Initiation libertine d’un couple ami - histoire érotique

Cela doit être le destin. Allors que Chrystèle et Léopold avaient décidé de faire une pause libertine après leur rentrée des classes, l’occasion de ressortir en club se présenta inopinément quelques semaines plus tard. Lors d'un dîner chez des amis tout sf libertins. Quatre couples étaient là, dont les hôtes, Birgit et Wilhem, un couple d'Allemands installé à Paris avec lequel ils avaient sympathisé il y a plus d'une dizaine d'années. Elle n'était pas très grande mais incroyablement sexy avec sa grande bouche, ses cheveux blonds et son décolleté assumé. Il n'était pas non plus très grand mais également très sexe. Chrystèle s'était souvent demandé ce qu'il valait au lit. Quant à Léopold, Birgit l'avait quasiment violé il y a quelques années et c'était un secret bien gardé entre eux.
« Vous êtes déjà allés en club échangiste ? » Birgit aurait voulu laisser un blanc dans la conversation qu'elle n'aurait pas mieux fait. Les trois couples se regardaient en chiens de faïence sans réagir. A la surprise générale ce fut Chrystèle, la présumée timide de la troupe, qui reprit la balle au bon : « Non mais j'adorerais ». Stupéfait, Léopold articula un petit « Tu crois » avant que Birgit renchérisse : « Nous on ne connaît pas non plus mais on aimerait en visiter un vendredi soir. Vous venez avec nous? » Les deux autres couples dirent que non en rigolant jaune et Léopold essaya de rigoler une fois dans la voiture : « Elle nous a bien eu. C'est une blague j'en suis sûr. Qu’est-ce qui t’a pris de répondre qu’on voulait y aller. Tu imagines si on rencontre des couples qu’on connaît là-bas. Ils vont vite comprendre qu’on est libertins depuis un certain temps déjà. » Un an en fait. Un an que Chrystèle, son mètre 75, sa peau satinée, son 95C et ses jambes immenses et son compagnon, Léopold, 1 m 80 assez banal, mince et glabre, balade leur petite trentaine d’années dans tous les lieux les plus chauds de la capitale. Et au-delà. Au Cap.
Quel donc ne fut pas la surprise de Lépold le vendredi soir de voir Chrystèle en train de s'apprêter. Elle porte un corset couleur or ultra sexy, qui met ses seins en valeur, qu'il n'avait encore jamais vu et qu'elle lui demanda de lui lacer : « On ne fera rien ce soir, c'est juste pour voir mais j'ai envie de me sentir belle, tu comprends.
- Et c'est aussi pour ça que tu t'es rasée la chatte ? Tu ne crois pas que nos amis vont être surpris.
- Dans les clubs c'est quasiment obligatoire, tu le sais bien, je ne veux pas dénoter.
- Mais tu comptes être nue devant nos amis.
- Il faudra bien si tu m'honores... » Elle lui caresse le sexe et il se sent pousser des ailes.
Birgit et Wilhem sont bien là à les attendre dans un café café à l'angle du club tout près des Champs-Elysées que connaissent bien Chrystèle et Léopold pour y avoir déjà vécu des soirées tumultueuses. Dont leur première il y a tout juste un an. Le cadre est toujours très joli en sous-sol après que Chrystèle ait reçu un coup d’œil complice du beau Noir qui filtre l’entrée et l’accueille toujours avec gentillesse. « Il t’a souri, je ne rêve pas », demande Birgit. « Je dois lui plaire », s’amuse Chrystèle.
Les femmes sont sexy, les hommes pas toujours jeunes mais certains « valent le détour » disent les deux femmes à leurs maris en buvant leur première coupe de champagne. Ils ne purent s'empêcher de dire qu'il y avait aussi plein de belles femmes. « Oui, mais vous ne les touchez pas. Comme nous, on regarde juste », rit Wilhem, habillé tout en noir comme Léopold. Chrystèle semble très sage dans une robe jaune ajustée sans manche qui couvre encore largement sa poitrine. Birgit est plus sexy avec un haut très décolleté sur sa poitrine, pas très imposante, mais charmante et une mini jupe très très mini.
Trois coupes de champagne plus tard, les sens de ces dames plus exacerbés par l’alcool et les regards égrillards – plus quelques attouchements – de leurs compagnons respectifs - , ils décident de s'enfoncer dans le méandre des coins câlins. Un spectacle qui les excite vite, surtout Léopold qui entreprend de déshabiller Chrystèle sous les yeux épatés de l’autre couple.
Peu après elle le suce et il la prend en levrette devant une grille ouverte. Il s'applique à la faire jouir, elle les yeux fermés, quand il se rend compte qu'un homme lui caresse les seins au travers de la grille. Et elle ne dit rien... semble même apprécier. Une minute plus tard il est encore plus surpris de voir le même homme, un grand brun très classe d'une cinquantaine d'années, sortir son sexe et lui enfourner dans la bouche. Et elle le suce avec avidité, totalement soumise. L'excitation de Léopold était telle qu'il ne tarde plus à jouir. Devant lui Chrystèle reste là, offerte. L'homme fait le tour et s'approche d'eux, demande un « pardon, je peux » à Léopold avant de s'enfoncer d'une traite dans Chrystèle. Et il l'entend feuler, il le voir prendre ses seins, agripper ses fesses, la fesser gentiment, la baiser comme il ne l'a jamais fait. « Tu aimes ça salope. - Oui, oui. » Il hallucine, devant Birgit et Wilhem qui ne ratent rien du spectacle mais n’ont rien fait et lui lancent un : « On va vous laisser, bonne fin de soirée ».
Enfin l'homme jouit et se retourne ravi : « Votre femme est une salope de première. Venez je vous offre à boire ». Chrystèle a même du mal à avancer tant elle a joui mais c’est bien elle qui dit à Léopold qu'ils vont le suivre.
A sa table il y a deux couples, la quarantaine, enfin en moyenne, de très belles femmes dans la trentaine et des hommes plus âges. Tous semblent bien installés dans la vie et ne se privent pas de complimenter Chrystèle sur sa plastique. « Elle a des seins de rêve », renchérit leur initiateur du soir qui dit se nommer Pierre, qui ajoute « Et elle suce divinement ». Autant Chrystèle semble à l'aise en cette compagnie, autant Léopold se demande ce qu'il fait là. Ils n’ont pas trop l’habitude de se faire accoster par d’autres couples. « Voulez-vous finir la nuit chez nous ? », propose Pierre après avoir bu encore quelques coupes de champagne. « On finira la nuit agréablement, mes amis sont restés très sages toute la soirée et sont sûrement plein d'énergie... ».

Une demi-heure plus tard, ils sont devant la façade bourgeoise d'un immeuble en pierre de taille du XVI° arrondissement. Léopold ne pose plus de questions, lui qui a longtemps été le leader dans leur couple se laisse mener par le bout du nez par une Chrystèle enthousiaste depuis qu’ils ont fait leur entrée dans le monde du lbertinage.
L'appartement est aussi beau qu'ils l'avaient imaginé. Un salon immense dans lequel les deux couples et Pierre les attendent. Les deux femmes sont à genoux devant des fauteuils et sucent les hommes qui sont assis en se touchant le sexe. Pierre, déjà occupé, accueile Chrystèle en lui demandant de s'occuper de leur ami, un grand brun à l'allure italienne qui sort négligemment son sexe en indiquant à Chrystèle de se mettre à genoux. Et Chrystèle ne se fait pas prier pour sucer ce deuxième sexe de la soirée. Il lui tient maintenait la tête d'une main pour s'enfoncer encore mieux en elle. Léopold regarde, décidément fasciné.
Quelques minutes plus tard, le troisième homme, plus petit et trapu, dit à Vincent de s'asseoir à côté de lui et indique gentiment à sa compagne qu'elle doit dorénavant s'occuper de lui. Puis il se dirige calmement vers Chrystèle, remonte prestement sa robe et commence à la caresser. Quelques minutes de ce traitement suffisent à la rendre suffisamment excitée pour qu'il se décide à la pénétrer. Elle se fait la réflexion que, décidément, il n’est pas facile de sucer un sexe pendant qu'un autre vous pénètre de plus en plus vite.
Quant à Vincent, il s’est aussi décidé à pénétrer la belle blonde qui l'a si bien sucé. Maris et femmes s'éclatent chacun de leur côté. Vincent jouit assez vite et peut voir alors Pierre qui demande à son ami de lui laisser prendre Chrystèle. Son sexe semble totalement ouvert aux assauts de ces hommes qui se proposent mutuellement de s'y enfoncer. Bientôt les trois hommes ont eu ce privilège, la retournant, la baisant mais sans s'intéresser encore à son anus. Ce tour vient quand Pierre propos qu'ils la prennent en double.
« Non, articule faiblement Chrystèle.
- Si intime Pierre, il faut en passer par là. Vous aimerez vous verrez, nous allons bien vous préparer. »Il sort un petit godemiché qu'il entreprend de lui mettre dans l'anus après l'avoir enduit de lubrifiant et commence un travail que Chrystèle semble vite apprécier. C'est à ce moment là que Vincent se rend compte que les deux femmes se sont éclipsées et qu'ils sont seuls avec les trois hommes. Ceux-ci entreprennent de faire profiter Chrystèle de ces trois orifices. Elle n'y croit pas, elle s'envole littéralement de jouissance. Elle a même dû s'endormir car, quand elle se réveille, ce n’est plus d'elle dont les trois hommes s'occupent, mais de Vincent. Ils ont en effet rapidement lorgné sur lui, son corps d'éphèbe, sa peau douce, son sexe de taille moyenne, ses fesses... Pierre a donc d'abord négligé Chrystèle et s’est approché de Vincent : « Elle ne suce pas bien.
- Pardon.
- Je dis que quand on la baise elle ne suce pas bien. C'est inacceptable. Vous devez faire quelque chose.
- Quoi.
- Me sucer. » Et Pierre lui prend la tête pour y enfoncer son sexe. Vincent ne se défend vraiment, fasciné comme sa femme par l'autorité de Pierre. Peu après Pierre l’a fait se retourner et préparé à son tour. Son sexe pénètre doucement les entrailles de Vincent pour lequel s’est une quasi première fois. La première douleur passé il s’est littéralement empalé sur le sexe de Pierre quand celui-ci l’a fait venir sur ses genoux. Un deuxième homme abandonne alors Chrystèle pour se faire sucer, puis un troisième. Voyant que Chrystèle sort de sa torpeur, ils demandent aux deux amants de se mettre face à face pour qu'ils les sodomisent ensemble. Stupéfaite, Chrystèle voit alors son homme gémir devant son visage. Elle prend aussi son pied. Tout s'arrête enfin quand les deux hommes jouissent en eux non sans les avoir copieusement fessé avant.
« Ca t’a plu ?
- Plus ou moins. Qu’est-ce qu’on va dire à Birgit et Wilhem ?
- Qu’on s’est laissé aller.
- Ca tu l’as dit. »