Initiation chap 5 - Devenir amant
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation chap 5 - Devenir amant
Depuis la nuit où mon cousin a pris ma virginité, nos relations ont changé de nature, même si devant mes parents rien n'apparaissait.
Ma nature, mon physique, mon caractère peut-être, font que je suis sous son emprise, que je suis ''son chéri'' comme il dit, attentif à ses désirs et lui mon ''amant'' attentif à mon plaisir. Des désirs il en a beaucoup, d'abord que je dorme entre ses bras puis d'être disponible du réveil au coucher.
Dès le premier matin, je me suis habitué à le sentir dans mon dos, éveillé ou assoupi. Dans un cas d'un simple mouvement de bassin je m'offrais et recevais son glaive, dans l'autre d'une pirouette j'avalais son gros rat endormi pour le téter jusqu'à le mettre en furie et qu'il me crache dessus ou juste le mettre en forme pour le chevaucher et qu'il me rende les honneurs.
Ce matin à la sortie de la douche je me trouve au pied du lit à préparer mes habits quand Alain me rejoint, il me prend gentiment par les épaules et me tourne face au miroir. Il est derrière moi, plus grand, plus carré, sa peau mate le fait paraître comme l'ombre de moi-même.
- Regarde John comme tu es mignon ! Ses mains passées sous mes bras me caressent. Regarde comme tes tétons sont sensibles, sens comme ta peau est douce. Regarde comme ta taille fait ressortir ton petit cul. Ses mains glissent de part et d'autre de mon pubis quand il claque de la langue dans sa bouche. Mais mon chéri quelque chose ne va pas en toi... Ces poils disgracieux sur ton ventre, c'est dommage, tu es presque imberbe sauf, ces poils noirs. Regarde-moi ! Il se décale de côté et exhibe son sexe glabre... N'est-ce pas mieux ainsi ?... Je ne dis rien , baisse les yeux à titre d'approbation. Tu ne préfères pas ? me demande-t-il posant ma main sur son ventre et il ajoute : Tu veux que je te les enlève, que je t'épile ?
- ... Si tu veux, que je miaule entre mes dents sans le regarder
- Allonge-toi mon chéri ! Je reviens de suite.
Alain ressort de la salle de bains avec un gros tube de crème. Je regarde une dernière fois mon pubis couvert de poils soyeux, me caresse et sans regret je le laisse faire. Il commence avec une grosse noix de crème pour recouvrir ma toison pubienne. Dix minutes de bavardage avant de retirer à la spatule crème et poils. Rebelote dans une position totalement indécente, genoux ouverts contre ma poitrine, il s'occupe de l'entrejambe, enfin en levrette il épile le postérieur avec une attention particulière à la raie des fesses. Le coquin prend un malin plaisir à éliminer les poils réfractaires à la pince :
— Aïe !... Tu me fais mal !
— OK, ça suffit ! Te voilà lisse comme au jour de ta naissance. Passe sous la douche pour enlever toute trace de crème.
Alain me claque les fesses pour appuyer son ordre « A la douche ! ». En passant devant la miroir je me découvre tout nu, j'ai l'impression d'être redevenu un ado. A peine sous l'eau, je le vois entrer dans la salle de bain alors que je me nettoie précautionneusement pubis et entrejambe, surpris par la douceur de ma peau.
L'homme me regarde un moment en s'astiquant lentement le manche et me rejoint sous la douche. Le salaud bande de nouveau comme un âne alors que je l'ai dégorgé il y a moins d'une heure. Arrivé contre moi, il m'embrasse dans le cou et me prend par une jambe, je sens de suite son sexe et je m'accroche à son cou quand il me soulève jusqu'à sa poitrine. Je retrouve la situation d'il y a quelques jours avec sa bite à mon cul, mais depuis j'ai jeté mes préjugés par dessus les moulins
Je contrôle le jeu en me tenant au cou de mon amant. Son pieu de chair me taquine la rondelle, son gland s'imprime entre mes fesses, je joue d'un va-et-vient sans que l'anneau ne cède, je me laisse aller. La pointe force sans violence mon intimité, mes genoux serrés à ses hanches, à nouveau je continue mon imperceptible va-et-vient. D'un coup Alain me lâche les fesses pour me retenir à la taille, à ce moment là temps mon popotin, lâché dans le vide, s'empale sur le glaive, le gland traverse mes chairs sans résistance. Mais dès qu'il est en moi, par réflexe, je me redresse pour me soulager puis lentement je me détends et me laisse glisser sur la hampe jusqu'à sa base.
Sous la pluie de la douche je lui fais l'amour, me tenant à son cou et en appuie sur ses hanches. Comme l'autre jour en chevauchant son ventre, je bouge d'avant en arrière, de haut en bas et m'affaisse peu à peu sur son glaive. Alain vient à mon aide, me retient par les cuisses et me conduit à son rythme jusqu'à sa jouissance. Je deviens un manchon dans lequel il se branle, jusqu'à ce qu'il me dépose sur le carrelage.
- Dépêchons-nous Johnny, tes parents vont nous attendre.
Il est déjà sorti de la douche, qu'accroupi je me lave correctement ''la chatte''. J'enfile short et tee-shirt, lui cours après et nous retrouvons mes parents pour le petit déjeuner qui s'étonnent un peu de notre retard et se félicitent de nous voir ainsi heureux, s'ils savaient...
- Excusez-nous, nous avons repiqué du nez, dit-il en embrassant ma mère.
- Alain je viens de téléphoner à Jade, elle t'embrasse fort et voudrait que John t'accompagne à Montpellier à la fin de notre séjour. Alors si tu es d'accord, notre garçon descendra avec toi.
Sans lui laisser le temps de réagir, je saute au cou de ma mère :
- Oh super maman, je suis si content de revoir tante Jade.
- Ouais c'est top, bien sûr nous voyagerons ensemble. Maman aura des difficultés à te reconnaître pas après une si longue absence.
La conversation se poursuit tout en prenant, tartines, croissants et café, quand à la fin du repas Alain nous annonce qu'il veut aller jusqu'en ville faire des courses
- Je vais prendre le bus de onze heures et vous retrouverai cette après-midi sur la plage.
L'absence imprévue de mon amant me contrarie... Après avoir avalé mon amertume, je descends avec mes parents sur la plage qui presque de suite sous leur parasol et dans leurs transats, s'isolent dans leur lecture et me laisse seul avec mes pensées... Je me revois dans le miroir si fragile par rapport à l'homme basané qui me domine, je repense à nos nuits, à la femme d'à côté. Puis j'essaie de m'évader de ces pensées salaces, je tente de me rappeler de la vie parisienne, de mes copains, je réfléchis au bac décroché de justesse, à la prochaine rentrée en fac de sciences éco. Mais j'ai beau faire, me baigner, me promener, le sexe revient toujours à mon esprit... Quand j'étais dans ma chambre avec mon cousin, quand une telle nous montrait ses seins à la piscine, quand un pote se vantait de baiser sa copine.
Enfin je vois Alain descendre les marches qui arrivent de l'hôtel. Je me maîtrise pour ne pas courir le rejoindre. Je ne vois que son boxer bombé et son torse nu, à nouveau je pense à nos relations. Heureusement mes parents interviennent pour me distraire de mes pensées incestueuses, pour parler cinéma, voyage, gastronomie et... du lendemain. Invités, ils vont nous laisser seuls. Demain, seul avec Alain toute la journée et je repense sexe.
La journée me semble interminable, enfin arrive l'heure de la promenade, de la crêpe, du dîner, de se séparer pour se souhaiter bonne nuit avec la promesse de se retrouver le lendemain pour dîner. Je ne laisse rien paraître mais accélère le pas dans le couloir jusqu'à notre chambre poursuivi par mon amant. Dès que la porte fermée, Alain me serre contre lui.
- Alors je t'ai manqué mon p'tit chéri, tu étais si pressé !
- Oui... Je ne peux rien dire d'autre, baîllonné par ses lèvres.
Ses mains se faufilent sous mon short dans mon slip et s'emparent de mes fesses avec tout de suite un doigt au plus profond.
- Dis donc mon coquin t'es tout excité... Allez va t'laver !
Lui file aux toilettes, moi à la douche et me prépare bien comme il faut avant qu'il ne me rejoigne. Comme les nuits précédentes, la fenêtre grande ouverte nous nous allongeons sur le drap fraîchement repassé. On se câline un moment, couchés de côté, les jambes entre-croisées, je me rapproche, jusqu'à être contre lui. Sa main sur mes fesses, il me touche sans gêne, depuis deux jours il sait que je n'attends que ça. Je ne résiste à aucune de ses envies même les plus contre-natures et le laisse libre de ces actes les plus obscènes
- T'aime bien comme je m'occupe de ta p'tite chatte... Qu'est ce que tu mouilles !
J'ai une certaine honte à l'admettre mais c'est vrai que j'aime comme il me doigte et comme il me fait jouir. Après une certaine résistance je satisfais ses attentes en lui trifouillant l'anus. Chaque soir ses envies sont différentes mais toutes aboutissent à me faire jouir comme une gonzesse. Il a une maîtrise du kama-soutra incroyable. Parfois il est acteur, parfois me il me laisse faire sur son gourdin, comme hier quand il m'a demandé de m'asseoir sur sa queue face au miroir, en lui tournant le dos. En appui sur mes mains je me suis emmanché et lui ai fait l'amour. Je voyais à la fois ma bite se ballotter dans le vide et sa queue épaisse circuler entre mes fesses.
- Allez, viens me bouffer le cul !
Là aussi j'ai jeté mes réticences par dessus les moulins, et je lui suce l'oignon comme il aime. On se retrouve tête-bêche sur le côté entre les cuisses de l'autre, je lui lèche les burnes, le rend impatient en m'attardant sur le périnée avant de pointer la jonction des fesses sans toucher son intimité. J'aime l'entendre grogner d'exaspération, alors j'écarte les fesses et démasque son petit trou. Je le taquine un peu de la pointe de ma langue avant de lui faire un suçon, pour le faire grossir et le couvrir de salive. Deux doigts traversent l'anneau, caressent les bords et plongent jusqu'à la prostate, ce toucher n'est qu'un hors d’œuvre.
Ses chairs cotonneuses sont moites. Un troisième doigt les découvre et tout de suite un quatrième qui entraîne tous les autres bien plus profondément jusqu'à la jointure du pouce. Sous la pression, l'anneau se distend, enveloppe les doigts, le ventre se liquéfie. L'homme gigote, geint, grogne :
- John, vas-y fous-moi le poing ! Je n'en peux plus
Alors qu'il me doigte en douceur, ma main lui défonce l'anus, mon poignet devient un braquemart et son sphincter un vagin. Quand ses deux doigts m'amènent au bord de la jouissance, sans me permettre de l'atteindre, mon poing semblable au Priape le mène au Nirvana.
- Oh John arrête, arrête... Putain que c'est bon ! S'il te plaît arrête... Ma main sort de la caverne, pleine d'une sorte de bave poisseuse. Il reprend vite ses esprit et grogne :
- Couche-toi, que j'te prenne comme une salle femelle !
A peine l'ai-je libéré, qu'il me pousse sur le dos. Son regard me foudroie, ses lèvres se contractent. Il ne bande pas vraiment mais en deux, trois manipulations il retrouve toute sa vigueur. Il me prend une cheville, la lève en l'écartant, d'une main, il ajuste son gland à ''ma chatte'' comme il dit et me pénètre lentement, en continu, jusqu'à me couvrir complètement. Allongé sur moi, son pubis ondule pour se mettre bien en place, pour que nos corps s'unissent. En même temps mon fessier se relève, mes jambes encerclent ses reins. Il ne m'a jamais pris de cette manière, le plus souvent c'était en levrette puis il m'a appris à le chevaucher face à lui ou à m'emmancher sur son pieu face au miroir. Là, je le sens plus fort, plus profond. Je suis écrasé, dominé, peut-être... femelle ? D'autant plus quand ses mains immobilisent mes poignets au dessus de ma tête et ses lèvres sur les miennes murmurent « T'es une belle salope ! ».
Il se dandine sur moi, m'entraîne dans sa danse, puis amorce un imperceptible va-et-vient, ses lèvres toujours soudées aux miennes marmonnent
« Tu me sens bien... Tu aimes bien... Contracte tes abdos... Oui comme ça, oh oui c'est bon... Continue... Tu entends comme tu mouilles ? »
C'est vrai que je n'ai jamais connu cette sensation, mon sphincter qui n'était qu'un tube qu'il traversait plus ou moins dans la douleur, s'anime, vibre. Alain s'est relevé, en appui sur ses bras tendus, il me scrute du regard alors qu'il entame une autre danse, plus frénétique, son ventre se décolle de mes fesses pour les frapper encore et encore. Je bascule en arrière jusqu'à avoir mes orteils sur le matelas. Son ventre frappe mon fessier. Le coït s'accélère, l'homme ne me regarde plus, il va tout lâcher...
Mais c'est mal connaître Alain, il s'immobilise, revient sur moi en appui sur ses coudes. Il m'embrasse du bout des lèvres, reprend son souffle, ses mains sur ma poitrine me taquinent les tétons, il me burine doucement, ses yeux brillent de bonheur, il murmure presque imperceptiblement « C'est bon ?!... Tu aimes ?... Oh putain, tu mouilles comme une nana. » Je ne réponds que par des sourires et des bécots sur ses lèvres. Son coït redevient plus puissant, plus rapide. Je repense aux Valseuses « et là t'accélère » . Il se redresse, s'emballe, il dévale la pente plus rien ne le retient, d'un coup violent il me plaque au lit et rugit en s'immobilisant, encore un spasme, il respire fort, les yeux dans le vague. Il reste figé un instant, il se sépare de moi mais reste entre mes jambes, il ne bouge plus, je me détends et là...
Ce sont quatre doigts qui me forcent l'anneau à leur jonction et plongent plus profondément, ils s'agitent dans mes chairs fraîchement labourées, vont et viennent, s'échappent. Ce sont deux doigts qui reviennent à la recherche de mon point sensible, ils le touchent, le caressent, l'excitent, les vibrations se font plus légères, plus rapides. Ma respiration s'accélère, je suis pris de spasmes, mes cuisses immobilisées par celui qui me doigte, seuls mon ventre et mon bassin se contractent quand le sperme s'échappe en flots, inonde le nombril. L'homme continue à me branler tout en me suçant une bistouquette qui me fait honte. Je me sens anéanti et épanoui. Un moment d'absence et Alain est allongé contre moi :
- Ça va Johnny ?
- Oui, que je souffle avant de susurrer, je n'ai jamais vécu un tel moment
- Comme une femme
- Je ne t'ai jamais senti si puissamment
- Tu n'as jamais été si participative, le féminin m'interpelle mais c'est vrai, n'étais-je pas féminine. Une certitude mon chéri, tu aimes la bite !
Après un tendre câlin dans ses bras il me sort de ma léthargie « Passons à la douche si tu veux ».
Avec un temps de retard, il me retrouve dans la salle de bains. Sous la douche à son habitude il s'occupe de moi, me caresse plus qu'il ne me savonne :
- Appuie-toi au mur et montre moi tes fesses... Comme elles sont ouvertes !
Il tient un objet allongé couleur chair qu'il avait caché dans sa serviette. Il me taquine l'anus et enfonce facilement l'objet dans mes reins, mon anus se contracte sur un rétrécissement et le bloque dans mon ventre.
— Qu'est-ce que c'est ?
— Un petit cadeau, raison de mon absence ce matin. Un souvenir de ce moment mon chéri. C'est un plug en latex. Celui-ci est petit, certains peuvent être trois fois plus long et gros comme mon poing. C'est pour assouplir et dilater l'anus. Quand tu le porteras il t'excitera et te fera mouiller, tu penseras à l'instant où je t'ai prise comme une femme.
L'objet se place naturellement dans mon fourreau et reste bloqué par mon anneau. On se couche et je le garde en moi.
Ma nature, mon physique, mon caractère peut-être, font que je suis sous son emprise, que je suis ''son chéri'' comme il dit, attentif à ses désirs et lui mon ''amant'' attentif à mon plaisir. Des désirs il en a beaucoup, d'abord que je dorme entre ses bras puis d'être disponible du réveil au coucher.
Dès le premier matin, je me suis habitué à le sentir dans mon dos, éveillé ou assoupi. Dans un cas d'un simple mouvement de bassin je m'offrais et recevais son glaive, dans l'autre d'une pirouette j'avalais son gros rat endormi pour le téter jusqu'à le mettre en furie et qu'il me crache dessus ou juste le mettre en forme pour le chevaucher et qu'il me rende les honneurs.
Ce matin à la sortie de la douche je me trouve au pied du lit à préparer mes habits quand Alain me rejoint, il me prend gentiment par les épaules et me tourne face au miroir. Il est derrière moi, plus grand, plus carré, sa peau mate le fait paraître comme l'ombre de moi-même.
- Regarde John comme tu es mignon ! Ses mains passées sous mes bras me caressent. Regarde comme tes tétons sont sensibles, sens comme ta peau est douce. Regarde comme ta taille fait ressortir ton petit cul. Ses mains glissent de part et d'autre de mon pubis quand il claque de la langue dans sa bouche. Mais mon chéri quelque chose ne va pas en toi... Ces poils disgracieux sur ton ventre, c'est dommage, tu es presque imberbe sauf, ces poils noirs. Regarde-moi ! Il se décale de côté et exhibe son sexe glabre... N'est-ce pas mieux ainsi ?... Je ne dis rien , baisse les yeux à titre d'approbation. Tu ne préfères pas ? me demande-t-il posant ma main sur son ventre et il ajoute : Tu veux que je te les enlève, que je t'épile ?
- ... Si tu veux, que je miaule entre mes dents sans le regarder
- Allonge-toi mon chéri ! Je reviens de suite.
Alain ressort de la salle de bains avec un gros tube de crème. Je regarde une dernière fois mon pubis couvert de poils soyeux, me caresse et sans regret je le laisse faire. Il commence avec une grosse noix de crème pour recouvrir ma toison pubienne. Dix minutes de bavardage avant de retirer à la spatule crème et poils. Rebelote dans une position totalement indécente, genoux ouverts contre ma poitrine, il s'occupe de l'entrejambe, enfin en levrette il épile le postérieur avec une attention particulière à la raie des fesses. Le coquin prend un malin plaisir à éliminer les poils réfractaires à la pince :
— Aïe !... Tu me fais mal !
— OK, ça suffit ! Te voilà lisse comme au jour de ta naissance. Passe sous la douche pour enlever toute trace de crème.
Alain me claque les fesses pour appuyer son ordre « A la douche ! ». En passant devant la miroir je me découvre tout nu, j'ai l'impression d'être redevenu un ado. A peine sous l'eau, je le vois entrer dans la salle de bain alors que je me nettoie précautionneusement pubis et entrejambe, surpris par la douceur de ma peau.
L'homme me regarde un moment en s'astiquant lentement le manche et me rejoint sous la douche. Le salaud bande de nouveau comme un âne alors que je l'ai dégorgé il y a moins d'une heure. Arrivé contre moi, il m'embrasse dans le cou et me prend par une jambe, je sens de suite son sexe et je m'accroche à son cou quand il me soulève jusqu'à sa poitrine. Je retrouve la situation d'il y a quelques jours avec sa bite à mon cul, mais depuis j'ai jeté mes préjugés par dessus les moulins
Je contrôle le jeu en me tenant au cou de mon amant. Son pieu de chair me taquine la rondelle, son gland s'imprime entre mes fesses, je joue d'un va-et-vient sans que l'anneau ne cède, je me laisse aller. La pointe force sans violence mon intimité, mes genoux serrés à ses hanches, à nouveau je continue mon imperceptible va-et-vient. D'un coup Alain me lâche les fesses pour me retenir à la taille, à ce moment là temps mon popotin, lâché dans le vide, s'empale sur le glaive, le gland traverse mes chairs sans résistance. Mais dès qu'il est en moi, par réflexe, je me redresse pour me soulager puis lentement je me détends et me laisse glisser sur la hampe jusqu'à sa base.
Sous la pluie de la douche je lui fais l'amour, me tenant à son cou et en appuie sur ses hanches. Comme l'autre jour en chevauchant son ventre, je bouge d'avant en arrière, de haut en bas et m'affaisse peu à peu sur son glaive. Alain vient à mon aide, me retient par les cuisses et me conduit à son rythme jusqu'à sa jouissance. Je deviens un manchon dans lequel il se branle, jusqu'à ce qu'il me dépose sur le carrelage.
- Dépêchons-nous Johnny, tes parents vont nous attendre.
Il est déjà sorti de la douche, qu'accroupi je me lave correctement ''la chatte''. J'enfile short et tee-shirt, lui cours après et nous retrouvons mes parents pour le petit déjeuner qui s'étonnent un peu de notre retard et se félicitent de nous voir ainsi heureux, s'ils savaient...
- Excusez-nous, nous avons repiqué du nez, dit-il en embrassant ma mère.
- Alain je viens de téléphoner à Jade, elle t'embrasse fort et voudrait que John t'accompagne à Montpellier à la fin de notre séjour. Alors si tu es d'accord, notre garçon descendra avec toi.
Sans lui laisser le temps de réagir, je saute au cou de ma mère :
- Oh super maman, je suis si content de revoir tante Jade.
- Ouais c'est top, bien sûr nous voyagerons ensemble. Maman aura des difficultés à te reconnaître pas après une si longue absence.
La conversation se poursuit tout en prenant, tartines, croissants et café, quand à la fin du repas Alain nous annonce qu'il veut aller jusqu'en ville faire des courses
- Je vais prendre le bus de onze heures et vous retrouverai cette après-midi sur la plage.
L'absence imprévue de mon amant me contrarie... Après avoir avalé mon amertume, je descends avec mes parents sur la plage qui presque de suite sous leur parasol et dans leurs transats, s'isolent dans leur lecture et me laisse seul avec mes pensées... Je me revois dans le miroir si fragile par rapport à l'homme basané qui me domine, je repense à nos nuits, à la femme d'à côté. Puis j'essaie de m'évader de ces pensées salaces, je tente de me rappeler de la vie parisienne, de mes copains, je réfléchis au bac décroché de justesse, à la prochaine rentrée en fac de sciences éco. Mais j'ai beau faire, me baigner, me promener, le sexe revient toujours à mon esprit... Quand j'étais dans ma chambre avec mon cousin, quand une telle nous montrait ses seins à la piscine, quand un pote se vantait de baiser sa copine.
Enfin je vois Alain descendre les marches qui arrivent de l'hôtel. Je me maîtrise pour ne pas courir le rejoindre. Je ne vois que son boxer bombé et son torse nu, à nouveau je pense à nos relations. Heureusement mes parents interviennent pour me distraire de mes pensées incestueuses, pour parler cinéma, voyage, gastronomie et... du lendemain. Invités, ils vont nous laisser seuls. Demain, seul avec Alain toute la journée et je repense sexe.
La journée me semble interminable, enfin arrive l'heure de la promenade, de la crêpe, du dîner, de se séparer pour se souhaiter bonne nuit avec la promesse de se retrouver le lendemain pour dîner. Je ne laisse rien paraître mais accélère le pas dans le couloir jusqu'à notre chambre poursuivi par mon amant. Dès que la porte fermée, Alain me serre contre lui.
- Alors je t'ai manqué mon p'tit chéri, tu étais si pressé !
- Oui... Je ne peux rien dire d'autre, baîllonné par ses lèvres.
Ses mains se faufilent sous mon short dans mon slip et s'emparent de mes fesses avec tout de suite un doigt au plus profond.
- Dis donc mon coquin t'es tout excité... Allez va t'laver !
Lui file aux toilettes, moi à la douche et me prépare bien comme il faut avant qu'il ne me rejoigne. Comme les nuits précédentes, la fenêtre grande ouverte nous nous allongeons sur le drap fraîchement repassé. On se câline un moment, couchés de côté, les jambes entre-croisées, je me rapproche, jusqu'à être contre lui. Sa main sur mes fesses, il me touche sans gêne, depuis deux jours il sait que je n'attends que ça. Je ne résiste à aucune de ses envies même les plus contre-natures et le laisse libre de ces actes les plus obscènes
- T'aime bien comme je m'occupe de ta p'tite chatte... Qu'est ce que tu mouilles !
J'ai une certaine honte à l'admettre mais c'est vrai que j'aime comme il me doigte et comme il me fait jouir. Après une certaine résistance je satisfais ses attentes en lui trifouillant l'anus. Chaque soir ses envies sont différentes mais toutes aboutissent à me faire jouir comme une gonzesse. Il a une maîtrise du kama-soutra incroyable. Parfois il est acteur, parfois me il me laisse faire sur son gourdin, comme hier quand il m'a demandé de m'asseoir sur sa queue face au miroir, en lui tournant le dos. En appui sur mes mains je me suis emmanché et lui ai fait l'amour. Je voyais à la fois ma bite se ballotter dans le vide et sa queue épaisse circuler entre mes fesses.
- Allez, viens me bouffer le cul !
Là aussi j'ai jeté mes réticences par dessus les moulins, et je lui suce l'oignon comme il aime. On se retrouve tête-bêche sur le côté entre les cuisses de l'autre, je lui lèche les burnes, le rend impatient en m'attardant sur le périnée avant de pointer la jonction des fesses sans toucher son intimité. J'aime l'entendre grogner d'exaspération, alors j'écarte les fesses et démasque son petit trou. Je le taquine un peu de la pointe de ma langue avant de lui faire un suçon, pour le faire grossir et le couvrir de salive. Deux doigts traversent l'anneau, caressent les bords et plongent jusqu'à la prostate, ce toucher n'est qu'un hors d’œuvre.
Ses chairs cotonneuses sont moites. Un troisième doigt les découvre et tout de suite un quatrième qui entraîne tous les autres bien plus profondément jusqu'à la jointure du pouce. Sous la pression, l'anneau se distend, enveloppe les doigts, le ventre se liquéfie. L'homme gigote, geint, grogne :
- John, vas-y fous-moi le poing ! Je n'en peux plus
Alors qu'il me doigte en douceur, ma main lui défonce l'anus, mon poignet devient un braquemart et son sphincter un vagin. Quand ses deux doigts m'amènent au bord de la jouissance, sans me permettre de l'atteindre, mon poing semblable au Priape le mène au Nirvana.
- Oh John arrête, arrête... Putain que c'est bon ! S'il te plaît arrête... Ma main sort de la caverne, pleine d'une sorte de bave poisseuse. Il reprend vite ses esprit et grogne :
- Couche-toi, que j'te prenne comme une salle femelle !
A peine l'ai-je libéré, qu'il me pousse sur le dos. Son regard me foudroie, ses lèvres se contractent. Il ne bande pas vraiment mais en deux, trois manipulations il retrouve toute sa vigueur. Il me prend une cheville, la lève en l'écartant, d'une main, il ajuste son gland à ''ma chatte'' comme il dit et me pénètre lentement, en continu, jusqu'à me couvrir complètement. Allongé sur moi, son pubis ondule pour se mettre bien en place, pour que nos corps s'unissent. En même temps mon fessier se relève, mes jambes encerclent ses reins. Il ne m'a jamais pris de cette manière, le plus souvent c'était en levrette puis il m'a appris à le chevaucher face à lui ou à m'emmancher sur son pieu face au miroir. Là, je le sens plus fort, plus profond. Je suis écrasé, dominé, peut-être... femelle ? D'autant plus quand ses mains immobilisent mes poignets au dessus de ma tête et ses lèvres sur les miennes murmurent « T'es une belle salope ! ».
Il se dandine sur moi, m'entraîne dans sa danse, puis amorce un imperceptible va-et-vient, ses lèvres toujours soudées aux miennes marmonnent
« Tu me sens bien... Tu aimes bien... Contracte tes abdos... Oui comme ça, oh oui c'est bon... Continue... Tu entends comme tu mouilles ? »
C'est vrai que je n'ai jamais connu cette sensation, mon sphincter qui n'était qu'un tube qu'il traversait plus ou moins dans la douleur, s'anime, vibre. Alain s'est relevé, en appui sur ses bras tendus, il me scrute du regard alors qu'il entame une autre danse, plus frénétique, son ventre se décolle de mes fesses pour les frapper encore et encore. Je bascule en arrière jusqu'à avoir mes orteils sur le matelas. Son ventre frappe mon fessier. Le coït s'accélère, l'homme ne me regarde plus, il va tout lâcher...
Mais c'est mal connaître Alain, il s'immobilise, revient sur moi en appui sur ses coudes. Il m'embrasse du bout des lèvres, reprend son souffle, ses mains sur ma poitrine me taquinent les tétons, il me burine doucement, ses yeux brillent de bonheur, il murmure presque imperceptiblement « C'est bon ?!... Tu aimes ?... Oh putain, tu mouilles comme une nana. » Je ne réponds que par des sourires et des bécots sur ses lèvres. Son coït redevient plus puissant, plus rapide. Je repense aux Valseuses « et là t'accélère » . Il se redresse, s'emballe, il dévale la pente plus rien ne le retient, d'un coup violent il me plaque au lit et rugit en s'immobilisant, encore un spasme, il respire fort, les yeux dans le vague. Il reste figé un instant, il se sépare de moi mais reste entre mes jambes, il ne bouge plus, je me détends et là...
Ce sont quatre doigts qui me forcent l'anneau à leur jonction et plongent plus profondément, ils s'agitent dans mes chairs fraîchement labourées, vont et viennent, s'échappent. Ce sont deux doigts qui reviennent à la recherche de mon point sensible, ils le touchent, le caressent, l'excitent, les vibrations se font plus légères, plus rapides. Ma respiration s'accélère, je suis pris de spasmes, mes cuisses immobilisées par celui qui me doigte, seuls mon ventre et mon bassin se contractent quand le sperme s'échappe en flots, inonde le nombril. L'homme continue à me branler tout en me suçant une bistouquette qui me fait honte. Je me sens anéanti et épanoui. Un moment d'absence et Alain est allongé contre moi :
- Ça va Johnny ?
- Oui, que je souffle avant de susurrer, je n'ai jamais vécu un tel moment
- Comme une femme
- Je ne t'ai jamais senti si puissamment
- Tu n'as jamais été si participative, le féminin m'interpelle mais c'est vrai, n'étais-je pas féminine. Une certitude mon chéri, tu aimes la bite !
Après un tendre câlin dans ses bras il me sort de ma léthargie « Passons à la douche si tu veux ».
Avec un temps de retard, il me retrouve dans la salle de bains. Sous la douche à son habitude il s'occupe de moi, me caresse plus qu'il ne me savonne :
- Appuie-toi au mur et montre moi tes fesses... Comme elles sont ouvertes !
Il tient un objet allongé couleur chair qu'il avait caché dans sa serviette. Il me taquine l'anus et enfonce facilement l'objet dans mes reins, mon anus se contracte sur un rétrécissement et le bloque dans mon ventre.
— Qu'est-ce que c'est ?
— Un petit cadeau, raison de mon absence ce matin. Un souvenir de ce moment mon chéri. C'est un plug en latex. Celui-ci est petit, certains peuvent être trois fois plus long et gros comme mon poing. C'est pour assouplir et dilater l'anus. Quand tu le porteras il t'excitera et te fera mouiller, tu penseras à l'instant où je t'ai prise comme une femme.
L'objet se place naturellement dans mon fourreau et reste bloqué par mon anneau. On se couche et je le garde en moi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un très beau texte. Tu apprenais vite!