Initiation homosexuelle 1
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation homosexuelle 1
Initiation homosexuelle 1
Cela s'est passé il y une cinquantaine d'années, la préhistoire pour nos ados. Il n'y avait ni internet, ni téléphone portable ni même le minitel que certains ont connu.
Une révolution venait de se produire, le président Valery Giscard d'Estaing voulant apparaître comme moderne ouvert et libéral venait d'autoriser la projection de film pornographique au plus de dix huit ans. La majorité restant à vingt et un ans.
Il n'y avait pas de magnétoscope dans les foyers et pas de K7 VHS.
Le nombre de salle de cinéma projetant des films X a explosé. On venait de toute l'Espagne pour voir des films à Perpignan.
Beaucoup de couples mariés y allaient par curiosité, mode, pour réveiller une libido assoupie ou pour s'initier au libertinage aussi.
Dès mes dix huit ans, je me mis à fréquenter ces salles.
On voyait quelquefois des couples se rapprocher. On devinait aussi des attouchements osés sous le manteau mais rien de vraiment répréhensible.
La plupart des spectateurs était des hommes de tous les âges, de toute condition. Le plus souvent il se paluchait dans le pantalon en se finissant le soir à la maison.
J'avais remarqué le manège de certains qui se plaçaient debout au fond de la salle derrière la dernière rangée dans une semi obscurité et pantalon baissé se masturbaient ouvertement.
D'autres le faisaient aux toilettes devant les urinoirs sans séparation. Parfois une main secourable prenait le relais.
A cette époque, l'homosexualité était interdite et les rapports se faisaient en cachette.
Une fois, il m'était arrivé une drôle expérience : après un jogging, un camarade et moi nous étions allongés sur des aiguilles de pin, à bout de souffle. Il m’avait alors baisser le short et pris ma bite entre ses doigts sans un mot. il m'a caressé puis embrassé toujours sans un mot. J'étais très excité et honteux. Cela ne s'est jamais reproduit.
Je pense qu'il avait remarqué les regards appuyés sur mes camarades les plus musclés et les plus fins, les slips les plus prometteurs. J'avais en quelque sorte été démasqué.
Toujours est-il que j'étais fasciné par les performances des acteurs et les mensurations de leurs bites.
Je m'imaginais à la place des actrices offrant mes orifices. Je n'osais aller plus loin que regarder jusqu'au jour où j'ai accepté de suivre celui qui allait prendre ma virginité.
Il avait les mains fines, une belle moustache, des yeux clairs et le double de mon âge.
Il habitait dans un immeuble cossue du quartier un appartement avec deux entrées.
Nous avons pénétré dans ce qui devait être sa garçonnière aux tissus chatoyants, des lumières tamisées, des statuettes d'éphèbes grecs, un grand lit rond. Il m'a contemplé, embrassé, caressé.
Sa langue me remplissait la bouche, sa moustache me chatouillait. Il m'a laissé et il est revenu nu dans un peignoir en soie.
Je me suis déshabillé et il m'a étendu sur le grand lit rond. Il m'a embrassé de partout, il a sucé mes tétons puis est descendu et a fini par prendre mon sexe dans sa bouche. Un véritable bonheur de sentir ma verge coulisser lentement jusqu'à sa gorge de sentir sa langue sur mon gland. Il s'est mis en position tête bêche de telle sorte que j'ai pu attraper sa verge fine et dure, légèrement recourbée et suçoter son gland.
Je lui ai fait signe d'arrêter sa fellation car j'allais jouir. Il m'a à nouveau embrassé puis il m'a léché l'anus. J'ai compris qu'il allait me dépuceler et j'en avais très envie.
Sa langue sur ma rosette était sublime puis il a pris du gel d'un tube KY. Référence à l'époque et le froid a succédé à la chaleur de sa bouche.
Il a glissé un premier doigt profondément et j'ai trouvé la sensation agréable puis un second qu'il faisait tourner et qui venait sans doute caressé ma prostate. Aucune douleur, aucune appréhension.
Puis il a présenté sa verge tendue, j'avais les fesses tournées vers lui, la tête dans les bras.
J'ai bien senti la différence. Il a stoppé quand j'ai gemi. Il a remis du gel et il m'a pénétré tres facilement de toute sa longueur. Il a accéléré et jouit dans mon fondement. Quand je me suis relevé. J'avais répandu une quantité de sperme impressionnante sous moi.
A l'époque le SIDA n'existait pas et les capotes confidentielles réservées aux bordels pour militaires.
Nous nous sommes lavés dans sa baignoire, en fait il m'a lavé et il a introduit une canule pour effacer toute trace de nos ébats.
Puis je me suis sauvé vu l'heure tardive pour rentrer chez moi et j'ai compris que j'étais devenu addict de la sodomie.
A suivre.
Cela s'est passé il y une cinquantaine d'années, la préhistoire pour nos ados. Il n'y avait ni internet, ni téléphone portable ni même le minitel que certains ont connu.
Une révolution venait de se produire, le président Valery Giscard d'Estaing voulant apparaître comme moderne ouvert et libéral venait d'autoriser la projection de film pornographique au plus de dix huit ans. La majorité restant à vingt et un ans.
Il n'y avait pas de magnétoscope dans les foyers et pas de K7 VHS.
Le nombre de salle de cinéma projetant des films X a explosé. On venait de toute l'Espagne pour voir des films à Perpignan.
Beaucoup de couples mariés y allaient par curiosité, mode, pour réveiller une libido assoupie ou pour s'initier au libertinage aussi.
Dès mes dix huit ans, je me mis à fréquenter ces salles.
On voyait quelquefois des couples se rapprocher. On devinait aussi des attouchements osés sous le manteau mais rien de vraiment répréhensible.
La plupart des spectateurs était des hommes de tous les âges, de toute condition. Le plus souvent il se paluchait dans le pantalon en se finissant le soir à la maison.
J'avais remarqué le manège de certains qui se plaçaient debout au fond de la salle derrière la dernière rangée dans une semi obscurité et pantalon baissé se masturbaient ouvertement.
D'autres le faisaient aux toilettes devant les urinoirs sans séparation. Parfois une main secourable prenait le relais.
A cette époque, l'homosexualité était interdite et les rapports se faisaient en cachette.
Une fois, il m'était arrivé une drôle expérience : après un jogging, un camarade et moi nous étions allongés sur des aiguilles de pin, à bout de souffle. Il m’avait alors baisser le short et pris ma bite entre ses doigts sans un mot. il m'a caressé puis embrassé toujours sans un mot. J'étais très excité et honteux. Cela ne s'est jamais reproduit.
Je pense qu'il avait remarqué les regards appuyés sur mes camarades les plus musclés et les plus fins, les slips les plus prometteurs. J'avais en quelque sorte été démasqué.
Toujours est-il que j'étais fasciné par les performances des acteurs et les mensurations de leurs bites.
Je m'imaginais à la place des actrices offrant mes orifices. Je n'osais aller plus loin que regarder jusqu'au jour où j'ai accepté de suivre celui qui allait prendre ma virginité.
Il avait les mains fines, une belle moustache, des yeux clairs et le double de mon âge.
Il habitait dans un immeuble cossue du quartier un appartement avec deux entrées.
Nous avons pénétré dans ce qui devait être sa garçonnière aux tissus chatoyants, des lumières tamisées, des statuettes d'éphèbes grecs, un grand lit rond. Il m'a contemplé, embrassé, caressé.
Sa langue me remplissait la bouche, sa moustache me chatouillait. Il m'a laissé et il est revenu nu dans un peignoir en soie.
Je me suis déshabillé et il m'a étendu sur le grand lit rond. Il m'a embrassé de partout, il a sucé mes tétons puis est descendu et a fini par prendre mon sexe dans sa bouche. Un véritable bonheur de sentir ma verge coulisser lentement jusqu'à sa gorge de sentir sa langue sur mon gland. Il s'est mis en position tête bêche de telle sorte que j'ai pu attraper sa verge fine et dure, légèrement recourbée et suçoter son gland.
Je lui ai fait signe d'arrêter sa fellation car j'allais jouir. Il m'a à nouveau embrassé puis il m'a léché l'anus. J'ai compris qu'il allait me dépuceler et j'en avais très envie.
Sa langue sur ma rosette était sublime puis il a pris du gel d'un tube KY. Référence à l'époque et le froid a succédé à la chaleur de sa bouche.
Il a glissé un premier doigt profondément et j'ai trouvé la sensation agréable puis un second qu'il faisait tourner et qui venait sans doute caressé ma prostate. Aucune douleur, aucune appréhension.
Puis il a présenté sa verge tendue, j'avais les fesses tournées vers lui, la tête dans les bras.
J'ai bien senti la différence. Il a stoppé quand j'ai gemi. Il a remis du gel et il m'a pénétré tres facilement de toute sa longueur. Il a accéléré et jouit dans mon fondement. Quand je me suis relevé. J'avais répandu une quantité de sperme impressionnante sous moi.
A l'époque le SIDA n'existait pas et les capotes confidentielles réservées aux bordels pour militaires.
Nous nous sommes lavés dans sa baignoire, en fait il m'a lavé et il a introduit une canule pour effacer toute trace de nos ébats.
Puis je me suis sauvé vu l'heure tardive pour rentrer chez moi et j'ai compris que j'étais devenu addict de la sodomie.
A suivre.
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