est fait sa place. Le tronc circule sur toute sa longueur, il sort, plonge et recommence... Mon fourreau se liquéfie.
La pénétration devient brutale, ventre et fesses se percutent, le Clap ! Clap ! doit s'entendre jusque sur le balcon. Ça m'excite et me libère, je ahane en rythme avec les râles de mon cousin. Il halète comme un coureur puis donne un coup de reins plus puissant et s'immobilise au plus profond de moi. Ses mains se crispent, me tiennent fermement collé à lui. Il jouit probablement mais je ne sens pas grand chose, seulement son membre qui s'évanouit. Il me retient pour éviter que je m'écroule… l'homme en rut redevient le tendre cousin. Il m'embrasse dans le cou, vire sur le côté, couché en cuiller dans mon dos, il me tient dans ses bras, je sens sa respiration dans mon cou, entend sa déglutition
- Ça va mon chéri ?
- Oui...
- C'était bon ! ?.
- ...
Je ne sais pas si c'est une affirmation ou une question. Il me tient tendrement dans ses bras, je sens sa grosse saucisse contre mes fesses toute poisseuses.
- On est bien comme çà !
- Oui ! que je réponds dans le vague, je pense à ce qui s'est passé, ce qu'il m'a dit « Tu n'es plus vierge ! »...
Bien sûr, même s'il n'y a pas eu déchirement de l'hymen, je ne suis plus le même, les médisants diraient que je suis ''un enculé'', d'autres ''un homo'' mais à 18 ans est-ce le cas ?
Non ! Je découvre ma sexualité et c'est un homme qui me conduit. Non ! Je sais que le moment avec les filles viendra. Heureux, je m'assoupis contre celui qui m'a défloré, qui m'a aimé... Alain me bouscule et me tire hors du lit.
- Viens, on va prendre une douche. Il faut se laver avant et après avoir fait l'amour... Sous la douche, il me frotte doucement, me lave de partout, jouant comme un enfant. C'est bien Johnny, te voilà propre, prend cette serviette et allons nous coucher
Je tarde un peu devant le miroir, souris en me voyant, je suis le même et pourtant je me sens si différent. Je jette la serviette sur mes épaules et sors en éteignant la lumière, les fesses à l'air. La chambre est dans l'obscurité, la lune a disparu à l'horizon, le corps d'Alain se détache sur le drap blanc, il m'attend mais je file sur le balcon. Tout est calme, la mer est au loin, on entend les grillons, je regarde par dessus la rambarde, jette un coup d’œil vers la chambre voisine, tout est sombre dans un camaïeu de noirs et de gris. Je repense à la femme d'à côté appuyée comme moi à son balcon jouant l'effarouchée quand son amant la prenait par derrière.
D'un coup, une main fraîche sur la hanche me fait sursauter, c'est mon cousin qui me rejoint.
- Qu'est-ce que tu fous John, tu ne viens pas te coucher ? Alors qu'il s'accoude à mon côté, il me caresse le dos jusqu'au creux des fesses. Allez, viens te coucher mon chéri !
Il me conduit par l'épaule jusqu'au lit. Couché dans mon dos, son genou passe sur l'intérieur de ma cuisse et relève mon autre jambe. Sa main sur ma poitrine, il s'emboîte au mieux, je sens son sexe au creux de mes fesses, je pense à la femme de l'autre côté du mur, peut-être comme moi dans les bras de son amant. Et là tout s'embrouille, je perds conscience emporté par la fatigue.
Depuis une semaine en vacances, avec mes parents et mon cousin nous avons pris nos habitudes. Dès le matin petit déjeuner, plage, jeux et baignade, après le farniente de la sieste ce sont promenades, crêperies et boutiques du village et après le dîner, balade digestive jusqu'au port... Bref le rythme des vacances familiales
Depuis notre première nuit à deux, depuis la nuit où mon cousin a commencé à me doigter, nous avons pris nos habitudes. Dès la porte de notre chambre fermée, l'ange qui fait l'admiration de mes parents devient mon démon. Privé de tendresse durant le jour, on se cajole le soir. Ma tête sur son épaule, je retrouve l'odeur un peu soufrée de sa transpiration qui éveille mon désir. Alain, de dix ans mon aîné, me fait sentir son excitation, sa domination, il m'embrasse dans le cou, me mord doucement et m'arrache mon polo par dessus ma tête :
- Allez Johnny, à la douche.
J'ai pris l'habitude de passer aux toilettes avant. Je le retrouve debout sous l'eau, les mains sur sa tête renversée en arrière, il se lisse les cheveux. Je le regarde comme une statue antique, ses aisselles lisses comme le reste de son corps, sa verge épaisse au repos sur ses testicules. J'arrive sur lui sans qu'il s'en rende compte jusqu'à le toucher et embrasser son dessous de bras.
- Te voilà, petit coquin ! Tu es propre ? Ses bras tombent sur ma taille, me colle à son ventre et me forcent à me cambrer.
- Oui, presque, que je réponds alors que ma main se porte à mes fesses.
- Laisse-moi vérifier.
Je garde mon équilibre appuyé contre lui quand d'une main il relève mon genou à la poitrine et de l'autre me caresse les fesses avant qu'un doigt ne glisse sur la raie et me touche sans gêne l'endroit le mieux caché de mon anatomie. Par ma volonté ou son action, mes reins se creusent, mon derrière se relève, je sens l'eau couler sur mon intimité étirée. Je n'ose le dire, même pas le penser mais j'aime comme ses doigts fouillent mes chairs intimes.
A ce moment, Alain me soulève par les deux jambes. Par instinct je relève mes genoux jusqu'à le tenir par la taille et m'assure en le prenant au cou, comme un enfant tenu sur la poitrine de son père. Sous l'eau ruisselant sur nos corps, j'ai sa bouche sur mon cou et à mon oreille, il murmure « Tu es mignon comme ça... Tu me sens ? »
Oui je sens ses mains qui me tiennent fermement les cuisses et maintenant entre mes fesses distendues son... Ce n'est pas possible, si gros, son gland sur mon cul !... Instinctivement je me redresse et me détache du glaive, sous les rires moqueurs de celui qui me porte.
D'un bisou, gentiment il me dépose sur un pied en retenant comme avant l'autre genou. Sa main libre est au creux de mes fesses, deux doigts me transpercent l'anneau et s'incrustent profondément. Après deux, trois aller-retours, satisfait de l'examen, il coupe l'eau et me tend un drap de bain. « Allons nous coucher ! »
La lune éclaire la chambre d'une douce lumière, avec le carrelage anthracite on ne voit que le lit au drap blanc et le miroir. Il fait chaud, je plonge sur le matelas, encore humide de la douche, tandis qu'Alain part sur le balcon, il revient presque immédiatement en m'appelant à voix basse « Viens, viens ». Dés que je suis à son côté il me prend par les épaules et me pousse dehors.
J'entends tout de suite clairement nos voisins. Ils parlent peu et s'expriment par onomatopées sans laisser de doute sur ce qui se passe. Un monsieur et une dame se câlinent, les réticences de l'une sont vite abandonnées face à l'insistance de l'autre. Ainsi les « Oh ! Non » font place aux « Ah ! Oui »… Les silences laissent les imaginations vagabonder, et tout semble aller de concert lorsqu'on entend des grognements et des bruits de gorge.
Alain m'a pris contre lui, un bras sur mon épaule, l'autre à ma taille, je sens ses couilles glabres sur mes fesses et son sexe bandé jusqu'au milieu de mon dos. Tout de suite il me pelote sans vergogne et me triture les mamelons jusqu'à me faire geindre. « Chuuutt ! » me murmure-t-il à l'oreille. Les gémissements de jouissance du monsieur sont un ton plus fort aux miens.
A nouveau on entend un duel de oui et de non et en prêtant l'oreille, un murmure étouffé:
« Si... appuie-toi à la rambarde... t'inquiète, il fait nuit, personne ne nous voit.
« Nooooon.
« Chuuut ! Écarte tes cuisses... Oui comme ça...
Alain s'arrête de m'astiquer le manche et comme moi il prête l'oreille, on entend un souffle de forge qui nous fait pouffer de rire. Personne ne vous voit mais on vous entend et c'est bandant ces gazouillis, ces gémissements
« Oh non chéri... Pas là, gémit-telle
« Laisse-moi faire...
Un instant on n'entend que le bruit de la mer... Puis une faible cri plaintif suivi de petits claquements rythmés par des « Ui, ui » étouffés. On a presque l'impression d'entendre un chuintement significatif mais n'est-ce pas l'imaginaire ? Les coquins donne libre cours à leurs envies, juste séparés de nous d'un muret et de plantations.
Je dois dire que les entendre faire l'amour et sentir Alain me lacérer le dos, me troublent. Mes deux mains partent en arrière pour saisir les fesses de celui qui me lutine. Il me murmure alors « Viens... Entrons ! » Le désir l'emporte sur la curiosité.
La luminosité de la lune fait qu'on se croirait en plein jour. Alain se jette sur le lit et me tire par la main à son côté. C'est tout de suite des embrassades et une roulade qui l'amène sur moi, tel un sphinx en appui sur ses coudes et ses genoux entre mes jambes. Il pèse sur mon pubis et le voyou s'amuse à pointer son sexe contre mes fesses. A plusieurs reprises je le sens appuyé contre mon périnée. Il m'observe d'un drôle d'air.
- Je te sens tout chose mon p'tit Johnny, ce sont les voisins qui t'ont mis dans cet état ?...
- Tu sais bien... Pas que ça !
- Hummm, tu aimes comme je te tripote...
Il m'écrase un peu plus, son sexe se fait plus pressant, ses mains plus fougueuses. Je m'abandonne, mes cuisses s'ouvrent comme un livre, mes lèvres s'écartent sous la pression de sa langue. On s'embrasse longuement, sa verge force sans détour maintenant mes fesses.
Sans me quitter, Alain roule sur le côté jusqu'à me placer sur lui, je m'abandonne, la tête au creux de son épaule. Ses mains courent de chaque côté de ma nuque à mes fesses, ouvrent mon cul à son sexe qui se plante contre mon intimité. La douceur du contact sur ma rondelle me surprend, me ravit. Le gland force la porte et deux doigts s'y ajoutent, tiraillent mes chairs, me quittent, passent de mon fondement à sa bouche pour revenir avant d'aller dans ma bouche pour replonger dans mes entrailles. Les deux voyous s'enfoncent jusqu'au point sensible, ils l'excitent, me mettent le feu au ventre, s'ils continuent je ne vais pas tarder à jouir.
Mais mon cousin contrôle parfaitement la situation. Il me repousse d'un bisou, me renverse, il fait un tête à queue et me chevauche. J'ai ses couilles sur mes lèvres et vois sa queue noueuse s'élever comme une colonne le long de son ventre. Sans perdre de temps, il passe mes jambes sous ses bras. Je me retrouve les quatre fers en l'air, dans la pire des positions, la plus indécente et pourtant je ne réagis pas, même quand je sens sa bouche au creux de mes fesses et sa langue au centre de mon intimité. Deux doigts me pénètrent, puis un autre force l'anneau. Pour la première fois trois doigts me façonnent, se font une place dans mes chairs. Ils sont à l'étroit et comme avant ils se mettent à masser la prostate. Depuis qu'il me doigte Alain se fait un malin plaisir à me faire jouir de la sorte. « T'es une vaginale, mon chéri » me dit-il en riant, il va et vient, reste longtemps le plus profond possible
- T'aimes ça comme je te lime, tu t'ouvres sacrément.
Sans quitter la main de mon fondement, il fait une pirouette et s'allonge à mon côté, en m'obligeant à garder un genou sur ma poitrine. Il s'amuse à me voir les yeux dans le vague, le souffle court.
- Ça va mon chéri ?
- ... C'est bon ! J'aime comme tu fais.
- Et comme ça, petit coquin, tu aimes ?
Son autre bras passe dans mon dos et m'oblige à bomber le torse, il m'embrasse sauvagement la poitrine, réveille un téton, l'aspire et le mord doucement puis plus fort. Tel un pantin, bras allongés, je laisse libre cours à ses exactions. J'ai l'impression qu'il tente de me planter quatre doigts mais se retient. Je me sens presque frustré quand sa main quitte mes fesses et étale ma mouille sur mon ventre. Sa bouche revient sur mes lèvres et me susurre :
- Mets-toi en levrette ! Et laisse-moi faire
Dès que j'ai pris la position, je sens sa main sur mes reins et je vois mon cousin dans le miroir à genoux, se couvrir la queue de salive bien correctement, je la sens mouillée à présent aller et venir sur la raie de mon cul. Il est couché à moitié sur moi, deux doigts mouillés me masse l'oignon et même si je partage son désir, je crains l'assaut final. Je me concentre la tête dans l'oreiller, je sens le gland sur ma chair vierge, ses mains me tenir fermement. Je me cambre mieux, il pousse son mandrin en continu dans mes fesses, ma respiration se bloque, l'anus résiste. Il lâche la pression, me tartine à nouveau l’œillet de salive et marmonne :
- Chéri, fais comme aux toilettes, pousse ! Ton cul va s'ouvrir et tu vas voir ça va passer tout seul.
Affolé, je fais comme demandé, je sens mes chairs se distendre, le gland s'affine et se fait une place, l'anus résiste encore. Alain relâche la pression sans quitter la place, je pousse encore plus, il revient et là.... D'un coup de reins violent, le gland s'enfonce brutalement, traverse l'irréparable, mes chairs cèdent et se contractent trop tard sur le prépuce. Il est en moi, plus gros que les trois doigts qui m'ont façonné, il m'a surement déchiré, mon cri résonne dans la nuit :
- Aaaahaaaïïïïïïïïeeee !... ma respiration se bloque, puis je miaule dans un sanglot, j'ai mal !
- Chuuut, tu vas réveiller tout le monde, décontracte-toi mon chéri, fait comme pour m'expulser.
Je ressens une déchirure, une brûlure, j'essaie de me calmer, de respirer profondément, incapable de pousser comme il me le dit. Lui reste immobile en moi, il me caresse, écarte et rapproche mes fesses, en une sorte de massage, la brûlure devient qu'une gêne... ma respiration reprend profondément, j'entends à nouveau le bruit des vagues, mon sphincter se décontracte, lui le sent et me demande doucement :
- Ça va Johnny ?
- Oui... Attends encore un peu.
Vainqueur il attendra tout le temps nécessaire pour savourer sa victoire. Je commence à bouger, à m'empaler sur ce pieu qui m'a déchiré. Alain me guide à deux mains, son bassin va imperceptiblement d'avant en arrière, le gland progresse régulièrement, mes chairs s'ouvrent, je ne ressens plus de déchirement mais un envahissement pas vraiment douloureux. Le pieu qui me défonce semble interminable jusqu'à ce que je sente le ventre de mon cousin contre mes fesses. Il me murmure :
- Johnny !… Tu n'es plus vierge !
- Va doucement... Tu es si gros, si long.
- Oui, On a le temps.
- Bouge doucement… Oui continue comme ça.
Le coquin du ''comme ça'' il passe à un mouvement beaucoup plus ample mais revient à chaque fois jusqu'à avoir son ventre sur mes fesses. Mon ventre se décontracte, il me laboure sans résistance, en moins de cinq minutes il s'est fait sa place. Le tronc circule sur toute sa longueur, il sort, plonge et recommence... Mon fourreau se liquéfie.
La pénétration devient brutale, ventre et fesses se percutent, le Clap ! Clap ! doit s'entendre jusque sur le balcon. Ça m'excite et me libère, je ahane en rythme avec les râles de mon cousin. Il halète comme un coureur puis donne un coup de reins plus puissant et s'immobilise au plus profond de moi. Ses mains se crispent, me tiennent fermement collé à lui. Il jouit probablement mais je ne sens pas grand chose, seulement son membre qui s'évanouit. Il me retient pour éviter que je m'écroule… l'homme en rut redevient le tendre cousin. Il m'embrasse dans le cou, vire sur le côté, couché en cuiller dans mon dos, il me tient dans ses bras, je sens sa respiration dans mon cou, entend sa déglutition
- Ça va mon chéri ?
- Oui...
- C'était bon ! ?.
- ...
Je ne sais pas si c'est une affirmation ou une question. Il me tient tendrement dans ses bras, je sens sa grosse saucisse contre mes fesses toute poisseuses.
- On est bien comme çà !
- Oui ! que je réponds dans le vague, je pense à ce qui s'est passé, ce qu'il m'a dit « Tu n'es plus vierge ! »...
Bien sûr, même s'il n'y a pas eu déchirement de l'hymen, je ne suis plus le même, les médisants diraient que je suis ''un enculé'', d'autres ''un homo'' mais à 18 ans est-ce le cas ?
Non ! Je découvre ma sexualité et c'est un homme qui me conduit. Non ! Je sais que le moment avec les filles viendra. Heureux, je m'assoupis contre celui qui m'a défloré, qui m'a aimé... Alain me bouscule et me tire hors du lit.
- Viens, on va prendre une douche. Il faut se laver avant et après avoir fait l'amour... Sous la douche, il me frotte doucement, me lave de partout, jouant comme un enfant. C'est bien Johnny, te voilà propre, prend cette serviette et allons nous coucher
Je tarde un peu devant le miroir, souris en me voyant, je suis le même et pourtant je me sens si différent. Je jette la serviette sur mes épaules et sors en éteignant la lumière, les fesses à l'air. La chambre est dans l'obscurité, la lune a disparu à l'horizon, le corps d'Alain se détache sur le drap blanc, il m'attend mais je file sur le balcon. Tout est calme, la mer est au loin, on entend les grillons, je regarde par dessus la rambarde, jette un coup d’œil vers la chambre voisine, tout est sombre dans un camaïeu de noirs et de gris. Je repense à la femme d'à côté appuyée comme moi à son balcon jouant l'effarouchée quand son amant la prenait par derrière.
D'un coup, une main fraîche sur la hanche me fait sursauter, c'est mon cousin qui me rejoint.
- Qu'est-ce que tu fous John, tu ne viens pas te coucher ? Alors qu'il s'accoude à mon côté, il me caresse le dos jusqu'au creux des fesses. Allez, viens te coucher mon chéri !
Il me conduit par l'épaule jusqu'au lit. Couché dans mon dos, son genou passe sur l'intérieur de ma cuisse et relève mon autre jambe. Sa main sur ma poitrine, il s'emboîte au mieux, je sens son sexe au creux de mes fesses, je pense à la femme de l'autre côté du mur, peut-être comme moi dans les bras de son amant. Et là tout s'embrouille, je perds conscience emporté par la fatigue.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui, jour inoubliable de la 1ere fois
Marc
Marc
@Olga comme tu le dis,il découvre
Mais ce jour comptera plus que les autres
Mais ce jour comptera plus que les autres
Johnny continue ses découvertes!