Initiation homosexuelle 2 et fin
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation homosexuelle 2 et fin
Initiation homosexuelle 2 et fin
Je suis devenu un addict de ces cinémas X qui , se sont progressivement mutés en lieux de rencontre puis de consommation homosexuelle.
Entre midi et deux à l'heure du repas et aussi de cinq à sept en général. Ils étaient aussi très fréquentés le week end et encore plus par mauvais temps.
Je me mis à arpenter ces lieux. Je m'installais un peu à l'écart et je faisais mine d'être captivé par le film.
Invariablement, un ‘’vieux" venait à côté de moi. Soit il exhibait une belle verge en érection pour que je vienne le sucer et je me le faisais pas dire deux fois, je m'empressais de fondre sur l'engin. Au bout de quelques minutes, il arrivait que je sois plié sur le dossier de devant et pénétrer illico.
Souvent, mon baiseur était un immigré célibataire en manque bien échauffé par le film ou un père de famille frustré, excité par les sodomies sur grand écran qui me bourraient quelques secondes avant d'éjaculer et de se sauver honteusement.
Le film ‘’dernier tango à Paris" avec Marlo Brando avait mis la sodomie à la mode mais peu de couples la pratiquaient à la maison.
Soit une main m'attrapait la verge puis baissait mon short et une bouche m'avalait. Il n'était pas rare qu'une queue s'approche de la mienne. Nous finissions en trio où je donnais mon cul à l'un ou l'autre. Nos gémissements étaient couverts par ceux de la bande son du film, ce qui nous encourageait.
J'ai passé comme ça des après midis humides.
Il arrivait aussi que j'attendais, accoudé sur les dossiers de la dernière rangée, le pantalon de jogging informe sur mes baskets, qu'une main vienne me palper le cul, me saisir la bite, me doigter la rondelle.
Je tendais les fesses ostensiblement. Puis je me servais de mes mains pour évaluer la raideur de mon partenaire. Je sentais son haleine, son corps contre mon dos.
Il m'est arrivé d'être ainsi pénétré , sinon je me retournais, m'abaissais pour entamer une fellation. Si à mes débuts, j'adorais sentir une verge durcir sous ma langue, le plaisir n'était plus le même avec une bite encapuchonnée car rapidement , l'usage de la capote s'est répandue, facilitant aussi la lubrification et la pénétration anale mais détestable en bouche .
La fellation est devenue obligatoire pour permettre une érection qui tienne le temps de la pose du préservatif. La durée du coït, elle, a eu tendance à augmenter pour le plus grand bonheur du sodomisé, en l'occurrence, moi-même .
J'ai été aussi un enculeur mais cela pour faire plaisir… pénétré un cul pour être pénétré à mon tour.
Est arrivée la dépénalisation, le minitel, les radios libres et le Sida mais aussi la prolifération des sex shop.
Les K7 vidéos faisaient la part belle à la sodomie mais souvent les clients recherchaient une bouche généreuse tout en continuant à regarder l'écran de télévision.
Certains avaient une petite salle de cinéma qui permettait de voir une programmation pour un tarif modeste. Il y avait même des films bisexuels et carrément gay dans certaines salles.
Devenu plus expert, je m'enhardissais à m'assoir à côté du quidam puis à poser ma main sur sa braguette. Il m'est arrivé que le type refuse et aille s'assoir plus loin. Il est arrivé aussi que quelques minutes plus tard, il revienne….
Après avoir défait, sa ceinture, je commençais une masturbation dans les règles puis je lui proposais d'aller dans une cabine vide.
Mais le plus souvent un gars visionnait un film sans intérêt en se paluchant dans une cabine, porte ouverte. C'était le signal pour être vu mais surtout pour accueillir un invité.
Si le quidam était déjà en érection, je lui posais moi-même le condom avec la bouche puis je m'asseyais sur lui. Pour cela, il me fallait un bon gabarit mais je pouvais doser le rythme et la profondeur du mouvement. J'adorais cette position.
Mon partenaire exprimait parfois le désir de se relever et de me prendre debout. L'exercice était parfois difficile dans ce lieu si exigu mais la proximité des autres cabines fréquentées, les bruits , les gémissements couvraient nos ébats et nous excitaient aussi. J'ai beaucoup jouis de la sorte grâce à l'ambiance et la durée. Mais encore plus important, je pouvais multiplier les rencontres, parfois cinq ou six dans l'après midi.
J'avais l'avantage de ma jeunesse, mes cheveux longs, les pantalons à pattes d'eph. bien serrés sur les fesses et mes cheveux longs.
La communauté gay s'est organisée, les saunas se sont multipliés puis internet.
Une nouvelle ère commençait mais mon récit s'achève ici.
Je suis devenu un addict de ces cinémas X qui , se sont progressivement mutés en lieux de rencontre puis de consommation homosexuelle.
Entre midi et deux à l'heure du repas et aussi de cinq à sept en général. Ils étaient aussi très fréquentés le week end et encore plus par mauvais temps.
Je me mis à arpenter ces lieux. Je m'installais un peu à l'écart et je faisais mine d'être captivé par le film.
Invariablement, un ‘’vieux" venait à côté de moi. Soit il exhibait une belle verge en érection pour que je vienne le sucer et je me le faisais pas dire deux fois, je m'empressais de fondre sur l'engin. Au bout de quelques minutes, il arrivait que je sois plié sur le dossier de devant et pénétrer illico.
Souvent, mon baiseur était un immigré célibataire en manque bien échauffé par le film ou un père de famille frustré, excité par les sodomies sur grand écran qui me bourraient quelques secondes avant d'éjaculer et de se sauver honteusement.
Le film ‘’dernier tango à Paris" avec Marlo Brando avait mis la sodomie à la mode mais peu de couples la pratiquaient à la maison.
Soit une main m'attrapait la verge puis baissait mon short et une bouche m'avalait. Il n'était pas rare qu'une queue s'approche de la mienne. Nous finissions en trio où je donnais mon cul à l'un ou l'autre. Nos gémissements étaient couverts par ceux de la bande son du film, ce qui nous encourageait.
J'ai passé comme ça des après midis humides.
Il arrivait aussi que j'attendais, accoudé sur les dossiers de la dernière rangée, le pantalon de jogging informe sur mes baskets, qu'une main vienne me palper le cul, me saisir la bite, me doigter la rondelle.
Je tendais les fesses ostensiblement. Puis je me servais de mes mains pour évaluer la raideur de mon partenaire. Je sentais son haleine, son corps contre mon dos.
Il m'est arrivé d'être ainsi pénétré , sinon je me retournais, m'abaissais pour entamer une fellation. Si à mes débuts, j'adorais sentir une verge durcir sous ma langue, le plaisir n'était plus le même avec une bite encapuchonnée car rapidement , l'usage de la capote s'est répandue, facilitant aussi la lubrification et la pénétration anale mais détestable en bouche .
La fellation est devenue obligatoire pour permettre une érection qui tienne le temps de la pose du préservatif. La durée du coït, elle, a eu tendance à augmenter pour le plus grand bonheur du sodomisé, en l'occurrence, moi-même .
J'ai été aussi un enculeur mais cela pour faire plaisir… pénétré un cul pour être pénétré à mon tour.
Est arrivée la dépénalisation, le minitel, les radios libres et le Sida mais aussi la prolifération des sex shop.
Les K7 vidéos faisaient la part belle à la sodomie mais souvent les clients recherchaient une bouche généreuse tout en continuant à regarder l'écran de télévision.
Certains avaient une petite salle de cinéma qui permettait de voir une programmation pour un tarif modeste. Il y avait même des films bisexuels et carrément gay dans certaines salles.
Devenu plus expert, je m'enhardissais à m'assoir à côté du quidam puis à poser ma main sur sa braguette. Il m'est arrivé que le type refuse et aille s'assoir plus loin. Il est arrivé aussi que quelques minutes plus tard, il revienne….
Après avoir défait, sa ceinture, je commençais une masturbation dans les règles puis je lui proposais d'aller dans une cabine vide.
Mais le plus souvent un gars visionnait un film sans intérêt en se paluchant dans une cabine, porte ouverte. C'était le signal pour être vu mais surtout pour accueillir un invité.
Si le quidam était déjà en érection, je lui posais moi-même le condom avec la bouche puis je m'asseyais sur lui. Pour cela, il me fallait un bon gabarit mais je pouvais doser le rythme et la profondeur du mouvement. J'adorais cette position.
Mon partenaire exprimait parfois le désir de se relever et de me prendre debout. L'exercice était parfois difficile dans ce lieu si exigu mais la proximité des autres cabines fréquentées, les bruits , les gémissements couvraient nos ébats et nous excitaient aussi. J'ai beaucoup jouis de la sorte grâce à l'ambiance et la durée. Mais encore plus important, je pouvais multiplier les rencontres, parfois cinq ou six dans l'après midi.
J'avais l'avantage de ma jeunesse, mes cheveux longs, les pantalons à pattes d'eph. bien serrés sur les fesses et mes cheveux longs.
La communauté gay s'est organisée, les saunas se sont multipliés puis internet.
Une nouvelle ère commençait mais mon récit s'achève ici.
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