Initiation d'une sainte nitouche 5

- Par l'auteur HDS Lipa94 -
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Initiation d'une sainte nitouche 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Initiation d'une sainte nitouche 5
Bon inutile de préciser qu’il ne va plus rien se passer dans ce club, la dame est trop occupée à discuter avec le maitre des lieux et je décide de me casser.
Entre les travaux du tramway, les couloirs de bus, les mecs garés en double file, les camions poubelles qui ramassent les ordures et les automobilistes qui ont oublié l’usage du clignotant, cela ressemble de plus en plus à la roulette russe de rouler en scooter dans Paris.
Votre serviteur, harnaché comme les preux chevaliers du moyen âge essayait de se frayer un chemin pour rentrer chez lui.
Cela faisait un petit moment que j’avais remarqué une mini Morris qui à chaque feu rouge ne supportait visiblement pas que je démarre plus vite qu’elle et qui me collait systématiquement, faisant ressembler chaque démarrage au départ d’un grand prix de F1.
Ce qui devait arriver, arriva, et lors d’un départ un peu plus hasardeux que les précédents je me retrouvais projeté de mon fier destrier et assis dans le caniveau.
Le conducteur de la mini se gara et le temps de reprendre mes esprits je réalisais que comme on pouvait s’y attendre le conducteur était en fait une conductrice (avant de me faire taxer de macho qui balance des clichés sur les femmes au volant je tiens à préciser que la connerie ne faisant aucune distinction de sexe, couleur ou religion, le fait que ce soit une dame est juste là pour la suite de l’histoire) Donc de ma position (le cul dans le caniveau) je vis d’abord une paire de jambes courtes vêtues et en levant le regard je remarquais qu’elles appartenaient à une petite dame plutôt bien mise et assez énervée.
La dame commença à m’engueuler copieusement, rejointe en cela par un retraité à caniche qui balança son couplet sur les racailles en scooter ( encore un qui regarde trop BFM ).
Moi je suis du genre calme et donc j’essaye de reprendre une position moins ridicule et me relevant je retire mon casque.
La petite dame change alors d’attitude (non pas qu’elle fut frappée par ma fulgurante beauté, je suis lucide quand même), le fait que le sauvageon soit un homme mur (joli euphémisme pour ne pas dire vieux) et la domine (non pas encore dans ce sens-là) de deux têtes , calma le jeux.
Je jetai un regard lourd sur le papy homologué RN qui prit son caniche sous le bras et s’éloigna en maugréant.
Ma nouvelle copine se confondit en excuses, m’expliquant qu’elle téléphonait et qu’elle ne m’avait pas vu.
Moi je commençais à avoir plusieurs idées malsaines dans mon cerveau malade et me dit que je donnerai bien une leçon à cette petite conne (en plus dans ma galerie de fantasmes, j’ai toujours associé les nanas en mini Morris à des bourgeoises salopes).
Je lui décoche mon sourire 32 bis et propose d’aller calmement faire le constat autour d’un café. (j’ai oublié de préciser que mon fier destrier n’est plus du tout fringant et que même, je lui trouve un drôle de genre, assez proche des compressions du regretté César ).
La donzelle accepte sans difficulté et nous voilà attablés au bar du d’un Novotel ouvert à cette heure matinale.
Là elle me fait son grand numéro de charme, croisant et décroisant ses jambes , jouant avec ses cheveux , etc.… Je ne suis pas très futé mais je sais reconnaître une ouverture quand elle se présente et devine que la dame échangerait bien un constat à l’amiable contre un constat en nature.
Mais ne brusquons pas les choses (je ne suis pas un homme facile) et j’emmènes la conversation sur sa vie, son œuvre , ce qui déclenche un moulin à paroles (parlez-moi de moi y a que ça qui m’intéresse…) et j’apprends que la pauvre chérie à une boutique de lingerie ( ce qui s’appelle poser des jalons pour la suite du récit) et qu’elle ne s’en sort pas (je ne sais pas pour vous, mais moi la litanie du pauvre entrepreneur étranglé par les charges et par des employés qui ne veulent plus rien foutre , ça me gonfle prodigieusement....) Mais je laisse ma militante du MEDEF (ce qui veut dire ; Même En Dormant j’Engrange du Fric) s’exprimer sur la conjoncture en sirotant mon café.
Bon on ne va pas y passer la journée et je décide d’entrer dans le vif du sujet (pour l’instant cela doit d’entendre au sens figuré).
Je prends une voix pleine de compassion et hypocritement (je suis super fort pour ça…) et propose à notre petite commerçante un arrangement plus en rapport avec mes préoccupations fantasmatiques (des fois je m’étonne de mes tournures de phrases…).
Elle fait la mijaurée mais ses réticences étant accompagnées d’un sourire et d’un Xème croisement de guibolles , il ne faut pas longtemps pour la convaincre de me suivre dans une des chambres attenantes au bar.
A peine la porte refermée, notre petite salope s’approche de moi et commence à vouloir m’embrasser.
Seulement moi j’ai d’autres plans.
Je lui prends fermement les bras, l’éloigne de moi et la fixe dans les yeux.
- OK pour passer l’éponge mais il va falloir plus qu’un câlin ma chérie….
Elle me regarde avec à peu près autant de vivacité dans le regard que les candidats de la télé réalité.
Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits (vu la quantité je dois aller vite)- Commence par enlever ton tailleur et montre-moi que je n’ai pas tort de perdre mon temps avec toi.
Je ne vous raconte pas le regard qu’elle me lance, mélange d’incompréhension et de colère.
Mais je ne me démonte pas et m’assoit sur un fauteuil laissant notre nouvelle amie plantée au milieu de la pièce.
- Alors tu attends quoi ? je n’ai pas que ça a faire (en fait, j’ai que ça à faire et si je dis que la dame sort en claquant la porte vous allez me lyncher…)Son attitude a quelque peu changé et je la sens beaucoup moins sure de ses charmes.
Elle commence à déboutonner sa veste et me dévoile un ravissant soutient gorge qui donne envie de mordre dans les fruits qu’il protège.
Elle doit s’apercevoir de mon trouble car elle me fixe avec un air de défi qui ne me plait pas du tout.
- Dépêche-toi j’ai dit et baisse la tête.
La jupe rejoint la veste sur le sol et la petite conductrice se retrouve face à moi harnachée comme pour un défilé de Victoria ‘s Secret (célèbre marque de lingerie pour les ignorants).
Je lui ordonne de se retourner, de se pencher en avant, d’écarter les jambes et d’ouvrir ses fesses à deux mains (si vous le voulez bien…) enfin la routine quoi.
La demoiselle s’exécute avec une docilité surprenante et moi je profite du spectacle.
Je décide alors de passer aux choses sérieuses (d’autant plus que je commence à me sentir à l’étroit dans mon caleçon.)- Retire ton soutif et met toi à quatre pattes sur le lit jambes ouvertes.
Sans un mot elle obéit et si je n’étais pas un incurable pervers je lui sauterai dessus, mais bon je me calme et m’approche d’elle.
Je lui appuie sur le dos de façon à ce que sa tête soit posée sur le lit et que son ravissant petit cul soit encore plus offert.
Je lui prends les bras et lui dispose les mains derrière la nuque, je remarque qu’elle tremble un peu se demandant qu’elle va être la suite.
Je commence par caresser les fesses, m’égarant parfois entre les cuisses et jouant avec l’étoffe du string que je fais entrer dans son intimité (pour ceux qui trouve que ce n’est pas assez hard, je traduis « je malaxe son cul et enfonce son string dans sa chatte » ).
Instinctivement, elle s’ouvre et pousse un petit soupir.
- Je vois que tu aimes ça salope (je sais le récit va peu à peu perdre de sa tenue…..) Elle ne répond pas mais sursaute lorsque n’y tenant plus je lâche une claque cinglante sur le joli postérieur offert (je claque son gros cul si vous préférez …).
Malgré tout elle reste en position et je commence à lui administrer la fessée homologuée LIPA(Alternance de coups forts et légers, fruits de plusieurs années d’entraînement).
Parfois je m’interromps pour vérifier que notre victime apprécie la chose (suis pas un boucher quand même) le taux d’humidité vaginale étant proportionnel à l’intensité de la fessée je décide de poursuivre la mise en train (Pas très excitante comme phrase, ça a un petit côté scientifique tue-l ’amour, mais je ne suis pas mécontent d’avoir réussi à la placer…)La douleur sans plaisir n’étant que l’apanage des esprits primaires (si je vous emmerde avec mes phrases, il ne fallait pas commencer à lire…) j’enfonce mes doigts dans le sexe de la dame puis peu à peu dans son petit trou tout en continuant à lui claquer les fesses avec l’autre main (ce qui demande une certaine dextérité…).
Tout ce que je peux dire c’est que notre petite commerçante n’a rien contre la grande distribution (comprennes qui voudra) et qu’elle commence à m’encourager de la voix.
N’aimant pas trop les effusions je lui retire son string et lui fourre dans la bouche (va pas m’empêcher de me concentrer cette conne ! ! !) et en profite lâchement pour lui mettre deux doigts dans chaque orifice, ce qui a pour effet de l’énerver encore plus.
Je retire ma main et d’un ton sans réplique lui ordonne de se mettre sur le dos.
La rapidité avec laquelle elle obtempère me fait comprendre qu’elle apprécie désormais la situation.
J’essuie ma main sur ses seins en profitant au passage pour pincer les tétons ce qui déclenche un petit cri très prometteur.
Je lui retire ses bas et m’en sert pour lui fixer les bras aux barres du lit (c’est mon côté Mac Gyver) les pieds suivent le même traitement grâce aux cordons des doubles rideaux de la chambre.
Je me relève du lit et en profite pour retirer mon pantalon (où j’ai grossi ou alors elle m’émeut parce que je me sentais quelque peu engoncé) .
Je m’assois à califourchon sur le ventre de la dame et commence à jouer avec les seins de ma captive, (on commence par caresser lentement, puis plus fermement, on titille les pointes avant de les pincer, pour terminer par quelques claques bien dosées qui vont ballotter l’ensemble) ;Dire que ça lui fait de l’effet est en dessous de la vérité, je ne sais trop comment elle a réussie à recracher le string et elle commence à sortir des trucs du genre « donne-moi ta bite…… », je ne supporte pas la vulgarité chez une femme (et oui je suis d’une génération qui a encore des principes à la con) et je balance une claque sur sa jolie frimousse.
Au lieu de la calmer elle en redemande et comme j’adore rendre service je commence à baffer notre petite commerçante (comme ça je venge tous les clients victimes des prix exorbitants et du manque d’amabilité de rigueur dans ces officines).
La suite est d’un classique à pleurer, je passe donc sur la fellation forcée, le léchage des burnes et d’autres parties moins nobles, ainsi que sur les diverses pénétrations anales et vaginales (on dirait un compte rendu médical…)Toujours est-il que je ne regrettais pas l’état désastreux de mon scooter et que la dame se montra à la hauteur de mes attentes.
Je fis un passage express dans la salle de bain et revins habillé, jouir du spectacle de ma copine toujours attachée sur le lit.
Elle me supplia de la délivrer mais moi je suis un pervers et au lieu de satisfaire sa demande je lui bandais les yeux et comble de l’ironie je lui enfonçais le constat dans la bouche avant de sortir en laissant la porte de la chambre entrouverte.

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