Initiation d'une sainte nitouche (1) : La rencontre.
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Initiation d'une sainte nitouche (1) : La rencontre.
La rencontre.
Je l’ai rencontré pendant un dîner chez des amis communs , elle était accompagnée de son mari et avait l’air de s’ennuyer.
Je la trouvais plutôt jolie et je questionnais la maîtresse de maison qui m’expliqua qu’elle était l’épouse d’un directeur de banque , qu’elle avait deux enfants et qu’elle ne travaillait pas , la dame ajouta avec un sourire que ce n’était pas une proie pour un pervers comme moi car elle était le type même de la petite bourgeoise catho coincée.
Moi j’aime bien les défis , et je profitais du repas pour jeter quelques regards appuyés sur la jolie bourgeoise.
Elle remarqua mon manége mais ne répondit pas à mes avances visuelles.
Le repas ne laissait rien augurer de bon pour la suite de la soirée , la conversation glissait de la météo aux souvenirs de vacances des uns et des autres en passant par la politique et le sport.
Bref on s’emmerdait ferme.
A la fin du repas , je décidais de passer à l’attaque , je m ‘approchais du couple et me présentait , le mari me répondit à peine et s’éloigna avec un autre type pour aller fumer un cigare. C’était inespéré je me retrouvait seul avec la dame sous la regard amusé de la maîtresse de maison.
Un silence gêné ,puis je dois avouer qu’elle me surprit en me disant qu’elle trouvait mes regards insistants.
Je m’en tirais comme je pouvais avec un truc du genre « je préfères regarder les jolies femmes plutôt que d’écouter des conversations sans intérêt » . Après ce genre de phrases toute faites , il y a deux solutions où elle me plante là où elle reste et j’ai une chance.
Elle me sourit et rougit un peu , je continue donc mon approche de dragueur à deux euros , elle a l’air d’apprécier et j’apprend que la petite dame s’ennuie aussi dans la vie avec un mari absent absorbé par son travail et deux enfants sages et bien élevés.
Je remarque que le mari est en train de terminer son cigare et s’approche de nous ,et je glisse à la jolie boudeuse mon numéro de portable en lui disant que j’aimerai beaucoup reprendre cette conversation plus tard et je m’éclipse avant l’arrivée du mari .
En partant je jette encore un regard sur la petite dame qui cette fois me répond d’un sourire.
L’hôtesse des lieux ironise sur mon numéro de Don Juan de fin de banquet et c’est vrai que je me dis que tout cela n’ira sans doute pas plus loin.
J’avais oublié tout ça lorsque trois jours plus tard , elle m’appela , d’abord surpris , nous discutâmes un peu puis je lui fixais un rendez vous dans un café , elle refusa d’abord et je dus faire un exercice de haute voltige (voyons ça ne vous engage à rien, j’aime beaucoup discuter avec vous , etc …..) et finalement elle accepta.
Le jour dit j’arrivais un peu en avance afin de trouver une place discrète et isolée, elle avait un heure de retard et je commençais à flairer le lapin quand enfin elle arriva .
On aurait dit qu’elle avait fait exprès de s’habiller le moins sexy possible , une jupe longue grise , un chemisier boutonné jusqu’au cou et des chaussures plates (un vrai tue l’amour) je me disais que j’allais abréger la rencontre sous un prétexte quelconque mais un détail me fit rester , elle s’était maquillée (un peu trop d’ailleurs comme toutes les femmes qui ne se fardent pas souvent) et grand naïf que je suis j’en déduisit qu’elle cherchait quand même à me plaire .
Je la laissais parler d’elle , elle était intarissable , on sentait qu’elle n’avait pas discuté avec quelqu’un depuis très longtemps.
Au bout de deux heures , on se sépara en se promettant de se rappeler et audace ultime on se fit la bise.
En rentrant chez moi , je trouvais un message sur mon répondeur , c’était elle qui me remerciait pour cet après midi et qui espérait d’autres rendez vous.
Suivirent alors une série de sorties dans des musée improbables , des cafés chics où de longues promenades dans Paris.
La dame se livrait de plus en plus , et sa tenue était de moins en moins austère mettant en valeur des formes qui je le devinais s’annonçaient pleines de promesses.
Mais voilà, j’avais un problème comment faire évoluer la relation ; passer de l’amitié naissante qui semblait lui convenir à quelque chose qui moi me conviendrait.
Cet après midi je décidais de jouer mon va-tout , je profitais de la pluie pour proposer un ciné, ravie elle accepta me disant que cela faisait des années qu’elle n’y était pas allée sauf avec les enfants pour les éternels Walt Disney de fin d’année.
Mais j’avais prémédité mon coup et le film choisit n’avait qu’un très lointain rapport avec Mickey , je l’emmenai voir « la secrétaire » (pour ceux qui ne connaissent pas il s’agit de l’histoire d’une jeune fille mal dans sa peau qui devient la secrétaire d’un homme plutôt renfermé et leur relation évoluent lentement vers la soumission de la fille qui peu à peu s’épanouie ).
Je guettais les réactions de ma camarade pendant le film et je constatai avec plaisir qu’elle semblait fasciné , ce qu’elle me confirma autour d’un café après la projection.
Pour la première fois elle me fit des confidences sur sa vie intime , son mari qui ne la touchait plus , les rapports plan-plan et je me dis qu’enfin je trouvais l’ouverture.
Malheureusement elle déclina mon invitation à venir prendre un verre chez moi car elle devait rentrer.
Je regagnai mon appartement ne sachant plus quoi penser et me disant que décidément elle me voyait plus comme un ami que comme un futur amant (ça a toujours été mon problème).
Il se passa plusieurs jours quand un beau soir un message de la belle me fixant un rendez vous pour le lendemain me redonna espoir.
Je passais une matinée assez fébrile, allant même jusqu’à faire un peu de ménage.
Préparant les lieux, sortant les bougies, choisissant la musique, bref je créais l’ambiance.
Pour une fois elle était à l’heure et je ne fus pas déçu en ouvrant la porte.
Elle était différente , vêtue d’une robe beige assez moulante et s’arrêtant au dessus du genoux , de fines chaussures à talons et surtout elle avait laissé ses longs cheveux bruns et bouclés tomber en cascade sur ses épaules (bref elle était plutôt canon, ma petite bourgeoise).
Après un bref moment où je dus ressembler à un diabétique devant la vitrine d’un pâtissier, je m’effaçais pour la laisser entrer (et pour voir si le verso tenait les promesses du recto de la dame).
Elle semblait un peu tendue (moi aussi, mais pas au même endroit) ce qui me paru un bon signe.
Je lui fit visiter les lieux (quelqu’un peut il m’expliquer pourquoi on a cette manie lorsque l’on reçoit pour la première fois), puis nous passâmes au salon.
Elle s’assit dans le canapé ce qui eut pour effet de remonter sa robe sur ses jambes , instinctivement elle tira sur l’étoffe en me regardant (je devais ressembler au loup de Tex Avery).
Bon le plus dur reste à faire, je lui propose un café et profite de mon passage vers la cuisine pour démarrer la chaîne Hi-Fi qui laisse s’échapper une musique douce et sensuelle (enfin moi je trouve).
Je reviens avec le plateau et prend place à ses côtés sur le canapé.
Commence alors un étrange ballet , nous parlons de choses et d’autres en pensant à autre chose.
Je guette le moment opportun où enfin j’oserai et elle, elle doit se demander : Mais qu’est ce qu’il attend cet idiot !
Elle se penche pour poser la tasse sur la table basse et moi j’en profite pour frôler son dos et passer mon bras sur le dossier du canapé , ce qui a pour effet lorsqu’elle se rassoit normalement de nous rapprocher.
Sans un mot je passe ma main sur son visage et voyant qu’elle laisse aller sa joue je m’approche et l’embrasse (on dirait du Barbara Cartland).
Sauf que le baiser ! ! ! hou la la ! ! ! elle se jette sur ma langue comme un réfugié Haïtien sur l’aide humanitaire.
Bientôt, nous sommes l’un sur l’autre et moi je me bat avec la fermeture éclair de sa robe , puis avec l’attache du soutien gorge (je ne comprend pas qu’au XXI ème siècle on n’ait pas encore trouvé une solution à ce problème majeur) mais mon combat n’aura pas été vain , parce que je découvre deux jolis seins que je m’empresse de dévorer.
Elle aussi s’occupe, elle dégrafe ma chemise et commence à me lécher le torse à petits coups de langue.
Puis elle s’attaque à ma ceinture et se laisse glisser entre mes jambes .
Elle me surprend ma petite catho coincée, je ne perd pas une miette du spectacle . Elle est juste vêtue (pas pour longtemps) d’une petite culotte en train de me tailler la pipe du siècle.
Mes instincts pervers reprennent le dessus et je commence à lui sur appuyer sur la tête en l’encourageant de la voix , et ça marche ! Elle s’applique et démontre qu’elle sait faire autre chose avec sa langue que coller des timbres.
Moi, je n’y tiens plus , je la redresse et la fait asseoir sur moi la prenant en écartant sa culotte.
Elle est comme dans un état second , elle crie et s’empale en remuant son adorable petit cul.
Le docteur Jekyll que je suis se transforme en Mister Hide et je ne peux résister longtemps aux deux seins gonflés qui ballottent devant moi.
Je commence à les pétrir et à pincer les mamelons , ma douce amie ne se formalise pas et au contraire commence à avoir un drôle de regard (si vous avez vu l’exorciste vous me comprenez).
Je tire sur les tétons et commence à claquer les deux globes.
- Tu aimes ça Salope ? (là on s’éloigne peu à peu de Barbara Cartland).
Un oui murmuré accompagné d’une plainte à peine audible m’encourage.
Mes claques prennent de l’intensité , je lui fait pencher la tête en arrière en tirant sur ses cheveux et frappe méthodiquement chaque seins (pas de jaloux comme ça).
Je la relève en la tenant par les cheveux et l’oblige à se mettre à quatre pattes sur le tapis.
- Baisse ta culotte que je vois ton cul de chienne ! ! ! (amis de la poésie bonsoir )
La petite dame s’exécute et me dévoile enfin toute son intimité.
Je la prend violemment et commence à claquer ce cul offert.
Chaque coup a pour effet de la faire crier mais aussi de l’empaler plus profondément.
Je la tire par les cheveux et lui passe mes doigts dans la bouche.
- Suce les comme si c’était ma bite ! ! !
Pourquoi je dis ça , elle avait déjà compris la manœuvre et se met à lécher consciencieusement.
Son cul est de plus en plus rouge.
Je retire mes doigts de sa bouche et je la cambre en appuyant sur son dos.
Le spectacle qui se reflète dans un miroir opportunément placé face à la dame achève de libérer mes ardeurs.
Je commence à poser un de mes doigts à l’entrée de son anus tout en continuant à la limer.
Voyant qu’elle ne dit rien (et qui ne dit mot, consent) mon doigt s’insinue dans l’orifice.
- Tu aimes ça être prise par les deux trous ! ! !.
Bien que ce soit plus une affirmation qu’une question elle lâche un ; Oui baise moi ! ! !
Maintenant j’ai mis deux doigts et je la branle sans ménagement.
- Demandes moi de t’enculer ?
- Oui encules moi (je sais ça fait un peu cours d’anglais du style ‘ repeat after me’).
Moi je suis là pour rendre service, alors mon membre remplace mes doigts et la dame m’aide en écartant ses fesses avec les mains.
Bientôt je ne peux plus me retenir et je jouie dans ce cul de petite bourgeoise en l’agonisant d’insultes.
On reste là dans cette position pendant un moment puis je me retire.
Elle fais mine de se relever mais je l’en empêche en la plaquant sur le sol .
- Tu restes à quatre pattes le cul en l air comme la chienne que tu es.
Je m’assois sur le canapé et allume une cigarette en jouissant du spectacle.
Décidant de voir jusqu’où je peux aller trop loin, je pose le cendrier sur son dos et allonge mes jambes sur ses reins.
- Tu as aimé ça ?
- Oui soupire ma table basse ( ils n’ont pas ce modèle chez Ikéa ne rêvez pas).
- Pour commencer il va falloir te montrer plus respectueuse, et m’appeler Monsieur.
- Oui Monsieur.
Décidément cette fille a du potentiel.
Je termine ma clope et retire mes jambes de ce dos .
- Va te laver dans la salle de bain (j’ai compris pourquoi on fait visiter avant c’est pour éviter d’expliquer où se trouvent les différentes pièces après) et reviens vers moi vite.
Elle se relève un peu honteuse et se penche pour ramasser ses vêtements sur le sol.
- Je ne t’ai pas dit de te rhabiller .
Docile, elle se dirige nue vers la douche ce qui me permet d’admirer les traces rouges qui parcheminent son cul.
Dans ma tête je me repasse le film des événements et me dit que son retour dans le salon sera le dernier test.
Soit elle reprend son attitude de soumise soit elle reprend ses esprits se rhabille et bonsoir Clara.
L’attente est insoutenable (je sais j’exagère toujours).
Ma petite femelle réapparais bientôt et son regard ne laisse aucun doute.
- A genoux devant moi et vite.
Elle obéît.
- Prend ma queue dans la bouche mais ne bouge pas tu suceras quand je te le dirai.
- Oui Monsieur (elle apprend vite).
- Tu reviendras demain pour que je poursuive ton éducation et cette fois tu ne porteras rien sous ta robe.
- Oui répond t elle en ayant mon sexe dans la bouche (pour une fille bien élevée parler la bouche pleine est un signe qui ne trompe pas).
- Maintenant appliques toi et fais moi jouir dans ta bouche.
Arrivé à ce stade de l’histoire je vous épargne la description de la fellation (vous êtes assez grands pour imaginer), sachez cependant que je ponctuais les efforts de la belle suceuse de quelques coups de ceinture bien placés sur ce joli fessier ce qui avait pour effet d’arracher de petits cris à notre belle amie.
Docilement elle arriva bientôt au résultat escompté et avala tout sans rechigner poussant même le dévouement à nettoyer avec sa petite langue.
- Tu peux te rhabiller maintenant , laisse moi et n’oublies pas pour demain.
La belle partie , je me demandais si je n’avais pas été un peu trop loin et si je reverrai ma bourgeoise.
Je l’ai rencontré pendant un dîner chez des amis communs , elle était accompagnée de son mari et avait l’air de s’ennuyer.
Je la trouvais plutôt jolie et je questionnais la maîtresse de maison qui m’expliqua qu’elle était l’épouse d’un directeur de banque , qu’elle avait deux enfants et qu’elle ne travaillait pas , la dame ajouta avec un sourire que ce n’était pas une proie pour un pervers comme moi car elle était le type même de la petite bourgeoise catho coincée.
Moi j’aime bien les défis , et je profitais du repas pour jeter quelques regards appuyés sur la jolie bourgeoise.
Elle remarqua mon manége mais ne répondit pas à mes avances visuelles.
Le repas ne laissait rien augurer de bon pour la suite de la soirée , la conversation glissait de la météo aux souvenirs de vacances des uns et des autres en passant par la politique et le sport.
Bref on s’emmerdait ferme.
A la fin du repas , je décidais de passer à l’attaque , je m ‘approchais du couple et me présentait , le mari me répondit à peine et s’éloigna avec un autre type pour aller fumer un cigare. C’était inespéré je me retrouvait seul avec la dame sous la regard amusé de la maîtresse de maison.
Un silence gêné ,puis je dois avouer qu’elle me surprit en me disant qu’elle trouvait mes regards insistants.
Je m’en tirais comme je pouvais avec un truc du genre « je préfères regarder les jolies femmes plutôt que d’écouter des conversations sans intérêt » . Après ce genre de phrases toute faites , il y a deux solutions où elle me plante là où elle reste et j’ai une chance.
Elle me sourit et rougit un peu , je continue donc mon approche de dragueur à deux euros , elle a l’air d’apprécier et j’apprend que la petite dame s’ennuie aussi dans la vie avec un mari absent absorbé par son travail et deux enfants sages et bien élevés.
Je remarque que le mari est en train de terminer son cigare et s’approche de nous ,et je glisse à la jolie boudeuse mon numéro de portable en lui disant que j’aimerai beaucoup reprendre cette conversation plus tard et je m’éclipse avant l’arrivée du mari .
En partant je jette encore un regard sur la petite dame qui cette fois me répond d’un sourire.
L’hôtesse des lieux ironise sur mon numéro de Don Juan de fin de banquet et c’est vrai que je me dis que tout cela n’ira sans doute pas plus loin.
J’avais oublié tout ça lorsque trois jours plus tard , elle m’appela , d’abord surpris , nous discutâmes un peu puis je lui fixais un rendez vous dans un café , elle refusa d’abord et je dus faire un exercice de haute voltige (voyons ça ne vous engage à rien, j’aime beaucoup discuter avec vous , etc …..) et finalement elle accepta.
Le jour dit j’arrivais un peu en avance afin de trouver une place discrète et isolée, elle avait un heure de retard et je commençais à flairer le lapin quand enfin elle arriva .
On aurait dit qu’elle avait fait exprès de s’habiller le moins sexy possible , une jupe longue grise , un chemisier boutonné jusqu’au cou et des chaussures plates (un vrai tue l’amour) je me disais que j’allais abréger la rencontre sous un prétexte quelconque mais un détail me fit rester , elle s’était maquillée (un peu trop d’ailleurs comme toutes les femmes qui ne se fardent pas souvent) et grand naïf que je suis j’en déduisit qu’elle cherchait quand même à me plaire .
Je la laissais parler d’elle , elle était intarissable , on sentait qu’elle n’avait pas discuté avec quelqu’un depuis très longtemps.
Au bout de deux heures , on se sépara en se promettant de se rappeler et audace ultime on se fit la bise.
En rentrant chez moi , je trouvais un message sur mon répondeur , c’était elle qui me remerciait pour cet après midi et qui espérait d’autres rendez vous.
Suivirent alors une série de sorties dans des musée improbables , des cafés chics où de longues promenades dans Paris.
La dame se livrait de plus en plus , et sa tenue était de moins en moins austère mettant en valeur des formes qui je le devinais s’annonçaient pleines de promesses.
Mais voilà, j’avais un problème comment faire évoluer la relation ; passer de l’amitié naissante qui semblait lui convenir à quelque chose qui moi me conviendrait.
Cet après midi je décidais de jouer mon va-tout , je profitais de la pluie pour proposer un ciné, ravie elle accepta me disant que cela faisait des années qu’elle n’y était pas allée sauf avec les enfants pour les éternels Walt Disney de fin d’année.
Mais j’avais prémédité mon coup et le film choisit n’avait qu’un très lointain rapport avec Mickey , je l’emmenai voir « la secrétaire » (pour ceux qui ne connaissent pas il s’agit de l’histoire d’une jeune fille mal dans sa peau qui devient la secrétaire d’un homme plutôt renfermé et leur relation évoluent lentement vers la soumission de la fille qui peu à peu s’épanouie ).
Je guettais les réactions de ma camarade pendant le film et je constatai avec plaisir qu’elle semblait fasciné , ce qu’elle me confirma autour d’un café après la projection.
Pour la première fois elle me fit des confidences sur sa vie intime , son mari qui ne la touchait plus , les rapports plan-plan et je me dis qu’enfin je trouvais l’ouverture.
Malheureusement elle déclina mon invitation à venir prendre un verre chez moi car elle devait rentrer.
Je regagnai mon appartement ne sachant plus quoi penser et me disant que décidément elle me voyait plus comme un ami que comme un futur amant (ça a toujours été mon problème).
Il se passa plusieurs jours quand un beau soir un message de la belle me fixant un rendez vous pour le lendemain me redonna espoir.
Je passais une matinée assez fébrile, allant même jusqu’à faire un peu de ménage.
Préparant les lieux, sortant les bougies, choisissant la musique, bref je créais l’ambiance.
Pour une fois elle était à l’heure et je ne fus pas déçu en ouvrant la porte.
Elle était différente , vêtue d’une robe beige assez moulante et s’arrêtant au dessus du genoux , de fines chaussures à talons et surtout elle avait laissé ses longs cheveux bruns et bouclés tomber en cascade sur ses épaules (bref elle était plutôt canon, ma petite bourgeoise).
Après un bref moment où je dus ressembler à un diabétique devant la vitrine d’un pâtissier, je m’effaçais pour la laisser entrer (et pour voir si le verso tenait les promesses du recto de la dame).
Elle semblait un peu tendue (moi aussi, mais pas au même endroit) ce qui me paru un bon signe.
Je lui fit visiter les lieux (quelqu’un peut il m’expliquer pourquoi on a cette manie lorsque l’on reçoit pour la première fois), puis nous passâmes au salon.
Elle s’assit dans le canapé ce qui eut pour effet de remonter sa robe sur ses jambes , instinctivement elle tira sur l’étoffe en me regardant (je devais ressembler au loup de Tex Avery).
Bon le plus dur reste à faire, je lui propose un café et profite de mon passage vers la cuisine pour démarrer la chaîne Hi-Fi qui laisse s’échapper une musique douce et sensuelle (enfin moi je trouve).
Je reviens avec le plateau et prend place à ses côtés sur le canapé.
Commence alors un étrange ballet , nous parlons de choses et d’autres en pensant à autre chose.
Je guette le moment opportun où enfin j’oserai et elle, elle doit se demander : Mais qu’est ce qu’il attend cet idiot !
Elle se penche pour poser la tasse sur la table basse et moi j’en profite pour frôler son dos et passer mon bras sur le dossier du canapé , ce qui a pour effet lorsqu’elle se rassoit normalement de nous rapprocher.
Sans un mot je passe ma main sur son visage et voyant qu’elle laisse aller sa joue je m’approche et l’embrasse (on dirait du Barbara Cartland).
Sauf que le baiser ! ! ! hou la la ! ! ! elle se jette sur ma langue comme un réfugié Haïtien sur l’aide humanitaire.
Bientôt, nous sommes l’un sur l’autre et moi je me bat avec la fermeture éclair de sa robe , puis avec l’attache du soutien gorge (je ne comprend pas qu’au XXI ème siècle on n’ait pas encore trouvé une solution à ce problème majeur) mais mon combat n’aura pas été vain , parce que je découvre deux jolis seins que je m’empresse de dévorer.
Elle aussi s’occupe, elle dégrafe ma chemise et commence à me lécher le torse à petits coups de langue.
Puis elle s’attaque à ma ceinture et se laisse glisser entre mes jambes .
Elle me surprend ma petite catho coincée, je ne perd pas une miette du spectacle . Elle est juste vêtue (pas pour longtemps) d’une petite culotte en train de me tailler la pipe du siècle.
Mes instincts pervers reprennent le dessus et je commence à lui sur appuyer sur la tête en l’encourageant de la voix , et ça marche ! Elle s’applique et démontre qu’elle sait faire autre chose avec sa langue que coller des timbres.
Moi, je n’y tiens plus , je la redresse et la fait asseoir sur moi la prenant en écartant sa culotte.
Elle est comme dans un état second , elle crie et s’empale en remuant son adorable petit cul.
Le docteur Jekyll que je suis se transforme en Mister Hide et je ne peux résister longtemps aux deux seins gonflés qui ballottent devant moi.
Je commence à les pétrir et à pincer les mamelons , ma douce amie ne se formalise pas et au contraire commence à avoir un drôle de regard (si vous avez vu l’exorciste vous me comprenez).
Je tire sur les tétons et commence à claquer les deux globes.
- Tu aimes ça Salope ? (là on s’éloigne peu à peu de Barbara Cartland).
Un oui murmuré accompagné d’une plainte à peine audible m’encourage.
Mes claques prennent de l’intensité , je lui fait pencher la tête en arrière en tirant sur ses cheveux et frappe méthodiquement chaque seins (pas de jaloux comme ça).
Je la relève en la tenant par les cheveux et l’oblige à se mettre à quatre pattes sur le tapis.
- Baisse ta culotte que je vois ton cul de chienne ! ! ! (amis de la poésie bonsoir )
La petite dame s’exécute et me dévoile enfin toute son intimité.
Je la prend violemment et commence à claquer ce cul offert.
Chaque coup a pour effet de la faire crier mais aussi de l’empaler plus profondément.
Je la tire par les cheveux et lui passe mes doigts dans la bouche.
- Suce les comme si c’était ma bite ! ! !
Pourquoi je dis ça , elle avait déjà compris la manœuvre et se met à lécher consciencieusement.
Son cul est de plus en plus rouge.
Je retire mes doigts de sa bouche et je la cambre en appuyant sur son dos.
Le spectacle qui se reflète dans un miroir opportunément placé face à la dame achève de libérer mes ardeurs.
Je commence à poser un de mes doigts à l’entrée de son anus tout en continuant à la limer.
Voyant qu’elle ne dit rien (et qui ne dit mot, consent) mon doigt s’insinue dans l’orifice.
- Tu aimes ça être prise par les deux trous ! ! !.
Bien que ce soit plus une affirmation qu’une question elle lâche un ; Oui baise moi ! ! !
Maintenant j’ai mis deux doigts et je la branle sans ménagement.
- Demandes moi de t’enculer ?
- Oui encules moi (je sais ça fait un peu cours d’anglais du style ‘ repeat after me’).
Moi je suis là pour rendre service, alors mon membre remplace mes doigts et la dame m’aide en écartant ses fesses avec les mains.
Bientôt je ne peux plus me retenir et je jouie dans ce cul de petite bourgeoise en l’agonisant d’insultes.
On reste là dans cette position pendant un moment puis je me retire.
Elle fais mine de se relever mais je l’en empêche en la plaquant sur le sol .
- Tu restes à quatre pattes le cul en l air comme la chienne que tu es.
Je m’assois sur le canapé et allume une cigarette en jouissant du spectacle.
Décidant de voir jusqu’où je peux aller trop loin, je pose le cendrier sur son dos et allonge mes jambes sur ses reins.
- Tu as aimé ça ?
- Oui soupire ma table basse ( ils n’ont pas ce modèle chez Ikéa ne rêvez pas).
- Pour commencer il va falloir te montrer plus respectueuse, et m’appeler Monsieur.
- Oui Monsieur.
Décidément cette fille a du potentiel.
Je termine ma clope et retire mes jambes de ce dos .
- Va te laver dans la salle de bain (j’ai compris pourquoi on fait visiter avant c’est pour éviter d’expliquer où se trouvent les différentes pièces après) et reviens vers moi vite.
Elle se relève un peu honteuse et se penche pour ramasser ses vêtements sur le sol.
- Je ne t’ai pas dit de te rhabiller .
Docile, elle se dirige nue vers la douche ce qui me permet d’admirer les traces rouges qui parcheminent son cul.
Dans ma tête je me repasse le film des événements et me dit que son retour dans le salon sera le dernier test.
Soit elle reprend son attitude de soumise soit elle reprend ses esprits se rhabille et bonsoir Clara.
L’attente est insoutenable (je sais j’exagère toujours).
Ma petite femelle réapparais bientôt et son regard ne laisse aucun doute.
- A genoux devant moi et vite.
Elle obéît.
- Prend ma queue dans la bouche mais ne bouge pas tu suceras quand je te le dirai.
- Oui Monsieur (elle apprend vite).
- Tu reviendras demain pour que je poursuive ton éducation et cette fois tu ne porteras rien sous ta robe.
- Oui répond t elle en ayant mon sexe dans la bouche (pour une fille bien élevée parler la bouche pleine est un signe qui ne trompe pas).
- Maintenant appliques toi et fais moi jouir dans ta bouche.
Arrivé à ce stade de l’histoire je vous épargne la description de la fellation (vous êtes assez grands pour imaginer), sachez cependant que je ponctuais les efforts de la belle suceuse de quelques coups de ceinture bien placés sur ce joli fessier ce qui avait pour effet d’arracher de petits cris à notre belle amie.
Docilement elle arriva bientôt au résultat escompté et avala tout sans rechigner poussant même le dévouement à nettoyer avec sa petite langue.
- Tu peux te rhabiller maintenant , laisse moi et n’oublies pas pour demain.
La belle partie , je me demandais si je n’avais pas été un peu trop loin et si je reverrai ma bourgeoise.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vivement la suite pour savoir qui manipule qui? le mec ou la nana qui paraît se livrer bien vite?
Mmmmmm ça donne envie
Même commentaires que ceux ci-dessus.
Je lirai la suite avec intérêt.
Je suis moi-même adepte des jeux BDSM en tant que soumis. Je me réjouis donc de voir la description et les réactions de Clara en connaisseur averti
Crabou
Aussi auteur sur ce site
Je lirai la suite avec intérêt.
Je suis moi-même adepte des jeux BDSM en tant que soumis. Je me réjouis donc de voir la description et les réactions de Clara en connaisseur averti
Crabou
Aussi auteur sur ce site
Voilà qui commence de manière engageante !
vraiment sympa, vivement la suite.
Bien écrit, j'aime bien le " repeat after me"
Très bien....
J’aime beaucoup le style qui me fait pensé à tonino benaquista
Bref même si c’est une peu rapide et j’espere Que la partie suivante soit plus douce pour expliquer la descente d’une boirgeoose ingénue en une salope soumise ...
Bref même si c’est une peu rapide et j’espere Que la partie suivante soit plus douce pour expliquer la descente d’une boirgeoose ingénue en une salope soumise ...
Début prometteur vivement la suite
vivement une suite pour voir ou peut elle aller