Initiation chap 6 - Découvrir le trriolisme

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Initiation chap 6 - Découvrir le trriolisme Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation chap 6 - Découvrir le trriolisme
Ce matin je me réveille, un peu à mon habitude, de trois-quart couché sur le ventre, une jambe allongé, l'autre le genou remonté. Il fait chaud, le drap est rejeté à mes pieds, je sens une gêne dans mes fesses et repense au plug en latex que mon cousin m'a planté avant de m'endormir. J'ai envie d'aller aux toilettes et en même temps de le garder, il s'est fait sa place. Je me contacte pour mieux le sentir et me détends comme pour faire l'amour.

A ce moment je sens un souffle sur mon dos, des cheveux sur mes reins, un baiser au creux de mes fesses, une caresse de mon mollet jusqu'à mon entrejambe :

- Bonjour Johnny... Bien dormi ? Je me retourne et laisse mon cousin m'embrasser... Ben dis donc ! Mon bébé a fait un gros dodo, il est presque midi.

Alain allongé, appuyé sur un coude, est au dessus de mon visage, il me regarde tendrement me sourit, d'un doigt il souligne le contour de mes lèvres, descend sur le menton, d'une main il me caresse la poitrine, réveille mes tétons avant de filer sur mon ventre, il passe sur mon sexe endormi, force le passage de mes cuisses

- Tu as bien dormi, avec le cul rempli
- J'ai dormi
- Je t'ai remonté un croissant et une brioche pour ton p'tit dèj... Si tu veux je te propose d'aller faire un tour le long de la côte, on ira dans un coin tranquille, peut-être se baigner à poil !
- Euh... se foutre à poil avec d'autres personnes !
- Ben non ! Pas nécessairement, il y a des coins où on est seul, tu verras comme c'est agréable de se baigner nu et ça te donnera un avant-goût des vacances avec ta tante... Elle aime vivre nue ! Ne t'inquiète pas, je prends les serviettes, de l'eau et on y va en maillot de bain, on verra sur place.

Après une douche, avoir avalé les deux viennoiseries, au bout de 20/25 minutes de balade sur un petit chemin, on arrive dans un endroit abandonné de tous avec au fond d'une crique une petite plage, la mer est magnifique.

— Regarde John, là. On devrait être bien, il n'y a personne et sur le côté, il y a de l'ombre, qu'en penses-tu, ce n'est pas bien ?
— Si, si, c'est sympa.
— On y va ?
— OK !

On descend le petit talus et le plus naturellement du monde arrivé sur la plage Alain quitte son maillot, je n'ai d'autre solution que de me mettre nu. Il installe les serviettes et s'allonge sur le dos et m'invite près de lui.

— On n'est pas bien là ?
— Si c'est vrai, c'est top.
— On est quand même mieux que sur la plage de l'hôtel au milieu du monde !... contrairement à moi qui reste paralysé, je le vois détendu et même coquin quand il se penche vers moi et murmure en me caressant : Regarde comme on peut se câliner tranquillement.

Il m'embrasse du bout des lèvres, et se couche à moitié sur moi. Sa main me prend la queue et je bande immédiatement quand en deux coups il me décalotte le gland. Tout de suite il s'impose, ses lèvres passent de ma bouche à mon torse, et descendent jusqu'à mon ventre. Je suis sidéré de son audace et à deux mains je repousse sa tête qui avale mon bourgeon :

— Non ! Noooon Alain s'il y a du monde !
— Mais regarde, il n'y a personne, en plus, on est à couvert du chemin qui passe au-dessus, t'inquiète pas, laisse-moi t'aimer pour notre dernier jour.

Il revient vers ma bouche, tout en me branlant ouvertement. De mon côté, j'ai pris sa queue qui est déjà bien grosse, je la caresse doucement, m'enhardis, la décalotte un maximum, le provoque presque et il en profite pour aller plus avant :

- Suce-moi John !

Il n'a pas besoin de le répéter, je le prends à deux mains comme il aime, le lèche, suce le bonbon, masse les burnes et astique le manche. Tout de suite il m'accompagne de son bassin et me tenant la tête.

- Je vais te baiser ! Regarde là derrière, debout, appuyé à l'arbre, je te prends en levrette ...
- Non, non, Alain, si des gens passent.
- Mais non, on ne voit pas le chemin et on ne peut pas nous voir... Allez lève-toi

Mon cousin sait y faire, mon excitation est telle que j'oublie tout danger et ne résiste pas quand il m'aide à me lever et vais là où l'arbre m'abrite des regards, je m'y appuie, écarte les jambes et cambre mes reins comme j'en ai l'habitude maintenant.

Alain ne perd pas son temps puisqu'il est déjà derrière moi, accroupi à écarter mes fesses et me lécher la rosace. Je m'offre mieux quand je sens son gland au bon endroit. Mes chairs commencent à être habituées et je sais les rendre accueillantes. Lui aussi a ses habitudes, il sait se rendre vainqueur, d'une poussée continue, puissante, au creux du vallon ses doigts étirent l'anneau. Lentement, progressivement mes chairs s'ouvrent, le gland me pénètre jusqu'à ce que mon anus se resserre d'un coup sur sa base. Il prend son temps, attend que la bague se détende, et glisse dans le fourreau jusqu'à la rencontre du ventre et de mes fesses.

- Ça va mon chéri ?
- Ouais, c'est bon ! Vas-y doucement.

Il me prend alors par les hanches et le plus naturellement du monde, va-et-vient entre mes reins, me besogne lentement. Je me laisse aller jusqu'à ce qu'une voix me fasse bondir même si mon cousin me tient fermement :

- Bonjour ! Vous êtes bien sympathiques tous les deux, je vous observe depuis un moment, je peux me joindre à vous ?

Mon cousin ne semble pas vraiment gêné par cette visite, il s'immobilise en moi et répond :

- Bonjour, excusez-nous ! Mon p'tit frère et moi ne vous avions pas vu (ma désignation de petit frère me surprend et m'amuse)
- Non bien sûr, j'étais à l'abri de l'autre côté, mais il n'y a aucun problème, j'aime bien votre liberté !!!


D'un coup d’œil en arrière, je vois un homme un peu plus âgé que mon père, visiblement habitué au nudisme, plutôt bien foutu, musclé, sans être athlétique, je suis impressionné par ses seins développés avec des tétons très saillants et son sexe, très sombre, entièrement épilé, un engin très épais d'une quinzaine de centimètres terminé par un gland en forme de grosse fraise qui repose entre deux couilles bien pleines, à croire qu'elles grossissent avec l'âge et par leur poids s'éloignent de leur tige. Il se caresse tranquillement la queue qui paraît lourde mais pas vraiment en érection, comme pour nous vanter sa marchandise. Satisfait de notre calme, valant probablement bienvenue, il me caresse le dos, passe sous mon ventre et me saisit la bite sans détour.

- Vous êtes tous les deux charmants et ce jeune garçon est déjà bien équipé.
- Frérot, que penses-tu si Monsieur se joint à nous ? tandis qu'il recommence à me sodomiser...

L'inconnu obtient mon approbation quand je le prends par la taille pour l'avoir bien face à moi. Il secoue sa queue pour lui donner plus de rigidité et la pose sur mes lèvres. Je relève la pointe de la langue avant de l'aspirer et le sucer. Le morceau est semblable à une figue violette, lui pelote les couilles qui pendent à plus de dix centimètres du tronc comme le nid d'un oiseau tisserand et lui branle le manche. Il est épais et peu à peu devient dur comme du bois. Je déploie tout mon savoir, varie le rythme et la pression de mes lèvres, mes dents entrent en jeu, ma langue s'active, le membre devient un vrai braquemart noueux presque aussi épais que mon poignet.

Mais l'homme veut autre chose. Il me prend ma tête entre ses mains. Son sexe fait trois, quatre aller-retours pour habituer ma bouche et ma gorge à la présence du manche. Le gland revient sur mes lèvres et d'un brutal mouvement de hanches me pénètre jusqu'à toucher le fond de ma gorge en me provoquant un haut le cœur. Je n'ai pas l'habitude de cette brutalité, rapidement j'ai les yeux embués de larmes alors qu'il sort de quelques centimètres de ma bouche, avant de replonger taquiner ma glotte. Alain ne m'a jamais forcé comme ça, je pleure, mon nez coule, la salive s'échappe des commissures de mes lèvres, il me laisse un peu de répit pour que je reprenne ma respiration et reprend son va-et-vient implacable jusqu'au fond de ma gorge. Je ne le suce plus, ma bouche devient un fourreau semblable à mon cul.

Le gland est presque aussi gros que celui d'Alain, moins dur, plus rougeâtre. Ses doigts s'emparent de mes deux tétons, les titillent doucement, ils se réveillent et pointent. Alors l'inconnu s'enhardit, il me les prend, les pince, les tire, les tord de plus en plus fort au point de me faire gémir, sans pour cela ralentir la baise de ma bouche.

— Dis-moi jeune homme, t'avales comme une pro !
— T'as raison l'ami, ajoute Alain, elle aime la bite, tu ne peux imaginer et son cul est un fourreau de geisha !...
— Ah, elle ne va pas me laisser comme ça !
— Tu ne veux pas lui juter dans la bouche ?
— Ben j'essaierai bien son fourreau comme tu dis !
— Dis-moi frérot, tu ne voudrais pas un deuxième coup de bite après m'avoir vidé les couilles, ça serait une première, il semble gentil le papa ? Et puis il faut que tu t'habitues à te faire prendre plusieurs fois de suite, d'accord ?

J'en reviens pas, d'être traité ainsi, mon cousin m'offre à un inconnu, la morale, si je peux en parler, me dit non.

— Ben NON ! Avec toi c'est une chose mais avec monsieur ?
— Frérot, ne confonds pas baiser et aimer !!!
— C'est vrai, j'te demande pas de m'aimer et l'idée de baiser ''mon fils'' m'excite.

En même temps Alain s'agite dangereusement, un coup de reins plus fort que les autres, ça y est, il s'immobilise dans un long râle, le cochon se vide en moi sous l’œil intéressé de l'autre type. Après un moment il me lâche

- Oh, ouais frérot, t'es une bonne salope... tiens l'ami, j'te la passe.

Et l’invraisemblable se passe, les deux hommes changent de place, je me sens avili, traité comme une putain ; déjà le vieil homme est à mes fesses, je sens sa main sur ma hanche, son gland circuler entre mes fesses, pointer mon anus et m'embrocher sans difficulté

- Allez mon p'tit chéri viens ! Papa va te faire ta fête, tu vas voir comme il tient le coup. Punaise, ton grand frère t'a mis la dose, son jus déborde de partout

L'homme après deux, trois coups puissants pour s'implanter, commence à me limer dans un chuintement dégueulasse, ses mouvements sont amples et lents, et là surprise, ses couilles se balancent et viennent frapper mes propres couilles, c'est infernal comme il tape fort. Il est plus épais qu'Alain mais cogne moins loin et moins fort. Il s'économise, en se couchant sur mon dos, il me fais des bisous sur le dos, je sens ses lèvres baveuses et ses bras m'entourent la poitrine. Il ne me baise plus vraiment, mon bassin est soudé et se balance au rythme de ses coups de reins Ses doigts trouvent sans difficulté mes tétons et tout de suite les tiraillent, les triturent, me font mal

- Dis donc mon p'tit chéri, tu bandes des seins comme une file, t'aime comme j'te tripote... Hein dis-moi ?
- Ouiii, que je siffle entre mes dents.

Alain appuyé à l'arbre se masturbe tout en me tirant à lui. J'ai sous les yeux sa queue mollassonne. Je le tiens par une hanche et redresse sa verge de l'autre main ; le tronc est couvert de mouille jusqu'aux couilles, c'est quand je gobe le gland d'un goût acre que je me rends compte que salaud me donne à sucer son engin à la sortie de mes fesses.... Beurk, c'est dégueu ! J'ai un recul de dégoût, tout de suite réprimé d'une main sur l'arrière de ma tête. Heureusement mes règles d'hygiène font que je ne trouve aucune trace suspecte. En une sorte de vengeance, je lui mord le bourgeon à le couper, lui étire les burnes à les décrocher. Ces douces violences le réveille.

Le massage de mon sphincter redonne vigueur au monsieur. Il retrouve une énergie, ses couilles ont repris leur balancement et son ventre percute mon derrière régulièrement. Le papa avait raison, il tient le coup, depuis plus de dix minutes il me laboure passant du calme à la tempête, en s'économisant ou se donnant à fond, sa respiration couvre le clap... clap de son ventre, le chuintement de notre accouplement. Dans un ''Aaaah'' je suis propulsé contre le ventre d'Alain. L'homme me garde contre lui, ses lourdes couilles contre les miennes, ses mains crispées, ses ongles plantés dans ma peau. Il se vide en un long sifflement et presque de suite le mandrin se dissout en moi... C'est fini, il se retire entraînant une coulée de sperme sur le périnée et mes cuisses.

Depuis un moment j'ai lâché la bite d'Alain qui continue à s'entretenir. Me voyant libéré il me pousse à me mettre à genoux. Dans cette position, mon cul se libère de son trop plein quand mon cousin se masturbe pour en finir, d'un coup sa main se bloque en arrière étirant le prépuce et deux giclées de sperme m'arrosent le visage avant que je ne prenne le pénis en bouche pour avaler le surplus.

— Ben dis donc les copains vous êtes de sacrés baiseurs ! Et ton petit frère à de quoi offrir, un vrai fourreau de geisha et une bouche, je n'en dis pas plus. Et regarde comme il est monté !... Tandis qu'il s'agenouille pour me peloter il s'exclame : Regarde-moi ces couilles ! Tu permets que je les lui vide ?
— Ouais !... Allez frérot ! Allonge-toi qu'on s'occupe de toi !

La situation est inimaginable, je suis un simple objet sexuel, je n'ai rien à dire et le comble, je ne dis rien ! ... Je devrais réagir, me rebeller ... Non ! Rien, je laisse faire et je m'allonge au milieu des serviettes, leur laissant une place de chaque côté. L'inconnu est tout de suite entreprenant, très entreprenant, il s'occupe de mon ventre et de mes cuisses. Alain plus doux, me regarde tendrement, me lèche ses traces de sperme encore tout chaud sur mon visage.

On ne se parle pas, il lit dans mes yeux mon désarroi, murmure « Ça va aller mon chéri ». Nos lèvres s'unissent en un tendre baiser. Les yeux fermés mon attention se porte sur l'inconnu qui me lèche le ventre comme pour me nettoyer, qui continue son inspection sur mon entrejambe, mes fesses en relevant un genou. Le cochon me lèche de partout, il me nettoie de toutes traces de jouissance avant de me faire une turlute tout en me massant les couilles. J'ai une de ces trique.

- Dis-moi mon petit chéri, tu ne viendrais pas baiser papa ?

Mes yeux, mes lèvres expriment ma panique... A ce moment mon cousin vient à mon secours

- Non, tu sais il n'aime pas trop et il se fait tard il va falloir qu'on rentre
- Ah ouais, je comprends, t'es ''un cul mouillé'', un passif ! T'inquiète pas mon chéri, je sais les faire jouir ceux-là !

Et là tout va très vite avec un doigt dans le cul et le bonbon dans la bouche. L'homme s'active entre mes cuisses, il a ma queue comme un sucre d'orge au fond de son gosier et deux doigts qui me taquinent la prostate.
Alain maintient mes épaules sur la serviette, on se regarde les yeux dans les yeux jusqu'à ce que je les ferme pris par la jouissance, ma respiration devient haletant et mon râle est étouffé par ses lèvres. Le tsunami passé il s'écarte et murmure « J'aime te voir jouir, comme tu te crispes et te relâches ».

Après un court répit, les deux hommes me libèrent et le papa m'aide à me relever quand Alain lui annonce

- À trois comme ça, c'était la première fois pour mon petit frère
Waouh ! Putain incroyable, il a du tempérament le jeunot ! Mais déluré comme tu es, tu vas en faire des heureux. Bon les copains, c'est vrai il se fait tard et je dois vous quitter... Merci pour le moment passé.

On se quitte simplement, il traverse la crique et disparaît dans les fourrés d'où il nous observait. Avec Alain on se rhabille, on monte la pente escarpée qui nous amène au chemin de randonnée qui nous conduit à l'hôtel. Mon cousin me tient par la main et a la gentillesse de me laisser avec mes pensées.
Demain c'est le retour à la maison et après le voyage à Montpellier jusque chez ma tante.

Chers lecteurs voici ma première histoire, relatant un fait réel qui à vrai dire s'étale sur plusieurs années. A vous de me dire si vous souhaitez que je continue en mélangeant fiction et réalité.

Les avis des lecteurs

Okay.
Promis je prépare une suite dans laquelle la tante sera éducatrice

Histoire Erotique
Ouiiiiiiii, faut continuer sans hésiter, il y a tant de situations,à vivre ...

John découvrira de nouvelles pratiques dans son Éducation avec sa tante

Histoire Erotique
Très bonne histoire même si certaines pratiques ne sont pas les miennes
Mais chacun ses goûts !

Mathieu du 74

MERCI @Olga... Alors probablement après les vacances John rencontrera sa tata !

@ John, oui, sans hésiter: continue tes récits!



Texte coquin : Initiation chap 6 - Découvrir le trriolisme
Histoire sexe : Une rose rouge
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